Notre Jeu de l'Hiver

J'ai néanmoins vérifié dans "Histoire de l'Emigration" de Ghislain de Diesbach et finalement la réponse s'y trouve en partie ! 

Il se trompe pour la comtesse de Provence qui était partie de Turin dès 1796, mais pour la comtesse d'Artois, la réponse s'y trouve pour une grande part.

A vous de jouer ! 

Je donnerai quelques détails supplémentaires, quand la réponse sera dévoilée.

Rhooo je rage !!!!!

Dominique Poulin a écrit:

Qu'est-il advenu de la comtesse d'Artois, au milieu de l'occupation Française de Turin, en décembre 1798, lorsque sa famille déchue partit pour Parme, sans elle ?

Qui se présenta à elle pour régler sa sécurité ?

La pauvre délaissée eut-elle un consolateur ?

Dominique Poulin a écrit:J'ai néanmoins vérifié dans "Histoire de l'Emigration" de Ghislain de Diesbach et finalement la réponse s'y trouve en partie ! 
.

Ah, crotte alors !!! Ce que j'ai, c'est " Les hommes de l'Emigration " du duc de Castries .

... et sans index des noms propres !

Une sorte de consolateur oui, dont elle avait grand peur, la pauvre, tout ce qui était français et au service de la République la terrifiait, mais qui la rassura pleinement sur ses intentions pacifiques.

... au service de la République, donc pas un membre du Comité de Turin .

Non, en décembre 1798, Turin était occupé militairement par les Français, l'Etat Piémontais sous juridiction Française, et la famille royale avait été obligée de renoncer au pouvoir en ayant été priée de partir.
Seulement la comtesse d'Artois est restée sur place à Turin...

... avec ses enfants .

Non, les enfants avaient quitté Turin dès 1792, sur la demande du comte d'Artois, pour le rejoindre à Coblence. Angoulême avait alors 17 ans, Berry 14 ans.

Donc nous sommes beaucoup plus tard ...

Se réfugie-t-elle chez un parent ? dans un couvent ?

Nous sommes en décembre 1798, qui sonne le glas de la Maison de Savoie à Turin jusqu'à la chute de Napoléon où elle retrouve le Piémont augmenté de Gènes.

Un parent, oui, quand elle dû demander de séjourner ailleurs.
Un couvent, non.

Je vous retrouverai pour le Jeu, demain, Domi . Il est tard, je suis réclamée sous la couette.
Peut-être nos amis auront-ils élucidé votre énigme entre temps. Ausun mystère ne leur résiste bien longtemps .

Bonne nuit !

En tout cas, je vous guiderai, Eleonore.

Bonne et douce nuit. 

le duc d'Orléans ?

Non ce n'est pas un prince d'aucune Maison qui l'a aidé à sortir de l'embarras en décembre 1798, dont j'ai rappelé le contexte en quelques lignes plus haut.

Je parle de la situation à Turin occupé par la soldatesque Française.

Je donne un indice, car c'est bien difficile.

Le personnage qui sauve la comtesse d'Artois porte un nom de héros de bande dessinée et ce personnage est français.

A retenir !! 

Diantre ! Saint-André ?

Un héros de bande dessinée historique, très connu. 

Rougemont ?

Non, remontez très loin dans le temps ; pour les contemporains du XVIIIe c'était déjà très très loin.

Alix ?

Yes !!!