... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
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Dominique Poulin
Mme de Sabran
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... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Napo inspirait à Fersen un mélange de fascination / répulsion ...
( tenez ! comme au prince de Ligne aussi )
De son côté, l'Usurpateur affectait de mépriser Fersen . Ils se rencontreront pourtant en novembre 1797.
Emile Dard fait de cette entrevue orageuse un compte-rendu scrupuleux .
Après avoir signé le traité de Campo-Formio, Bonaparte quitta Milan le 17 novembre 1797, à neuf heures du matin, avec trois aides de camp, Marmont, Duroc et La Valette, Bourrienne, son secrétaire, Yvan, son médecin. Berthier et Juhot devaient le rejoindre à Rastadt, dans le pays de Bade, où il se rendait. Murât le précédait de quatre jours.
Le Directoire l'avait nommé président de la délégation française au Congrès où devaient se régler les affaires allemandes.
Suivant Sa propre expression, Bonaparte voyagea « en casse-cou », brûlant les étapes, marchant la nuit, s'arrêtant à peine pour manger ; partout interrogeant, observant, agis-sant ; partout parlant en maître. Les femmes, écrit La Valette, « passaient la nuit sur les routes pour apercevoir le vainqueur d'Italie », qui n'était vêtu que d'un uniforme très simple ou même d'un habit civil. Il était pâle, maigre, et toussait beaucoup.
Il refusa de voir M. Necker à Coppet, fit l'éloge de Rousseau, mais bouda Ferney, car « il avait des griefs contre Voltaire ».
Le 25 novembre, il fit son entrée à Rastadt, dans une berline à huit chevaux entourée d'un détachement de hussards autrichiens. La petite ville badoise était illuminée comme pour une fête. On lui avait réservé au château les appartements préparés en 1713 pour le maréchal de Villars, quand il vint négocier la paix avec le prince Eugène de Savoie.
Il croyait que les plénipotentiaires autrichiens, convoqués pour le 1er novembre, « l'attendaient avec impatience », et il avait chargé Murat de les prévenir de son arrivée. Mais il fut furieux de ne trouver que les deux plénipotentiaires français, Bonnier et Treilhard .
Mais, si les plénipotentiaires autrichiens se faisaient attendre, les princes allemands, grands et petits, qui voyaient dans le Congrès une excellente occasion de régler leurs affaires particulières, s'étaient empressés d'y envoyer leurs délégués, décorés et empanachés.
Le roi de Suède, Gustave IV, en tant que duc de Poméranie et garant de la paix de Westphalie, se flattait de faire admettre au Congrès son maréchal de la Cour, le comte de Fersen, avec le titre d'ambassadeur.
... à suivre !
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Mme de Sabran- Messages : 55514
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
... Je suivrai cette aventure avec intérêt ! Cela me donne l'effet de deux planètes totalement dissemblables et étrangères.
Dominique Poulin- Messages : 7013
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Je les imagine se regardant en chiens de faïence et tournant les talons .
Enfin, non . En principe, Fersen a une mission politique à remplir .
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Mme de Sabran- Messages : 55514
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Dominique Poulin a écrit:... Je suivrais cette aventure avec intérêt ! Cela me donne l'effet de deux planètes totalement dissemblables et étrangères.
Moi pareil .
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Comtesse Diane- Messages : 7397
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : TOURAINE
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Qu'était devenu Axel de Fersen depuis que l'avait frappé comme la foudre la nouvelle de la mort de la Reine, accompagnée d'affreux détails ?
Il écrit dans son journal intime : « Je n'eus pas la force de rien sentir. » Il ne se reprit à vivre que dans l'espoir de la vengeance contre « l'exécrable et lâche nation..., nation de cannibales..., opprobre du genre humain..., pourrie, sans mœurs, sans énergie, faite pour l'esclavage ».
Il traînait sa mélancolie, chaque année plus douloureuse à l'approche du mois de juin ou de la mi-octobre .
Il venait d'être frappé également dans ses ambitions, car Gustave III, son ami et protecteur, qui conduisait la croisade contre la Révolution, avait été assassiné. Son frère, le duc de Sudermanie, devenu régent, changea de politique. Il conclut avec le Comité de Salut public, par l'entremise du baron de Staël, ambassadeur de Suède à Paris, sous l'influence de sa femme, un traité d'alliance et de subsides qui mettait la Suède dans la dépendance de la France.
Staël et Fersen étaient d'anciens rivaux devenus ennemis. Fersen revint en Suède, « parmi ses pins et ses rochers » qu'il regrettait alors d'avoir quittés.
Feu Gustav et ses frères :
Je pense que Sudermanie est en rouge ...
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Mme de Sabran- Messages : 55514
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Enfin non, je ne sais pas . Ils se ressemblent comme trois gouttes d'eau .
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Mme de Sabran- Messages : 55514
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Je dirais moi aussi que c'est le prince habillé de rouge !
La Suède dans la dépendance de la France ?! Comment cela ? Par le biais des configurations d'alliances européennes ?
La Suède dans la dépendance de la France ?! Comment cela ? Par le biais des configurations d'alliances européennes ?
Dominique Poulin- Messages : 7013
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Mais oui, qu'est-ce que c'est que ce pacte entre Gustav IV et le Comité de Salut public, par l'entremise du baron de Staël ?
J'espère que Momo saura nous le dire ...
J'espère que Momo saura nous le dire ...
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Mme de Sabran- Messages : 55514
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Mme de Sabran- Messages : 55514
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Duc d'Ostrogothie- Messages : 3227
Date d'inscription : 04/11/2017
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Dis donc, Notre Grâce, tu as un seul costard ?
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Mme de Sabran- Messages : 55514
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Il y a tout de même le noeud noir qui change !
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Mme de Sabran- Messages : 55514
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Je change de couleur tous les jours, je te ferais dire.
Argenté le dimanche, mauve le lundi. J'aime les couleurs passe-partout.
Argenté le dimanche, mauve le lundi. J'aime les couleurs passe-partout.
Duc d'Ostrogothie- Messages : 3227
Date d'inscription : 04/11/2017
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Le 27 juin 1795, il écrit : « La poste arriva et m'apporta la fatale nouvelle de la mort du jeune roi Louis XVII. Cet événement me fit une peine sensible. C'était le dernier et seul intérêt qui me restait en France. A présent, je n'y en ai plus et tout ce à quoi je tenais n'existe plus, car je tiens peu à Madame. »
Et, le 7 juillet : « Il y a aussi le procès-verbal de l'ouverture du corps de ce malheureux enfant. Ce qu'on y dit de la matière scrophuleuse est plausible pour le public, mais ne peut exister pour lui. Son enterrement n'était rien . »
Ceci semble indiquer que Fersen ne croyait pas que l'enfant mort au Temple et dont il passait pour le père, fût le Dauphin. Fersen paraît croire ailleurs que l'enfant mort au Temple fut empoisonné.
Au commencement de 1796, Fersen se rendit à Vienne pour voir l'Empereur et « la petite Madame » qui venait d'être échangée contre les conventionnels livrés par Dumouriez. Madame, qui ne l'avait pas revu depuis Varenne, rougit quand elle l'aperçut. Il ne put retenir ses larmes et sentit ses genoux se dérober sous lui : « Elle avait la noblesse, les grâces et les manières de sa mère. » Il la vit en public, mais on ne lui permit pas d'entretien particulier. Si l'on s'est ainsi étendu sur les preuves si intéressantes de la fidélité de Fersen envers la famille royale, c'est pour montrer qu'elle dominait tous ses sentiments, en particulier ses sentiments politiques.
Le jeune roi de Suède, Gustave IV, devenu majeur depuis le 1er novembfe 1796, commit donc une grande faute en désignant, pour le représenter à Rastadt, un homme qui ne pouvait être que suspect à Bonaparte comme au Directoire.
Et, le 7 juillet : « Il y a aussi le procès-verbal de l'ouverture du corps de ce malheureux enfant. Ce qu'on y dit de la matière scrophuleuse est plausible pour le public, mais ne peut exister pour lui. Son enterrement n'était rien . »
Ceci semble indiquer que Fersen ne croyait pas que l'enfant mort au Temple et dont il passait pour le père, fût le Dauphin. Fersen paraît croire ailleurs que l'enfant mort au Temple fut empoisonné.
Au commencement de 1796, Fersen se rendit à Vienne pour voir l'Empereur et « la petite Madame » qui venait d'être échangée contre les conventionnels livrés par Dumouriez. Madame, qui ne l'avait pas revu depuis Varenne, rougit quand elle l'aperçut. Il ne put retenir ses larmes et sentit ses genoux se dérober sous lui : « Elle avait la noblesse, les grâces et les manières de sa mère. » Il la vit en public, mais on ne lui permit pas d'entretien particulier. Si l'on s'est ainsi étendu sur les preuves si intéressantes de la fidélité de Fersen envers la famille royale, c'est pour montrer qu'elle dominait tous ses sentiments, en particulier ses sentiments politiques.
Le jeune roi de Suède, Gustave IV, devenu majeur depuis le 1er novembfe 1796, commit donc une grande faute en désignant, pour le représenter à Rastadt, un homme qui ne pouvait être que suspect à Bonaparte comme au Directoire.
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Mme de Sabran- Messages : 55514
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Mauvaise pioche !
Mais Gustave IV, sous l'influence secrète de Fersen et de sa famille, revenait à la politique de son père. Par haine de la France révolutionnaire, il rappela de Paris M. de Staël, signataire du traité d'alliance. Le Directoire, justement blessé, refusa le successeur proposé, un certain Rehausen, russophile avéré, rappela son agent Perrochel, et une rupture diplomatique s'ensuivit en fait.
Épris de la grandeur passée de son pays, Gustave IV voulait reprendre les traditions glorieuses de Gustave-Adolphe et, après avoir rejeté la tutelle française, faire en Europe une rentrée sensationnelle. Fersen, familier des cours étrangères, lui parut, bien à tort, l'homme indiqué. Il le nomma grand maître de sa maison, maréchal du royaume et chancelier de l'Université d'Upsal. L'ayant ainsi couvert d'honneurs, il l'envoya au Congrès de Rastadt avec le titre d'ambassadeur, en sa double qualité de duo de Poméranie et de garant de la paix de Westphalie.
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Mme de Sabran- Messages : 55514
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Suite au pacte franco-suedois, cité par Eléonore plus haut, à bien y réfléchir la Suède après 1792 ne rentre pas où peu dans de grandes combinaisons de coalitions contre la France à l'instar de la Russie, l'Autriche ou l'Angleterre. Cette neutralité à mon avis avait pour base l'indépendance du royaume suédois et la tranquillité de ses eaux et ports.
Dominique Poulin- Messages : 7013
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
... Envoyer Fersen comme ambassadeur au Congrès de Rastadt et qui plus est pour de si grandes négociations diplomatiques paraît en effet bien curieux à nos yeux de contemporains !
Bonaparte il est vrai, même si il en a donné quelques apparences, Robespierre ne le mesestimait pas, ou encore le siège de Toulon ou l'ecrasement des royalistes devant l"église Saint-Roch, n'avait pas été un révolutionnaire acharné.
Mais envoyer Fersen ? L'amoureux de la reine, l'organisateur de Varennes, le tenant de la monarchie de droit divin, l'incarnation de la douceur de vivre si chère à la haute noblesse européenne avant 1789, quelle erreur de poids !
Bonaparte il est vrai, même si il en a donné quelques apparences, Robespierre ne le mesestimait pas, ou encore le siège de Toulon ou l'ecrasement des royalistes devant l"église Saint-Roch, n'avait pas été un révolutionnaire acharné.
Mais envoyer Fersen ? L'amoureux de la reine, l'organisateur de Varennes, le tenant de la monarchie de droit divin, l'incarnation de la douceur de vivre si chère à la haute noblesse européenne avant 1789, quelle erreur de poids !
Dominique Poulin- Messages : 7013
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Fersen fit son entrée à Rastadt le 15 novembre, dix jours avant Bonaparte et s'établit avec faste dans un bel hôtel, qui appartenait à la famille Metternich. L'arrivée de Fersen à Rastadt fit sensation.
Toute la presse européenne commenta la nouvelle. A Londres, on déclara que c'était « un fait très important ». Les journaux de Paris croyaient, non sans raison, Fersen mêlé aux intrigues royalistes et à l'espionnage anglais. Les cabinets signalaient ses rapports avec Montgaillard, d'Antraigues et Fauche-Borel, agents des Princes, et s'enquéraient de la part qu'il aurait prise aux tentatives de Montgaillard pour séduire Bonaparte. On parlait de courriers qu'il recevait et envoyait de Francfort.
« Vous avez cru comme moi, écrivait Fersen à sa sœur, que j'étais oublié à Paris. Eh bien ! nous nous sommes trompés, car mon nom est dans toutes les feuilles comme chargé de suivre ici les affaires de la République et de travailler de concert avec les Anglais... Je suis charmé qu'on me croie constant dans mes principes, mais j'aimerais mieux qu'on ne parlât pas de moi. »
Son arrivée officielle à Rastadt ne lui permettait plus de passer inaperçu.
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Mme de Sabran- Messages : 55514
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Mme de Sabran a écrit:
Toute la presse européenne commenta la nouvelle. A Londres, on déclara que c'était « un fait très important ».
Quelle rencontre incongrue en effet : Napoléon face au représentant de Marie-Antoinette !
Duc d'Ostrogothie- Messages : 3227
Date d'inscription : 04/11/2017
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
... représentant ? quelque chose comme le gardien de sa mémoire plutôt .
Je comprends ce que tu veux dire, et je ne trouve pas le terme juste non plus .
Le temps s'était arrêté pour lui en ce mois d'octobre 93.
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Mme de Sabran- Messages : 55514
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
« C'est un choix étonnant, écrivait Talleyrand, et même déplaisant. »
En même temps, il mettait en garde les plénipo-tentiaires français contre ce qu'il pensait être une intrigue.
Rien ne permet d'affirmer que le sentiment passionné que la Reine et son chevalier éprouvaient l'un pour l'autre ne soit pas demeuré pur. Toutefois, les contemporains le croyaient. ( ... ) les cours étrangères avaient fait de ces doutes une certitude. Pour toute l'Europe, c'était donc l'amant de la défunte Reine, l'homme de Varenne, un conspirateur royaliste que le roi de Suède venait d'envoyer à Rastadt.
La Suède n'était plus représentée à Paris. Le traité de Westphalie avait été abrogé par les accords postérieurs. Si l'on admettait la Suède au Congrès comme garante de ce traité, il faudrait aussi admettre la Russie comme garante du traité de Teschen. Bonaparte fut mis, dès son arrivée, au courant des inquiétudes du Directoire et des lettres de Talleyrand.
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Mme de Sabran- Messages : 55514
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Devait être dans ses petits souliers, l'gars Fersen !
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Comtesse Diane- Messages : 7397
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : TOURAINE
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Indeed, Comtesse, indeed ! D'autant que les deux plénipotentiaires français n'étaient pas du tout engageants : Treilhard, un ancien conventionnel régicide, qui se flattait d'avoir décidé le duc d'Orléans à voter comme lui ; Bonnier un homme dur, d'un caractère abrupt. Ils faisaient tâche parmi leurs nobles collègues avec leurs chapeaux ronds et leurs souliers fermés par des cordons au lieu de boucles. Mais le vainqueur d'Italie serait peut-être plus accessible. Ne se disait-il pas gentilhomme ? A Udine, il s'était montré courtois pour les diplomates autrichiens, malgré quelques accès calculés de colère ou d'orgueil. Son dévouement apparent au Directoire cachait bien des arrière-pensées et des vues personnelles. On venait justement de rapporter à Fersen des propos de Bonaparte, favorables au roi de Suède et annonçant une reprise des rapports diplomatiques entre les deux pays.
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Mme de Sabran- Messages : 55514
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
... Il est certain que l'effet devait faire tâche devant des adeptes de la Révolution Française et les représentants de l'Europe des rois ! Costumes, manières, éducations... Une sorte de choc des cultures de deux mondes étrangers !
Dominique Poulin- Messages : 7013
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: ... par Emile Dard, Bonaparte et Fersen
Comtesse Diane a écrit:
Devait être dans ses petits souliers, l'gars Fersen !
Duc d'Ostrogothie- Messages : 3227
Date d'inscription : 04/11/2017
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