Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
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Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Ah bon ? Je croyais qu'il n'y avait plus de pensionnaires au Parc-aux-Cerfs depuis que Mme du Barry était favorite en titre .
Elle comblait tous les désirs de Louis XV, mieux sans doute qu'une jeune-fille ( témoin la fameuse petite phrase du roi qui en dit long sur ses talents d'alcôve ).
Elle comblait tous les désirs de Louis XV, mieux sans doute qu'une jeune-fille ( témoin la fameuse petite phrase du roi qui en dit long sur ses talents d'alcôve ).
Dernière édition par Mme de Sabran le Mar 28 Jan 2014, 12:16, édité 1 fois
Mme de Sabran- Messages : 55293
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Qui sait... Peut-être était-il trop insatiable pour s'en contenter.
Invité- Invité
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
C'est vrai que le Parc-aux-Cerfs paraît assez anachronique avec la faveur de Madame du Barry...
Je n'avais pas songé à cela depuis longtemps... :roll:
Bien à vous.
Je n'avais pas songé à cela depuis longtemps... :roll:
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Ah oui ? Pourquoi ? La maladie était extrêmement contagieuse. J’avais lu qu’environ un individu sur 7 en mourrait à l’époque, et que presque tout le monde était atteint une fois dans sa vie (plus ou moins gravement).Louis XV a écrit:
On retient généralement deux possibilités.
- Le roi aurait contracté la maladie en s'approchant du cercueil d'une jeune fille qui en était décédée.
- La variole lui aurait été transmise par une des pensionnaires du Parc-aux-cerfs.
La nuit, la neige- Messages : 18055
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Ce vieux débauché ne pouvait-il se « contenter » de la jeunesse de sa maîtresse ?! :roll:Louis XV a écrit:Qui sait... Peut-être était-il trop insatiable pour s'en contenter.
La nuit, la neige- Messages : 18055
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Majesté a écrit:C'est vrai que le Parc-aux-Cerfs paraît assez anachronique avec la faveur de Madame du Barry...
Je n'avais pas songé à cela depuis longtemps... :roll:
.
Madame de Pompadour, favorite de Louis XV, après la fin de sa liaison physique avec le roi en 1752, installa, dans une demeure de ce quartier, des femmes - souvent très jeunes - qui y étaient entretenues pour satisfaire la concupiscence du roi. Elle veillait à ce qu’aucune de ces concubines ne devienne sa rivale en prenant de l’ascendant sur le roi. Plusieurs de ces femmes eurent des enfants de Louis XV ; elles étaient alors parfois mariées à un membre de la Maison du roi qui endossait la paternité de l’enfant.
Parmi les concubines du Parc-aux-cerfs figura la « belle O’Murphy », peinte par François Boucher et dont, dans l’Histoire de sa vie, Casanova prétend avoir su jouir assez habilement pour la livrer encore vierge au roi. Il semble que Jeanne Du Barry soit aussi passée par le Parc-aux-cerfs avant de devenir favorite officielle.
L’imagination populaire s’étant appropriée le lieu, l’expression « Parc-aux-cerfs » est devenue une périphrase pour parler d’un lupanar. La propagande anti-royaliste ou dévote l’utilisera aussi pour présenter Louis XV comme un tyran débauché. Ainsi, contrairement à la légende, le roi ne se rendit jamais dans cette demeure, les femmes ne faisant qu’y loger, étant ensuite amenées au palais.
Wiki ne nous donne pas la date de fermeture de la maison du « Parc-aux-cerfs » !
Belle entrée !
Mme de Sabran- Messages : 55293
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Le Parc-aux-Cerfs, de Louis XV
C'est bien ça .
Le parc-aux-cerfs n'a fonctionné que durant la période de lassitude de Mme de Pompadour .
Maria Cosway a écrit:
Le Parc-aux-Cerfs était à l’emplacement de la maison située au 4 rue Saint-Médéric. J'ai trouvé l'adresse pour la première fois dans un "Guide Bleu," et puis j'ai découvert que l'adresse avait été confirmée pendant des siècles, notée, par exemple, par "Les Curiosités Historiques sur Louis XIII, Louis IV Louis XV », Paris Plon, 1864.
À l’origine, le roi a eu une réserve de cerfs à l’emplacement, et avec la naissance du quartier St. Louis, et puis avec l’agrandissement du quartier, le roi a sacrifié sa réserve à la ville. Avec le décès de la Marquise de Pompadour et l’arrivé de Mme. du Barry, le roi a vendu la maison. Mme. Campan a fait référence aux « plaisirs que lui offrait son petit sérail du Parc aux Cerfs, » et elle ajoute que « le roi aimait a traiter lui même la honteuse partie de ses dépenses privées. Il vendit un jour à un premier commis de la guerre une maison ou avait logé une de ses maîtresses ; le contrat fut passe au nom du Louis de Bourbon ; l’acquéreur porta lui-même au roi, dans son cabinet particulier, un sac contenant en or le prix de la maison. » D’autres sources disent que le roi a vendu la maison à M. J. B. Sevin pour 16,000 livres, le 27 mai 1771, et le contrat est au nom du roi, comme roi. Aujourd’hui, l’emplacement de la maison est inclus dans la visite de la ville de Versailles, « Le Quartier Saint Louis, » et la maison d’origine est décrite comme rasé en 1775 parce que le nouveau propriétaire n'a pas pu supporter le défilé des curieux.
« Madame de Pompadour, » par Nancy Mitford, regardé comme fiable et parmi les rare livres anglais vendu par la Librairie des Princes au château, dit que beaucoup des petites du Parc aux Cerfs n’avaient pas connu l’identité de leur amant, et qu’elles étaient informées qu’il était un polonais richissime, de la famille de la reine, pour expliquer qu’il est venu souvent en grand hâte, toujours portant son Cordon Bleu.
On peut voir l'addresse aujourd'hui à http://maps.google.com/
en cherchant l'addresse "4 rue Saint-Médéric, Versailles
et en mettant "le petit bonhomme jaune" à l'emplacement pour une photo de la maison.
Mme de Sabran- Messages : 55293
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Messages déplacés ici !
Mme de Sabran- Messages : 55293
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Diphildor a écrit:
... chaque historien, ou presque, semble avoir une version particulière de cet épisode des "amours" royales ... Nous ne cesseront de les opposer!
Extrait de :
http://saint-sevin.pagesperso-orange.fr/pagecerf.htm
"à chacun son histoire ...
A vrai dire, on s’y perd quand on lit les différentes versions de l’histoire du Parc aux Cerfs données par les historiens. Il n’y en a pas deux qui se ressemblent.
Sur plusieurs points il y a quand même unanimité. C’est d’abord sur le formidable appétit de sexe du Bien-aimé. Il n’y a pas de doute, il était porté sur la chose. Il n’y a pas de doute non plus que la Pompadour, qui le connaissait bien, craignait qu’une de ses relations amoureuses, plus fine que les autres, ne prît un certain ascendant sur lui. On peut donc admettre que c’est elle qui a mis en place ou encouragé l’organisation des loisirs sexuels du souverain en assurant son approvisionnement régulier en la matière et en le faisant passer par un point de contrôle : la maison du Parc aux cerfs.
Tout le monde semble aussi d’accord pour dire que Louis XV ne s’est jamais rendu à la petite maison, mais que c’étaient les demoiselles qui venaient à lui en son château. On ne sait pourquoi, comme s’il y avait là quelque chose de contre nature, tous les historiens ont une explication à donner sur ce comportement : le lieu était le plus éloigné de Versailles, le moins habité, le moins éclairé. Michelet l’a dit : « …le roi aimait peu les rues désertes, surtout aux nuits d’hiver ».
Quant à l’éloignement, ce n’est pas sérieux. Si on regarde les plans de Versailles qui figurent sur cette page on constate que l’église Notre-Dame et l’église Saint-Louis sont à peu près à la même distance du château. On voit aussi que le domaine royal commence, avec le potager du roi, au bout de la rue des Tournelles, où se trouvait la fameuse maison et que ladite maison se trouvait juste en face de l’hôtel des gardes du roi. La perspective de faire sept ou huit cent mètres à pied peut apparaître comme une aventure à certains aujourd’hui, mais ne devait guère, s’il en avait eu l’envie, émouvoir un roi qui passait des journées entières à la chasse, ne s’arrêtant que lorsque les bêtes étaient fatiguées.
D’autre part, si on en croit ce qui est écrit, le quartier était à l’époque en partie habité par des fonctionnaires et par des grands seigneurs qui y avaient des maisons de plaisir. Même si les rues étaient mal éclairées, on imagine mal ces résidants organisant des guet-apens pour rançonner les gens de passage. Pas plus hier qu’aujourd’hui, ce n’est pas dans les quartiers où logent les personnes des mêmes milieux qu’on assassine, vole, incendie les voitures, caillasse les keufs et viole les meufs.
On peut aussi se demander pourquoi il faut absolument que ce soit dans le froid, par les nuits sans lune, dans des rues désertes, en rasant les murs que l’on conduisait au roi de pauvres petites filles apeurées ? Pourquoi pas en plein jour ? Quant au lever du soleil, les milliers de fonctionnaires versaillais se rendaient à leur travail au château et dans ses annexes où se gouvernait le pays, c’était le moment idéal pour passer inaperçu ; on devait pouvoir s’y fondre dans la foule.
On peut aussi se dire que si le roi n’allait pas aux p.., mais que les p… venaient au roi, c’était d’abord parce qu’il était roi, et peut-être tout simplement parce qu’il jugeait que le luxe d’une chambre du château qu’on disait le plus beau du monde était un cadre plus propice aux ébats amoureux et aux poursuites mutines en chemises de nuit qu’une cabane de jardin.
C’est généralement sous le titre « Les petites maîtresses » que les historiens parlent de cette période de la vie de Louis XV. Les dates que donnent les uns et les autres sont différentes. Le point de départ est fixé généralement à 1750 ou 1751 quand le roi se lasse de la Pompadour. La fin varie selon les uns et les autres de 1764 (mort de la Pompadour) à 1769 ou 1771(abandon de la maison de la rue Saint-Médéric). Monsieur Le Roi (lui aussi) qui publie dans ses Curiosités historiques (Plon 1864) une étude fort documentée sur la maison de la rue Saint-Médéric est, quant aux dates, très précis : 25 novembre 1755 pour l’achat, 27 mai 1771 pour la revente à un certain Mr Sévin.
Certains récits laissent penser qu’en fait il y a eu deux petites maisons dans le Parc aux cerfs : la première située à l’angle de la rue des Tournelles et de la rue Saint-Médéric, l’autre située rue Saint-Médéric à partir de fin 1755. Sur le Plan Delagrive (1746) aucune construction ne figurait ni à l’un ni à l’autre endroit et il semble bien que les deux rues ne se rencontraient pas encore. Il n’y d’ailleurs toujours pas de véritable coin de rues à cet endroit aujourd’hui. Les deux rues ne se coupent pas à angle droit et ne se sont sans doute jamais coupées à angle droit. Et même pendant longtemps pas du tout, quand elles se terminaient l’une et l’autre par un cul de sac.
Un ouvrage récent envisage la possibilité qu’une autre maison située dans le même quartier, rue Saint-Louis, aurait abrité la jeune Morphise de 1753 jusqu’au jour de la fin novembre 1755 où, à quatre heures du matin, on est venu l’enlever pour la conduire à Paris et la marier avant de l’exiler.
Le nombre des « petites maîtresses » qui sont passées par la « petite maison » lupanar pour les uns, sérail ou harem pour les autres, varie selon les sources d’une dizaine à 90. C’étaient ou des professionnelles ou de pauvres gamines âgées de 14 à 15 ans dont certaines n’étaient pas pubères. Des chercheurs en ont dressé des listes et compté le nombre de bâtards nés de ces liaisons. Il y en aurait huit pour lesquels le roi a payé des pensions sur ses propres deniers.
On a fait le calcul de ce qu’a coûté tout cela (dots, pensions, travaux etc.) : un libelliste a lancé le chiffre de un million de livres (livres tournois). D’autres ont parlé de cent millions et même d’un milliard sans d’ailleurs préciser en quelle monnaie ils comptaient. Un site web américain nous donne même l’estimation du total des dépenses en dollars, le divise par 34 (nombre d’années, d’après eux, d’existence de la petite maison), pour arriver à une moyenne de 600.000 dollars par an. On aimerait connaître le détail du calcul des dépenses, les cours pratiqués pour traduire la livre tournois en francs, puis les francs en euros et les euros en dollars. On aimerait surtout que le site tienne à jour les chiffres, compte tenu des variations continuelles des cours des monnaies les unes par rapport aux autres. On est en plein délire. Encore un effet secondaire de la mondialisation, sans doute !
It has been estimated that in the thirty-four years of its existence the Parc-aux-Cerfs cost nearly 20 million dollars, or around $600,000 a year - a lot to pay for the sexual pleasures of one man.
Il est possible de trouver la source de ces divagations dans un écrit de M.Léon Gozlan de la fin du 19è siècle qui précisait : « Le Parc aux Cerfs coûtait près de cent soixante-dix mille francs par mois, ce qui fait pour trente années d’existence plus de cent cinquante millions » Pourquoi 70.000F par mois, pourquoi pas 68.245 marks, 1.892.745 lires ou 15.887.267 kopecks ?
en conclusion
Le visiteur qui voudra se faire une opinion personnelle sur la question pourra consulter les ouvrages indiqués au chapitre des « Sources et Ressources » en fin de page. Il n’est pas question pour nous de l’influencer car nous n’en avons ni le désir ni la capacité. Disons quand même que notre opinion est que la petite maison du Parc aux Cerfs nous apparaît plutôt comme une maison de passage que comme une maison de passe, qu’il ne s’y est pas passé grand chose, et qu’il nous semble un tantinet exagéré de placer le quartier dans lequel elle se trouvait au centre de l’Histoire. Ni à sa périphérie. Même s’il y a plusieurs petites maisons."
...
Mme de Sabran- Messages : 55293
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Monsieur de Coco a écrit:
J'ai fini la lecture de ce bouquin qui, à ma grande surprise, est très bien!!!!!
En effet, vu la couverture, le faible nombres de pages (94 pages), je pensais que c'était un livre "léger". Or, l'auteur s'est bien documenté sur le sujet. Il parle de la maison du Parc-aux-Cerfs de son origine à sa destruction.
Bon, il renchérit sur sa légende avec la présence régulière de Louis XV à la maison. On apprend que la maison était très hiérarchisée!
Il inventorie toutes les favorites (même d'un jour) du vieux roi!
A la fin de ce livre, qui n'est pas un roman, il dit que la maison actuelle n'est pas celle qu'avait connue Louis XV mais que s'y trouve toujours le jardin où les favorites s'y promenaient. Vraiment, bien écrit, à lire!
Mme de Sabran- Messages : 55293
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Jacques de Seingalt a écrit:
Cette recherche de maison dite du Parc aux Cerfs est des plus passionnantes. Même si la discussion semble avoir quelque ancienneté, permettez moi, néanmoins, d'attirer votre attention sur un article parue dans la Revue de l'histoire de Versailles et de Seine-et-Oise, en janvier 1923, sous la plume de J. Robiquet.
Je m'aperçois à l'instant que Camille Pascale mentionne, pat ailleurs, cette référence dans un appel de note de son excellent Le goût du roi.
Tout semblerait indiquer une autre demeure, probablement plus en rapport avec les allusions qu'en font les mémorialistes de l'époque, de Mme Campan à Argenson, en passant par l’avocat Barbier. Un certain nombre d’éléments rendent possible l'Hôtel de Schonen, connu aussi sous le nom de La Colette, au 20 de la rue Saint-Louis. Peu de photographies disponibles sur le web, mais ce lien : http://www.actuacity.com/hotel-particulier-appele-maison-la-colette-ou-hotel-de-schonen_m156295/ La maison existe toujours.
L'avantage de cette hypothèse est que l'endroit peut, en effet, être aisément qualifié de ce qu'on appelait à l'époque "petite maison". Il y a aussi néanmoins suffisamment d'espace pour qu'on puisse loger la domesticité attachée aux courtisanes. Autre élément important : le bâtiment est décrit par le policier Mesunier comme "un bâtiment neuf".
Or l'édifice est de pur style Louis XV, construite entre 1751 et 1753
Mme de Sabran- Messages : 55293
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Jacques de Seingalt n'est-il pas Giacomo Casanova? :
Bien à vous.
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Majesté a écrit:Jacques de Seingalt n'est-il pas Giacomo Casanova? :
.
Si fait, Majesté !
... du reste lui disais-tu, taquin ( : ) :
Majesté a écrit: Merci à vous, bien cher Jacques...ou plutôt Giacomo !
Bien à vous
Mme de Sabran- Messages : 55293
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Comme tu dis ! :n,,;::::!!!:
Mme de Sabran- Messages : 55293
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Pour nombre d'auteurs, il est fort douteux que Louis XV se déplaçait lui-même jusqu'au Parc aux Cerfs .
Il était beaucoup plus simple que la belle se rendît au château, où ne manquaient ni issues ni escaliers dérobés, accessibles grâce à un valet et une sentinelle affidés. Louis XV la recevait dans un entresol de son appartement intérieur, au-dessus de la petite salle des gardes.
Les contemporains bien informés ont appelé cette pièce " le trébuchet ". On ignore si les choses se passaient ainsi à Compiègne et à Fontainebleau pendant que le Roi y séjournait ...
Michel Antoine, Louis XV.
.
Mme de Sabran- Messages : 55293
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Madame de Sabran, j'ai louché sur le livre que vous avez affiché "Louis XV et le Parc Aux Cerfs" de Jacques Dumaine. De quand date-t-il ? des années 1960 ? et chez quel éditeur ? De plus, vous écrivez que c'est un ouvrage relativement sérieux, malgré son sujet discutable mais pourtant authentiquement historique.
Dominique Poulin- Messages : 6942
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Je n'en sais rien du tout .
C'est une information que nous donnait Monsieur de Coco dans l'ancien Boudoir, et que j'ai bouturée ici !
Mme de Sabran- Messages : 55293
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Bon ! juste ma curiosité toujours en éveil... Merci quand même !
Dominique Poulin- Messages : 6942
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Mais, puisque vous me demandez sa date de publication, je suis allée farfouiller un peu : c'est 1958 .
Mme de Sabran- Messages : 55293
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Ah merci bien ! Bonne soirée à vous !
Dominique Poulin- Messages : 6942
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Merci ! à vous de même .
Mme de Sabran- Messages : 55293
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Dernière édition par Monsieur de Coco le Lun 25 Fév 2019, 12:02, édité 1 fois
_________________
"Le 7 de septembre, le roi a été heureusement purgé d'humeurs fort âcres, et de beaucoup d'excréments fermentés, en dix selles."
Journal de santé de Louis XIV
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
Oui, cela ne ressemble pas à la gravure ci-dessus sur laquelle nous voyons une entrée ouvrant sur un jardin bien arboré .
Merci, cher Monsieur de Coco .
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55293
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le Parc-aux-Cerfs de Louis XV
En revanche, le jardin de cette maison serait bien celui qu'ont connu les maîtresses de Louis XV mais pas de photo!!!!!
_________________
"Le 7 de septembre, le roi a été heureusement purgé d'humeurs fort âcres, et de beaucoup d'excréments fermentés, en dix selles."
Journal de santé de Louis XIV
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