Theresia Cabarrus (1773-1835), épouse Tallien, puis princesse de Caraman-Chimay

Bah ! Il n'était pas si mal, ce brave Ouvrard !   
On a vu pire ...

Tout de même ces femmes qui ont connu les prisons de la Terreur furent pendant et surtout à leur sortie des sacrées *** !
Enfin, comment leur reprocher leur revanche sur la vie ?
Elles qui auparavant n'avaient connu qu'hôtels ou châteaux confortables, couvent protecteur durant leur enfance et adolescence, salons, bals et soupers brillants... Avec des serviteurs à leurs petits soins. D'un coup, l'enfermement, les murs gris, le dénuement, les séparations déchirantes, la peur de mourir...

Reinette a écrit:Tout de même ces femmes qui ont connu les prisons de la Terreur furent pendant et surtout à leur sortie des sacrées *** !

Tu sais quoi ? Elles l'étaient avant ...  : 

Où croyez-vous que nous retrouvions Teresa, six mois à peine après la décisive partie de chasse à Grosbois ???
Je vous le donne en mille : somptueusement installée dans ses meubles, par ce bon et excellent Ouvrard, dans un hôtel particulier de l'élégante rue de Babylone, bâti au XVIIème par un marquis de Barbacon ( nom peu glamour ... ) !!!! Mais ce n'est pas tout : il lui offrira aussi, la maison des champs au bout du Cours-la-Reine, et même le château du Raincy qui a appartenu sous l'Ancien Régime à l'Ordure .....





On le voit, le fournisseur des armées fournit aussi Mme Tallien ! Car Teresa a toujours un mari !
Où cela ? ... en Egypte !    
Tallien est parti respirer l'air des pyramides comme collègue des savants Monge et Geoffroy Saint-Hilaire .


Peut-être, comme dans la chanson, Ouvrard se dit-il :

Pourquoi nous marier
Quand les femmes des autres
Pour être aussi les nôtres
Se font si peu prier ?


Moins légère, la Lettre du Diable à la plus grande putain de Paris , signée Belzébuth désigne Teresa à l'opprobre générale .


Teresa est pourtant dans une phase de reproduction intensive qui devrait bien l'assagir !!!
Ce succèdent à un rythme étourdissant les naissances de:
--- Clémence, le 1er février 1800
--- Jules Adolphe Edouard, le 19 avril 1801
--- Clarisse Gabriel Theresa, le 21 mai 1802
--- Stéphanie Caroline Thérésa, le 2 décembre 1803 ......................

Ouvrard accueille benoîtement tous les bambins de la terre comme les siens, pourvu que ce soit Teresa qui les mette au monde, mais pour l'état civil ce sont autant de petits Tallien !  

  

.

Mme de Sabran a écrit:

Reinette a écrit:Tout de même ces femmes qui ont connu les prisons de la Terreur furent pendant et surtout à leur sortie des sacrées *** !

Tu sais quoi ?   Elles l'étaient avant ...  : 

Oui c'est vrai !  : 

Elles ont toutes les excuses : avant parce qu'elles étaient mariées sans leur consentement, pendant parce qu'enceintes, elles écartaient le danger et après parce qu'elles ont souffert !  

Mme de Sabran a écrit:Teresa est pourtant dans une phase de reproduction intensive qui devrait bien l'assagir !!!
Ce succèdent à un rythme étourdissant les naissances de:
--- Clémence, le 1er février 1800
--- Jules Adolphe Edouard, le 19 avril 1801
--- Clarisse Gabriel Theresa, le 21 mai 1802
--- Stéphanie Caroline Thérésa, le 2 décembre 1803 ......................
.

Quel courage ! 

... dans un mouchoir de poche, oui c'est fou !   

Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas !    

Le Directoire, dont Teresa a été la reine incontestée, a du plomb dans l'aile. C'est Bonaparte que la foule acclame maintenant, Bonaparte qui a toujours la même aversion insurmontable pour Mme Tallien . Le coup d'Etat de Brumaire en 1799 le porte au pouvoir. Barras est fini.
Quant à Teresa, la voici à présent la grande pestiférée du Consulat .   àè-è\': 

Le retour d'Egypte de Tallien a été plus aventureux que celui de Bonaparte : capturé par un vaisseau anglais, il a vécu à Londres, chaleureusement accueilli d'abord, parmi les Whigs, comme le héros du 9 thermidor.

Mais le mal du pays lui fait repasser la Manche en 1801 ; il arrive à Paris et réclame sa femme ...

.

Merci, Élie !
C'est toujours aussi passionnant et...romanesque !
J'avais oublié que Tallien était de l'expédition d'Egypte... 

Ah, merci  , la suite ne saurait tarder .  :n,,;::::!!!: 

Teresa n'est pas franchement heureuse    de voir ressurgir ce mari presque oublié qui, subitement, se mêle de faire valoir ses droits !  Comment se dépêtrer d'une situation aussi fâcheuse ?     

C'est alors qu'Ouvrard, en digne financier persuadé que l'argent peut tout acheter y compris sa tranquillité d'esprit par l'effacement de Tallien, entreprend des pourparlers épineux . Mais en Tallien il trouve un adversaire âpre aux dents longues : Ouvrard était connu pour l'immensité de ses ressources . Il pouvait payer et payer cher. Pourquoi se gêner ?
Sous le régime de la monogamie, on n'a qu'une femme à vendre : autant tirer de cette occasion unique un exceptionnel bénéfice . Tallien aimait, mais il fallait vivre .

A demander la lune, Tallien s'expose à ne rien obtenir, rien du tout ! Il prend pourtant le risque, l'insensé !
La bonne volonté d'Ouvrard est découragée par sa rapacité .
Le financier lui claque la porte au nez . V'lan !!!

Perdant sur toute la ligne : le divorce est prononcé, aux torts de Tallien, le 8 avril 1802 .

.

Et, vous savez quoi ? Teresa, pendant ce temps-là avait laissé ses deux adorateurs se dépatouiller de ce chantage ( puisqu'il faut bien appeler les choses par leurs noms ) dont l'issue lui importait peu .
En fait, elle passe sa vie chez son amie Germaine de Staël qui donne des réceptions très brillantes où se presse la société la plus huppée . C'est ainsi qu'elle rencontre François Joseph de Riquet de Caraman .
Teresa a beau être presque vieille ( souvenons-nous de la femme de trente ans de Balzac ! ), elle a toujours un sex-appeal explosif : M. de Caraman en tombe les pattes en croix .


Voici le nouveau coeur brisé de Teresa :

La nuit, la neige a écrit:

 Tomber les pattes en croix .
J'adore l'expression, que je connaissais pas !   boudoi32 
Redoutable Thérésa ! : 
On lui appliquerait volontiers cette phrase célèbre de Napoléon, qui ne résistait pas davantage aux charmes et caprices de Joséphine :
En amour, il n'y a qu'une seule victoire : la fuite !    

Il y a des moments de grâce où Napo nous fait du Guitry !!!               

.

La nuit, la neige a écrit:Merci, Élie !
C'est toujours aussi passionnant et...romanesque !
J'avais oublié que Tallien était de l'expédition d'Egypte... 

 
 Teresa est ...  irrésistible ... Que va-t-elle devenir après son divorce ?

Etait-ce important ? Ce qui urgeait c'était que ce divorce soit prononcé et que Tallien cesse ses assiduités !  

Bonaparte, alors tout puissant, ne pouvait pas sentir Tallien non plus . Il avait ses têtes, le bougre ! Il ne supportait plus le souvenir honteux d'avoir eu Barras et Tallien pour témoins de son mariage avec Joséphine .
Fouché finit par éloigner l'ancien maître de Bordeaux en l'expédiant comme consul à Alicante ( manger du Turron !!!       ) .

Teresa était débarrassée d'un ex, mais l'amant en titre, le bon Ouvrard, commençait déjà à lui peser . Pour ne rien arranger, sa fortune semblait sujette à caution et fondait peu à peu ...  On ne peut décidément compter sur rien ni sur personne !  :roll: 

Les relations d'Ouvrard avec le pouvoir devenaient de jour en jour plus difficiles. Il était en guerre sournoise avec Napoléon, qui d'autre part ne pouvait se passer de lui : le financier avait avancé à l'Etat vingt millions en 1802, lors de la disette . Il avait engagé plus de cent millions pour la préparation du camp de Boulogne et la descente en Angleterre .... mais, s'il venait à traîner la jambe pour les allonger encore, Napoléon pouvait l'emprisonner et le ruiner demain d'un simple coup de plume !

La situation de Teresa devenait précaire, à la merci de l'humeur chagrine du nouveau tyran .......

Or voici que le comte de Caraman déclare sa flamme, se jette à ses pieds, et lui demande de l'épouser !
Et, vous avez vu ci-dessus , Mesdames, il est même plutôt séduisant, ce futur prince de Chimay .
Teresa convole en justes noces .
Ce n'est jamais que la troisième fois, et le petit dicton ne sera pas démenti : la troisième sera la bonne !  :n,,;::::!!!: 

Bonaparte à Joséphine :

Je te défends de voir Mme Tallien sous quelque prétexte que ce soit . Je n'admettrai aucune excuse. Si tu tiens à mon estime, et si tu veux me plaire, ne transgresse jamais le présent ordre .... Un misérable l'a épousée avec huit bâtards. Je la méprise elle-même plus qu'avant. Elle était une fille aimable. Elle est devenue une femme d'horreur et infâme .

.

Mme de Sabran a écrit:Bonaparte à Joséphine :

Un misérable l'a épousée avec huit bâtards. Je la méprise elle-même plus qu'avant. Elle était une fille aimable. Elle est devenue une femme d'horreur et infâme .

 : 

Cela me rappelle un dialogue entre Napoléon et son frère Lucien, le premier furieux que ce dernier épouse sa délicieuse Merveilleuse, et amante de longue date, Alexandrine Jacob de Bleschamps (je rapporte de mémoire  ) :

- On n'épouse point sa maîtresse !
- Mieux vaut épouser sa maîtresse plutôt que celle des autres...

Dans les dents la Beauharnais :

La nuit, la neige a écrit:

Joséphine continuera de la fréquenter, plus ou moins en cachette ! : 
Dur d'écarter de son chemin la personne a qui l'on doit la vie.
Enfin c'est ce que j'ai lu dans les Mémoires de Georgette Ducrest (nièce de Mme de Genlis).
Tant que j'y suis, elle cite aussi comme proches amis de Thérésa : Mme de Boufflers...  
Et ajoute :

Elle fut toujours chez elle assidûment, et contribuait par son esprit à l'agrément d'une conversation aimable, elle était accompagnée de son mari et de son fils, M. Elzéar de Sabran, dont j'ai déjà parlé.
Ils refusaient les invitations qui auraient pu les empêcher de se rendre chez Mme Tallien. La conduite de cette famille si généralement estimée, fut approuvée de tout le monde ; la reconnaissance ne doit se cacher dans aucune occasion ; c'est s'honorer soi-même, que de chercher à relever l'objet auquel on la doit.
L'impératrice paya l'éducation de Mlle Tallien, dont le nom de baptême était Thermidor.
Elle est maintenant Mme la comtesse de Pelet, et son esprit est, dit-on, aussi agréable que celui de sa mère, aujourd'hui la princesse de Chimay.

Ainsi donc, cher la nuit, la neige, j'allais rendre visite assidûment à Teresa avec mon petit Elzéar (qui avait vu mourir Madame de Polignac, à Vienne ) !!!!
Vous me gâtez !!!! :n,,;::::!!!:  Je suis ravie de savoir que j'estimais et aimais Teresa, car vous allez voir ( demain sans faute ! ) combien elle va encore dépenser d'énergie à combattre la misère humaine ! Comme quoi on peut être vénale, avoir la cuisse légère, et l'étoffe d'une sainte femme !!!!!

Je n'ai pas lu les mémoires de Georgette Ducrest, mais j'ai découvert hier soir que c'est son père ( frère de Félicité de Genlis ) qui a placé à tous les postes clefs de l'apanage de la Maison d'Orléans ses petits potes franc-maçons . C'est dans la bio de l'Ordure par Mme Lever . Je vous ferai la citation demain .

Oui, Joséphine essaiera de transgresser l'interdiction de Napoléon de revoir Teresa !  
La petite Thermidor Tallien, dont elle prendra en charge l'éducation, était sa filleule .



Or donc, Teresa vient d'épouser le comte Riquet de Caraman, prince de Chimay depuis la mort très récente de son père .
Le prince de Chimay est un gentilhomme dans toute l'acception du terme   , un homme droit et probe, de surcroît très profondément amoureux.
Teresa a presque trente ans.
Les nouveaux époux partent en voyage de noces en Italie où ils sont reçus par le duc de Parme devenu Roi d'Etrurie . Quelle revanche d'amour-propre pour Teresa qui a choisi pour cette réception une robe somptueuse de velours brodé .
Les vieilles dames de la Cour, elles-mêmes, furent obligées de reconnaître que son vêtement était assez montant pour ne provoquer aucun blâme, assez austère pour convenir à une grande dame. Mais les jeunes officiers de Sa Majesté regrettèrent un peu de ne pas voir se réaliser les rêves qu'ils avaient faits concernant l'héroïne renommée des bals parisiens du Directoire .

C'est que ce troisième ( et dernier ! ) mariage fait de Teresa une femme rangée, digne de respect, à la maturité resplendissante malgré un début d'embonpoint .
De retour d'Italie, Teresa court à la Malmaison   rendre visite à Joséphine qui est obligée de lui signifier le décret d'ostracisme qui la frappe . Les deux amies pleurent abondamment dans les bras l'une de l'autre ...

Teresa dépassant la trentaine est à la moitié de sa vie . Cette seconde moitié qu'il lui reste à bien remplir, elle la passera auprès de son mari, M. de Chimay, entre Paris, les Pays bas et le si beau château de Chimay que notre princesse à nous et Majesté nous ont posté en amont de ce sujet .
Autour d'elle, Teresa recrée une petite Cour . Le couple reçoit de nombreux musiciens, la Malibran ; c'est à Chimay que Cherubini compose sa Messe en fa.

C'est à nouveau une explosion de fécondité : trois petit Caraman viennent au monde en 1810, 1813, et 1815 .... ceux-là méritent leur estampille paternelle ! : 
Mais tant d'occupations familiales, domestiques et mondaines ne remplissent pas encore la vie de Teresa . Elle dispense et prodigue, sans relâche, soins et secours à tous les indigents et les malheureux possible, et il n'en manque pas dans le voisinage .
Elle y consacre la fortune de son mari qui l'assiste dans ses oeuvres .

Elle s'éteint à Chimay, le 15 janvier 1835.
Son mari sera inhumé auprès d'elle, après avoir fondé par testament un hospice pour les vieillards infirmes et un asile pour les enfants nécessiteux .

.
 

Gouverneur Morris a écrit:

- On n'épouse point sa maîtresse !
- Mieux vaut épouser sa maîtresse plutôt que celle des autres...

                          


Pour ce que j'en sais, cela se faisait pourtant beaucoup ...
Ainsi, moi-même ai-je succombé aux assauts amoureux de M. de Boufflers, dans Le lit bleu, quelques années avant notre mariage.
Mais, chuuuuut ! ... que cela reste entre vous et moi .   

.

:

Intéressante séquence de l'émission Secrets d'Histoire, diffusée hier soir, et consacrée au portrait de la célèbre Thérésia Cabarrus.  

Nous avions longuement évoqué le destin exceptionnel de cette femme dans ce sujet.

Quelques extraits vidéo de l'émission, dont la reconstitution de la rédaction du fameux mot qui, dit-on, poussera à la chute de Robespierre.

Et j'en profite d'ailleurs pour revenir sur notre précédente discussion ici, où nous évoquions le pourquoi de son incarcération à Paris : Qui ? de Fouché ou Robespierre a manoeuvré pour la faire emprisonner et ainsi faire pression sur Tallien.
Dans l'émission, les intervenants ont donc dénoncé Robespierre.  



Une courte vidéo également à l'intérieur du château de Chimay, que quelques-uns d'entre-nous ont déjà eu la chance de visiter.
Voir notre visite guidée ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t1248-le-chateau-de-chimay?highlight=chimay




Nous avons également vu le portrait de Thérésia dans son cachot, que nous avions présenté récemment dans notre rubrique Ventes aux enchères.
Peint par Jean-Louis Laneuville.
Ainsi donc, il a été acheté par la famille de Chimay, et est aujourd'hui exposé dans le château.  :\\\\\\\\:



Stéphane Bern le décrit en précisant que ses geôliers viennent de lui couper les cheveux, peu avant son exécution programmée.
Bon...pourquoi pas. Cela ajoute du sensationnalisme au drame.

Cependant, j'avais lu (dans je en sais plus quel Mémoires ou Souvenirs d'une femme elle aussi emprisonnée sous la Terreur), que nombre d'entre-elles préféraient se couper les cheveux elles-mêmes.
Tout d'abord parce que les prisons, surpeuplées et dans un état d'hygiène déplorable, étaient infestées de poux et autres bestioles.
Enfin, parce que ces femmes souhaitaient ne pas concéder ce geste rabaissant à leurs futurs bourreaux.

Elle a bien failli venir à notre pique nique, samedi dernier, ma si chère Teresa :;\':;\':; , mais elle avait encore sur les bras trois paquets de copies à corriger ...

Un petit lien de replay, peut être ?
J'apprécie beaucoup Mme Tallien .

C'est toujours la même émission : Secrets d'Histoire, consacrée aux "Femmes de la Révolution".
J'ai déjà donné le lien vers la vidéo.

Mais le voici donc à nouveau : http://pluzz.francetv.fr/videos/secrets_d_histoire_,142641098.html

Bien sûr ! 40544810
Je m'en tiens une couche ...

J'ai lu un livre sur  Teresa Cabarrus intitulé : La Reine de Paris de Michel Peyramaure. Ça se laisse lire. J'ai laissé ce livre gracieusement dans une médiathèque car j'étais trop encombrée pour prendre l'avion du retour. Je regrette un peu car je l'avais bien apprécié. Vous en avez déjà peut-être parlé, mille excuses d'avance.

Franck Ferrand, qui reprend la précédente formule (en deux temps) de l'émission Au cœur de l'histoire, évoquait aujourd'hui Thérésia Cabarrus !  

La première partie de l'émission est consacrée au récit de sa rencontre, et de sa liaison, avec Jean-Lambert Tallien...



En deuxième partie d'émission, Franck Ferrand dialogue avec Emmanuel de Waresquiel, et toujours au sujet de cette femme au destin extraordinaire.

Que l'on se rassure, Emmanuel de Waresquiel sera prochainement l'invité de l'émission pour présenter son nouveau livre Juger la reine !
Bon...

Enfin, Jean-Claude Fauveau, l'auteur  La Tallien, la Terreur à Bordeaux, participe également à l'émission.
Nous avions présenté son livre ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t2707-la-tallien-la-terreur-a-bordeaux-de-jean-claude-fauveau?highlight=tallien




Si l'émission vous intéresse, vous pouvez l'écouter ici : http://www.europe1.fr/emissions/au-coeur-de-l-histoire/acdh-lintegrale-04102016-les-bons-secours-de-madame-tallien-2864173

La nuit, la neige a écrit:

Si l'émission vous intéresse, vous pouvez l'écouter ici : http://www.europe1.fr/emissions/au-coeur-de-l-histoire/acdh-lintegrale-04102016-les-bons-secours-de-madame-tallien-2864173

Oh merci, merci, je n'y manquerai pas !  :n,,;::::!!! :n,,;::::!!!:
J'aime bien Teresa !  :;\':;\':;