Notre Jeu de l'Automne

le second

Armes d'Artois dans le quartier de dessous... Croix savoyarde dans celui du dessus... Armes d'alliance de la comtesse d'Artois ?

Vous avez bien identifier les armes d'Artois, avec sa bande crênelée. Mais il ne s'agit nullement d'une croix de Savoie, quoique de même couleur, et surtout des armes d'époux sont posé l'une à côté de l'autre, non l'une sur l'autre.

Les armes d'Angoulême, Grand Prieur du Temple (d'où la croix) ?

Lucius a écrit:surtout des armes d'époux sont posé l'une à côté de l'autre, non l'une sur l'autre.

Il se reproduiraient bien mieux si c'était le cas pourtant

Gouverneur Morris a écrit:Les armes d'Angoulême, Grand Prieur du Temple (d'où la croix) ?

Mais oui ! Ce chef aux armes du Christ était la brisure désignant les chevaliers de l'ordre. Je ne connais pas d'autre exemple de ces armes découvertes hier !

Gouverneur Morris a écrit:

Lucius a écrit:surtout des armes d'époux sont posé l'une à côté de l'autre, non l'une sur l'autre.

Il se reproduiraient bien mieux si c'était le cas pourtant

Oh le coquin !

Momo, sortez nous une énigme de votre chapeau !

Je relance le jeu, Momo se faisant beaucoup désirer :

- Quel point commun événementiel voyez vous entre Madame de Pompadour et Madame de Staël

Toutes mes excuses chers membres j’étais absent...

Prenez donc la main Dominique.

Dominique Poulin a écrit:Je relance le jeu, Momo se faisant beaucoup désirer    :

- Quel point commun événementiel voyez vous entre Madame de Pompadour et Madame de Staël

Leur présentation à la Cour ?

Mais oui, mais encore ?

Vous vous êtes incrusté dans mon cerveau Momo, vous devinez mes pensées.

Elles s’y sont faites remarquées toutes les deux par une
bourde, non ?

Il me semble que Mme de Stael glissa lors d’une contredanse.

Exactement, mon cher Momo !

Je donne des extraits de sources de biographies sur ces petits incidents de cour dans la journée.

A vous !

En complément d'information de la dernière énigme, voici deux sources qui font autorité au sujet de la présentation à la Cour de Mme  de Pompadour et de Mme de Staël, ponctuée " d'incidents " :

Dans son " Madame de Pompadour ", Evelyn Lever nous dit :
" ... Dans son émotion, Jeanne-Antoinette a laissé tomber son gant, que la princesse de Conti a vivement ramassé ( Incident sans importance qui sera chansonne ! ) ".
L'incident devant la présentation à la reine est très mineur, Mme de Pompadour se tire très bien des trois grandes révérences à reculons au moment de prendre congé.

- Ghislain de Diesbach dans son ouvrage " Madame de Staël " nous dit :

" Le grand jour venu, le 31 janvier 1786, Madame de Staël commence par arriver légèrement en retard, crime de lèse-majesté. En descendant précipitamment de son carrosse, elle accroche sa robe dont une des coutures craque. Présentée à la reine, elle exécute les trois révérences d'usage, mais à la troisième, au moment où elle s'incline davantage encore pour saisir le bas de la robe de Marie-Antoinette, et comme le veut l'étiquette, l'effleurer de ses lèvres, les garnitures de sa traîne lâchent à leur tour . Cet incident qui plonge la jeune femme dans l'embarras, tire Louis XVI de celui dans lequel le met d'ordinaire ce genre de cérémonie et le rend presque gracieux :
- Si vous ne vous trouvez pas à votre aise chez nous, vous ne le serez nulle part, lui dit-il en souriant. "

Concernant la favorite de Louis XV, je croyais que c'était un de ses bracelets qui s'était détaché, mais non, c'est le gant de la marquise qui a glissé.
Il en va autrement de Mme de Staël avec Marie-Antoinette qui nous dit Ghislain de Diesbach "  Prenant en pitié l'infortunée, la reine la conduit jusqu'à un boudoir ou une femme de chambre répare hâtivement les dégâts. "

Quelle épreuve cette présentation codifiée dans le moindre détail, autant dire une torture pour ces dames !!
.

C'est un rite de passage comme tant d'autre. Nos bisutages contemporains ne me semblent guère plus agréables.

Je me demande si les défaillances répétées de sa vêture ne serait pas dues à un travail lui aussi précipité. L'histoire éternelle de la robe qui arrive en retard ...

Lucius a écrit:Je me demande si les défaillances répétées de sa vêture ne serait pas dues à un travail lui aussi précipité. L'histoire éternelle de la robe qui arrive en retard ...

Je vois plutôt la jeune Necker comme étant tout simplement godiche

Lucius, si voulez bien prendre la main je suis très occupé cette semaine... Merci !

Gouverneur Morris a écrit:

Lucius a écrit:Je me demande si les défaillances répétées de sa vêture ne serait pas dues à un travail lui aussi précipité. L'histoire éternelle de la robe qui arrive en retard ...

Je vois plutôt la jeune Necker comme étant tout simplement godiche

Les deux ne sont pas incompatibles

Gouverneur Morris a écrit:Lucius, si voulez bien prendre la main je suis très occupé cette semaine... Merci !

Si je puis vous obliger ..... je cherche

Quel est le rapport entre ces deux bâtiments ?

Y a t-il un rapport avec un hôtel particulier parisien ? un siège gouvernemental actuel ?

non point

Si cela ne vous ennuie pas, je viens de trouver une bien plus intéressante énigme, je vous servirai celle-ci plus tard ?

Voici donc la nouvelle énigme :

En 1775 François Bertrand, muletier, ramène au Puy des porcs qu'il avait acquis à la foire de Brives la Gaillarde. En chemin il rencontre un nommé Chazelet. Une dispute commence, le ton monte, puis les coups, et finalement Chazelet se retrouve mort sur le chemin, percé d'un coup de couteau. Jugé et condamné à mort, le sieur Bertrand échappe néanmoins à l'échafaud, grâce à un vieux saint, un futur roi et un personnage bien connu de notre forum.

Qui sont-ils ? Je serai bien sûr large dans l'appréciation des détails.

Un futur roi en Europe ? Afrique ? Asie ? Amérique ? Océanie ?