Charles-Joseph, prince de Ligne
+8
Roi-cavalerie
Trianon
Gouverneur Morris
Lucius
Comte d'Hézècques
La nuit, la neige
Comtesse Diane
Mme de Sabran
12 participants
LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: La famille royale et les contemporains de Marie-Antoinette :: Autres contemporains : les hommes du XVIIIe siècle
Page 7 sur 10
Page 7 sur 10 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Vous êtes aussi beaux l'un que l'autre !!!
Merci, mon cher Félix .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Très chouette photo , Félix ! :n,,;::::!!!:
Bien à toi
Bien à toi
Invité- Invité
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Mince je l'ai raté alors que j'étais à Bruxelles il y a peu !
Invité- Invité
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
On ne réfléchit au passé et à l'avenir que pour gâter le présent.
( Mes écarts : Charles Joseph, prince de Ligne )
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Très sympa la photo... :\\\\\\\\:
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
On retrouve toujours un peu de grâce et le sourire auprès du prince de Ligne
Ah bon ? Vous avez ignoré toutes mes précieuses explications en mp !?
Reinette a écrit:Mince je l'ai raté alors que j'étais à Bruxelles il y a peu !
Ah bon ? Vous avez ignoré toutes mes précieuses explications en mp !?
_________________
« elle dominait de la tête toutes les dames de sa cour, comme un grand chêne, dans une forêt, s'élève au-dessus des arbres qui l'environnent. »
Comte d'Hézècques- Messages : 4390
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 44
Localisation : Pays-Bas autrichiens
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Non pas du tout ! Mais en fait, il,faisait tellement chaud à Bruxelles que nous avons écourté nos visites.
Invité- Invité
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Oui nous avons l'impression d'être au collège en lisant cet extrait ! Et le prince de Ligne avait vingt-deux ans de plus que le comte d'Artois ! :
Cela aurait pu mal finir...
Cela aurait pu mal finir...
Invité- Invité
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Merci, mon petit Lulu ! :n,,;::::!!!: J'adore absolument cet extrait . :\\\\\\\\:
Du reste l'avais-je posté à la Conciergerie .
Ligne est trop trop merveilleux !!!
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Mme de Sabran a écrit:
Ligne est trop trop merveilleux !!!
Marie-Antoinette et le comte d'Artois se l'arrachent ! Au sens propre ! :
Invité- Invité
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
On les comprend ! Moi aussi je me serais battue pour l'avoir !!! :n,,;::::!!!:
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Lucius a écrit:Quand même, quel ado cet Artois ! boudoi29 Un Prince du Sang qui course un des grands seigneurs de la Cour dans les cuisines et les remises pour le faire monter à cheval !!
Et en le tutoyant... c'est édifiant !
C'est sans doute une marque cordiale...mais cela m'étonne à chaque fois que je lis cet extrait...
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Pour moi, j'ai déjà constaté que le comte d'Artois tutoyait certains de ses proches. C'est le cas pour Vaudreuil comme on le remarque en lisant la Corrrespondance intime. Alors, cela l'a sans doute été pour le prince de Ligne qui appartenait à la société de la Reine. Je pense que, de la même façon, la reine tutoyait dans l'intimité la duchesse de Polignac. Il en allait de même pour la princesse Elisabeth qui tutoyait dans ses lettres la marquise de Bombelles et qui lui avait même donné un petit nom amusant. Il s'agit là d'un comportement naturel, me semble-t-il, car des relations de grande amitié s'étaient établies entre les uns et les autres ce qui n'excluaient pas les marques de respect de la part des personnes en question
. Amitiés. Roi-cavalerie
Roi-cavalerie- Messages : 551
Date d'inscription : 20/09/2014
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
J'ai remarqué comme vous ces tutoiements, mais ils ne sont pas réciproques . Angélique de Bombelles ne tutoie pas Mme Elisabeth, ni Vaudreuil Artois, ni sans doute Yolande Marie-Antoinette, ni même Ligne Artois .
La différence de rang met son holà.
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Tout à fait d'accord avec vous. Cela ne marche que, dans un seul sens, et là encore, cela me semble tout à fait normal. Il s'agissait d'une marque d'amitié qui ne pouvait qu'honorer ceux à qui elle était destinée. Il en irait sûrement autrement de nos jours ce qui serait une grave erreur, car le tutoiement réciproque crée une familiarité qui annihile les barrières d'où les dérives qui peuvent s'en suivre. L'éducation a bien changé et on le constate tous les jours.
Bien à vous. Roi-cavalerie
Bien à vous. Roi-cavalerie
Roi-cavalerie- Messages : 551
Date d'inscription : 20/09/2014
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
En revanche, le voussoiement n'empêche pas du tout l'amour et la tendresse .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Mon père traitait Dieu comme un pair auquel il reconnaissait tout juste quelques quartiers de plus que lui.
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Mme de Sabran a écrit:
Mon père traitait Dieu comme un pair auquel il reconnaissait tout juste quelques quartiers de plus que lui.
Alors, c'est que son papa était de bonne lignée !: ...
_________________
Comtesse Diane- Messages : 7397
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : TOURAINE
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Mme de Sabran a écrit:
Mon père traitait Dieu comme un pair auquel il reconnaissait tout juste quelques quartiers de plus que lui.
Le père du prince de Ligne fut la quintessence du XVIIème siècle.: Son fils incarnera quant à lui à la perfection le XVIIIème siècle.
Invité- Invité
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Mme de Sabran a écrit:
Mon père traitait Dieu comme un pair auquel il reconnaissait tout juste quelques quartiers de plus que lui.
Oh la la la !!!!! No comment.
Heureusement, je vous connais, chère Eléonore.
Trianon- Messages : 3305
Date d'inscription : 22/12/2013
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
Trianon a écrit:
Heureusement, je vous connais, chère Eléonore.
Je n'y suis pour rien, chère Trianon ! :
Je vous fais une citation .
Mais oui, vous savez comment il faut me prendre ! 3196910
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
PORTRAITS ET SOUVENIRS
JACQUES DE RICAUMONT
LE PRINCE DE LIGNE
Joseph II mourut en février 1790, à quarante-neuf ans, et Léopold II, qui lui succéda, nomma Ligne en 1792 grand bailli du Hainaut. Mais le temps des épreuves allait commencer pour lui. Ce fut d'abord la séparation de Charles et de sa femme, tombée follement amoureuse d'un comte Potocki. Puis l'hostilité à son égard du gouverneur des Pays-Bas, le duc de Saxe-Taschen, marié à une archiduchesse. Ensuite et surtout, car il ne devait jamais s'en consoler, la mort de Charles, tué dans une charge héroïque contre l'armée de Dumouriez. Enfin l'occupation par les Français de Beloeil qu'il dut quitter à soixante-sept ans et qu'il ne reverrait jamais plus. Dès lors il ne toucha plus les revenus de ses terres confisquées et, à Vienne, il vécut assez pauvrement, entouré d'une société exclusivement féminine, partageant son temps entre un modeste trois-pièces loué à un tailleur et les deux résidences d'été sur la montagne que jadis lui avait offertes Léopold II. Apprenant sa gêne, Catherine lui fit demander s'il ne revendrait pas ses domaines de Tauride — ce qu'il se hâta d'accepter. Il acheva dans sa retraite le 24e tome de ses Mémoires militaires, littéraires et sentimentaires dont il devait publier 34 volumes de 1795 à 1810, car il avait à cette époque l'ambition de vivre de sa plume.
.
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Charles-Joseph, prince de Ligne
« Jamais le talent de conversation du prince de Ligne n'apparaît plus à vif que dans ses lettres à la marquise de Coigny, dont l'ensemble constitue un véritable reportage sur le voyage-spectacle de Catherine II à travers la Russie en janvier 1787 (...) en direction de la Crimée.
La tsarine était accompagnée des ambassadeurs de France (Ségur), d'Autriche (Cobenzl) et d'Angleterre (Fitz-Herbert) et elle avait invité Ligne, à titre d'ami : l'esprit du prince devait servir la diplomatie de l'autocrate russe.
Le 18 mai, Joseph II incognito (étonnant, n'est-ce pas : ) rejoignit l'impératrice. Ligne fut de tiers dans leurs entretiens.
Ce fut le prélude à une guerre russo-turque (1787-1792), à laquelle Ligne participa sous l'uniforme russe : Catherine II lui avait donné des terres dans la région de Yalta. »
Source : Marc Fumaroli, Quand l'Europe parlait français, chap. 25, Charles-Joseph de Ligne : le dernier des hommes d'esprit, éditions de Fallois, 2001
Voici trois petits extraits des lettres écrites par Ligne à la marquise de Coigny :
« Quand je trouve des détachements de Circassiens beaux comme le jour, dont la taille, enfermée dans des corps, est plus serrée que celle de madame de Lauzun ; quand je rencontre ici des Mourzas mieux mis que la petite Choiseul aux bals de la reine, des officiers cosaques avec plus de goût que mademoiselle Bertin pour se draper, et des couleurs dans les meubles et les vêtements aussi harmonieuses que celles que risque madame Lebrun dans ses tableaux, je suis d'un étonnement à n'en plus revenir. »
« L'impératrice nous avait dit un jour, dans sa galère : « Comment fait-on des vers ? Écrivez-moi cela, monsieur le comte de Ségur. »
Il en écrivit les règles avec des exemples charmants. Et la voilà qui travaille. Et elle en fait six, avec tant de fautes que cela nous fit beaucoup rire tous les trois.
Elle me dit : « Pour vous apprendre à vous moquer de moi, faites-en tout de suite ; je n'en essayerai plus ; m'en voilà dégoûtée pour la vie. »
- « C'est bien fait ! dit Fitzherbert ; vous auriez dû vous en tenir aux deux que vous avez faits sur le tombeau d'une de vos chiennes :
Ci-gît la duchesse Anderson
Qui mordit Monsieur Rogerson.
On me donna des bouts-rimés, avec l'ordre de les expédier bien vite ; et voici comme je les remplis, en m'adressant à elle :
A la règle des vers, aux lois de l'harmonie
Abaissez, soumettez la force du génie.
En vain fait-il trembler les voisins de l’État
En vain à votre empire il donne de l'éclat
Pour rimer, suspendez un moment votre gloire.
C'est un nouveau chemin au temple de mémoire.
Cela lui revint dans la tête à Barczisarai. - « Ah ! Messieurs, nous dit-elle, je m'en vais chez moi ; et vous verrez. »
Voici ce qu'elle nous rapporta. Elle ne put pas aller plus loin :
Sur un sopha du Khan, sur des coussins bourrés,
Dans un kiosque d'or, de grilles entourés...
Vous vous doutez bien que nous l'avons accablée de reproches de n'avoir pas pu sortir de là, après quatre heures de réflexion et un si beau commencement. » :
Et puis :
« Ce pays-ci est assurément un pays de roman, mais qui n'est ni romanesque ni romancier, car on ne peut pas trouver une seule femme pour en avoir avec elle. Celles d'ici sont enfermées par ces vilains mahométans, qui ne connaissent pas la chanson de Ségur sur le bonheur d'être trompé par la sienne. ( )
La duchesse de Luxembourg me ferait tourner la tête si elle était à Achmeczet ; et je ferais une chanson pour la maréchale de Mouchy, si elle habitait Balaklava.
Il n'y a que vous, chère marquise, qu'on puisse adorer au milieu de Paris ; adorer est le mot, car on n'y a pas le temps d'aimer.
Il y a ici plusieurs sectes de dervis, plus plaisantes les unes que les autres, les Tourneurs et les Hurleurs.
Ce sont des jansénistes plus fous encore que les anciens convulsionnaires. Ils crient Allah, jusqu'à ce qu'épuisés de forces, ils tombent à terre, dans l'espérance de ne s'en relever que pour entrer dans le ciel. » :
La tsarine était accompagnée des ambassadeurs de France (Ségur), d'Autriche (Cobenzl) et d'Angleterre (Fitz-Herbert) et elle avait invité Ligne, à titre d'ami : l'esprit du prince devait servir la diplomatie de l'autocrate russe.
Le 18 mai, Joseph II incognito (étonnant, n'est-ce pas : ) rejoignit l'impératrice. Ligne fut de tiers dans leurs entretiens.
Ce fut le prélude à une guerre russo-turque (1787-1792), à laquelle Ligne participa sous l'uniforme russe : Catherine II lui avait donné des terres dans la région de Yalta. »
Source : Marc Fumaroli, Quand l'Europe parlait français, chap. 25, Charles-Joseph de Ligne : le dernier des hommes d'esprit, éditions de Fallois, 2001
Voici trois petits extraits des lettres écrites par Ligne à la marquise de Coigny :
« Quand je trouve des détachements de Circassiens beaux comme le jour, dont la taille, enfermée dans des corps, est plus serrée que celle de madame de Lauzun ; quand je rencontre ici des Mourzas mieux mis que la petite Choiseul aux bals de la reine, des officiers cosaques avec plus de goût que mademoiselle Bertin pour se draper, et des couleurs dans les meubles et les vêtements aussi harmonieuses que celles que risque madame Lebrun dans ses tableaux, je suis d'un étonnement à n'en plus revenir. »
« L'impératrice nous avait dit un jour, dans sa galère : « Comment fait-on des vers ? Écrivez-moi cela, monsieur le comte de Ségur. »
Il en écrivit les règles avec des exemples charmants. Et la voilà qui travaille. Et elle en fait six, avec tant de fautes que cela nous fit beaucoup rire tous les trois.
Elle me dit : « Pour vous apprendre à vous moquer de moi, faites-en tout de suite ; je n'en essayerai plus ; m'en voilà dégoûtée pour la vie. »
- « C'est bien fait ! dit Fitzherbert ; vous auriez dû vous en tenir aux deux que vous avez faits sur le tombeau d'une de vos chiennes :
Ci-gît la duchesse Anderson
Qui mordit Monsieur Rogerson.
On me donna des bouts-rimés, avec l'ordre de les expédier bien vite ; et voici comme je les remplis, en m'adressant à elle :
A la règle des vers, aux lois de l'harmonie
Abaissez, soumettez la force du génie.
En vain fait-il trembler les voisins de l’État
En vain à votre empire il donne de l'éclat
Pour rimer, suspendez un moment votre gloire.
C'est un nouveau chemin au temple de mémoire.
Cela lui revint dans la tête à Barczisarai. - « Ah ! Messieurs, nous dit-elle, je m'en vais chez moi ; et vous verrez. »
Voici ce qu'elle nous rapporta. Elle ne put pas aller plus loin :
Sur un sopha du Khan, sur des coussins bourrés,
Dans un kiosque d'or, de grilles entourés...
Vous vous doutez bien que nous l'avons accablée de reproches de n'avoir pas pu sortir de là, après quatre heures de réflexion et un si beau commencement. » :
Et puis :
« Ce pays-ci est assurément un pays de roman, mais qui n'est ni romanesque ni romancier, car on ne peut pas trouver une seule femme pour en avoir avec elle. Celles d'ici sont enfermées par ces vilains mahométans, qui ne connaissent pas la chanson de Ségur sur le bonheur d'être trompé par la sienne. ( )
La duchesse de Luxembourg me ferait tourner la tête si elle était à Achmeczet ; et je ferais une chanson pour la maréchale de Mouchy, si elle habitait Balaklava.
Il n'y a que vous, chère marquise, qu'on puisse adorer au milieu de Paris ; adorer est le mot, car on n'y a pas le temps d'aimer.
Il y a ici plusieurs sectes de dervis, plus plaisantes les unes que les autres, les Tourneurs et les Hurleurs.
Ce sont des jansénistes plus fous encore que les anciens convulsionnaires. Ils crient Allah, jusqu'à ce qu'épuisés de forces, ils tombent à terre, dans l'espérance de ne s'en relever que pour entrer dans le ciel. » :
Dernière édition par Comte d'Hézècques le Jeu 23 Avr 2015, 22:33, édité 1 fois
_________________
« elle dominait de la tête toutes les dames de sa cour, comme un grand chêne, dans une forêt, s'élève au-dessus des arbres qui l'environnent. »
Comte d'Hézècques- Messages : 4390
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 44
Localisation : Pays-Bas autrichiens
Page 7 sur 10 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10
Sujets similaires
» Antoine Joseph Ghislain de Ligne (1682-1750)
» Charles Joseph Patissier de Bussy- Castelnau
» Le dernier portrait de Louis XVI (par Joseph Ducreux) et / ou celui de Charles Edward Stuart (d'après Hugh Douglas Hamilton)
» Portraits du dauphin Louis-Joseph ou de Louis-Charles, dit Louis XVII ?
» Philipp Joseph (Philippe-Joseph) Hinner, compositeur musicien et maître de harpe de Marie-Antoinette
» Charles Joseph Patissier de Bussy- Castelnau
» Le dernier portrait de Louis XVI (par Joseph Ducreux) et / ou celui de Charles Edward Stuart (d'après Hugh Douglas Hamilton)
» Portraits du dauphin Louis-Joseph ou de Louis-Charles, dit Louis XVII ?
» Philipp Joseph (Philippe-Joseph) Hinner, compositeur musicien et maître de harpe de Marie-Antoinette
LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: La famille royale et les contemporains de Marie-Antoinette :: Autres contemporains : les hommes du XVIIIe siècle
Page 7 sur 10
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum