Les contes traditionnels de notre enfance
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Re: Les contes traditionnels de notre enfance
Je connaissais à peine le " scénario " des célèbres contes de notre enfance mais pas du tout leur histoire, composée de très nombreuses variantes, dont la transmission était essentiellement orale !
Ainsi, Charles Perrault (1628 - 1703) a collecté et retranscrit, à l'usage de la cour, ces contes populaires.
Charles Perrault
Philippe Lallemand, d'après Charles Le Brun
Huile sur toile, 1672
Morceau de réception à l'Académie royale de Peinure et de Sculpture, 11 juin 1672, peint d'après une effigie de Le Brun gravée par Etienne Baudet
Image : RMN-GP (Château de Versailles)
On lui doit, notamment, la transcription écrite de Peau d'âne (1694) ou La belle au bois dormant (1696).
Dès 1697, au sein d'un volume intitulé Histoires ou Contes du temps passé, nous retrouverons : Le Petit Chaperon rouge ; La Barbe bleue ; Les Fées ; Le Maître chat ou le Chat botté ; Cendrillon ou la petite pantoufle de verre ; Riquet à la houppe ou encore Le petit Poucet.
Après lui, ces contes seront encore repris et modifiés, notamment par les frères Jacob et Wilhelm Grimm ou, plus près de nous, par la firme Walt Disney.
Wilhelm Grimm, assis (1786 - 1859) et Jacob Grimm, debout (1785 - 1863).
Daguerréotype d'Hermann Blow (1847)
Image : Commons Wikimedia
Bref ! Je vous recommande l'écoute de ces émissions consacrées à quelques-uns de ces célèbres contes.
Histoire et interprétations surprenantes !! Bien loin des gentils dessins-animés Disney...
Ainsi de Cendrillon, dont la pantoufle était bien de verre (première version de Perrault en 1697), qui deviendra de vair sous la plume Balzac.
Et dont l'origine pourrait bien remonter au 8e siècle, en Chine, où est attestée une première version imprimée ! On pense bien sûr aux anciennes traditions des " petits pieds " bandés...
Notre sujet : L'impératrice Cixi
La planète des contes : Cendrillon
Cendrillous, Cendrillon, Cendrier... la jeune fille se retranche au plus intime du foyer, là où s'accumulent les cendres. Cendres qui, ensuite, chemineront jusqu'au lavoir, là où les femmes armées de leurs battoirs déplient les draps et, le verbe haut, commentent ce qu'elles y devinent des secrets domestiques.
Durée env. 26 minutes : La planète des contes - Cendrillon (France Inter)
La planète des contes : Le petit chaperon rouge
On aurait tort de prendre Charles Perrault trop au sérieux. En fait, c'est lui qui, éditant ses Contes à l'usage de la Cour, ne prend pas assez au sérieux les innombrables versions qui l'ont précédé.
Durée env. 28 mn : La planète des contes - Le petit chaperon rouge (France Inter)
La planète des contes : Le petit Poucet
Quand l'adulte revient aux contes de son enfance, qu'il les lise pour lui-même ou qu'il les transmette à son tour, c'est comme s'il retrouvait un noyau obscur que, dans son jeune âge, les contes avaient atteint et qui, la maturité venant, demeure sensible.
Durée environ 28 mn : La planète des contes - Le petit Poucet
La planète des contes - Barbe Bleue
Il est des contes qui viennent combler un vide du monde, jamais le même car les jours changent. Barbe Bleue est plutôt un conte cumulatif, puisque, régulièrement, le monde réel fait apparaître un homme monstrueux.
Durée environ 28 mn : La planète des contes - Barbe bleue (France Inter)
La planète des contes : De l'homme et de la femme, qui l'emporte ?
Le conte est réponse. Dans une soirée de contes, (il en y a encore dans certaines maisons, certaines longues nuits d’hiver) l'un dit : "Il y avait" ...et l'autre enchaîne : "Il était une fois » et ainsi de suite...
Durée environ 28 mn : La planète des contes - De l'homme et de la femme, qui l'emporte ? (France Inter)
Ainsi, Charles Perrault (1628 - 1703) a collecté et retranscrit, à l'usage de la cour, ces contes populaires.
Charles Perrault
Philippe Lallemand, d'après Charles Le Brun
Huile sur toile, 1672
Morceau de réception à l'Académie royale de Peinure et de Sculpture, 11 juin 1672, peint d'après une effigie de Le Brun gravée par Etienne Baudet
Image : RMN-GP (Château de Versailles)
On lui doit, notamment, la transcription écrite de Peau d'âne (1694) ou La belle au bois dormant (1696).
Dès 1697, au sein d'un volume intitulé Histoires ou Contes du temps passé, nous retrouverons : Le Petit Chaperon rouge ; La Barbe bleue ; Les Fées ; Le Maître chat ou le Chat botté ; Cendrillon ou la petite pantoufle de verre ; Riquet à la houppe ou encore Le petit Poucet.
Après lui, ces contes seront encore repris et modifiés, notamment par les frères Jacob et Wilhelm Grimm ou, plus près de nous, par la firme Walt Disney.
Wilhelm Grimm, assis (1786 - 1859) et Jacob Grimm, debout (1785 - 1863).
Daguerréotype d'Hermann Blow (1847)
Image : Commons Wikimedia
Bref ! Je vous recommande l'écoute de ces émissions consacrées à quelques-uns de ces célèbres contes.
Histoire et interprétations surprenantes !! Bien loin des gentils dessins-animés Disney...
Ainsi de Cendrillon, dont la pantoufle était bien de verre (première version de Perrault en 1697), qui deviendra de vair sous la plume Balzac.
Et dont l'origine pourrait bien remonter au 8e siècle, en Chine, où est attestée une première version imprimée ! On pense bien sûr aux anciennes traditions des " petits pieds " bandés...
Notre sujet : L'impératrice Cixi
La planète des contes : Cendrillon
Cendrillous, Cendrillon, Cendrier... la jeune fille se retranche au plus intime du foyer, là où s'accumulent les cendres. Cendres qui, ensuite, chemineront jusqu'au lavoir, là où les femmes armées de leurs battoirs déplient les draps et, le verbe haut, commentent ce qu'elles y devinent des secrets domestiques.
Durée env. 26 minutes : La planète des contes - Cendrillon (France Inter)
La planète des contes : Le petit chaperon rouge
On aurait tort de prendre Charles Perrault trop au sérieux. En fait, c'est lui qui, éditant ses Contes à l'usage de la Cour, ne prend pas assez au sérieux les innombrables versions qui l'ont précédé.
Durée env. 28 mn : La planète des contes - Le petit chaperon rouge (France Inter)
La planète des contes : Le petit Poucet
Quand l'adulte revient aux contes de son enfance, qu'il les lise pour lui-même ou qu'il les transmette à son tour, c'est comme s'il retrouvait un noyau obscur que, dans son jeune âge, les contes avaient atteint et qui, la maturité venant, demeure sensible.
Durée environ 28 mn : La planète des contes - Le petit Poucet
La planète des contes - Barbe Bleue
Il est des contes qui viennent combler un vide du monde, jamais le même car les jours changent. Barbe Bleue est plutôt un conte cumulatif, puisque, régulièrement, le monde réel fait apparaître un homme monstrueux.
Durée environ 28 mn : La planète des contes - Barbe bleue (France Inter)
La planète des contes : De l'homme et de la femme, qui l'emporte ?
Le conte est réponse. Dans une soirée de contes, (il en y a encore dans certaines maisons, certaines longues nuits d’hiver) l'un dit : "Il y avait" ...et l'autre enchaîne : "Il était une fois » et ainsi de suite...
Durée environ 28 mn : La planète des contes - De l'homme et de la femme, qui l'emporte ? (France Inter)
La nuit, la neige- Messages : 18209
Date d'inscription : 21/12/2013
Les contes traditionnels de notre enfance
La nuit, la neige a écrit:
Je vous recommande l'écoute de ces émissions consacrées à quelques-uns de ces célèbres contes.
Histoire et interprétations surprenantes !! Bien loin des gentils dessins-animés Disney...
Merci, cher la nuit, la neige. Cette passionnante problématique sur les contes pour enfants vaudrait bien l'ouverture d'un sujet, me semble-t-il . Impossible de ne pas faire le rapprochement avec, en écho, la cruauté cachée des comptines que nous avons tous chantées la bouche en coeur sans en comprendre le sens.
Notre sujet :
https://marie-antoinette.forumactif.org/t3909-hot-ou-gore-ces-comptines-de-notre-enfance?highlight=comptines
C'est curieux, cette façon de raconter des histoires horribles aux petits, juste avant d'éteindre la lumière. Frayeurs nocturnes, cauchemars les empêchent de s'endormir ou les réveillent en sursaut et les nuits sont, pour les parents aussi, un vrai calvaire !
Guillemine Chaudoye, Dominique Cupa et Maud Marcovici signent un article tout à fait intéressant :
Cruauté et transmission de vie. Les contes de fées de Charles Perrault et des Frères Grimm
Il y est question, entre autres du travail de Freud sur le concept de cruauté par rapport à l'enfant, du stade de " la pré-inquiétude "(Winnicott, 1969), d'une pulsion de " destructivité originaire " (Cupa, 2007) et sa dimension " désobjectalisante " (Green, 1993)
LA CRUAUTÉ ( serait une ) NÉCESSITÉ CONSTITUANTE ( hum ... )
Les contes de fées marquent donc l’enfant, même devenu adulte notamment par la violence qui y est décrite, la fureur et la cruauté sans frein et sans limite de certains personnages. Ils font ainsi écho aux préoccupations de l’enfant, à ses interrogations et à sa curiosité. Ils décrivent le cheminement psychosexuel infantile au cours duquel la cruauté a une place nécessaire et fondatrice. Ils « s’adressent à nous dans un langage symbolique qui traduit un matériel inconscient […] qu’ils font appel simultanément à notre esprit conscient et inconscient sous ses trois aspects : le ça, le moi et le surmoi, et également aux besoins d’idéaux de notre moi. » (Bettelheim, 1976).
https://www.cairn.info/revue-topique-2011-3-page-179.htm
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55807
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les contes traditionnels de notre enfance
La nuit, la neige a écrit:
Je connaissais à peine le " scénario " des célèbres contes de notre enfance mais pas du tout leur histoire, composée de très nombreuses variantes, dont la transmission était essentiellement orale !
De très nombreuses variantes, en effet ! Ainsi le joli conte, si terrifiant, de la Belle et le Bête inspira la comédie-ballet Zémire et Azor (1771)
Le conte de La Belle et la Bête, publié par Mme Leprince de Beaumont en 1757 dans le Magasin des enfants, inspire le librettiste Jean-François Marmontel et le compositeur André-Ernest-Modeste Grétry (1741-1813) pour écrire Zémire et Azor, comédie-ballet mêlée de chants et de danses.
L’œuvre, dédicacée à la comtesse du Barry, est créée devant la cour à Fontainebleau, le 9 novembre 1771, puis jouée à la Comédie-Italienne à Paris. Marmontel transpose l’intrigue dans un univers persan, où le prince Azor, victime d’une fée vengeresse, est transformé en bête, et se voit délivré du sortilège par l’amour de Zémire, fille du marchand Sander venue prendre la place de son père, en captivité.
Comédie-ballet, l’œuvre appartient également au genre de l’opéra-comique, où les scènes chantées alternent avec des dialogues parlés. Sur scène se côtoient les protagonistes, rôles sérieux, et les seconds rôles plus bouffons comme le serviteur Ali. L’œuvre connut un succès immense, tant en France qu’à l’étranger, et fut abondamment reprise et éditée tout au long du XVIIIe siècle.
L'une des versions les plus anciennes de ce conte, nous dit WIKI, est sans doute celle d'Apulée, Amour et Psyché qui date du IIème siècle. En 1550, Francesco Straparola en donna une version qu'il avait tirée du folklore italien et qu'il publia dans ses Nuits facétieuses.
Il apparut pour la première fois en France sous la plume de Gabrielle-Suzanne de Villeneuve, en 1740, mais ne connut véritablement la célébrité que repris par Marie Le prince de Beaumont dans son manuel d'éducation Le Magasin des enfants en 1756.
Ah, ça par exemple !!! Certains auteurs et experts ont suggéré que l'histoire de la Belle et la Bête serait celle en fait de Pedro Gonzales. Né au XVIème siècle sur l'île de Tenerife, cet homme souffrait d'hypertrichose, c'est à dire une croissance anormale des cheveux sur le visage et tout le corps. ( Tiens ! je croyais que c'était l'hirsutisme ? ) Or donc, à Paris, Gonzales aurait été placé sous la protection du roi et marié à une jolie femme.
« Ce conte apprend aux enfants à distinguer la laideur morale de la laideur physique, à favoriser le rayonnement d’une intelligence, d’un cœur, d’une âme que rend timide un extérieur ingrat. […] Les deux sœurs de la Belle ont épousé deux gentilshommes dont l’un symbolise la beauté et l’autre l’intelligence ; ce n’est pas là le vrai fondement d’un amour solide, mais la bonté. Ainsi la Belle ne peut se défendre d’aimer la Bête à cause des attentions inlassables dont celle-ci l’entoure. Le don de soi est justifié par l’estime des bonnes qualités de la personne à laquelle on veut unir sa vie ; ainsi les jeunes filles apprennent l’usage du véritable amour. La Belle, voyant à quelle extrémité elle réduit par ses refus la pauvre Bête, passe sous l’impulsion de la compassion unie à l’estime, de l’amitié à l’amour. Des sentiments purs, estime, délicatesse, élégance morale, reconnaissance en sont les motifs. On trouve ici la justification des mariages fréquents à cette époque, entre hommes mûrs, souvent veufs, et filles très jeunes. Il ne restait à ces maris âgés qu’à entourer leur jeune épouse de tous les égards, et aux jeunes femmes à respecter la situation mondaine et la valeur des quadragénaires. »
( Marie-Antoinette Reynaud, Madame Leprince de Beaumont, vie et œuvre d'une éducatrice (1971).
Et WIKI de nous donner une quantité époustouflante d'adaptations modernes qui témoignent de l'extraordinaire vogue toujours de ce conte :
- cinématographiques
- musicales
- télévisuelles
- théâtrales
- chorégraphiques
- littéraires
- internet
- B.D.
Faites votre choix !
Pour moi, il n'y a que Cocteau ...
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Mme de Sabran- Messages : 55807
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les contes traditionnels de notre enfance
J'entendais il y a deux jours dans le magazine d'ARTE, 28 minutes, que la cancel culture a encore frappé.
La voilà maintenant qui s'attaque « au baiser non consenti » et donc « subi » par Blanche-Neige.
Va-t-on assister à la création du hashtag « Balance ton prince » ? Deux journalistes californiennes, « choquées » par l'attraction dédiée à l'adaptation du film à Disneyland, proposent de réécrire le conte de fées des frères Grimm.
Par Le Figaro et Bertrand Guyard
Après les relectures anachroniques des pièces du dramaturge grec Eschyle, après le déboulonnage des statues de Churchill et de Colbert, après la dégradation de la petite Sirène de Copenhague, aurions-nous touché le fond ? C'est au tour de Blanche-Neige, conte mythologique des frères Grimm revisité en conte de fées au XXe siècle par Walt Disney, de se voir clouer au pilori par les disciples d'une cancel culture, mâtinée ici du plus intransigeant néoféminisme.
Deux journalistes du SF Gate, la version numérique de l'important journal californien San Francisco Chronicle, ont cru déceler dans l'histoire de cette malheureuse princesse victime de la jalousie assassine d'une méchante reine, « un problème majeur ». Dans la scène finale, le geste d'amour salvateur que lui donne le prince charmant ne serait pas autre chose, selon elles, qu'un vulgaire « baiser non consenti » et donc subi par l'héroïne, baiser administré (de force, donc) par ce prince qui, décidément, utilisait bien des manières de macho pour arriver à ses fins non avouables.
https://www.lefigaro.fr/cinema/la-cancel-culture-s-attaque-au-baiser-non-consenti-et-donc-subi-par-blanche-neige-20210505
Hé Ho !!! Il faudrait signaler à ces deux dames de monter au créneau aussi pour la Belle Au Bois Dormant qui, comme Blanche-Neige, dort du sommeil du juste quand nous voyons, horrifiés, un prédateur sexuel fondre sur elle !
La voilà maintenant qui s'attaque « au baiser non consenti » et donc « subi » par Blanche-Neige.
Va-t-on assister à la création du hashtag « Balance ton prince » ? Deux journalistes californiennes, « choquées » par l'attraction dédiée à l'adaptation du film à Disneyland, proposent de réécrire le conte de fées des frères Grimm.
Par Le Figaro et Bertrand Guyard
Après les relectures anachroniques des pièces du dramaturge grec Eschyle, après le déboulonnage des statues de Churchill et de Colbert, après la dégradation de la petite Sirène de Copenhague, aurions-nous touché le fond ? C'est au tour de Blanche-Neige, conte mythologique des frères Grimm revisité en conte de fées au XXe siècle par Walt Disney, de se voir clouer au pilori par les disciples d'une cancel culture, mâtinée ici du plus intransigeant néoféminisme.
Deux journalistes du SF Gate, la version numérique de l'important journal californien San Francisco Chronicle, ont cru déceler dans l'histoire de cette malheureuse princesse victime de la jalousie assassine d'une méchante reine, « un problème majeur ». Dans la scène finale, le geste d'amour salvateur que lui donne le prince charmant ne serait pas autre chose, selon elles, qu'un vulgaire « baiser non consenti » et donc subi par l'héroïne, baiser administré (de force, donc) par ce prince qui, décidément, utilisait bien des manières de macho pour arriver à ses fins non avouables.
https://www.lefigaro.fr/cinema/la-cancel-culture-s-attaque-au-baiser-non-consenti-et-donc-subi-par-blanche-neige-20210505
Hé Ho !!! Il faudrait signaler à ces deux dames de monter au créneau aussi pour la Belle Au Bois Dormant qui, comme Blanche-Neige, dort du sommeil du juste quand nous voyons, horrifiés, un prédateur sexuel fondre sur elle !
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Mme de Sabran- Messages : 55807
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les contes traditionnels de notre enfance
Oui je suis comme toi, je ne reconnais plus ce monde qui change si vite. l absurdité frise parfois l imbécilité. Changer le titre d un roman plus que célèbre d Agasta Christie, ou d’une pâtisserie qui devient meringue au chocolat.
_________________
Un verre d'eau pour la Reine.
Mr de Talaru- Messages : 3199
Date d'inscription : 02/01/2014
Age : 66
Localisation : près des Cordeliers...
Mme de Sabran- Messages : 55807
Date d'inscription : 21/12/2013
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