Notre Jeu de l'Hiver !

le premier comte de Paris ?

le comte Gurowski, ami du marquis de Custine ?

Y a-t-il un rapport avec la mère d'Isabelle II, qui a fait un deuxième mariage d'où enfants du deuxième lit , ou est-ce un des enfants de la reine Isabelle II ?

Y a t-il deux hommes amoureux l'un de l'autre ?

Je dis cela car le mari de la reine Isabelle, François d'Assise, roi consort, était au su de tous homosexuel.

Lucius a écrit:le comte Gurowski, ami du marquis de Custine ?

Oui, bravo

Gurowski : proscrit en Pologne ayant trouvé refuge en France

Custine: aristocrate français victime de ses moeurs socratiques (dragué par un soldat, il était tombé dans un guet-à-pens; il fut retouvé battu et nu dans Paris...), et au ban de la société. Eléonore nous en parle presque aussi souvent que de son Bombelles

C'est pour se faire oublier et aussi obtenir la réhabilitation de son protégé que Custine se rendit en Russie, publiant à son retour la fameuse narration que l'on connaît.

Gurowski finira par séduire une nièce de la reine Isabelle, puis par l'épouser - forçant la souveraine à lui attribuer un titre de duc et la grandesse.

A vous la main Lucius !!!

@ Eleonore : bonjour le sens de la famille ma chère

Gaaasp, mon Astolphe !  
Bien sûr que je le savais ...  mais j'ai des invités, je suis au four et au moulin   
pas le temps de réfléchir !  Will you pardon me ? 

Mme de Sabran a écrit:Gaaasp, mon Astolphe !  
Bien sûr que je le savais ...  mais j'ai des invités, je suis au four et au moulin   
pas le temps de réfléchir !  Will you pardon me ? 

En attendant que le jeu soit relancé Eléonore, nous attendons plus de détails sur la mésaventure de ton pauvre Astolphe avec ce soldat !

Je le raconte ici, mon cher Momo :
https://marie-antoinette.forumactif.org/t1666p25-delphine-de-sabran-marquise-de-custine?highlight=custine

Delphine de Sabran, marquise de Custine

 par Mme de Sabran le Dim 19 Juil - 14:52

;

L'affaire Custine ou l'homophilie au temps des romantiques
par René Soral

Publié le 8 Janvier 2015 par Jean-Yves Alt
Catégories : #REVUE ARCADIE


Mais je tâcherai de te trouver plus de détails.  

Peu de temps après survient un événement qui allait briser la vie d'Astolphe et empoisonner les dernières années de sa mère ; on en trouve le récit dans une lettre de M. de Varnhagen d'Ense :


« Un accident terrible, dit M. de Varnhagen, vint mettre en émoi tout Paris ; on trouvait un beau matin, dans les environs de cette ville, un jeune homme gisant dans les champs sans connaissance, dépouillé de tous vêtements et meurtri en différentes parties du corps; ce jeune homme n'était autre que Custine qui paraissait avoir été la victime d'un crime. On ne le désignait pas hautement, mais on prononçait son nom en cachette, et la calomnie se complaisait par chuchotements qui devaient nuire à la réputation d'un homme qui comptait des adversaires aussi bien dans les rangs du monde libéral que dans ceux de l'aristocratie; indigné d'une pareille méchanceté, il se retira quelque temps du grand monde, s'adonnant d'une manière plus sérieuse à la littérature, et il entreprit différents voyages ».


Ce qu'il y a de certain, dit M. Chedieu de Robethon, auquel nous empruntons ces détails, c'est qu'il s'agissait d'une de ces affaires inavouables qui laissent un stigmate ineffaçable dans la vie d'un homme. Custine fut victime d'un honteux rendez-vous, qu'il avait provoqué de lui-même et qu'on n'avait accepté que pour lui infliger un châtiment exemplaire. Exact à ce rendez-vous, Custine y trouva cinq ou six adversaires; maltraité, battu, laissé nu au milieu des champs, il rentra dans Paris sous le manteau d'un cocher de fiacre, et n'eut rien de plus pressé que de porter plainte. C'est par cette imprudente démarche que le scandale éclata publiquement. Une enquête fut commencée, elle établit d'autant plus vite la vérité des faits, que les agresseurs appartenant à un corps d'élite de l'armée, se déclarèrent eux-mêmes. Ils ne furent pas poursuivis (i). »


Mme de Custine, désespérée, se retira à Fervaques, pendant que son fils voyageait ; elle emmenait avec elle le petit Enguerrand qui était tout ce qui lui restait à aimer en ce monde.


(i) Koreff a affirmé maintes fois qu'Astolphe était complètement irresponsable. Voir Chateaubriand, interprétation médico-psychologique, par le D' Evariste Michel.

CHAPITRE XXXVI 
1826

Oh un grand merci ma chère Eléonore !!!!

Bon, pour nous occuper jusqu'au Réveillon en attendant Lucius (qui doit jouer les Apicius en ce moment ) :



Où suis-je ?  

Gouverneur Morris a écrit:Oh un grand merci ma chère Eléonore !!!!

But mais de rien, de rien, c'est un plaisir ! 

Gouverneur Morris a écrit:

Où suis-je ?  

Trianon, le Temple de l'Amour ?!  

Tu brûles !!!!

Alors c'est bien le Temple de l'Amour de Trianon ?
Tu le survoles en montgolfière ! 

Je te vois d'ici :  
Bon app' , mon grand !

Effectivement :

Mais tu brûles ! Si ce n'est le Temple de l'Amour vu de dessus, c'est...

...  du dessous ? 

Non

Une vue de haut du petit théâtre de la Reine ?

Vous vous éloignez tout en brûlant toujours !

Le phare du hameau ?

En effet, j'ai des gâteaux au four ...

Ah oui le phare du hameau c'est bien vu

Oui, la tour de Marlborough !!!

Bravo Apilucius ( ) et bon réveillon à tous !

Apilucius, c'est joli, et ça fonctionne aussi en anglais !

Par chance je suis tombé sur quelque chose. Ca vient !

Qui pouvait bien décorer l'en-tête d'un de ses documents de ce galant bandeau ?