Notre Jeu de l'automne !

Il est fort, notre Dominique !

Voici :

Cette femme du XVIIIe siècle, issue du peuple, s'illustra sous la Révolution et l'Empire, par une guérilla contre-révolutionnaire fanatique, ennemie jurée de tous ceux qui s'étaient compromis avec les idées nouvelles.
Elle passa plusieurs années en prison, mais vit le retour des Bourbons en 1814 qui la recompenserent de son zèle inaltérable.

Qui est cette femme 

Dominique Poulin a écrit:Voici :

Cette femme du XVIIIe siècle, issue du peuple, s'illustra sous la Révolution et l'Empire, par une guérilla contre-révolutionnaire fanatique, ennemie jurée de tous ceux qui s'étaient compromis avec les idées nouvelles.
Elle passa plusieurs années en prison, mais vit le retour des Bourbons en 1814 qui la recompenserent de son zèle inaltérable.

Qui est cette femme 

Renée Bordereau

OUIIII ! 

Connaissiez vous déjà cette femme, Eddy, et comment avez vous organisé votre recherche ?
Pour ma part, je suis tombé sur cette femme incorruptible un peu par hasard ces derniers jours sur le Net. Elle m'était totalement inconnue.

Dominique Poulin a écrit:OUIIII ! 

Connaissiez vous déjà cette femme, Eddy, et comment avez vous organisé votre recherche ?
Pour ma part, je suis tombé sur cette femme incorruptible un peu par hasard ces derniers jours sur le Net. Elle m'était totalement inconnue.

Merci Dominique.

Pour être honnête, non ! Je pensais à quelqu'un d'autre, mais c'était une fausse piste ! J'ai pensé qu'elle devait être une figure des guerres vendéennes et je suis parti de là...vous aviez précisé beaucoup de détails sur sa vie, ce fût plus facile ainsi !


Puisque j'ai de nouveau la main, continuons donc la recherche de nos actrices/héroïnes historiques ou romanesques !

Double énigme donc : une plus facile que l'autre !

J'étais l'une des plus belles, aimée du monde entier ! Dans le passé, je fus aussi bien Joséphine de Beauharnais que Lucrèce Borgia !

J'étais comme un oiseau qui vivait caché ! Dans le passé, je fus aussi bien Ann Boleyn que Joséphine de Beauharnais !

Martine Carol, la première ?

Eddy2000 a écrit: comme un oiseau qui vivait caché !

Merle Oberon !

Oui, vous êtes trop forte ! Evidemment, Martine Carol pour la première et bien sûr Merle Oberon pour la deuxième !

Mais au fait pourquoi "comme un oiseau qui vivait caché" ?

La réponse ICI :

Merle Oberon, née Merle O'Brien Thompson le 19 février 1911 à Bombay et morte le 23 novembre 1979 à Malibu, est une actrice britannique d'origine galloise et indienne. Elle est nommée en 1935 pour l'oscar de la meilleure actrice pour son rôle dans L'Ange des ténèbres de Sidney Franklin. a écrit:

Merle O'Brien Thompson est née à Bombay (aujourd’hui Mumbai), en Inde. Sa mère, Charlotte, était une infirmière anglo-sri-lankaise, et son père, Arthur, un ingénieur ferroviaire britannique. C'est donc une Anglo-Indienne. a écrit:

Marquée par son enfance, [u]Merle Oberon fera, durant toute sa carrière, tout pour cacher ses origines métisses[/u], au point qu’elle fera parfois passer sa mère pour sa bonne. Pour expliquer son teint, elle raconte qu’elle est née et a été élevée en Tasmanie, et que son extrait de naissance et ses certificats de scolarité ont brûlé dans un incendie. Malgré le rétablissement de la vérité après sa mort, certaines personnes en Tasmanie continuent de véhiculer la légende. a écrit:

Cependant, Charlotte n'était sans doute pas sa vraie mère comme le prouvent les informations ci-après :

For most of her life, Merle protected herself by concealing the truth about her parentage, claiming that she had been born in Tasmania, Australia, and that her birth records had been destroyed in a fire. She was raised as the daughter of Arthur Terrence O'Brien Thompson, a British mechanical engineer from Darlington who worked in Indian Railways and his wife, Charlotte Selby, a Eurasian from Ceylon (Sri Lanka). Her mother also had Māori ancestry. However, according to her birth certificate, Merle's biological mother was Charlotte's then-12-year-old daughter, Constance. Charlotte had herself given birth to Constance at the age of 14, the result of rape by Henry Alfred Selby, the Anglo-Irish foreman of a tea plantation. To avoid scandal, Charlotte raised Merle as Constance's half-sister. Constance eventually married Alexander Soares and had four other children: Edna, Douglas, Harry, and Stanislaus (Stan). Edna and Douglas moved to the UK at an early age. Stanislaus was the only child to keep his father's surname of Soares and resided in Surrey, British Columbia, Canada. Harry eventually moved to Toronto, Canada, retaining Charlotte’s maiden name, Selby. When Harry tracked down Merle's birth certificate in Indian government records in Bombay, he was surprised to discover that he was in fact Merle's half-brother, not her nephew. He attempted to visit her in Los Angeles, but she refused to see him. Harry withheld that information from Oberon's biographer Charles Higham and eventually revealed it only to Maree Delofski, the creator of the 2002 documentary The Trouble with Merle, produced by the Australian Broadcasting Corporation, which investigated the various conflicting versions of Merle's origin. a écrit:

To avoid prejudice over her mixed background, Oberon created a "cover story" of being born and raised in Tasmania, Australia, and her birth records being destroyed in a fire. The story eventually unravelled after her death. Oberon is known to have been to Australia only twice. Her first visit was in 1965, on a film promotion. Although a visit to Hobart was scheduled, after journalists in Sydney pressed her for details of her early life, she became ill and shortly afterwards left for Mexico. a écrit:

Eddy2000 a écrit:

Mais au fait pourquoi "comme un oiseau qui vivait caché" ?

Ah ça, je ne saurais vous dire. Est-ce une chanson ?

Voici la nouvelle énigme .
A quel autre personnage historique Yolande de Polignac fut-elle comparée

Mme de Sabran a écrit:

Eddy2000 a écrit:

Mais au fait pourquoi "comme un oiseau qui vivait caché" ?

Ah ça, je ne saurais vous dire. Est-ce une chanson ?

Voici la nouvelle énigme .
A quel autre personnage historique Yolande de Polignac fut-elle comparée

Bravo !

Mais au fait pourquoi "comme un oiseau qui vivait caché" ? : la réponse se trouve dans mon post d'avant, modifié !

Yolande de Polignac fut comparée à un personnage féminin contemporain ? antérieur ou postérieur ?

Une femme proche d'une reine ?

Dominique Poulin a écrit:Yolande de Polignac fut comparée à un personnage féminin contemporain ? antérieur ou postérieur ?

Une femme proche d'une reine ?

Oui, oui, et re-oui.

Eddy2000 a écrit:

Mais au fait pourquoi "comme un oiseau qui vivait caché" ? : la réponse se trouve dans mon post d'avant, modifié !

Ah d'accord . Merci !  

A-t-elle été comparée à la Galigaï ?

Vicq d Azir a écrit:  A-t-elle été comparée à la Galigaï ?

Mais oui, exactement ! la funeste maréchale d'Ancre.
Bravo, cher Févicq, et à vous la main.    

Tout fut plus singulier qu'heureux,  dans la vie de la duchesse de Polignac. Sa faveur auprès de la reine, tant qu'elle dura, lui donna plus de sujétion que de jouissance... Madame de Polignac jouissait d'une grande fortune, il est vrai, mais elle était retenue contre son gré à Versailles, et elle aurait fait volontiers le sacrifice de ses richesses pour vivre libre et dans l'aisance à Paris. Enfin ce qu'il y eut de plus triste pour elle, c'est qu'elle partagea l’animadversion presque générale, dont, à l'époque de la Révolution, la reine devint malheureusement l'objet. Le public ou plutòt le peuple, mal instruit, la croyait encore sa favorite, et attribuait à ses conseils et à ses déprédations les maux qui pesaient sur la France, au lieu d'en accuser l'impéritie des ministres, bien plus funeste que la prodigalité des princes, qui, d'ailleurs, sous ce règne, fut bien moindre que sous les précédents. On allait même jusqu'à la comparer à cette fameuse Italienne, confidente artificieuse et intéressée de Marie de Médicis, elle dont le cæur était noble et doux comme la figure. Elle fut donc obligée de se soustraire par la suite à la fureur populaire, plus de deux ans avant la proscription générale, et mourut dans un exil prématuré .

Duc de Lévis Souvenirs et portraits, édit. Barrière, p. 330.

Amis du soir, bonsoir !
Voici l’énigme de ce dimanche : d’où vient ce service , dont je présente le pot à oille, et quelle est son histoire ?

Vicq d Azir a écrit:Amis du soir, bonsoir !
Voici l’énigme de ce dimanche : d’où vient ce service , dont je présente le pot à oille, et quelle est son histoire ?

Je dirais manufacture de Sèvres ?

En tous cas, connaissant notre ami Févicq, je parie pour une provenance royale.
Devons-nous aller fureter du côté de Windsor ou Buckingham Palace ?!

Rien à voir     :
Vous savez quoi, Eddy ? ... la poignante histoire personnelle de Merle Oberon, votre " oiseau caché ",  me rappelle ce film mélodramatique ( j'avais pleuré toutes les larmes de mon corps...   )  de Douglas Sirk  ( 1959 )  avec Lana Turner, que vous connaissez très certainement:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mirage_de_la_vie

Ce service provient-il d'une manufacture française ?

Du XVIIIe ?

Pour un monarque ? Un prince ? Un membre de la haute noblesse ? Un ecclésiastique ?

Un homme ? Une femme ?

Mme de Sabran a écrit:En tous cas, connaissant notre ami Févicq, je parie pour une provenance royale.
Devons-nous aller fureter du côté de Windsor ou Buckingham Palace ?!

Rien à voir     :
Vous savez quoi, Eddy ? ... la poignante histoire personnelle de Merle Oberon, votre " oiseau caché ",  me rappelle ce film mélodramatique ( j'avais pleuré toutes les larmes de mon corps...   )  de Douglas Sirk  ( 1959 )  avec Lana Turner, que vous connaissez très certainement:

Imitation of life

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mirage_de_la_vie

Toujours dans la catégorie "Rien à voir" : oui, oui, je l'ai vu, mais ce n'est pas mon film préféré de Douglas Sirk, celui-ci étant "Le secret magnifique" ("Magnificent obsession") suivi de "Le temps d'aimer et le temps de mourir ("A time to love and a time to die"). Fin de la parenthèse !

... à moins que Balmoral ou Holyroodhouse ?!

... Et si c'était un service de Faberge pour un Romanov. 
Ceci dit, je ne remarque pas son style, je tente... 

Réponse tardive, pardonnez-moi.
En résumé : manufacture française : oui !
XVIIIE siècle : oui !
Provenance royale : oui !
Adressé à: un roi : non . Un prince : non. Un
ecclésiastique : non !

Vicq d Azir a écrit: Réponse tardive, pardonnez-moi.
En résumé : manufacture française : oui !
                      XVIIIE siècle : oui !
                      Provenance royale : oui !
                      Adressé à: un roi : non . Un prince : non. Un
                         ecclésiastique : non !

Manufacture de Sèvres ? Limoges ?

Manufacture française, d'accord, mais l'heureux possesseur de ce somptueux service est-il français ?

Non, du tout.
Il faut en fait distinguer le destinataire de l’époque, et le propriétaire actuel…