L’Abbé Grégoire, une " tête de fer " en Révolution. De Françoise Hildesheimer
2 participants
LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: Bibliographie :: Bibliographie : La Révolution française et le XIXe siècle :: Biographies, essais et études
Page 1 sur 1
L’Abbé Grégoire, une " tête de fer " en Révolution. De Françoise Hildesheimer
Vient de paraître...
L’Abbé Grégoire
Une "tête de fer" en Révolution
De Françoise Hildesheimer
Editions Nouveau Monde (avril 22)
416 pages
Présentation :
Parmi ces « foutus curés qui ont fait la Révolution », l’abbé Grégoire se révèle comme l’une des personnalités les plus originales de cette période qu’il traversera sans jamais renoncer à sa foi et à son rêve de bonheur pour l’humanité. En un temps où la religion subit les attaques les plus virulentes, le curé lorrain se rallie à l’idéal révolutionnaire et y associe le message évangélique, qu’il conçoit comme expression d’un même programme d’égalité et de fraternité. Il échappera à l’obscurité d’une carrière ecclésiastique provinciale en devenant député aux États généraux de 1789, ralliant rapidement le tiers état, membre de l’Assemblée constituante puis de la Convention, évêque de Loir-et-Cher enfin – huit ans d’exaltation révolutionnaire qui précèdent une longue retraite de trente années.
Défenseur des Juifs, anti-esclavagiste, partisan du suffrage universel masculin, il est de tous les combats humanistes visant à abattre les barrières entre « les hommes de toutes les couleurs » et entre les religions. Celui que Napoléon nomme « Tête de fer » devient à la fin de sa vie sénateur et comte d’Empire. Il meurt en 1831, au début de la monarchie de Juillet, sans jamais s’être renié.
Reconnu par la République comme un Juste, l’abbé Grégoire a retrouvé les feux de l’actualité en 1989 avec l’entrée de ses cendres au Panthéon et demeure le porteur d’un idéal de fraternité toujours actuel.
Portrait de l’Abbé Grégoire
Pierre-Joseph-Célestin François (1759, Namur - 1851, Bruxelles)
Huile sur toile, 1800
Image : Musée Lorrain, Palais des ducs de Lorraine
L’Abbé Grégoire
Une "tête de fer" en Révolution
De Françoise Hildesheimer
Editions Nouveau Monde (avril 22)
416 pages
Présentation :
Parmi ces « foutus curés qui ont fait la Révolution », l’abbé Grégoire se révèle comme l’une des personnalités les plus originales de cette période qu’il traversera sans jamais renoncer à sa foi et à son rêve de bonheur pour l’humanité. En un temps où la religion subit les attaques les plus virulentes, le curé lorrain se rallie à l’idéal révolutionnaire et y associe le message évangélique, qu’il conçoit comme expression d’un même programme d’égalité et de fraternité. Il échappera à l’obscurité d’une carrière ecclésiastique provinciale en devenant député aux États généraux de 1789, ralliant rapidement le tiers état, membre de l’Assemblée constituante puis de la Convention, évêque de Loir-et-Cher enfin – huit ans d’exaltation révolutionnaire qui précèdent une longue retraite de trente années.
Défenseur des Juifs, anti-esclavagiste, partisan du suffrage universel masculin, il est de tous les combats humanistes visant à abattre les barrières entre « les hommes de toutes les couleurs » et entre les religions. Celui que Napoléon nomme « Tête de fer » devient à la fin de sa vie sénateur et comte d’Empire. Il meurt en 1831, au début de la monarchie de Juillet, sans jamais s’être renié.
Reconnu par la République comme un Juste, l’abbé Grégoire a retrouvé les feux de l’actualité en 1989 avec l’entrée de ses cendres au Panthéon et demeure le porteur d’un idéal de fraternité toujours actuel.
Portrait de l’Abbé Grégoire
Pierre-Joseph-Célestin François (1759, Namur - 1851, Bruxelles)
Huile sur toile, 1800
Image : Musée Lorrain, Palais des ducs de Lorraine
La nuit, la neige- Messages : 18062
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: L’Abbé Grégoire, une " tête de fer " en Révolution. De Françoise Hildesheimer
La nuit, la neige a écrit:
L’Abbé Grégoire
Une "tête de fer" en Révolution
partisan du suffrage universel masculin
...une formule qui me laisse perplexe .
En faudra-t-il du temps pour que nous soyons prises en considération !
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55310
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
La nuit, la neige- Messages : 18062
Date d'inscription : 21/12/2013
Sujets similaires
» Louis-François-Armand de Vignerot du Plessis, maréchal et duc de Richelieu
» Révolution française, l'abbé Lefèbvre
» Correspondance et mémoires de l'abbé de Salamon, l'informateur secret du pape sous la Révolution
» Exposition : Se vêtir sous la Révolution (1789-1804). Domaine de Vizille, musée de la Révolution française
» La Révolution déshabille les dames : la mode durant la Révolution
» Révolution française, l'abbé Lefèbvre
» Correspondance et mémoires de l'abbé de Salamon, l'informateur secret du pape sous la Révolution
» Exposition : Se vêtir sous la Révolution (1789-1804). Domaine de Vizille, musée de la Révolution française
» La Révolution déshabille les dames : la mode durant la Révolution
LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: Bibliographie :: Bibliographie : La Révolution française et le XIXe siècle :: Biographies, essais et études
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum