Füssli, entre rêve et fantastique. Exposition Musée Jacquemart-André
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Füssli, entre rêve et fantastique. Exposition Musée Jacquemart-André
Je déteste ! Mais bon, voici annoncé pour la rentrée...
FÜSSLI, ENTRE RÊVE ET FANTASTIQUE
Du 16 septembre 2022 au 23 janvier 2023
Musée Jacquemart-André
158 Bd Haussmann, 75008 Paris
https://www.musee-jacquemart-andre.com
Le rêve de la reine Catherine
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, 1781
Lytham St Annes Art Collection Council
Image : Presse jacquemart-André - Heritage Images / Fine Art Images / akg-images
Présentation :
Le Musée Jacquemart-André présente, à l’automne 2022, l’œuvre du peintre britannique d’origine suisse, Johann Heinrich Füssli (1741-1825). À travers une soixantaine d’œuvres issues de collections publiques et privées, le parcours illustrera les thèmes les plus emblématiques de l’œuvre de Füssli, artiste de l’imaginaire et du sublime.
Des sujets shakespeariens aux représentations du rêve, du cauchemar et des apparitions, en passant par les illustrations mythologiques et bibliques, Füssli développe une nouvelle esthétique qui oscille entre rêve et fantastique.
Béatrice, Héro et Ursule
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, 1789
Image : Gemämdegalerie Alte Meister, Staatliche Kunstsammlungen Desden, Dresden / Elke Estel / Hans-Peter Klut
Fils d’un père peintre et historien de l’art, Johann Heinrich Füssli fut un temps pasteur et commença une carrière artistique assez tardivement, lors d’un premier voyage à Londres, sous l’influence de Sir Joshua Reynolds, président de la Royal Academy. Après un long séjour en Italie, au cours duquel il est fasciné notamment par la puissance des compositions de Michel-Ange, il revient s’installer à Londres à la fin des années 1770.
Artiste atypique et intellectuel, Füssli puise son inspiration dans les sources littéraires qu’il passe au filtre de son imagination. Il développe dans sa peinture un langage onirique et dramatique, où se côtoient sans cesse le merveilleux et le fantastique, le sublime et le grotesque.
Lady Macbeth somnambule
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, vers 1784
221 x 160 cm
Image : RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Hervé Lewandowski
Organisée thématiquement, l’exposition explore l’ensemble de l’œuvre de Füssli à laquelle aucune exposition monographique n’avait été consacrée à Paris depuis 1975.
Elle s’ouvrira sur la représentation du théâtre shakespearien, en particulier de Macbeth, puis elle s’attachera aux récits mythologiques et bibliques avant de se pencher sur la figure féminine dans son œuvre graphique. Se succèderont enfin les thèmes du cauchemar, véritable création füsslienne, puis du rêve et des apparitions.
La sorcière de la nuit rendant visite aux sorcières de Laponie
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, vers 1796
101,6 x 126,4 cm
Image : The Metropolitan Museum of Art, New York
Füssli développe une veine fantastique relativement marginale pour l’époque car elle contourne les règles académiques. C’est en 1782 qu’il présente sa première version du Cauchemar, œuvre emblématique de son imaginaire qui assoit véritablement sa carrière de peintre.
Le cauchemar
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, vers 1782
31,5 x 23 cm
Image : The Frances Lehman Loeb, Art Center, Vassar College, Poughkeepsie, NY / Art Resource, NY
Élu membre associé de la Royal Academy en 1788, puis académicien en 1790, Füssli, tout en travaillant de manière sérielle, incarne une recherche du sublime qui s’impose à l’Angleterre de son époque.
L’exposition du Musée Jacquemart-André permettra de redécouvrir l’œuvre saisissante de cet artiste rare dans les collections françaises, peintre très original qui développe une œuvre paradoxale, alimentée par une imagination où terreur et horreur se marient, à l’origine esthétique du romantisme noir.
Robin Goodfellow, dit Puck
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, 1787-1790
107,5 x 84 cm
Image : Museum zu Allerheiligen, Schaffhouse / Jürg Fausch, Schafhausen
Extraits du dossier de presse
La mort de Didon
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, 1781
244 x 183 cm
Image : Yale Center for British Art, Paul Mellon Collection, New Haven, CCo 1.0
Les trois sorcières
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, après 1783
75 x 90 cm
Image : Royal Shakespeare Compagny Theatre Collection, Stratford-upon-Avon
* Source et infos complémentaires : Musée Jacquemart-André - Füssli, entre rêve et fantastique
FÜSSLI, ENTRE RÊVE ET FANTASTIQUE
Du 16 septembre 2022 au 23 janvier 2023
Musée Jacquemart-André
158 Bd Haussmann, 75008 Paris
https://www.musee-jacquemart-andre.com
Le rêve de la reine Catherine
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, 1781
Lytham St Annes Art Collection Council
Image : Presse jacquemart-André - Heritage Images / Fine Art Images / akg-images
Présentation :
Le Musée Jacquemart-André présente, à l’automne 2022, l’œuvre du peintre britannique d’origine suisse, Johann Heinrich Füssli (1741-1825). À travers une soixantaine d’œuvres issues de collections publiques et privées, le parcours illustrera les thèmes les plus emblématiques de l’œuvre de Füssli, artiste de l’imaginaire et du sublime.
Des sujets shakespeariens aux représentations du rêve, du cauchemar et des apparitions, en passant par les illustrations mythologiques et bibliques, Füssli développe une nouvelle esthétique qui oscille entre rêve et fantastique.
Béatrice, Héro et Ursule
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, 1789
Image : Gemämdegalerie Alte Meister, Staatliche Kunstsammlungen Desden, Dresden / Elke Estel / Hans-Peter Klut
Fils d’un père peintre et historien de l’art, Johann Heinrich Füssli fut un temps pasteur et commença une carrière artistique assez tardivement, lors d’un premier voyage à Londres, sous l’influence de Sir Joshua Reynolds, président de la Royal Academy. Après un long séjour en Italie, au cours duquel il est fasciné notamment par la puissance des compositions de Michel-Ange, il revient s’installer à Londres à la fin des années 1770.
Artiste atypique et intellectuel, Füssli puise son inspiration dans les sources littéraires qu’il passe au filtre de son imagination. Il développe dans sa peinture un langage onirique et dramatique, où se côtoient sans cesse le merveilleux et le fantastique, le sublime et le grotesque.
Lady Macbeth somnambule
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, vers 1784
221 x 160 cm
Image : RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Hervé Lewandowski
Organisée thématiquement, l’exposition explore l’ensemble de l’œuvre de Füssli à laquelle aucune exposition monographique n’avait été consacrée à Paris depuis 1975.
Elle s’ouvrira sur la représentation du théâtre shakespearien, en particulier de Macbeth, puis elle s’attachera aux récits mythologiques et bibliques avant de se pencher sur la figure féminine dans son œuvre graphique. Se succèderont enfin les thèmes du cauchemar, véritable création füsslienne, puis du rêve et des apparitions.
La sorcière de la nuit rendant visite aux sorcières de Laponie
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, vers 1796
101,6 x 126,4 cm
Image : The Metropolitan Museum of Art, New York
Füssli développe une veine fantastique relativement marginale pour l’époque car elle contourne les règles académiques. C’est en 1782 qu’il présente sa première version du Cauchemar, œuvre emblématique de son imaginaire qui assoit véritablement sa carrière de peintre.
Le cauchemar
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, vers 1782
31,5 x 23 cm
Image : The Frances Lehman Loeb, Art Center, Vassar College, Poughkeepsie, NY / Art Resource, NY
Élu membre associé de la Royal Academy en 1788, puis académicien en 1790, Füssli, tout en travaillant de manière sérielle, incarne une recherche du sublime qui s’impose à l’Angleterre de son époque.
L’exposition du Musée Jacquemart-André permettra de redécouvrir l’œuvre saisissante de cet artiste rare dans les collections françaises, peintre très original qui développe une œuvre paradoxale, alimentée par une imagination où terreur et horreur se marient, à l’origine esthétique du romantisme noir.
Robin Goodfellow, dit Puck
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, 1787-1790
107,5 x 84 cm
Image : Museum zu Allerheiligen, Schaffhouse / Jürg Fausch, Schafhausen
Extraits du dossier de presse
La mort de Didon
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, 1781
244 x 183 cm
Image : Yale Center for British Art, Paul Mellon Collection, New Haven, CCo 1.0
Les trois sorcières
Johann Heinrich Füssli (1741-1825)
Huile sur toile, après 1783
75 x 90 cm
Image : Royal Shakespeare Compagny Theatre Collection, Stratford-upon-Avon
* Source et infos complémentaires : Musée Jacquemart-André - Füssli, entre rêve et fantastique
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
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