Le château de Saint-Cloud
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Vicq d Azir- Messages : 3676
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Re: Le château de Saint-Cloud
Voici ce que Mme de Tourzel nous dit dans ses mémoires par rapport au château de Saint-Cloud et le séjour qu'elle y avait fait pendant la belle saison de 1790 avec la famille royale.
Louise-Élisabeth-Félicité-Françoise-Armande-Anne-Marie-Jeanne-Joséphine de Croy-Havré, duchesse de Tourzel a écrit:
Le 23 mai, jour de la Fête-Dieu, le Roi et la Reine suivirent à pied, suivant la coutume, la procession du Saint-Sacrement de Saint-Germain l'Auxerrois, paroisse des Tuileries ; l'Assemblée, qui y avait été invitée, la suivit aussi, le président à la droite du Roi. Madame, trop jeune et trop délicate pour en supporter la fatigue, resta aux Tuileries, et elle alla, avec Mgr le Dauphin, la voir passer dans la galerie du Louvre.
Le lendemain, le Roi, la Reine, Mgr le Dauphin, Madame et Madame Élisabeth allèrent s'établir à Saint-Cloud pour y passer la belle saison. M. de la Fayette et même l'Assemblée furent bien aises de voir le Roi quitter Paris, pour ôter aux provinces l'idée de sa captivité à l'époque de la Fédération. Ils en sentaient tellement la nécessité, que ce furent eux-mêmes qui persuadèrent le peuple de l'utilité de cet établissement ; de manière que ce voyage se passa très-tranquillement. La garde du Roi y fut composée des volontaires de Saint-Cloud et de Sèvres, de quatre cents hommes de la garde nationale de Paris, et, des compagnies ordinaires des gardes-suisses.
Le Roi et la Reine venaient tous les quinze jours à Paris, et même plus souvent, si les circonstances l'exigeaient. Il n'y eut à demeurer à Saint-Cloud que les personnes du service du Roi et de la Reine, et les grandes charges dont le service était habituel. Les dames du palais même n'y étaient que pour le temps de leur semaine. Monsieur et Madame y venaient souper tous les soirs et s'en retournaient ensuite à Paris. Le Roi ne voulut recevoir à ce voyage aucune dame étrangère au service, pour éviter les demandes qui lui eussent été faites et qui eussent été désagréables ; les dames de Madame et les officiers de la maison de Monsieur, qui les accompagnaient, soupaient alors avec le Roi.
Ce prince dînait et soupait tous les jours avec les personnes qui étaient du voyage. Il faisait une partie de billard après dîner et après souper. Il se plaisait plus à Saint-Cloud qu'à Paris, ainsi que la Reine, qui y avait plus de liberté et pouvait y avoir plus facilement les personnes qui lui étaient agréables. Madame la duchesse de Fitz-James et la princesse de Tarente, qu'elle aimait beaucoup, y venaient fréquemment, ainsi que plusieurs autres personnes.
Mgr le Dauphin, qui n'était pas d'âge à sentir ses malheurs, s'y amusait infiniment. Il était continuellement dans le jardin, et allait tous les soirs se promener dans le parc de Meudon. La Reine le menait quelquefois elle-même à la promenade, surtout quand madame de Tarente était de service. Elle connaissait sa discrétion, la noblesse de ses sentiments, et son extrême attachement pour elle. Il était tel, qu'elle eût fait le sacrifice de sa vie, si elle eût pu, à ce prix, tirer la Reine de la cruelle situation où elle se trouvait. Cette princesse épanchait souvent son cœur dans celui d'une personne si sûre. Étant un jour avec nous à la promenade, et se voyant entourée de gardes nationaux, dont une partie était composée de gardes-françaises qui avaient déserté leurs drapeaux, elle nous dit, les larmes aux yeux : « Que ma mère serait étonnée, si elle voyait sa fille, fille, femme et mère de rois, ou du moins d'un enfant destiné à le devenir, entourée d'une pareille garde! Il semblait que mon père eût un esprit prophétique le jour où je le vis pour la dernière fois. » Et elle nous raconta que l'empereur François 1er, partant pour l'Italie, d'où il ne devait jamais revenir, rassembla ses enfants pour leur dire adieu. « J'étais la plus jeune de mes sœurs, ajouta-t-elle. Mon père me prit sur ses genoux, m'embrassa à plusieurs reprises et toujours les larmes aux yeux, paraissant avoir une peine extrême à me quitter. Cela parut singulier à tous ceux qui étaient présents, et moi-même ne m'en serais peut-être plus souvenue, si ma position actuelle, en me rappelant cette circonstance, ne me faisait voir, pour le reste de ma vie, une suite de malheurs qui n'est que trop facile à prévoir. »
L'impression que nous firent éprouver ces dernières paroles fut si vive, que nous fondîmes en larmes. Alors la Reine nous dit avec sa grâce et sa bonté ordinaires : « Je me reproche de vous avoir attristées; remettez-vous avant d'arriver au château; unissons nos courages, la Providence nous rendra peut-être moins malheureux que nous ne le croyons. »
Il était impossible à cette princesse de ne pas comparer les jours heureux qu'elle avait passés à Saint-Cloud avec ceux du séjour actuel. Elle en faisait souvent la réflexion ; et, un jour que nous étions ensemble au bout de la galerie, dont Paris fait un des principaux points de vue, elle me dit en soupirant : « Cette vie de Paris faisait jadis mon bonheur, j'aspirais à l'habiter souvent. Qui m'aurait dit alors que ce désir ne serait accompli que pour y être abreuvée d'amertume, et voir le Roi et sa famille captifs d'un peuple révolté ! »
_________________
« elle dominait de la tête toutes les dames de sa cour, comme un grand chêne, dans une forêt, s'élève au-dessus des arbres qui l'environnent. »
Comte d'Hézècques- Messages : 4390
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Localisation : Pays-Bas autrichiens
Re: Le château de Saint-Cloud
Voici une gravure du XIXème siècle qui représente une fête à Saint-Cloud donnée en 1786 :
_________________
« elle dominait de la tête toutes les dames de sa cour, comme un grand chêne, dans une forêt, s'élève au-dessus des arbres qui l'environnent. »
Comte d'Hézècques- Messages : 4390
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 44
Localisation : Pays-Bas autrichiens
Re: Le château de Saint-Cloud
Oh ! quelle jolie trouvaille, cher Félix !!!
Nous reconnaissons en back ground la fameuse fontaine ...
Mme de Sabran- Messages : 55506
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le château de Saint-Cloud
Mme de Sabran a écrit:
Oh ! quelle jolie trouvaille, cher Félix !!!
Nous reconnaissons en back ground la fameuse fontaine ...
Oui quelle jolie scène hein
Mais ce pauvre ours dansant me fait de la peine
_________________
« elle dominait de la tête toutes les dames de sa cour, comme un grand chêne, dans une forêt, s'élève au-dessus des arbres qui l'environnent. »
Comte d'Hézècques- Messages : 4390
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Localisation : Pays-Bas autrichiens
Re: Le château de Saint-Cloud
.
Message déplacé ici .
Il s'est déclaré un fontis au milieu d"un petit bois, dans une partie du parc de Saint-Cloud, nommé Montre-Tout, très près du château et situé sur une hauteur. Il est d'autant plus intéressant d'arrêter les progrès qu'aurait pu faire ce fontis et de consolider ce terrain qu'on assure que le roi se promène très souvent dans cet endroit lorsqu'il est à Saint-Cloud .
14 mars 1784 , M. de Crosne au baron de Breteuil .
Un fontis est un effondrement du sol en surface, causé par la déliquescence souterraine progressive des terrains porteurs. Dans une cavité enfouie, naturelle ou anthropique (c'est-à-dire creusée par l'homme : carrière, mine, tunnel, etc.), la pression des terrains de recouvrement et/ou la circulation de fluides peuvent provoquer la détérioration du ciel (c'est-à-dire du plafond) et des piliers de soutènement, ce qui peut occasionner à terme deux types d'effondrements en surface :
des effondrements localisés (les fontis au sens classique) ;
des effondrements généralisés.
M. Guillaumot s'y est transporté avec des ingénieurs et des ouvriers . Il a trouvé que le terrain couvre d'anciennes carrières dont les galeries passent en différents sens sous les allées qui entourent le bois, et dont les ciels sont en mauvais état . Il a établi sur le champ dans cet endroit un atelier assez important pour faire disparaître tout danger au moment du voyage de la Cour annoncé pour le mois de mai ...
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Les plus gros gisements de gypse en France se trouvent en Ile-de-France. De ce fait, son exploitation est très ancienne puisqu'on estime qu'elle existait déjà dans l'antiquité. Les méthodes d'exploitation ont varié au cours des siècles et ont modifié la physionomie des carrières de gypse ou plâtrières.
Avant 1700
L'exploitation se faisait à ciel ouvert. La demande et l'utilisation (notamment pour les sarcophages) étaient restreintes. Le plus souvent les trous d'exploitation étaient remblayés avec la terre de l'ouverture d'une nouvelle carrière. Les plâtrières se sont développées le long des berges de la Seine où le gypse affleurait.
Entre 1700 et 1779
La demande en gypse a augmenté au cours du 18ème siècle. Elle est due à l'obligation (par décret du roi Louis XIV en 1697) de plâtrer les façades des maisons ayant des colombages en bois afin de limiter les incendies. En parallèle, les plafonds blancs et lisses étaient à la mode ce qui a renforcé la demande.
Pour répondre à la demande, les carriers ont du poursuivre l'exploitation des couches de gypses en souterrain. Des cavages pouvant atteindre jusqu'à 20 m sont creusés dans les flancs de collines. Jamais une telle hauteur de carrière souterraine n'avait été réalisée !
Remarque : Le besoin en terres cultivables en périphérie de Paris, face à une population grandissante, favorise également ce passage en exploitation souterraine, du gypse comme du calcaire.
Entre 1779 et 1810
En juillet 1778, un effondrement très important dans la carrière de gypse de Ménilmontant cause la mort de 7 personnes ( englouties, enterrées vivantes ). L'exploitation du gypse en souterrain est jugée trop dangereuse et interdite par décision royale le 23 janvier 1779. Les anciennes carrières sont alors foudroyées.
L'exploitation reprend ensuite à ciel ouvert et entaille profondément les collines dans toute l'Ile-de-France.
Exemple de fontis occasionné à cause d'anciennes carrières de gypse souterraines :
Message déplacé ici .
Il s'est déclaré un fontis au milieu d"un petit bois, dans une partie du parc de Saint-Cloud, nommé Montre-Tout, très près du château et situé sur une hauteur. Il est d'autant plus intéressant d'arrêter les progrès qu'aurait pu faire ce fontis et de consolider ce terrain qu'on assure que le roi se promène très souvent dans cet endroit lorsqu'il est à Saint-Cloud .
14 mars 1784 , M. de Crosne au baron de Breteuil .
Un fontis est un effondrement du sol en surface, causé par la déliquescence souterraine progressive des terrains porteurs. Dans une cavité enfouie, naturelle ou anthropique (c'est-à-dire creusée par l'homme : carrière, mine, tunnel, etc.), la pression des terrains de recouvrement et/ou la circulation de fluides peuvent provoquer la détérioration du ciel (c'est-à-dire du plafond) et des piliers de soutènement, ce qui peut occasionner à terme deux types d'effondrements en surface :
des effondrements localisés (les fontis au sens classique) ;
des effondrements généralisés.
M. Guillaumot s'y est transporté avec des ingénieurs et des ouvriers . Il a trouvé que le terrain couvre d'anciennes carrières dont les galeries passent en différents sens sous les allées qui entourent le bois, et dont les ciels sont en mauvais état . Il a établi sur le champ dans cet endroit un atelier assez important pour faire disparaître tout danger au moment du voyage de la Cour annoncé pour le mois de mai ...
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Les plus gros gisements de gypse en France se trouvent en Ile-de-France. De ce fait, son exploitation est très ancienne puisqu'on estime qu'elle existait déjà dans l'antiquité. Les méthodes d'exploitation ont varié au cours des siècles et ont modifié la physionomie des carrières de gypse ou plâtrières.
Avant 1700
L'exploitation se faisait à ciel ouvert. La demande et l'utilisation (notamment pour les sarcophages) étaient restreintes. Le plus souvent les trous d'exploitation étaient remblayés avec la terre de l'ouverture d'une nouvelle carrière. Les plâtrières se sont développées le long des berges de la Seine où le gypse affleurait.
Entre 1700 et 1779
La demande en gypse a augmenté au cours du 18ème siècle. Elle est due à l'obligation (par décret du roi Louis XIV en 1697) de plâtrer les façades des maisons ayant des colombages en bois afin de limiter les incendies. En parallèle, les plafonds blancs et lisses étaient à la mode ce qui a renforcé la demande.
Pour répondre à la demande, les carriers ont du poursuivre l'exploitation des couches de gypses en souterrain. Des cavages pouvant atteindre jusqu'à 20 m sont creusés dans les flancs de collines. Jamais une telle hauteur de carrière souterraine n'avait été réalisée !
Remarque : Le besoin en terres cultivables en périphérie de Paris, face à une population grandissante, favorise également ce passage en exploitation souterraine, du gypse comme du calcaire.
Entre 1779 et 1810
En juillet 1778, un effondrement très important dans la carrière de gypse de Ménilmontant cause la mort de 7 personnes ( englouties, enterrées vivantes ). L'exploitation du gypse en souterrain est jugée trop dangereuse et interdite par décision royale le 23 janvier 1779. Les anciennes carrières sont alors foudroyées.
L'exploitation reprend ensuite à ciel ouvert et entaille profondément les collines dans toute l'Ile-de-France.
Exemple de fontis occasionné à cause d'anciennes carrières de gypse souterraines :
Mme de Sabran- Messages : 55506
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le château de Saint-Cloud
Chers amis!
J'ai decouvert dans ce Titre : Le Palais de Saint-Cloud, ses origines, ses hôtes, ses fastes, ses ruines, par l' Auteur Maurice Fleury(1856-1921). / lisible sur net a gallica./des intéressantes informations, par exemple, concernant le pavillon de Félicité et la Laiterie aménagée pour la Reine dans le parc de Saint-Cloud.
Avez-vous des photos anciennes de ces objets aujourd'hui disparus ?
Leos
J'ai decouvert dans ce Titre : Le Palais de Saint-Cloud, ses origines, ses hôtes, ses fastes, ses ruines, par l' Auteur Maurice Fleury(1856-1921). / lisible sur net a gallica./des intéressantes informations, par exemple, concernant le pavillon de Félicité et la Laiterie aménagée pour la Reine dans le parc de Saint-Cloud.
Avez-vous des photos anciennes de ces objets aujourd'hui disparus ?
Leos
Leos- Messages : 795
Date d'inscription : 29/12/2013
Age : 55
Localisation : Zlin, Tcheque
Re: Le château de Saint-Cloud
Encore. un extrait de la brochure Saint-Cloud, les Hauts-de-Seine par Mariette Portet /1966/..
Le jardin subit aussi des transformations ; le Petit-Trianon avait fixé la mode, Marie-Antoinette fit dessiner un petit parc ... Le pavillon édifié par Charlotte de Bavière fut reconstruit, ce fut le délicieux « Pavillon de la Félicité » tendu en toile de Perse ... sultanes », enfin, près de Montretout, on installa « la Laiterie de la Reine »....
Leos
Le jardin subit aussi des transformations ; le Petit-Trianon avait fixé la mode, Marie-Antoinette fit dessiner un petit parc ... Le pavillon édifié par Charlotte de Bavière fut reconstruit, ce fut le délicieux « Pavillon de la Félicité » tendu en toile de Perse ... sultanes », enfin, près de Montretout, on installa « la Laiterie de la Reine »....
Leos
Leos- Messages : 795
Date d'inscription : 29/12/2013
Age : 55
Localisation : Zlin, Tcheque
Re: Le château de Saint-Cloud
Je n'ai rien dans mes dossiers à propos de cette Laiterie et de ce pavillon de la Félicité. Ce serait en effet chouette si on pouvait en voir !
Invité- Invité
Re: Le château de Saint-Cloud
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Bonsoir, cher Leos !
C'est un plaisir de vous retrouver !!!
Bonsoir, cher Leos !
C'est un plaisir de vous retrouver !!!
Mme de Sabran- Messages : 55506
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le château de Saint-Cloud
Chère madame,
Au moment du Carême j'ai renoncé à mes plaisirs el j'ai limite des heures sur Net.
Leos
Au moment du Carême j'ai renoncé à mes plaisirs el j'ai limite des heures sur Net.
Leos
Leos- Messages : 795
Date d'inscription : 29/12/2013
Age : 55
Localisation : Zlin, Tcheque
Re: Le château de Saint-Cloud
;
Ah bien, voici pourquoi nous étions privés de vous .
Ah bien, voici pourquoi nous étions privés de vous .
Mme de Sabran- Messages : 55506
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le château de Saint-Cloud
Vous êtes notre récompense de Pâques, cher Leos
Bien à vous.
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Le château de Saint-Cloud
La Correspondance secrète, 24 février 1785 :
Il faudrait compléter avec la lettre que nous a présentée aujourd'hui Outremanche !
Il faudrait compléter avec la lettre que nous a présentée aujourd'hui Outremanche !
Invité- Invité
Re: Le château de Saint-Cloud
Tu as raison, je le fais tout de suite !
Mme de Sabran- Messages : 55506
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Le château de Saint-Cloud
Suite de la vente, 2 mars 1785 :
Je ne comprends pas trop cette histoire de duché-pairie.
Je ne comprends pas trop cette histoire de duché-pairie.
Invité- Invité
Re: Le château de Saint-Cloud
La création de l’archevêché de Paris au XVIIe siècle s'était accompagné de la création d'une septième pairie ecclésiastique en la faveur du titulaire. Ainsi M. de Paris est duc de Saint Cloud et pair de France (comme le sont l’archevêque duc de Reims, l'évêque comte de Noyons ..... )
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
Re: Le château de Saint-Cloud
les éditions du patrimoine propose à compter du 22 octobre prochain au prix de 12 euros - un ouvrage sur le PALAIS DE SAINT CLOUD montrant la collection des photos faites sous NAPOLEON III des lieux, juste avant l'incendie de 1870
un ouvrage 24 x 26 de 64 pages avec 130 illustrations
ce petit achat permettra de comprendre le palais qui fut la propriété de la Reine et des aménagements qu'elle y fit !!!!!
MARIE ANTOINETTE àè-è\':
on peut déjà le précommander sur AMAZON .
MARIE ANTOINETTE- Messages : 3729
Date d'inscription : 22/12/2013
Age : 78
Localisation : P A R I S
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