Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
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LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: Et le XVIIIe siècle aujourd'hui ? :: Musées, conférences, expositions
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Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
A partir du 8 avril jusqu'au 27 juillet, galerie des Gobelins.
"On associe classiquement les Gobelins au XVIIème siècle. Mais c'est le XVIIIème siècle qui offre probablement la plus grande diversité dans les sources d'inspiration des artistes qui travaillent pour la manufacture[...] les appartements royaux sont désormais aussi ornés d'oeuvres inspirés de François Boucher ou Joseph-Marie Vien, à l'exemple des tentures des Amours des dieux ou du lever et du coucher du soleil commandés par Madame de Pompadour." :;\':;\':;
"On associe classiquement les Gobelins au XVIIème siècle. Mais c'est le XVIIIème siècle qui offre probablement la plus grande diversité dans les sources d'inspiration des artistes qui travaillent pour la manufacture[...] les appartements royaux sont désormais aussi ornés d'oeuvres inspirés de François Boucher ou Joseph-Marie Vien, à l'exemple des tentures des Amours des dieux ou du lever et du coucher du soleil commandés par Madame de Pompadour." :;\':;\':;
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Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Avec Zaia en Marie-Antoinette... boudoi29 àè-è\':
Invité- Invité
Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Nous en avions parlé il y a quelques mois complètement consternés.
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Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Je ne retrouve plus nos échanges à ce propos. Je sais que j'étais chez mes parents, fin janvier-début février. Nous avions posté des photos ici afin de montrer à ceux encore épargnés parmi nous l'ampleur du désastre... àè-è\':
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Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Petite visite cet après-midi, en compagnie de Momo.
Portrait d'Henri IV, d'après Frans Pourbus. Paris, manufacture des Gobelins. Laine et soie.
Atelier indéterminé. Tissage de la seconde moitié du XVIIIème siècle.
Portrait du Régent, d'après Jean-Baptiste Santerre. Paris, manufacture des Gobelins. Laine et soie.
Atelier indéterminé. Tissage de la seconde moitié du XVIIIème siècle.
Une paire de tapisseries identiques est mentionnée dans les collections du duc d'Orléans au château de Monceau sous la Révolution.
Portrait d'Henri IV, d'après Frans Pourbus. Paris, manufacture des Gobelins. Laine et soie.
Atelier indéterminé. Tissage de la seconde moitié du XVIIIème siècle.
Portrait du Régent, d'après Jean-Baptiste Santerre. Paris, manufacture des Gobelins. Laine et soie.
Atelier indéterminé. Tissage de la seconde moitié du XVIIIème siècle.
Une paire de tapisseries identiques est mentionnée dans les collections du duc d'Orléans au château de Monceau sous la Révolution.
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Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Portrait de Stanislas Leszczynski, d'après Hyacinthe Rigaud. Paris, manufacture des Gobelins. Atelier de Michel Audran. Tissage vers 1760. Laine, soie et or.
C'est certainement à la suite de ses achats de tapisseries des Gobelins pour le château de Lunéville (Mois Lucas, portières de Diane), que le beau-père de Louis XV fit exécuter ce portrait tissé.
C'est certainement à la suite de ses achats de tapisseries des Gobelins pour le château de Lunéville (Mois Lucas, portières de Diane), que le beau-père de Louis XV fit exécuter ce portrait tissé.
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Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Meuble à fond bleu de Roslin d'Ivry. D'après Maurice Jacques et Louis Tessier. Paris, manufacture des Gobelins. Atelier de Michel Audran. Vers 1770. Laine et soie.
Vers 1770, le fermier général Roslin d'Ivry commanda un ensemble de sièges aux Gobelins, tissé sur les modèles de Jacques et Tessier, dont les fonds damassés rouges furent remplacés par un fond bleu.
Vers 1770, le fermier général Roslin d'Ivry commanda un ensemble de sièges aux Gobelins, tissé sur les modèles de Jacques et Tessier, dont les fonds damassés rouges furent remplacés par un fond bleu.
Invité- Invité
Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Cinq modèles de dossier de siège, par François Boucher. Vers 1751. Huile sur toile.
La Fillette à la cage,
La Petite Jardinière,
La Petite Danseuse,
Le Petit Pêcheur,
La Petite Oiselière,
Le premier meuble commandé aux Gobelins par la marquise de Pompadour, comprenant quatre fauteuils, quatre chaises et deux bergères, fut réalisé en 1751-1752 sur des modèles de Boucher. La favorite en avait réservé l'usage à son château de Bellevue. Une série de modèles de Boucher, mettant en scène de jeunes garçons ou filles vêtus comme de petits paysans, conservée pour partie au Mobilier national (cinq sur la vingtaine de sujets connus) correspond certainement à ce meuble.
La Fillette à la cage,
La Petite Jardinière,
La Petite Danseuse,
Le Petit Pêcheur,
La Petite Oiselière,
Le premier meuble commandé aux Gobelins par la marquise de Pompadour, comprenant quatre fauteuils, quatre chaises et deux bergères, fut réalisé en 1751-1752 sur des modèles de Boucher. La favorite en avait réservé l'usage à son château de Bellevue. Une série de modèles de Boucher, mettant en scène de jeunes garçons ou filles vêtus comme de petits paysans, conservée pour partie au Mobilier national (cinq sur la vingtaine de sujets connus) correspond certainement à ce meuble.
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Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Les proportions sont bizarres...
On croirait avoir affaire aux Munshkins du Pays d'Oz :
Bien à vous.
On croirait avoir affaire aux Munshkins du Pays d'Oz :
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Tenture de l'Histoire de Thésée, d'après Carle Vanloo. Paris, manufacture des Gobelins. Atelier de haute lisse de Jean Audran. Tissage 1779-1787. Laine et soie.
Cette tapisserie fut vendue au comte Alexis Razumowski en 1766 ; elle se trouve actuellement au musée du Louvre. Le second tissage (1773-1779) fut offert par Louis XVI au roi de Suède en 1784 (château de Drottningholm). Le troisième exemplaire n'a jamais quitté les collections du Garde Meuble.
Cette tapisserie fut vendue au comte Alexis Razumowski en 1766 ; elle se trouve actuellement au musée du Louvre. Le second tissage (1773-1779) fut offert par Louis XVI au roi de Suède en 1784 (château de Drottningholm). Le troisième exemplaire n'a jamais quitté les collections du Garde Meuble.
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Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Tenture des Amours des dieux : Proserpine ornant la statue de Cérès, sa mère, avec des fleurs. D'après Joseph-Marie Vien.
Paris, manufacture des Gobelins. Atelier de haute lisse de Pierre-François Cozette. Tissage 1772-1775. Laine et soie.
Le modèle de cette tapisserie fait partie des sujets commandés en 1757 par le marquis de Marigny pour la tenture des Amours des dieux qui devait garnir les murs du salon de son hôtel parisien. Le tissage exposé, un peu plus tardif, a été réalisé pour Madame du Barry : il était destiné au pavillon qu'elle avait fait construire à Louveciennes par l'architecte Ledoux.
Paris, manufacture des Gobelins. Atelier de haute lisse de Pierre-François Cozette. Tissage 1772-1775. Laine et soie.
Le modèle de cette tapisserie fait partie des sujets commandés en 1757 par le marquis de Marigny pour la tenture des Amours des dieux qui devait garnir les murs du salon de son hôtel parisien. Le tissage exposé, un peu plus tardif, a été réalisé pour Madame du Barry : il était destiné au pavillon qu'elle avait fait construire à Louveciennes par l'architecte Ledoux.
Invité- Invité
Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Tenture de L'Histoire de France : le Siège de Calais. D'après Jean-Simon Berthélémy.
Paris, manufacture des Gobelins. Atelier de haute lisse de Jean Audran. Tissage 1790-1804. Laine et soie.
En 1775, le comte d'Angiviller, directeur général des bâtiments du roi, décidait de créer une tenture de tapisserie consacrée aux actions vertueuses des grands hommes de la France. Le Siège de Calais de Jean Simon Berthélémy, dont le tableau fut présenté au Salon de 1779, évoque un épisode célèbre de la guerre de Cent Ans, au cours duquel Eustache de Saint-Pierre et cinq autres habitants de la ville assiégée par le roi d'Angleterre Edouard III sacrifièrent leur vie pour sauver leurs concitoyens, avant d'être graciés sur les instances de la reine.
Paris, manufacture des Gobelins. Atelier de haute lisse de Jean Audran. Tissage 1790-1804. Laine et soie.
En 1775, le comte d'Angiviller, directeur général des bâtiments du roi, décidait de créer une tenture de tapisserie consacrée aux actions vertueuses des grands hommes de la France. Le Siège de Calais de Jean Simon Berthélémy, dont le tableau fut présenté au Salon de 1779, évoque un épisode célèbre de la guerre de Cent Ans, au cours duquel Eustache de Saint-Pierre et cinq autres habitants de la ville assiégée par le roi d'Angleterre Edouard III sacrifièrent leur vie pour sauver leurs concitoyens, avant d'être graciés sur les instances de la reine.
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Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Tenture de L'Histoire d'Henri IV : L'évanouissement de Gabrielle d'Entrées ou le Discours d'Henri IV à la belle Gabrielle au sujet de l'estime et de l'amitié qu'il témoigne pour Sully. D'après François-André Vincent.
Paris, manufacture des Gobelins. Tissage de haute lisse de la fin du XVIIIème siècle. Laine et soie.
En 1783, le comte d'Angiviller commandait au peintre Vincent une série de tableaux devant constituer une tenture de L'Histoire d'Henri IV, souverain dont la vie suscitait l'intérêt croissant des élites. L'édition princeps était destinée au cabinet de travail du grand duc de Russie à Pavlovsk. Le sujet exposé met l'accent sur la force d'âme du roi, que la vie sentimentale ne saurait détourner du bien public.
Paris, manufacture des Gobelins. Tissage de haute lisse de la fin du XVIIIème siècle. Laine et soie.
En 1783, le comte d'Angiviller commandait au peintre Vincent une série de tableaux devant constituer une tenture de L'Histoire d'Henri IV, souverain dont la vie suscitait l'intérêt croissant des élites. L'édition princeps était destinée au cabinet de travail du grand duc de Russie à Pavlovsk. Le sujet exposé met l'accent sur la force d'âme du roi, que la vie sentimentale ne saurait détourner du bien public.
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Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Tenture des Amours des dieux : Allégorie de la Fidélité. D'après Jean-Baptiste Marie Pierre.
Paris, manufacture des Gobelins. Atelier de haute lisse de Pierre-François Cozette. Tissage 1761. Laine et soie.
Ayant eu l'occasion d'admirer les tapisseries des Amours des dieux que son frère, le marquis de Marigny avait fait tendre dans le salon de son hôtel parisien, Madame de Pompadour commanda à son tour une tenture analogue, reproduisant les seuls trumeaux à sujets d'Enfants complétant les grands sujets. La pièce exposée, acquise en 2012, a fait partie de cette commande destinée à son hôtel parisien (actuel palais de l'Elysée).
Paris, manufacture des Gobelins. Atelier de haute lisse de Pierre-François Cozette. Tissage 1761. Laine et soie.
Ayant eu l'occasion d'admirer les tapisseries des Amours des dieux que son frère, le marquis de Marigny avait fait tendre dans le salon de son hôtel parisien, Madame de Pompadour commanda à son tour une tenture analogue, reproduisant les seuls trumeaux à sujets d'Enfants complétant les grands sujets. La pièce exposée, acquise en 2012, a fait partie de cette commande destinée à son hôtel parisien (actuel palais de l'Elysée).
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Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Merci pour tes photos, c'est une exposition que nous avons passé à la trappe. Je ne suis pas sûr que nous serons revenus pour la voir avant sa clôture.
Intéressant
Intéressant
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Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Merci pour cette visite illustrée !
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Tenture de François Boucher : Vénus sortant des eaux. Alentour de Maurice Jacques.
Paris, manufacture des Gobelins. Atelier de basse lisse de Jacques Neilson. Tissage vers 1770. Laine et soie.
Ayant eu l'occasion d'admirer aux Gobelins en 1769 la Tenture de Boucher commandée par Lawrence Dundas pour Moor Park, le prince de Condé chargea Neilson d'exécuter quatre pièces analogues pour sa chambre de parade au palais Bourbon. Mises sur métier à partir de 1770 environ, les pièces (musée du Louvre) présentent un dessin proche des cartons composés en 1762 pour le comte de Lillebonne, notablement enrichis toutefois d'ornements et d'animaux par Jacques en 1769. La tenture était accompagnée d'un lit et de sièges assortis.
Paris, manufacture des Gobelins. Atelier de basse lisse de Jacques Neilson. Tissage vers 1770. Laine et soie.
Ayant eu l'occasion d'admirer aux Gobelins en 1769 la Tenture de Boucher commandée par Lawrence Dundas pour Moor Park, le prince de Condé chargea Neilson d'exécuter quatre pièces analogues pour sa chambre de parade au palais Bourbon. Mises sur métier à partir de 1770 environ, les pièces (musée du Louvre) présentent un dessin proche des cartons composés en 1762 pour le comte de Lillebonne, notablement enrichis toutefois d'ornements et d'animaux par Jacques en 1769. La tenture était accompagnée d'un lit et de sièges assortis.
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Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
le comte axel a écrit:Merci pour tes photos, c'est une exposition que nous avons passé à la trappe. Je ne suis pas sûr que nous serons revenus pour la voir avant sa clôture.
Intéressant
La nuit, la neige a écrit:Merci pour cette visite illustrée !
De rien, les amis. C'était vraiment très bien. J'avais un a priori négatif sur les tapisseries des Gobelins.. et bien, cette expo m'a complètement fait changer d'avis.
Le mobilier de Roslin d'Ivry m'a scotché. Je ne présente ici qu'une infime partie des objets exposés. Certaines tentures, très bien conservées, ont gardé toutes leurs couleurs et sont vraiment superbes.
Invité- Invité
Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Sylvie délivrée par Aminte. Atelier de François Boucher. Vers 1780. Huile sur toile.
Vers 1780, le duc de Penthièvre accepta de prêter aux Gobelins quatre toiles de l'histoire d'Aminte peintes par Boucher pour Madame de Pompadour, qui lui appartenaient (Paris, Banque de France et Tours, musée des Beaux-Arts), pour renouveler les sujets des Tentures de Boucher. Les répliques exécutées aux Gobelins d'après les originaux (Mobilier national et musée du Louvre) furent employées en 1783 pour le tissage d'une Tenture de Boucher conservée de nos jours à Welbeck Abbey (Royamue-Uni) dans les collections du duc de Portland.
Vers 1780, le duc de Penthièvre accepta de prêter aux Gobelins quatre toiles de l'histoire d'Aminte peintes par Boucher pour Madame de Pompadour, qui lui appartenaient (Paris, Banque de France et Tours, musée des Beaux-Arts), pour renouveler les sujets des Tentures de Boucher. Les répliques exécutées aux Gobelins d'après les originaux (Mobilier national et musée du Louvre) furent employées en 1783 pour le tissage d'une Tenture de Boucher conservée de nos jours à Welbeck Abbey (Royamue-Uni) dans les collections du duc de Portland.
Invité- Invité
Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Aussi connu sous le titre Madame Sophie apprenant son bannissement.
boudoi26
Excellente visite en excellente compagnie en tout cas !
Comte Axel, l'expo se termine le 5 octobre, mais la galerie est fermée tout le mois d'août :
http://www.mobiliernational.culture.gouv.fr/fr/accueil
Gouverneur Morris- Messages : 11795
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Les Amours de Neptune et d'Amymone et Vénus aux forges de Vulcain. François Boucher. 1764. Huile sur toile.
A l'été 1763, le 6ème comte de Coventry commanda pour sa résidence de Croome Court (Royaume-Uni), aménagée par l'architecte Robert Adam, le tissage d'une tenture à partir des cartons préparés pour le comte de Lillebonne. Boucher, appelé pour fournir les modèles des médaillons disposés au centre des alentours, fournit quatre compositions, dont deux sont exposées. Pour le tissage, un fond damassé rose cramoisi fut adopté et les tapisseries installées en 1771 (à présent au Metropolitan Museum of Art de New York avec le mobilier des Gobelins assorti).
A l'été 1763, le 6ème comte de Coventry commanda pour sa résidence de Croome Court (Royaume-Uni), aménagée par l'architecte Robert Adam, le tissage d'une tenture à partir des cartons préparés pour le comte de Lillebonne. Boucher, appelé pour fournir les modèles des médaillons disposés au centre des alentours, fournit quatre compositions, dont deux sont exposées. Pour le tissage, un fond damassé rose cramoisi fut adopté et les tapisseries installées en 1771 (à présent au Metropolitan Museum of Art de New York avec le mobilier des Gobelins assorti).
Invité- Invité
Re: Exposition les Gobelins au siècle des Lumières
Quel bannissement? il y en a eu tant et tant :Gouverneur Morris a écrit:Aussi connu sous le titre Madame Sophie apprenant son bannissement.
boudoi26
Bien à vous.
Invité- Invité
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