A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
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Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
Majesté a écrit:Reinette a écrit:Moi, évidemment ! J'adhère tout à fait à ce que pense Franck Ferrand de ce roi.
Moi aussi...
Quel salopard de père ! :::!!!ùùù^^^^:
C'est vrai qu'on a tendance à oublier ses vices et ses travers grâce au vernis architectural avec lequel il a dissimulé tout cela...
Bien à vous.
Exactement. De l'apparence, seulement de l'apparence. Un roi bling-bling...
Au moins il a réussi à la perfection sa "com'". boudoi29
Un exemple frappant : j'aime à la folie Chambord. Dès que je vois ce château, en photo, je suis époustouflée. Et en vrai, évidemment, l'effet est indescriptible. Beau, BEAU , BEAU !!! Pour moi, indiscutablement le plus beau du monde. Mais l'intérieur est complètement vide. Un trou béant au centre. Bref une coquille vide. Tout à fait symbolique...
Invité- Invité
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
Reinette a écrit: Mais l'intérieur est complètement vide. Un trou béant au centre. Bref une coquille vide. Tout à fait symbolique...
OK...mais pourquoi attribuer à François Ier ce vide-là?
A l'époque la Cour voyageait avec son mobilier et ses tapisseries...
Or, aujourd'hui , on voit le château tel qu'il était lorsque la Cour était ailleurs.
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
Il m'a fait découvrir une facette de François Ier que je ne connaissais pas ! Il y a là de quoi alimenter les pires calomnies de la révolution...
_________________
"Je sais que l'on vient de Paris pour demander ma tête ! Mais j'ai appris de ma mère à ne pas craindre la mort, et je l'attendrai avec fermeté !"
Marie Antoinette
attachboy- Messages : 1492
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
Majesté a écrit:Reinette a écrit: Mais l'intérieur est complètement vide. Un trou béant au centre. Bref une coquille vide. Tout à fait symbolique...
OK...mais pourquoi attribuer à François Ier ce vide-là?
A l'époque la Cour voyageait avec son mobilier et ses tapisseries...
Or, aujourd'hui , on voit le château tel qu'il était lorsque la Cour était ailleurs.
Bien à vous.
Je ne parle pas pour le mobilier, la cour étant itinérante, c'est bien normal. Non, c'est l'architecture en elle-même : le coeur du château est une cage d'escalier à l'air libre. Donc un trou.
Invité- Invité
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
MARIE ANTOINETTE a écrit:
Dans quelques minutes je vais le regarder sur REPLAY, car hier soir je me suis endormie à la moitié qui était très intéressante.
MARIE ANTOINETTE
Itou!!!
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
J'ai regardé comme indiqué ci-dessus hier l'ombre d'un doute sur FRANCOIS IER - émission sérieuse, pas très gaie !!!! surtout la fin car j'ignorais, comme tout le monde, l'affreux génocide en pays VAUDOIS à l'encontre des protestants - 24 villages avec + de 3.000 personnes passées "par les armes" en réalité par le feux, les viols etc... des actions très agréables sans oublier la vente des jeunes filles à des villes proches !!! un participant a indiqué "un oradour" par des soldats français avec le plein accord du ROI !!!!!! (pas beau le FRANCOIS !!!!!)
au moment en j'entame la lecture du livre de LENOTRE "les noyades de NANTES".
MARIE ANTOINETTE
au moment en j'entame la lecture du livre de LENOTRE "les noyades de NANTES".
MARIE ANTOINETTE
MARIE ANTOINETTE- Messages : 3729
Date d'inscription : 22/12/2013
Age : 78
Localisation : P A R I S
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
Nous ne sommes plus au XVIIIè siècle, mais pas si loin : en 1816.
Une tragédie illustrée par Géricault et son célèbre tableau que nous connaissons tous.
Le commandant de la Méduse est un ancien émigré, de retour en France sous la Restauration de Louis XVIII...
Vous retrouverez donc, sur Arte 7+, un documentaire passionnant sur La véritable histoire du radeau de la Méduse.
C'est ici pour quelques jours encore (durée 1h30) : http://www.arte.tv/guide/fr/049878-000/la-veritable-histoire-du-radeau-de-la-meduse?autoplay=1
Une tragédie illustrée par Géricault et son célèbre tableau que nous connaissons tous.
Le commandant de la Méduse est un ancien émigré, de retour en France sous la Restauration de Louis XVIII...
Vous retrouverez donc, sur Arte 7+, un documentaire passionnant sur La véritable histoire du radeau de la Méduse.
C'est ici pour quelques jours encore (durée 1h30) : http://www.arte.tv/guide/fr/049878-000/la-veritable-histoire-du-radeau-de-la-meduse?autoplay=1
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
La nuit, la neige a écrit:
Vous retrouverez donc, sur Arte 7+, un documentaire passionnant sur La véritable histoire du radeau de la Méduse.
J'ai entendu sa présentation alléchante dans une matinale de France-Inter .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
150 sur le radeau au départ...15 survivants seulement.
Quel enfer !
Quel enfer !
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
Comment auraient-ils pu tenir à 150 sur un méchant radeau, ces malheureux ?
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
151, s'il vous plaît! ...le radeau mesurait 20 mètres sur 12 si je me souviens bien...
Il n'était pas non plus si minuscule...mais il "grandit" au fur et à mesure que son équipage diminuait...
Bien à vous.
Il n'était pas non plus si minuscule...mais il "grandit" au fur et à mesure que son équipage diminuait...
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
Le naufrage de la Méduse
En 1815, le retour de Louis XVIII sur le trône de France marque le début de la Seconde Restauration. Les Britanniques rendent le Sénégal à la France par le traité de Paris. Le 17 juin 1816, La Méduse appareille de l'île d'Aix, avec pour objectif le port sénégalais de Saint-Louis : elle a pour mission d'aller entériner cette restitution. Elle mène une flottille formée de trois autres appareils : le navire de combat Loire, le brick Argus et la corvette Écho. À son bord se trouvent environ 400 passagers, dont le colonel Julien Schmaltz, gouverneur du Sénégal, accompagné de sa femme Reine et de leur fille, ainsi que des scientifiques, des soldats et des colons.
Le commandant Hugues Duroy de Chaumareys, un vicomte revenu d'exil, est nommé capitaine de la Méduse en dépit du fait qu'il n'a plus navigué depuis plus de vingt ans. En voulant prendre de l'avance et en dépassant les trois autres bateaux, la frégate dévie de sa trajectoire de 160 kilomètres et quitte donc la route prévue. Le 2 juillet 1816, La Méduse s'échoue sur le banc d'Arguin, à 160 kilomètres de la côte mauritanienne. L'équipage construit un radeau avec des espars (assemblés par des cordages et sur lesquels sont cloués des planches qui forment un caillebotis glissant et instable) pour délester la frégate de ses lourdes marchandises, à l'exception des 44 canons, et la déséchouer.
Les opérations de remise à flot s'avèrent vaines : des avaries surviennent le 5 juillet et la mer devient mauvaise, rendant l'évacuation nécessaire. Dix-sept marins restent à bord de la frégate afin de tenter de la ramener à bon port. 233 passagers, dont Chaumareys, Schmaltz et sa famille, embarquent sur six canots et chaloupes afin de gagner la terre ferme, à 95 kilomètres de là. 149 marins et soldats, dont une femme, s'entassent sur le radeau de fortune non prévu pour transporter des hommes. Incapable de manoeuvrer, le radeau est amarré à une des chaloupes. Long de vingt mètres et large de sept, il menace d'être submergé lorsqu'il est pleinement chargé. Mais l'amarre se rompt ou est volontairement larguée.
Le commandant de Chaumareys décide alors d'abandonner à leur sort les passagers du radeau, avec leurs maigres vivres. Les infortunés, sous les ordres de l'aspirant de première classe Jean-Daniel Coudein, ne disposent plus que d'un paquet de biscuits (tombé à l'eau, les 25 livres de biscuit ne forment plus qu'une pâte), consommé le premier jour, de deux barriques d'eau douce et de six barriques de vin.
La situation se dégrade alors rapidement : les naufragés, pétris de peur, se disputent et font tomber leurs barriques d'eau douce dans l'océan, se reportant sur les barriques de vin pour étancher leur soif. Au septième jour, il ne reste que 27 survivants dont la moitié agonise. La faim, la colère, le délire éthylique pousse quelques désespérés à se jeter à l'eau ou à se livrer à des actes d'anthropophagie (cannibalisme de survie) alors que physiologiquement les hommes peuvent survivre sans manger plusieurs semaines.
Les officiers décident de jeter les blessés à la mer afin de conserver les rations de vin pour les hommes valides. Au bout de treize jours, le 17 juillet 1816, le radeau est repéré par le brick L'Argus, alors qu'aucun effort particulier n'était entrepris pour le retrouver.
Il n'a à son bord que quinze rescapés, qui sont suspectés de s'être entretués ou d'avoir jeté les autres par-dessus bord, voire d'avoir commis des actes de cannibalisme. La plupart des naufragés seraient morts de faim ou se seraient jetés à l'eau de désespoir. Quatre ou cinq hommes meurent dans les jours qui suivent à bord de l'Argus. Selon le critique d'art Jonathan Miles, la mésaventure vécue par ces hommes sur le radeau de La Méduse les a conduits « aux frontières de l'existence humaine. Devenus fous, reclus et affamés, ils massacrèrent ceux qui comptaient se rebeller, mangèrent leurs compagnons décédés et tuèrent les plus faibles. »
Au total, le naufrage cause la mort de plus de 150 personnes.
Les autres bateaux se séparent, et certains parviennent jusqu'à l'île de Saint-Louis, tandis que d'autres accostent le long de la côte et perdent des membres de l'équipage en raison de la chaleur et du manque de nourriture. Lorsque la marine britannique retrouve la Méduse, quarante-deux jours plus tard, seuls trois des dix-sept marins restés à bord sont encore en vie. Cet incident est source d'embarras pour la monarchie nouvellement restaurée : l'incompétence manifeste du commandant de Chaumareys ne révèle que trop bien le fait que sa nomination est due à ses relations avec le pouvoir .
( WIKI )
En 1815, le retour de Louis XVIII sur le trône de France marque le début de la Seconde Restauration. Les Britanniques rendent le Sénégal à la France par le traité de Paris. Le 17 juin 1816, La Méduse appareille de l'île d'Aix, avec pour objectif le port sénégalais de Saint-Louis : elle a pour mission d'aller entériner cette restitution. Elle mène une flottille formée de trois autres appareils : le navire de combat Loire, le brick Argus et la corvette Écho. À son bord se trouvent environ 400 passagers, dont le colonel Julien Schmaltz, gouverneur du Sénégal, accompagné de sa femme Reine et de leur fille, ainsi que des scientifiques, des soldats et des colons.
Le commandant Hugues Duroy de Chaumareys, un vicomte revenu d'exil, est nommé capitaine de la Méduse en dépit du fait qu'il n'a plus navigué depuis plus de vingt ans. En voulant prendre de l'avance et en dépassant les trois autres bateaux, la frégate dévie de sa trajectoire de 160 kilomètres et quitte donc la route prévue. Le 2 juillet 1816, La Méduse s'échoue sur le banc d'Arguin, à 160 kilomètres de la côte mauritanienne. L'équipage construit un radeau avec des espars (assemblés par des cordages et sur lesquels sont cloués des planches qui forment un caillebotis glissant et instable) pour délester la frégate de ses lourdes marchandises, à l'exception des 44 canons, et la déséchouer.
Les opérations de remise à flot s'avèrent vaines : des avaries surviennent le 5 juillet et la mer devient mauvaise, rendant l'évacuation nécessaire. Dix-sept marins restent à bord de la frégate afin de tenter de la ramener à bon port. 233 passagers, dont Chaumareys, Schmaltz et sa famille, embarquent sur six canots et chaloupes afin de gagner la terre ferme, à 95 kilomètres de là. 149 marins et soldats, dont une femme, s'entassent sur le radeau de fortune non prévu pour transporter des hommes. Incapable de manoeuvrer, le radeau est amarré à une des chaloupes. Long de vingt mètres et large de sept, il menace d'être submergé lorsqu'il est pleinement chargé. Mais l'amarre se rompt ou est volontairement larguée.
Le commandant de Chaumareys décide alors d'abandonner à leur sort les passagers du radeau, avec leurs maigres vivres. Les infortunés, sous les ordres de l'aspirant de première classe Jean-Daniel Coudein, ne disposent plus que d'un paquet de biscuits (tombé à l'eau, les 25 livres de biscuit ne forment plus qu'une pâte), consommé le premier jour, de deux barriques d'eau douce et de six barriques de vin.
La situation se dégrade alors rapidement : les naufragés, pétris de peur, se disputent et font tomber leurs barriques d'eau douce dans l'océan, se reportant sur les barriques de vin pour étancher leur soif. Au septième jour, il ne reste que 27 survivants dont la moitié agonise. La faim, la colère, le délire éthylique pousse quelques désespérés à se jeter à l'eau ou à se livrer à des actes d'anthropophagie (cannibalisme de survie) alors que physiologiquement les hommes peuvent survivre sans manger plusieurs semaines.
Les officiers décident de jeter les blessés à la mer afin de conserver les rations de vin pour les hommes valides. Au bout de treize jours, le 17 juillet 1816, le radeau est repéré par le brick L'Argus, alors qu'aucun effort particulier n'était entrepris pour le retrouver.
Il n'a à son bord que quinze rescapés, qui sont suspectés de s'être entretués ou d'avoir jeté les autres par-dessus bord, voire d'avoir commis des actes de cannibalisme. La plupart des naufragés seraient morts de faim ou se seraient jetés à l'eau de désespoir. Quatre ou cinq hommes meurent dans les jours qui suivent à bord de l'Argus. Selon le critique d'art Jonathan Miles, la mésaventure vécue par ces hommes sur le radeau de La Méduse les a conduits « aux frontières de l'existence humaine. Devenus fous, reclus et affamés, ils massacrèrent ceux qui comptaient se rebeller, mangèrent leurs compagnons décédés et tuèrent les plus faibles. »
Au total, le naufrage cause la mort de plus de 150 personnes.
Les autres bateaux se séparent, et certains parviennent jusqu'à l'île de Saint-Louis, tandis que d'autres accostent le long de la côte et perdent des membres de l'équipage en raison de la chaleur et du manque de nourriture. Lorsque la marine britannique retrouve la Méduse, quarante-deux jours plus tard, seuls trois des dix-sept marins restés à bord sont encore en vie. Cet incident est source d'embarras pour la monarchie nouvellement restaurée : l'incompétence manifeste du commandant de Chaumareys ne révèle que trop bien le fait que sa nomination est due à ses relations avec le pouvoir .
( WIKI )
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
Le Radeau de La Méduse est aussi un film français d'Iradj Azimi, tourné entre 1987 et 1991 mais sorti uniquement sur les écrans en 1998. Il est inspiré de la véritable histoire des naufragés de La Méduse et de la création du tableau de Géricault.
Synopsis
1815. Après Waterloo, Louis XVIII se réinstalle sur le trône de France. De Rochefort part pour le Sénégal la frégate « La Méduse », sous les ordres du commandant Chaumareys, avec à son bord le futur gouverneur du Sénégal, Julien Schmaltz, accompagné de sa femme Reine et de leur fille. Très vite le climat de cette expédition officielle se charge de soupçon et de haine. Des tensions entre Chaumareys et le lieutenant Coudein éclatent.
La fête traditionnelle du passage du Tropique est très tendue. Coudein a été destitué et remplacé par un civil, Richefort, mais ce qu'il redoutait se produit : l'échouage sur le banc d'Arguin. Il faut quitter le bateau. La famille de Schmaltz et les fidèles de Chaumareys s'entassent sur cinq canots à voile, qui remorquent un radeau construit à la hâte, occupé par cent quarante soldats et marins, dont Coudein et Savigny. Richefort coupe le cordage et abandonne le radeau.
Distribution
Jean Yanne : Commandant Duroy de Chaumereys
Daniel Mesguich : Lieutenant Jean-Daniel Coudein
Claude Jade : Reine Schmaltz
Philippe Laudenbach : Julien Schmaltz
Alain Macé : Henri Savigny
Rufus : « Harmonica », le soldat musicien
Michel Baumann : Alexandre Corréard, le maître d'équipage
Victor Garrivier : Antoine Richefort
Laurent Terzieff : Géricault
À 63 ans Laurent Terzieff a plus du double de l'âge du personnage de Théodore Géricault qu'il interprète : celui-ci avait 27 ans à l'âge où il a réalisé ce tableau... mais il lui apporte le charisme qu'on lui connaît...
Bien à vous.
Synopsis
1815. Après Waterloo, Louis XVIII se réinstalle sur le trône de France. De Rochefort part pour le Sénégal la frégate « La Méduse », sous les ordres du commandant Chaumareys, avec à son bord le futur gouverneur du Sénégal, Julien Schmaltz, accompagné de sa femme Reine et de leur fille. Très vite le climat de cette expédition officielle se charge de soupçon et de haine. Des tensions entre Chaumareys et le lieutenant Coudein éclatent.
La fête traditionnelle du passage du Tropique est très tendue. Coudein a été destitué et remplacé par un civil, Richefort, mais ce qu'il redoutait se produit : l'échouage sur le banc d'Arguin. Il faut quitter le bateau. La famille de Schmaltz et les fidèles de Chaumareys s'entassent sur cinq canots à voile, qui remorquent un radeau construit à la hâte, occupé par cent quarante soldats et marins, dont Coudein et Savigny. Richefort coupe le cordage et abandonne le radeau.
Distribution
Jean Yanne : Commandant Duroy de Chaumereys
Daniel Mesguich : Lieutenant Jean-Daniel Coudein
Claude Jade : Reine Schmaltz
Philippe Laudenbach : Julien Schmaltz
Alain Macé : Henri Savigny
Rufus : « Harmonica », le soldat musicien
Michel Baumann : Alexandre Corréard, le maître d'équipage
Victor Garrivier : Antoine Richefort
Laurent Terzieff : Géricault
À 63 ans Laurent Terzieff a plus du double de l'âge du personnage de Théodore Géricault qu'il interprète : celui-ci avait 27 ans à l'âge où il a réalisé ce tableau... mais il lui apporte le charisme qu'on lui connaît...
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
lundi 1er juin, sur France 3 à 20 h 50, "l'ombre d'un doute, la guerre des femmes à la cour du roi soleil " !
:n,,;::::!!!:
:n,,;::::!!!:
_________________
"Je sais que l'on vient de Paris pour demander ma tête ! Mais j'ai appris de ma mère à ne pas craindre la mort, et je l'attendrai avec fermeté !"
Marie Antoinette
attachboy- Messages : 1492
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
Merci, Attach' !
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
Lundi dernier, France 3 a diffusé un très beau reportage intitulé : Résistantes, trois femmes symboles de la liberté.
Ce sont trois survivantes (elles ont plus de 90 ans) qui racontent, au nom de toutes les femmes résistantes oubliées trop longtemps par l'Histoire, leurs engagements et leurs souvenirs de combattantes.
Si le sujet vous intéresse, je vous encourage à écouter les récits de ces trois femmes courageuses, dignes, et attachantes, que nous pourrions croiser dans la rue sans jamais pouvoir imaginer ce qu'elles ont accompli.
Ici sur Pluzz : http://pluzz.francetv.fr/videos/resistantes_,122909510.html
Ou déjà sur Youtube :
Ce sont trois survivantes (elles ont plus de 90 ans) qui racontent, au nom de toutes les femmes résistantes oubliées trop longtemps par l'Histoire, leurs engagements et leurs souvenirs de combattantes.
Si le sujet vous intéresse, je vous encourage à écouter les récits de ces trois femmes courageuses, dignes, et attachantes, que nous pourrions croiser dans la rue sans jamais pouvoir imaginer ce qu'elles ont accompli.
Ici sur Pluzz : http://pluzz.francetv.fr/videos/resistantes_,122909510.html
Ou déjà sur Youtube :
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
La nuit, la neige a écrit:
Si le sujet vous intéresse, je vous encourage à écouter les récits de ces trois femmes courageuses
Dès demain aussi !
Merci, pour ce lien !
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
Tu verras, elles sont géniales !
De sacrés personnages, et qui ne fanfaronnent pas qui plus est.
Une grande leçon de dignité et de courage.
De sacrés personnages, et qui ne fanfaronnent pas qui plus est.
Une grande leçon de dignité et de courage.
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
.
Je te fais confiance !
Nous portons souvent, toi et moi, sur les mêmes gens le même regard .
Je te fais confiance !
Nous portons souvent, toi et moi, sur les mêmes gens le même regard .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
Il faut que je regarde ça. Je suis en ce moment plongée dans un énorme pavé sur la Seconde Guerre mondiale. J'en vois bientôt la fin !
Invité- Invité
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
Ne loupe pas ce reportage : tu vas apprécier.Reinette a écrit:Il faut que je regarde ça.
Et je ne doute pas que si tes élèves étaient plus âgés, c'eût été séance vidéo obligatoire pour toute la classe !
Reinette a écrit:Je suis en ce moment plongée dans un énorme pavé sur la Seconde Guerre mondiale. J'en vois bientôt la fin !
Moi aussi !!
Je lis :
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
;
Tu connais certainement le film de René Clément ?
( à qui nous devons aussi Jeux interdits )
Paris brûle-t-il ? est un film franco-américain de 1966, réalisé par René Clément à la demande du producteur Paul Graetz et adapté du livre best-seller éponyme de Larry Collins et Dominique Lapierre.
C'est une fresque historique qui montre les faits de Résistance et les actions militaires qui, en août 1944, conduisent à la Libération de Paris et à la reddition du général von Choltitz, commandant en chef de la Wehrmacht à Paris.
Le film met en scène les principaux personnages historiques de cette période : outre von Choltitz, le général américain Patton, Jacques Chaban-Delmas, alors l'un des chefs de la Résistance, le général Leclerc, etc.
La fin du film insiste sur l'ordre donné par Adolf Hitler à l'armée d'occupation de raser Paris avant de capituler, en faisant sauter les ponts et les monuments. Von Choltitz, par calcul, désobéit finalement à cet ordre et se rend sans condition aux Alliés.
Le casting est époustouflant !!! :n,,;::::!!!: :n,,;::::!!!: :n,,;::::!!!:
Entre autres, je citerai :
Jean-Paul Belmondo, Charles Boyer, Leslie Caron, Jean-Pierre Cassel, George Chakiris, Bruno Cremer, Alain Delon, Kirk Douglas, Glenn Ford, Daniel Gélin : Yves Bayet, Yves Montand, Anthony Perkins, Michel Piccoli, Claude Rich, Simone Signoret, Robert Stack, Jean-Louis Trintignant, Pierre Vaneck, Orson Welles ....
Avec la fameuse musique ... pour la Comtesse Diane et Attach' !
.
Tu connais certainement le film de René Clément ?
( à qui nous devons aussi Jeux interdits )
Paris brûle-t-il ? est un film franco-américain de 1966, réalisé par René Clément à la demande du producteur Paul Graetz et adapté du livre best-seller éponyme de Larry Collins et Dominique Lapierre.
C'est une fresque historique qui montre les faits de Résistance et les actions militaires qui, en août 1944, conduisent à la Libération de Paris et à la reddition du général von Choltitz, commandant en chef de la Wehrmacht à Paris.
Le film met en scène les principaux personnages historiques de cette période : outre von Choltitz, le général américain Patton, Jacques Chaban-Delmas, alors l'un des chefs de la Résistance, le général Leclerc, etc.
La fin du film insiste sur l'ordre donné par Adolf Hitler à l'armée d'occupation de raser Paris avant de capituler, en faisant sauter les ponts et les monuments. Von Choltitz, par calcul, désobéit finalement à cet ordre et se rend sans condition aux Alliés.
Le casting est époustouflant !!! :n,,;::::!!!: :n,,;::::!!!: :n,,;::::!!!:
Entre autres, je citerai :
Jean-Paul Belmondo, Charles Boyer, Leslie Caron, Jean-Pierre Cassel, George Chakiris, Bruno Cremer, Alain Delon, Kirk Douglas, Glenn Ford, Daniel Gélin : Yves Bayet, Yves Montand, Anthony Perkins, Michel Piccoli, Claude Rich, Simone Signoret, Robert Stack, Jean-Louis Trintignant, Pierre Vaneck, Orson Welles ....
Avec la fameuse musique ... pour la Comtesse Diane et Attach' !
.
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: A voir ou revoir en vidéo, replay (hors XVIIIe siècle)
La nuit, la neige a écrit:Tu verras, elles sont géniales !
... au-delà de toute expression !
La nuit, la neige a écrit:
Et je ne doute pas que si tes élèves étaient plus âgés, c'eût été séance vidéo obligatoire pour toute la classe !
Oh oui !
C'est pourquoi la fin de la vidéo est un formidable moment d'émotion .
;
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
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