Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
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Re: Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
Elisabeth Vigée Le Brun consigne dans ses Souvenirs :
A la même époque j'ai fait aussi le portrait de la princesse Lamballe. Sans être jolie elle paraissait l'être à quelque distance .
Hum ... cela aurait pu être posté dans le sujet des mots du XVIIIème qui font mal .
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Mme de Sabran- Messages : 55497
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Re: Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
La princesse, qui prétendait communiquer avec les esprits par l'intermédiaire de ses chiens, avait pour amant officiel le comte de Coigny ...
( Evelyne Lever, Le grand amour de Marie-Antoinbette )
Ah bon ?
( Evelyne Lever, Le grand amour de Marie-Antoinbette )
Ah bon ?
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Mme de Sabran- Messages : 55497
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Re: Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
Ce qui m'énerve dans la plupart des livres d'histoire français, c'est l'absence de notes de bas de page avec la mention des sources.
Où par exemple Mme Lever a puisé cette supposition ?
Quand je fais des recherches sur internet, je tombe uniquement sur un récit de Victor du Bled ( ) qui décrit les amours platoniques entre Mme de Coigny et Lauzun
Où par exemple Mme Lever a puisé cette supposition ?
Quand je fais des recherches sur internet, je tombe uniquement sur un récit de Victor du Bled ( ) qui décrit les amours platoniques entre Mme de Coigny et Lauzun
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« elle dominait de la tête toutes les dames de sa cour, comme un grand chêne, dans une forêt, s'élève au-dessus des arbres qui l'environnent. »
Comte d'Hézècques- Messages : 4390
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Re: Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
Comte d'Hézècques a écrit:Ce qui m'énerve dans la plupart des livres d'histoire français, c'est l'absence de notes de bas de page avec la mention des sources.
Oui c'est agaçant.
Castelot affirmait avoir été informé d'une correspondance amoureuse entre Marie-Antoinette et Coigny... mais pas entre Mme de Lamballe et Coigny. On ne sait quoi penser de tout ceci.
La princesse de Lamballe s'était sans doute faite "poivrer" par son (éphèmère) mari ... elle était souvent malade, partait régulièrement en cure, à Bath ou ailleurs. A-t-elle vraiment pu prendre un amant dans ces conditions? Je demande à savoir, et à comprendre.
Duc d'Ostrogothie- Messages : 3227
Date d'inscription : 04/11/2017
Re: Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
Il ne s'agit pas du même Coigny .Duc d'Ostrogothie a écrit:
Castelot affirmait avoir été informé d'une correspondance amoureuse entre Marie-Antoinette et Coigny... mais pas entre Mme de Lamballe et Coigny. On ne sait quoi penser de tout ceci.
Celui dont parle Castelot est le duc de Coigny, François-Henri, amant de la princesse de Guéménée au début du règne, amant ensuite puis légitime mari d'Aglaé d'Andlau ( cousine germaine de Mme de Polignac ) lorsqu'elle se retrouve veuve du comte Hardouin de Chalon.
Le comte de Coigny que Mme Lever donne pour amant à notre princesse ( ) est le frère puîné du précédent . Il était chevalier d'honneur de Madame Élisabeth.
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Mme de Sabran- Messages : 55497
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Re: Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
Dans le Mémorial de Sainte-Hélène, au mois d'octobre 1816, Napoléon demandait à Las Cases, son confident qui partageait son exil sur l'île affreuse de Sainte-Hélène, de l'éclaircir un peu sur Mme de Lamballe.
Las Cases était bien placé pour lui en dire plus sur l'infortunée princesse, puisqu'une de ses parentes, la marquise de Las Cases était la dame d'honneur de la princesse :
"L’Empereur passait ensuite à la princesse de Lamballe, dont il n’avait aucune idée. Je pouvais aisément le satisfaire, je l’avais beaucoup connue. Une parente de mon nom étant sa dame d’honneur lorsque j’arrivai à Aix-la-Chapelle, au commencement de mon émigration, je fus reçu auprès d’elle comme de sa maison, et traité avec une grande bonté.
La princesse de Lamballe, disais-je, réunissait auprès d’elle, dans cette ville, beaucoup de débris de Versailles, de vieux courtisans et d’anciennes personnes à la mode. Il y venait aussi beaucoup d’illustres étrangers. J’y vis souvent le roi de Suède, Gustave III, sous le nom de comte de Haga ; le prince Ferdinand de Prusse, avec ses enfants, dont l’aîné, le prince Louis, a été tué quelques instants avant la bataille d’Iéna ; la duchesse de Cumberland, veuve d’un frère du roi d’Angleterre, etc., etc.
Lorsque Louis XVI, acceptant solennellement la constitution, recomposa sa maison, la princesse reçut une lettre officielle de la reine pour l’engager à reprendre auprès d’elle ses fonctions de surintendante. La princesse prit l’avis de ses vieux conseillers, qui tous pensèrent que, la reine n’étant point libre et le danger pouvant être grand à Paris, il ne fallait pas s’y rendre, et regarder la lettre de la reine comme non avenue. La princesse ayant demandé ailleurs ce qu’on en pensait, on eut le malheur de répondre : « Madame vous avez partagé les prospérités de la reine, il serait bien beau de lui montrer de la fidélité, surtout aujourd’hui que vous avez cessé d’être sa favorite. » La princesse avait le cœur élevé, les affections tendres, la tête volontiers romanesque ; elle déclara le lendemain qu’elle partait pour Paris.
Cette malheureuse princesse retourna donc dans la capitale avec pleine connaissance du péril ; elle est tombée illustre victime de sa générosité et de ses beaux sentiments. Mes parents m’avaient offert à elle ; un moment je dus la suivre. Ma jeunesse et le peu d’instants que j’avais paru à Paris eussent pu me laisser auprès d’elle à peu près inconnu, et j’aurais peut-être pu être utile ; mais, au moment du départ, la princesse y vit des inconvénients, et me commanda d’y renoncer : toutefois je demeurai son nouvelliste. Je lui mandais tous les deux jours, de la meilleure foi du monde, les histoires et les contes ridicules de tout genre dont on flattait nos illusions, et que nous ne manquions pas d’adopter avec la foi la plus robuste.
Je les lui mandais encore, que nous étions déjà en campagne ; je les lui mandais encore, qu’elle n’était déjà plus !… À la douleur extrême que je ressentis de son effroyable destinée dut se joindre quelque temps la crainte secrète d’y avoir contribué peut-être par mes bulletins.
Et le hasard fait, ajoutais-je à l’Empereur, que je me trouve avoir ici quelques lignes qu’elle traçait peu de jours avant la hideuse catastrophe dont elle nous a laissé l’horrible souvenir ; elles sont datées du haut de mon donjon : c’était ainsi qu’elle appelait précisément le pavillon de Flore qu’elle occupait en cet instant aux Tuileries."
Las Cases était bien placé pour lui en dire plus sur l'infortunée princesse, puisqu'une de ses parentes, la marquise de Las Cases était la dame d'honneur de la princesse :
"L’Empereur passait ensuite à la princesse de Lamballe, dont il n’avait aucune idée. Je pouvais aisément le satisfaire, je l’avais beaucoup connue. Une parente de mon nom étant sa dame d’honneur lorsque j’arrivai à Aix-la-Chapelle, au commencement de mon émigration, je fus reçu auprès d’elle comme de sa maison, et traité avec une grande bonté.
La princesse de Lamballe, disais-je, réunissait auprès d’elle, dans cette ville, beaucoup de débris de Versailles, de vieux courtisans et d’anciennes personnes à la mode. Il y venait aussi beaucoup d’illustres étrangers. J’y vis souvent le roi de Suède, Gustave III, sous le nom de comte de Haga ; le prince Ferdinand de Prusse, avec ses enfants, dont l’aîné, le prince Louis, a été tué quelques instants avant la bataille d’Iéna ; la duchesse de Cumberland, veuve d’un frère du roi d’Angleterre, etc., etc.
Lorsque Louis XVI, acceptant solennellement la constitution, recomposa sa maison, la princesse reçut une lettre officielle de la reine pour l’engager à reprendre auprès d’elle ses fonctions de surintendante. La princesse prit l’avis de ses vieux conseillers, qui tous pensèrent que, la reine n’étant point libre et le danger pouvant être grand à Paris, il ne fallait pas s’y rendre, et regarder la lettre de la reine comme non avenue. La princesse ayant demandé ailleurs ce qu’on en pensait, on eut le malheur de répondre : « Madame vous avez partagé les prospérités de la reine, il serait bien beau de lui montrer de la fidélité, surtout aujourd’hui que vous avez cessé d’être sa favorite. » La princesse avait le cœur élevé, les affections tendres, la tête volontiers romanesque ; elle déclara le lendemain qu’elle partait pour Paris.
Cette malheureuse princesse retourna donc dans la capitale avec pleine connaissance du péril ; elle est tombée illustre victime de sa générosité et de ses beaux sentiments. Mes parents m’avaient offert à elle ; un moment je dus la suivre. Ma jeunesse et le peu d’instants que j’avais paru à Paris eussent pu me laisser auprès d’elle à peu près inconnu, et j’aurais peut-être pu être utile ; mais, au moment du départ, la princesse y vit des inconvénients, et me commanda d’y renoncer : toutefois je demeurai son nouvelliste. Je lui mandais tous les deux jours, de la meilleure foi du monde, les histoires et les contes ridicules de tout genre dont on flattait nos illusions, et que nous ne manquions pas d’adopter avec la foi la plus robuste.
Je les lui mandais encore, que nous étions déjà en campagne ; je les lui mandais encore, qu’elle n’était déjà plus !… À la douleur extrême que je ressentis de son effroyable destinée dut se joindre quelque temps la crainte secrète d’y avoir contribué peut-être par mes bulletins.
Et le hasard fait, ajoutais-je à l’Empereur, que je me trouve avoir ici quelques lignes qu’elle traçait peu de jours avant la hideuse catastrophe dont elle nous a laissé l’horrible souvenir ; elles sont datées du haut de mon donjon : c’était ainsi qu’elle appelait précisément le pavillon de Flore qu’elle occupait en cet instant aux Tuileries."
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Comte d'Hézècques- Messages : 4390
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Localisation : Pays-Bas autrichiens
Re: Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
Hélas oui ! C'est sur le conseil de Barnave que Marie-Antoinette rappela la malheureuse Lamballe auprès d'elle ...
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Mme de Sabran- Messages : 55497
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Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
La princesse de Lamballe, selon Mirabeau ( qui prétendait " l'avoir eue " )
Extrait de l'une des Lettres à Julie ( Julie Dauvers ) écrites du donjon de Vincennes .
Eh bien, eh bien ! qu'ils s'y jouent, ceux qui la trouvent bête ! c'est qu'eux-mêmes sont assez bêtes pour ne pas voir que la feinte ingénuité de ses discours, et quelquefois même son apparente étourderie, sont le très ingénieux masque de son esprit; mais moi qui ai environ quatre ou cinq cents lettres d'elle, et qui l'ai vue dans toutes les positions possibles (à son état du moins) , je sais qu'en penser; et je ne connais point de femme de cet étage qui l'approche même de fort loin. Si l'impétuosité de son caractère ne barrait pas son esprit très intrigant, vous en verriez de belles ; mais le tempérament et la fierté sont deux obstacles à ses vues; du reste, ma bonne Liriette, je vous parlerai à fond sur tout cela et vous conterai net mon histoire dans ce pays et mes projets ; bien entendu que, sous votre serment le plus sacré, ce sera pour vous seule, et enterré pour jamais, soit que tout réussisse, soit que tout échoue.
https://archive.org/stream/lettresjuliecri00lelogoog/lettresjuliecri00lelogoog_djvu.txt
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Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
Je croyais pourtant avoir lu quelque part que Marie-Antoinette aurait écrit à la princesse une lettre du genre : "Non ma chère, ne revenez pas, ne revenez pas vous jeter dans la gueule du tigre", non ?
Le passage (tout en délicatesse...) de Mirabeau laisse à penser que la princesse n'était pas si sage que ça. Hé bien, si c'est vrai, elle a bien eu raison ! Vu son mari et le peu qu'elle a connu avec lui, elle a bien eu raison de se faire plaisir par la suite.
(Après c'est vrai, se faire fendre l'abricot par Mirabeau, fallait en vouloir quand-même... Mais bon, il avait peut-être des talents cachés...)
Le passage (tout en délicatesse...) de Mirabeau laisse à penser que la princesse n'était pas si sage que ça. Hé bien, si c'est vrai, elle a bien eu raison ! Vu son mari et le peu qu'elle a connu avec lui, elle a bien eu raison de se faire plaisir par la suite.
(Après c'est vrai, se faire fendre l'abricot par Mirabeau, fallait en vouloir quand-même... Mais bon, il avait peut-être des talents cachés...)
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Calonne- Messages : 1123
Date d'inscription : 01/01/2014
Age : 52
Localisation : Un manoir à la campagne
Re: Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
Il y a sans doute de la part de Mirabeau beaucoup de vantardise en ce qui concerne Mme de Lamballe ( qu'il appelle " Urgante " ) ... mais, singulièrement, il plaisait et séduisait, par son intelligence et son aplomb, je pense. Il devait impressionner fortement.
Si je ne m'abuse, c'est sur le conseil de Barnave que Marie-Antoinette rappela la princesse auprès d'elle. Pressentant le pire, Mme de Lamballe ne revint qu'après avoir rédigé son testament . brrrrrrr !
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Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
Mirabeau dans une assemblée, c'est Johnny à Bercy .....
charenton- Messages : 1147
Date d'inscription : 23/02/2022
Age : 75
Localisation : 75012 PARIS
Re: Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
Tatie Wikie semble confirmer mes doutes :
"Fin 1791, la reine supplie la princesse de ne pas revenir à Paris, mais cette dernière, soit qu'elle craigne pour la sûreté de ses biens menacés par les lois en préparation sur les biens d’émigrés, soit que son dévouement pour la reine est tel qu'elle souhaite être à ses côtés et partager ses périls, rentre à Paris"
"Fin 1791, la reine supplie la princesse de ne pas revenir à Paris, mais cette dernière, soit qu'elle craigne pour la sûreté de ses biens menacés par les lois en préparation sur les biens d’émigrés, soit que son dévouement pour la reine est tel qu'elle souhaite être à ses côtés et partager ses périls, rentre à Paris"
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Calonne- Messages : 1123
Date d'inscription : 01/01/2014
Age : 52
Localisation : Un manoir à la campagne
Re: Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
Certes, mon cher Calonne, certes. Pourtant, le 29 septembre 1791, Marie-Antoinette écrivait à Barnave :
Au reste, on aura beau dire, ce n'est pas de notre aveu qu'ils (les émigrants) s'en vont. Nous ne pouvons rien dire, et la plus forte preuve que nous ne sommes pas d'accord, c'est que toutes les personnes sur lesquelles j'ai vraiment des droits reviennent, nommément Mme de Lamballe que j'engage à revenir.
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Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
Contexte de la citation ci-dessus .
Voici donc le très périlleux contexte politique dans lequel se débat Marie-Antoinette, écartelée qu'elle est entre les conseils de Barnave et ceux, contraires, de Fersen :
( Simone Bertière, Marie-Antoinette, l'insoumise )
... et voici maintenant la lettre dont est extraite la citation sur le rappel de Mme de Lamballe ( message précédent ) :
( Evelyne Lever, Marie-Antoinette, Correspondance )
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Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe
Simone Bertière écrit également qu'il arrivait à Marie-Antoinette, à force de jouer double jeu, de s'emmêler les pinceaux et d'écrire tout et son contraire au même interlocuteur à quelques heures d'intervalle. Alors oui, il est fort possible qu'elle ait supplié la pauvre princesse de ne pas revenir autant qu'elle l'aura engagé à revenir.
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Calonne- Messages : 1123
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