Les guillotinés de la Révolution Française
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Les guillotinés de la Révolution Française
Ce site recense toutes les victimes de l'échafaud pendant la Révolution...
Si j'y ai trouvé Louis XVI et Madame Elisabeth, je n'arrive pas à y trouver Marie-Antoinette, ni à Marie, ni à Antoinette, ni à Autriche, ni à Lorraine, ni à Habsbourg àè-è\':
La Reine ne serait-Elle pas morte? :n,,;::::!!!:
Bien à vous.
Si j'y ai trouvé Louis XVI et Madame Elisabeth, je n'arrive pas à y trouver Marie-Antoinette, ni à Marie, ni à Antoinette, ni à Autriche, ni à Lorraine, ni à Habsbourg àè-è\':
La Reine ne serait-Elle pas morte? :n,,;::::!!!:
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Les guillotinés de la Révolution Française
.
Tu as raison, c'est fou ça ! pas de Marie-Antoinette !!!
C'est inouï un pareil oubli ...
Quelqu'un a-t-il une explication ?
En revanche, il y a la méprise que nous connaissons bien :
ANTIE (dit léonard), âgé de 36 ans, né à Panieres, coiffeur de la femme Capet, ci-devant, reine et depuis employé dans les charrois de l'artillerie, condamné à mort le 7 Thermidor an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme complice de la conspiration de la maison d'arrêt de St Lazare
Le grain de sel de Wiki :
Un décédé bien vivant
Lorsque tous ceux qui avaient pris une part plus ou moins active à la fuite du roi furent décrétés d’accusation, Léonard ne fut pas poursuivi, mais au lieu de rentrer en France où il ne courait aucun danger, cet homme si pressé de satisfaire à l’impatience de ses nobles clientes, si dénué d’argent qu’il s’inquiétait, au départ, de savoir comment il reviendrait, trouva le moyen de vivre pendant trois mois à l’étranger sans qu’on entende parler de lui. Quand il reparut à Paris, il semble qu’il se soit tenu coi sans reprendre son métier jusqu’à la journée du 10 aout 1792. À l’avènement de la République, il obtint une place, à Versailles, dans les services de remonte de l’armée. Il occupait cet emploi quand il fut arrêté, durant la Terreur, en messidor an II. Condamné à mort le 7 thermidor « pour avoir précédé la Reine sur la route de Montmédy », il figura dans la même fournée que Jean-Antoine Roucher et André Chénier. Après que les corps eurent été jetés à la fosse commune de Picpus, les actes authentiques du décès des condamnés furent, comme d’habitude, dressés d’après le procès-verbal de remise à l’exécuteur, avant d’être consignés à l’état civil.
Figurant officiellement au nombre des guillotinés tout en ayant évité la désagréable formalité qui conférait des droits incontestables à ce titre, le coiffeur Léonard eut le rare privilège de… décéder à deux reprises ( : ) : cet homme figure, à deux reprises, sur le même registre de décès, sans qu’il y ait ni substitution ni erreur ni matière à rectification.
En 1814, le décédé revenait de Russie où il avait passé vingt ans. Vivant encore à l’époque de la Restauration, Léonard garda le silence sur son étrange conduite pendant la nuit de Varennes, qui n’aurait pas été autre s’il avait voulu faire arrêter la voiture royale, et sur son extraordinaire odyssée de guillotiné bien portant. Ordonnateur du service des inhumations, en 1818, on pouvait le voir marcher, en culottes courtes, en manteau de deuil, la badine noire à la main, en tête des convois quand les hasards de son service le conduisaient au cimetière de Picpus où étaient enterrés tous ceux qui avaient péri « avec lui » sur l’échafaud. Son deuxième décès eut lieu après sa mort définitive, rue Saint-Thomas-du-Louvre. Son acte de décès – le second, datant du 24 mars 1820 – existait d’ailleurs à l’état civil de Paris avant l’incendie de 1871.
Tu as raison, c'est fou ça ! pas de Marie-Antoinette !!!
C'est inouï un pareil oubli ...
Quelqu'un a-t-il une explication ?
En revanche, il y a la méprise que nous connaissons bien :
ANTIE (dit léonard), âgé de 36 ans, né à Panieres, coiffeur de la femme Capet, ci-devant, reine et depuis employé dans les charrois de l'artillerie, condamné à mort le 7 Thermidor an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme complice de la conspiration de la maison d'arrêt de St Lazare
Le grain de sel de Wiki :
Un décédé bien vivant
Lorsque tous ceux qui avaient pris une part plus ou moins active à la fuite du roi furent décrétés d’accusation, Léonard ne fut pas poursuivi, mais au lieu de rentrer en France où il ne courait aucun danger, cet homme si pressé de satisfaire à l’impatience de ses nobles clientes, si dénué d’argent qu’il s’inquiétait, au départ, de savoir comment il reviendrait, trouva le moyen de vivre pendant trois mois à l’étranger sans qu’on entende parler de lui. Quand il reparut à Paris, il semble qu’il se soit tenu coi sans reprendre son métier jusqu’à la journée du 10 aout 1792. À l’avènement de la République, il obtint une place, à Versailles, dans les services de remonte de l’armée. Il occupait cet emploi quand il fut arrêté, durant la Terreur, en messidor an II. Condamné à mort le 7 thermidor « pour avoir précédé la Reine sur la route de Montmédy », il figura dans la même fournée que Jean-Antoine Roucher et André Chénier. Après que les corps eurent été jetés à la fosse commune de Picpus, les actes authentiques du décès des condamnés furent, comme d’habitude, dressés d’après le procès-verbal de remise à l’exécuteur, avant d’être consignés à l’état civil.
Figurant officiellement au nombre des guillotinés tout en ayant évité la désagréable formalité qui conférait des droits incontestables à ce titre, le coiffeur Léonard eut le rare privilège de… décéder à deux reprises ( : ) : cet homme figure, à deux reprises, sur le même registre de décès, sans qu’il y ait ni substitution ni erreur ni matière à rectification.
En 1814, le décédé revenait de Russie où il avait passé vingt ans. Vivant encore à l’époque de la Restauration, Léonard garda le silence sur son étrange conduite pendant la nuit de Varennes, qui n’aurait pas été autre s’il avait voulu faire arrêter la voiture royale, et sur son extraordinaire odyssée de guillotiné bien portant. Ordonnateur du service des inhumations, en 1818, on pouvait le voir marcher, en culottes courtes, en manteau de deuil, la badine noire à la main, en tête des convois quand les hasards de son service le conduisaient au cimetière de Picpus où étaient enterrés tous ceux qui avaient péri « avec lui » sur l’échafaud. Son deuxième décès eut lieu après sa mort définitive, rue Saint-Thomas-du-Louvre. Son acte de décès – le second, datant du 24 mars 1820 – existait d’ailleurs à l’état civil de Paris avant l’incendie de 1871.
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les guillotinés de la Révolution Française
La Reine est à "Antoinette".
pilayrou- Messages : 674
Date d'inscription : 06/03/2014
Age : 63
Localisation : Guilers (Brest)
Re: Les guillotinés de la Révolution Française
Merci, Pilayrou ... , je pensais pourtant avoir regardé à Antoinette...
Bien à vous.
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Les guillotinés de la Révolution Française
Je n'ai rien vu non plus à Antoinette !
J'y retourne .
J'y retourne .
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les guillotinés de la Révolution Française
ANTOINETTE Marie* (d'Autriche), âgée de 38 ans, née à Vienne en Autriche, sœur de l'empereur Joseph II, veuve du dernier roi de France, domiciliée à Paris, condamnée à mort comme conspirateur le 25 Vendémiaire an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris.
Majesté, nous avons de la castafouine dans los ojos, et vraiment besoin des bésicles de Franklin !!!
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Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les guillotinés de la Révolution Française
Ou alors , ils L'avait vraiment oubliée et ils L'ont rajoutée après nous avoir lus...Mme de Sabran a écrit:Majesté, nous avons de la castafouine dans los ojos, et vraiment besoin des bésicles de Franklin !!!
boudoi26
Bien à vous. :
Invité- Invité
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