Josephine. De Pierre Branda
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Josephine. De Pierre Branda
Si vous n'avez jamais lu aucune biographie de Joséphine, cette nouvelle parution vous intéressera peut-être ?
Josephine
De Pierre Branda
Aux éditions Perrin (Jan. 16)
Présentation :
Au-delà des images et des caricatures toujours reproduites, la découverte d'une autre Joséphine, attachante et troublante.
Elle ne s'appelait pas Joséphine de Beauharnais, mais Marie-Joseph-Rose de Tascher de La Pagerie. C'est par la grâce de Napoléon qu'elle prit le nom de Joséphine, puis le titre d'impératrice.
Ce premier mystère en cache beaucoup d'autres, dont Pierre Branda lève successivement les voiles.
Certes, la Créole avait la grâce du cygne, dont elle se fit un instrument efficace, au point d'être désignée comme " l'incomparable ", de sa naissance à la Martinique en 1763 jusqu'à sa mort à Malmaison en 1814.
Mais, bien plus que ses prouesses et ses trahisons amoureuses réelles ou supposées, l'auteur fait valoir la femme de réseaux, d'influence et d'argent, l'hostilité jamais démentie du clan Bonaparte à son égard et envers ses deux enfants, son goût pour la nature et les arts, et surtout ce lien complexe et indéfectible avec Napoléon dont elle accompagna la vertigineuse ascension sans connaître la chute ultime.
Loin de la légende noire comme des potins anecdotiques, Pierre Branda redonne vie à une femme de tête autant que de corps aux prises avec la grande histoire, dont elle sut tirer parti tout en subissant ses coups.
Qui est Pierre Branda ?
Directeur du patrimoine de la Fondation Napoléon, Pierre Branda est l’auteur de nombreux travaux sur l’Empire parmi lesquels Le prix de la gloire. Napoléon et l’argent ; Napoléon et ses hommes. La maison de l’Empereur et, chez Perrin, La guerre secrète de Napoléon. Île d’Elbe 1814-1815.
Je vous encourage à lire l'intégralité de cet article du magazine Le Point (09.01.2016), titré :
Les magouilles financières de Napoléon et Joséphine, dont voici quelques extraits :
« Menteuse et dépensière au dernier degré. » Voilà l'opinion qu'avait Napoléon de Joséphine, quand il se souvenait d'elle en exil à Sainte-Hélène. De son côté, l'impératrice des Français, coquette et frivole, n'a jamais fait beaucoup d'efforts pour freiner ses achats... Joséphine a toujours aimé l'argent, non pas pour thésauriser, mais pour la puissance et l'indépendance qu'il lui offrait.
Elle a finalement toujours couru après, se montrant redoutable négociatrice, récupérant l'héritage de sa mère, fréquentant les puissants de l'époque du temps de son veuvage, avant de décrocher la timbale en épousant Napoléon. Très vite, l'or coule à flots avec les conquêtes en Italie puis l'avènement du Consulat. « Elle a toujours multiplié les petits et les gros trafics, fait de l'agiotage, pris ses commissions, d'abord dans le dos de Barras, puis dans celui de Napoléon, explique l'historien Pierre Branda, auteur d'une nouvelle biographie sur Joséphine.
Avec l'Empire, c'est le jackpot !
Napoléon touche le même revenu que Louis XVI, à savoir 25 millions par an, et se déleste de 480 000 francs pour les besoins personnels de l'impératrice des Français. Il estime cela largement suffisant, lui-même se montrant assez pingre, dépensant peu, toujours les mêmes chemises et pantalons, mettant beaucoup de côté, remplissant son bas de laine comme un petit bourgeois corse.
Joséphine, elle, voit les choses en grand : elle se noie dans le luxe, parfums de Chardin, porcelaine de prix, meubles précieux, joyaux, accessoires de mode, robes de soie...
L'inventaire annuel de sa seule garde-robe prenait parfois deux semaines de travail ! En 1808, on dénombre une cinquantaine d'habits de cour, près de 680 robes, 500 châles ou fichus, plus de 1 000 paires de gants et près de 800 paires de chaussures !
C'était presque un jeu entre eux, reconnaît Pierre Branda. Ils étaient de la même trempe, ambitieux, jaloux, dominateurs, mais chacun dans sa partie : à lui le pouvoir, à elle la parade, Mars et Vénus réunis, tous deux finalement très complémentaires. Napoléon voulait qu'elle soit le joyau de sa cour, pour écraser toutes les autres. Et Joséphine ne se faisait pas prier... Il sait qu'elle va déraper, mais il ne la freine pas. Jusqu'au jour où les dettes explosent.
« Elle me connaissait bien et n'a jamais rien demandé pour ses enfants, rapporta l'empereur. Elle ne sollicitait pas d'argent, mais me faisait des millions de dettes. »
Par deux fois en moins de cinq ans, elle se retrouve en faillite complète avec plus de 1,5 million de passif. Napoléon crie, s'emporte, elle pleure, il craque, car ce cœur d'artichaut ne supporte pas les larmes de sa Joséphine.
Lors du divorce, Napoléon se montre généreux et accorde à Joséphine une pension annuelle de 3 millions – un général de brigade gagne 25 000 francs par an. Une somme colossale, mais qui lui suffira à peine, sa seule écurie lui coûtant 250 000 francs par an ! À la chute de son ex, elle négocie habilement son avenir par l'entremise de l'homme fort du moment, le jeune tsar Alexandre Ier, nouveau maître de Paris avant l'avènement de Louis XVIII. Joséphine conserve son rang et obtient un traitement d'un million de francs annuel, pendant que Napoléon file vers l'île d'Elbe. C'est nettement moins que sous l'Empire, mais cela reste très confortable.
L'article complet, signé Marc Fourny (Le Point), ici : http://www.lepoint.fr/histoire/les-magouilles-financieres-de-napoleon-et-josephine-09-01-2016-2008375_1615.php
Josephine
De Pierre Branda
Aux éditions Perrin (Jan. 16)
Présentation :
Au-delà des images et des caricatures toujours reproduites, la découverte d'une autre Joséphine, attachante et troublante.
Elle ne s'appelait pas Joséphine de Beauharnais, mais Marie-Joseph-Rose de Tascher de La Pagerie. C'est par la grâce de Napoléon qu'elle prit le nom de Joséphine, puis le titre d'impératrice.
Ce premier mystère en cache beaucoup d'autres, dont Pierre Branda lève successivement les voiles.
Certes, la Créole avait la grâce du cygne, dont elle se fit un instrument efficace, au point d'être désignée comme " l'incomparable ", de sa naissance à la Martinique en 1763 jusqu'à sa mort à Malmaison en 1814.
Mais, bien plus que ses prouesses et ses trahisons amoureuses réelles ou supposées, l'auteur fait valoir la femme de réseaux, d'influence et d'argent, l'hostilité jamais démentie du clan Bonaparte à son égard et envers ses deux enfants, son goût pour la nature et les arts, et surtout ce lien complexe et indéfectible avec Napoléon dont elle accompagna la vertigineuse ascension sans connaître la chute ultime.
Loin de la légende noire comme des potins anecdotiques, Pierre Branda redonne vie à une femme de tête autant que de corps aux prises avec la grande histoire, dont elle sut tirer parti tout en subissant ses coups.
Qui est Pierre Branda ?
Directeur du patrimoine de la Fondation Napoléon, Pierre Branda est l’auteur de nombreux travaux sur l’Empire parmi lesquels Le prix de la gloire. Napoléon et l’argent ; Napoléon et ses hommes. La maison de l’Empereur et, chez Perrin, La guerre secrète de Napoléon. Île d’Elbe 1814-1815.
Je vous encourage à lire l'intégralité de cet article du magazine Le Point (09.01.2016), titré :
Les magouilles financières de Napoléon et Joséphine, dont voici quelques extraits :
« Menteuse et dépensière au dernier degré. » Voilà l'opinion qu'avait Napoléon de Joséphine, quand il se souvenait d'elle en exil à Sainte-Hélène. De son côté, l'impératrice des Français, coquette et frivole, n'a jamais fait beaucoup d'efforts pour freiner ses achats... Joséphine a toujours aimé l'argent, non pas pour thésauriser, mais pour la puissance et l'indépendance qu'il lui offrait.
Elle a finalement toujours couru après, se montrant redoutable négociatrice, récupérant l'héritage de sa mère, fréquentant les puissants de l'époque du temps de son veuvage, avant de décrocher la timbale en épousant Napoléon. Très vite, l'or coule à flots avec les conquêtes en Italie puis l'avènement du Consulat. « Elle a toujours multiplié les petits et les gros trafics, fait de l'agiotage, pris ses commissions, d'abord dans le dos de Barras, puis dans celui de Napoléon, explique l'historien Pierre Branda, auteur d'une nouvelle biographie sur Joséphine.
Avec l'Empire, c'est le jackpot !
Napoléon touche le même revenu que Louis XVI, à savoir 25 millions par an, et se déleste de 480 000 francs pour les besoins personnels de l'impératrice des Français. Il estime cela largement suffisant, lui-même se montrant assez pingre, dépensant peu, toujours les mêmes chemises et pantalons, mettant beaucoup de côté, remplissant son bas de laine comme un petit bourgeois corse.
Joséphine, elle, voit les choses en grand : elle se noie dans le luxe, parfums de Chardin, porcelaine de prix, meubles précieux, joyaux, accessoires de mode, robes de soie...
L'inventaire annuel de sa seule garde-robe prenait parfois deux semaines de travail ! En 1808, on dénombre une cinquantaine d'habits de cour, près de 680 robes, 500 châles ou fichus, plus de 1 000 paires de gants et près de 800 paires de chaussures !
C'était presque un jeu entre eux, reconnaît Pierre Branda. Ils étaient de la même trempe, ambitieux, jaloux, dominateurs, mais chacun dans sa partie : à lui le pouvoir, à elle la parade, Mars et Vénus réunis, tous deux finalement très complémentaires. Napoléon voulait qu'elle soit le joyau de sa cour, pour écraser toutes les autres. Et Joséphine ne se faisait pas prier... Il sait qu'elle va déraper, mais il ne la freine pas. Jusqu'au jour où les dettes explosent.
« Elle me connaissait bien et n'a jamais rien demandé pour ses enfants, rapporta l'empereur. Elle ne sollicitait pas d'argent, mais me faisait des millions de dettes. »
Par deux fois en moins de cinq ans, elle se retrouve en faillite complète avec plus de 1,5 million de passif. Napoléon crie, s'emporte, elle pleure, il craque, car ce cœur d'artichaut ne supporte pas les larmes de sa Joséphine.
Lors du divorce, Napoléon se montre généreux et accorde à Joséphine une pension annuelle de 3 millions – un général de brigade gagne 25 000 francs par an. Une somme colossale, mais qui lui suffira à peine, sa seule écurie lui coûtant 250 000 francs par an ! À la chute de son ex, elle négocie habilement son avenir par l'entremise de l'homme fort du moment, le jeune tsar Alexandre Ier, nouveau maître de Paris avant l'avènement de Louis XVIII. Joséphine conserve son rang et obtient un traitement d'un million de francs annuel, pendant que Napoléon file vers l'île d'Elbe. C'est nettement moins que sous l'Empire, mais cela reste très confortable.
L'article complet, signé Marc Fourny (Le Point), ici : http://www.lepoint.fr/histoire/les-magouilles-financieres-de-napoleon-et-josephine-09-01-2016-2008375_1615.php
Dernière édition par La nuit, la neige le Jeu 16 Jan 2020, 19:49, édité 1 fois
La nuit, la neige- Messages : 18062
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Josephine. De Pierre Branda
La nuit, la neige a écrit:
Avec l'Empire, c'est le jackpot !
... en somme :
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55310
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Josephine. De Pierre Branda
Enormes sommes d'argent, en effet !
Le portrait n'est guère flatteur...Mais enfin bon, nous le savions.
Le portrait n'est guère flatteur...Mais enfin bon, nous le savions.
La nuit, la neige- Messages : 18062
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Josephine. De Pierre Branda
Je vous conseille cette biographie !!! :;\':;\':; :;\':;\':; :;\':;\':; :;\':;\':;
Invité- Invité
Joséphine, le paradoxe du cygne, de Pierre Branda
Moi je suis en train de lire le livre sur l'Impératrice Joséphine de Pierre Branda :;\':;\':; :;\':;\':; :;\':;\':;
Invité- Invité
Julia- Messages : 247
Date d'inscription : 08/04/2015
Age : 26
Localisation : Issy-les-Moulineaux
Re: Josephine. De Pierre Branda
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55310
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Josephine. De Pierre Branda
Le sujet est déjà ouvert ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t2452-josephine-une-nouvelle-biographie-signee-pierre-branda
La nuit, la neige- Messages : 18062
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Josephine. De Pierre Branda
Oh, pardon . Je fusionne .
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55310
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Josephine. De Pierre Branda
Julia a écrit:Vos impressions sont donc bonnes, Louis XVI ?
J'ai trouvé un aperçu du livre sur amazon, je vous le transmets :
Oui chère Julia ! Il me reste encore quelques pages à lire pour le finir ! C'est un livre qui donne envie d'être lu !!! Je vous le conseille
Invité- Invité
Re: Josephine. De Pierre Branda
Formidable ! merci pour le conseil
Julia- Messages : 247
Date d'inscription : 08/04/2015
Age : 26
Localisation : Issy-les-Moulineaux
Re: Josephine. De Pierre Branda
Julia a écrit:Formidable ! merci pour le conseil
J'ai fini de lire le livre au mois de septembre, je vous le conseille !!! :;\':;\':; :;\':;\':; :;\':;\':;
J'ai eu la chance de rencontrer et discuter avec Pierre Branda autour d'un verre par rapport au livre à Paris
Invité- Invité
Re: Josephine. De Pierre Branda
J'ai déjà lu une biographie de Marie-Joseph-Rose de Tascher de La Pagerie (comme c'est joli),plus connue sous le nom de Joséphine de Beauharnais.
Je ne vous cache pas que cette femme m'a un peu déçue, trop manipulatrice, trop ambitieuse (dans le mauvais sens du terme). Enfin, si vous avez été conquis, je note quand même cher Louis XVI.
Je ne vous cache pas que cette femme m'a un peu déçue, trop manipulatrice, trop ambitieuse (dans le mauvais sens du terme). Enfin, si vous avez été conquis, je note quand même cher Louis XVI.
Trianon- Messages : 3306
Date d'inscription : 22/12/2013
Re: Josephine. De Pierre Branda
Trianon a écrit:J'ai déjà lu une biographie de Marie-Joseph-Rose de Tascher de La Pagerie (comme c'est joli),plus connue sous le nom de Joséphine de Beauharnais.
Je ne vous cache pas que cette femme m'a un peu déçue, trop manipulatrice, trop ambitieuse (dans le mauvais sens du terme). Enfin, si vous avez été conquis, je note quand même cher Louis XVI.
Chère Trianon, peut-être avez-vous lu un mauvais livre sur Joséphine, je vous conseille celui-là , et peut-être cela vous fera changer d'avis. Je me souviens que j'avais une très mauvaise opinion de Marie-Antoinette, quand j'étais au primaire on nous avait appris à la détester, mais après avoir vu Lady Oscar j'ai changé d'avis :;\':;\':; :
Invité- Invité
Re: Josephine. De Pierre Branda
Oui, certes. Peut-être avez-vous raison Louis XVI. C'est vrai, il ne faut jamais s'arrêter à une seule critique. J'aime beaucoup cette période historique, je garde donc en mémoire cette biographie de Joséphine. J'espère changer d'avis.
Ah ! Lady Oscar..... Merci.
Ah ! Lady Oscar..... Merci.
Trianon- Messages : 3306
Date d'inscription : 22/12/2013
Re: Josephine. De Pierre Branda
Pas plus "Joséphine " pour Marie-Rose donc que de" Rose" pour Marie-Jeanne Bertin ....
Vous me donnez envie de lire cette biographie ....
Vous me donnez envie de lire cette biographie ....
Re: Josephine. De Pierre Branda
CLIOXVIII a écrit:Pas plus "Joséphine " pour Marie-Rose donc que de" Rose" pour Marie-Jeanne Bertin ....
Vous me donnez envie de lire cette biographie ....
N’hésite pas, tu vas adorer, je pense que je vais le relire très prochainement à nouveau. Il y aura une conférence le 5 novembre à Paris sur le livre au cas où tu veux y assister
Invité- Invité
Re: Josephine. De Pierre Branda
A paraître ce mois-ci, l'édition en format poche de...
Joséphine
De Pierre Branda
Editions Tempus (Janv. 20)
Présentation :
Au départ, elle ne s’appelait pas Joséphine de Beauharnais, mais Marie-Joseph-Rose de Tascher de La Pagerie. C’est par la grâce de Napoléon qu’elle prit le nom de Joséphine, puis le titre d’impératrice.
Ce premier mystère en cache beaucoup d’autres, dont Pierre Branda lève successivement les voiles. Bien plus que de conter ses prouesses et ses trahisons amoureuses, réelles ou supposées, l’auteur, fort d’une riche documentation, éloigne la légende noire et fait apparaître la femme de réseaux, d’influence et d’argent, l’hostilité jamais démentie du clan Bonaparte à son égard, son goût pour la nature et les arts, et surtout sa relation complexe et indéfectible avec Napoléon, dont elle accompagna la vertigineuse ascension et ne connut pas la chute ultime.
« Au-delà de l’image de la femme superficielle, l’historien Pierre Branda réhabilite l’impératrice. » Le Figaro littéraire.
« Le grand spécialiste de la période napoléonienne Pierre Branda revisite dans cette biographie novatrice un mythe féminin. » L’Histoire.
Qui est l'auteur ?
Directeur du patrimoine de la Fondation Napoléon, Pierre Branda est l’auteur de nombreux travaux sur l’empereur, parmi lesquels Le Prix de la gloire. Napoléon et l’argent, Napoléon et ses hommes. La Maison de l’Empereur et, chez Perrin, La Saga des Bonaparte.
Joséphine
De Pierre Branda
Editions Tempus (Janv. 20)
Présentation :
Au départ, elle ne s’appelait pas Joséphine de Beauharnais, mais Marie-Joseph-Rose de Tascher de La Pagerie. C’est par la grâce de Napoléon qu’elle prit le nom de Joséphine, puis le titre d’impératrice.
Ce premier mystère en cache beaucoup d’autres, dont Pierre Branda lève successivement les voiles. Bien plus que de conter ses prouesses et ses trahisons amoureuses, réelles ou supposées, l’auteur, fort d’une riche documentation, éloigne la légende noire et fait apparaître la femme de réseaux, d’influence et d’argent, l’hostilité jamais démentie du clan Bonaparte à son égard, son goût pour la nature et les arts, et surtout sa relation complexe et indéfectible avec Napoléon, dont elle accompagna la vertigineuse ascension et ne connut pas la chute ultime.
« Au-delà de l’image de la femme superficielle, l’historien Pierre Branda réhabilite l’impératrice. » Le Figaro littéraire.
« Le grand spécialiste de la période napoléonienne Pierre Branda revisite dans cette biographie novatrice un mythe féminin. » L’Histoire.
Qui est l'auteur ?
Directeur du patrimoine de la Fondation Napoléon, Pierre Branda est l’auteur de nombreux travaux sur l’empereur, parmi lesquels Le Prix de la gloire. Napoléon et l’argent, Napoléon et ses hommes. La Maison de l’Empereur et, chez Perrin, La Saga des Bonaparte.
La nuit, la neige- Messages : 18062
Date d'inscription : 21/12/2013
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