Rétrospective des faux Louis XVII
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Re: Rétrospective des faux Louis XVII
Pierre Benoît c'est la "piste argentine" que Jacques R. Soppelsa soutient avoir découvert :
Extrait de France Soir :
http://www.francesoir.fr/actualite/societe/louis-xvii-piste-argentine-141454.html
Louis XVII, La piste argentine
Le nouveau livre-évènement de Jacques Soppelsa. Qu’est-ce qui a pu motiver un agrégé de géographie et spécialiste reconnu de géopolitique à écrire un roman (passionnant) sur le sort mystérieux de Louis XVII, dont le sort ne sera probablement jamais réellement élucidé?
« Louis XVII, La piste argentine »* Il est vrai que Jacques Soppelsa, ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure, docteur d’Etat en Lettres et Sciences Humaines, Professeur titulaire de la Chaire de Géopolitique en Sorbonne, Président honoraire de l’Université, Paris I Panthéon Sorbonne, a commis de nombreux essais de géopolitique et avait plutôt habitué ses lecteurs aux thématiques liées à la guerre froide, aux relations transatlantiques, ou encore aux nouveaux défis de l’ordre international. En fait, lorsque l’on y regarde de plus près, les choix du thème éminemment historique de « Louis XVII » et du sous-titre du livre, « la piste argentine », ne sont pas si étrangers qu’il n’y paraît à la carrière universitaire et à l’expérience de Soppelsa, qui, rappelons-le, a été diplomate aux Etats-Unis et en Argentine, et a toujours été féru d’histoire. Etv c’est en tant qu’ancien Conseiller culturel en Argentine, en fonction à Buenos Aires que Jacques Soppelsa – toujours resté fort attaché à l’Argentine et qui y séjourne régulièrement - a mené une longue enquête depuis 1994. Il raconte lui-même au début de ce roman original et fort bien écrit, que le sujet lui est tombé dessus par le plus grand des hasards, lorsqu’il fut un jour invité à Buenos Aires à un étrange dîner par une certaine Elisa. Celle-ci lui raconta que son ancêtre, Pierre Benoit, loin d’être un simple roturier aventureux venu s’installer en Argentine en 1818, aurait été l’héritier d’une « très très grande famille française, la plus grande ! »… Peu habitué à ce genre d’intrigues familiales et peu crédule de nature, Jacques Soppelsa pensa dans un premier temps qu’il avait affaire à une folle ! Puis il accepta tout de même de se rendre au dîner puis d’échanger avec deux membres de la famille Zapiola qui achevaient la rédaction d’un ouvrage complétant et poursuivant lui-même une recherche rédigée sur l’illustre famille française par un grand-oncle. C’est à la lecture de cet opuscule que notre géopolitologue-diplomate devint enquêteur, impressionné qu’il fut par la documentation abondante faite de documents administratifs, de correspondances, de photos et de coupures de presse. On apprend ainsi dès le début du livre de Soppelsa que Pierre Benoit, dans sa vie « officielle », aurait été élevé par les meilleurs précepteurs privés, eux-mêmes rémunérés par les services du premier Consul français puis du futur empereur ( !), aurait bénéficié d’une éducation hors-pair, excellant dans la peinture, la sculpturr, parlant six langues couramment, comme les membres des meilleures familles, puis menant une vie plus que mystérieuse en Amérique latine, devenant même Grand Maître de la loge de Philadelphie, celle de Simon Bolivar. On apprend enfin que le fascinant personnage mourut empoisonné mystérieusement en août 1852, par un étrange visiteur français, le docteur Lavergne, lequel regagna illico l’hexagone où il fut lui-même immédiatement guillotiné… Républicain convaincu et ancien militant de gauche, donc supposé être à des années lumières des préoccupations et nostalgies royalistes, Jacques Soppelsa se se passionne et se prend peu à peu d’affection pour Louis XVII, dont l’historiographie officielle raconte qu’il serait mort à l’âge de 15 ans au Temple. Certes, la curiosité teintée de compassion naîtra très progressivement chez le professeur Soppelsa, ceci au fil de nombreuses années passées à explorer Buenos Aires et les archives familiales des supposés descendants du petit Dauphin bourbon. Mais Soppelsa fait sienne la thèse selon laquelle Louis XVII se serait évadé ou aurait été « exfiltré », comme on dit aujourd’hui, de sa sinistre geôle du Temple grâce aux sbirres de Barras. Peu à peu, ne pouvant résister à la force des nombreux indices toujours plus nombreux conservés chez des Argentins d’origine française, Soppelsa commence à considérer comme crédible la version selon laquelle le jeune Dauphin aurait finalement débarqué à Buenos Aires et s’y serait caché dans le plus grand secret. L’ouvrage de Jacques Soppelsa a par ailleurs le mérite de faire renaître la polémique autour du coeur soi-disant « authentifié » de Louis XVII, qui attesterait de sa mort au Temple. S’appuyant cette fois-ci sur des enquêtes menées en France et ailleurs par nombre de spécialistes, Soppelsa émet de forts doutes quant aux résultats de l’analyse scientifique de 2000 qui aurait « définitivement » réglé la controverse relative au cœur du dauphin. Certes, le cœur retrouvé appartient bel et bien, comme montre l’ADN, à un enfant apparenté à Marie Antoinette, mais ce cœur conservé dans l’alcool est probablement, selon Soppelsa, celui du frère aîné de Louis XVII , Louis Joseph, retrouvé mort le 10 juin 1795. Certes, Soppelsa n’est pas un « survivationniste » au départ, et il conserve toujours un certain recul, y compris vis-à-vis de ce dauphin qu’il affectionne. Mais il confesse au début de son livre qu’il a surtout cherché à éveiller la curiosité du lecteur. Mission accomplie ! Car une fois commencée, la lecture du livre ne peut être interrompue. Jacques Soppelsa, Louis XVII, La piste argentine, A2C Medias, collection histoire, 2011, 187 p. 20 euros.
Extrait de France Soir :
http://www.francesoir.fr/actualite/societe/louis-xvii-piste-argentine-141454.html
Louis XVII, La piste argentine
Le nouveau livre-évènement de Jacques Soppelsa. Qu’est-ce qui a pu motiver un agrégé de géographie et spécialiste reconnu de géopolitique à écrire un roman (passionnant) sur le sort mystérieux de Louis XVII, dont le sort ne sera probablement jamais réellement élucidé?
« Louis XVII, La piste argentine »* Il est vrai que Jacques Soppelsa, ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure, docteur d’Etat en Lettres et Sciences Humaines, Professeur titulaire de la Chaire de Géopolitique en Sorbonne, Président honoraire de l’Université, Paris I Panthéon Sorbonne, a commis de nombreux essais de géopolitique et avait plutôt habitué ses lecteurs aux thématiques liées à la guerre froide, aux relations transatlantiques, ou encore aux nouveaux défis de l’ordre international. En fait, lorsque l’on y regarde de plus près, les choix du thème éminemment historique de « Louis XVII » et du sous-titre du livre, « la piste argentine », ne sont pas si étrangers qu’il n’y paraît à la carrière universitaire et à l’expérience de Soppelsa, qui, rappelons-le, a été diplomate aux Etats-Unis et en Argentine, et a toujours été féru d’histoire. Etv c’est en tant qu’ancien Conseiller culturel en Argentine, en fonction à Buenos Aires que Jacques Soppelsa – toujours resté fort attaché à l’Argentine et qui y séjourne régulièrement - a mené une longue enquête depuis 1994. Il raconte lui-même au début de ce roman original et fort bien écrit, que le sujet lui est tombé dessus par le plus grand des hasards, lorsqu’il fut un jour invité à Buenos Aires à un étrange dîner par une certaine Elisa. Celle-ci lui raconta que son ancêtre, Pierre Benoit, loin d’être un simple roturier aventureux venu s’installer en Argentine en 1818, aurait été l’héritier d’une « très très grande famille française, la plus grande ! »… Peu habitué à ce genre d’intrigues familiales et peu crédule de nature, Jacques Soppelsa pensa dans un premier temps qu’il avait affaire à une folle ! Puis il accepta tout de même de se rendre au dîner puis d’échanger avec deux membres de la famille Zapiola qui achevaient la rédaction d’un ouvrage complétant et poursuivant lui-même une recherche rédigée sur l’illustre famille française par un grand-oncle. C’est à la lecture de cet opuscule que notre géopolitologue-diplomate devint enquêteur, impressionné qu’il fut par la documentation abondante faite de documents administratifs, de correspondances, de photos et de coupures de presse. On apprend ainsi dès le début du livre de Soppelsa que Pierre Benoit, dans sa vie « officielle », aurait été élevé par les meilleurs précepteurs privés, eux-mêmes rémunérés par les services du premier Consul français puis du futur empereur ( !), aurait bénéficié d’une éducation hors-pair, excellant dans la peinture, la sculpturr, parlant six langues couramment, comme les membres des meilleures familles, puis menant une vie plus que mystérieuse en Amérique latine, devenant même Grand Maître de la loge de Philadelphie, celle de Simon Bolivar. On apprend enfin que le fascinant personnage mourut empoisonné mystérieusement en août 1852, par un étrange visiteur français, le docteur Lavergne, lequel regagna illico l’hexagone où il fut lui-même immédiatement guillotiné… Républicain convaincu et ancien militant de gauche, donc supposé être à des années lumières des préoccupations et nostalgies royalistes, Jacques Soppelsa se se passionne et se prend peu à peu d’affection pour Louis XVII, dont l’historiographie officielle raconte qu’il serait mort à l’âge de 15 ans au Temple. Certes, la curiosité teintée de compassion naîtra très progressivement chez le professeur Soppelsa, ceci au fil de nombreuses années passées à explorer Buenos Aires et les archives familiales des supposés descendants du petit Dauphin bourbon. Mais Soppelsa fait sienne la thèse selon laquelle Louis XVII se serait évadé ou aurait été « exfiltré », comme on dit aujourd’hui, de sa sinistre geôle du Temple grâce aux sbirres de Barras. Peu à peu, ne pouvant résister à la force des nombreux indices toujours plus nombreux conservés chez des Argentins d’origine française, Soppelsa commence à considérer comme crédible la version selon laquelle le jeune Dauphin aurait finalement débarqué à Buenos Aires et s’y serait caché dans le plus grand secret. L’ouvrage de Jacques Soppelsa a par ailleurs le mérite de faire renaître la polémique autour du coeur soi-disant « authentifié » de Louis XVII, qui attesterait de sa mort au Temple. S’appuyant cette fois-ci sur des enquêtes menées en France et ailleurs par nombre de spécialistes, Soppelsa émet de forts doutes quant aux résultats de l’analyse scientifique de 2000 qui aurait « définitivement » réglé la controverse relative au cœur du dauphin. Certes, le cœur retrouvé appartient bel et bien, comme montre l’ADN, à un enfant apparenté à Marie Antoinette, mais ce cœur conservé dans l’alcool est probablement, selon Soppelsa, celui du frère aîné de Louis XVII , Louis Joseph, retrouvé mort le 10 juin 1795. Certes, Soppelsa n’est pas un « survivationniste » au départ, et il conserve toujours un certain recul, y compris vis-à-vis de ce dauphin qu’il affectionne. Mais il confesse au début de son livre qu’il a surtout cherché à éveiller la curiosité du lecteur. Mission accomplie ! Car une fois commencée, la lecture du livre ne peut être interrompue. Jacques Soppelsa, Louis XVII, La piste argentine, A2C Medias, collection histoire, 2011, 187 p. 20 euros.
Invité- Invité
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
Mais l'auteur qualifie lui-même son livre de roman !
Car il a l'honnêteté de dire qu'il n'est pas historien, et qualifie donc son ouvrage de roman à thèse.
Contrairement à certaines ou certains historiens qui prétendent l'être alors qu'ils n'ont jamais fait d'études d'histoire ! (un comble!)
Il raconte son histoire sous forme de roman afin de faciliter la lecture.
Car il a l'honnêteté de dire qu'il n'est pas historien, et qualifie donc son ouvrage de roman à thèse.
Contrairement à certaines ou certains historiens qui prétendent l'être alors qu'ils n'ont jamais fait d'études d'histoire ! (un comble!)
Il raconte son histoire sous forme de roman afin de faciliter la lecture.
Invité- Invité
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
Est-ce un argument pour adhérer à cette thèse farfelue? àè-è\':
Bien à vous.
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
Ce qui me sidère c'est que quelle que soit la thèse, la vôtre ou celle de Per, elle repose sur un roman.
Or comme l'un et l'autre n'avez pas la même piste, qui a raison ?
Trouver des arguments grâce à un roman risque d'être compliqué. àè-è\':
Or comme l'un et l'autre n'avez pas la même piste, qui a raison ?
Trouver des arguments grâce à un roman risque d'être compliqué. àè-è\':
Invité- Invité
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
Ah mais oui, bien sûr, Cril 17 faisait partie du C.D.B. si je me souviens bien !
Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
Mme de Sabran a écrit:
Ah mais oui, bien sûr, Cril 17 faisait partie du C.D.B. si je me souviens bien !
CDB ?
Invité- Invité
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
Reinette a écrit:Mme de Sabran a écrit:
Ah mais oui, bien sûr, Cril 17 faisait partie du C.D.B. si je me souviens bien !
CDB ?
Ci-Devant Boudoir, alias la Conciergerie, et, pour JAG, l'Hadès ! ( j'aime bien aussi ! : )
Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Louis XVII et la piste argentine
J'avais bien compris alors ! Ma confusion venait de ce que je croyais sur le coup que la Cril 17 était le nom d'une association et non un pseudo.
Invité- Invité
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
Jacques Soppelsa (président honoraire de l'université Paris I Panthéon Sorbonne, professeur de géopolitique en Sorbonne. Diplomate et ancien conseiller culturel à l'ambassade de France à Buenos Aires) nous livre dans son ouvrage : Louis XVII la piste argentine la thèse de l'exfiltration de Louis XVII vers l'Argentine.
Avant-propos
Volontairement traité par le canal du roman à thèse où, au fil de chaque chapitre apparaissent progressivement des indices convergents, l'auteur souhaite contribuer à démontrer que Louis XVII, s'il n'est pas mort au temple, ne fut ni un Naundorff, ni un Hervagault, ni un Charles de Navarre, mais l'officier de Marine Pierre Benoit, arrivé à Buenos Aires en 1818 et assassiné dans des conditions mystérieuses dans cette même ville en 1852.
[i]Un Pierre Benoit qui , contrairement à toute la gamme des prétendants officiels, n'a jamais revendiqué sa royale origine...
En 94, Soppelsa reçoit une dame dans ses bureuax de Buenos Aires : Elais Zapiola qui lui explique que son ancêtre français débarqué de la goélette venue du Havre en 1818, ne serait pas selon la version officielle un ancien officier de marine du nom de Pierre Benoit : mais l'héritier direct d'une très grande famille fraçaise, la plus grande ! le trisaïeul serait le Dauphin, l'évadé du temple, Louis XVII.
Ce que pense Soppelsa, à ce moment là : "Mon dieu, encore une folle !"
Sauf qu'au fil des mois cette dame apporte une impressionnante documentation : papiers administratifs, coupures de presse, portraits, photos, objets personnels, correspndance...
Madame Zapiola posséderait une tresse de Marie-Antoinette, et aurait fait des démarches auprès de Carnavalet afin de faire authentifier les cheveux, mais le musée serait resté sans réponse.
Pierre benoit (Louis XVII) peignait et aurait fait les portraits de Marie-Antoinette, Elisabeth et Madame Royale toujours visibles du reste à la Casa Rosada en Argentine :
En 94, les archives de la marine nationale française au château de Vincennes, sont interrogées par le canal diplomatique sur le contenu du dossier de l'aspirant de marine P. Benoit, radié des cadres actifs le 23 août 1814. La réponse est plus que laconique : il n'y a plus de dossier "Pierre Benoit", aspirant de marine, dans les dites archives, alors qu'ils possèdent une photocopie dans les mains :
Son autoportrait :
P.Benoit apparait revêtu, de son costume d'officier de marine : ce portrait était disposé à l'origine dans un cadre ovale, jusqu'au jour où son fils Pedro le retrouve et le fait tombé malencontreusement tomber. Le cadre brisé révèle alors qu'il était en réalité rectangulaire et que la partie jusqu'alors masquée était ornée d'une frise de fleurs de Lys.
Autoportrait de Pierre Benoit
Photo de Pedro, fils de P.Benoit, petit fils supposé de Louis XVI et Marie-Antoinette.
La tresse de cheveux blond vénitien à priori semblable à celle de Carnavalet était enfermée dans une bourse de soie brodée aux armes des Bourbon et ornée de fleurs de lys, une bourse découverte sur le corps de P.Benoit.
Le livre renferme d'autres indices concordant avec la thèse de l'auteur.
Ecriture comparée entre LouisXVI et P.Benoit
Plan de la prison du temple, demeure de Louis XVII à l'âge de 8 ans.
Avant-propos
Volontairement traité par le canal du roman à thèse où, au fil de chaque chapitre apparaissent progressivement des indices convergents, l'auteur souhaite contribuer à démontrer que Louis XVII, s'il n'est pas mort au temple, ne fut ni un Naundorff, ni un Hervagault, ni un Charles de Navarre, mais l'officier de Marine Pierre Benoit, arrivé à Buenos Aires en 1818 et assassiné dans des conditions mystérieuses dans cette même ville en 1852.
[i]Un Pierre Benoit qui , contrairement à toute la gamme des prétendants officiels, n'a jamais revendiqué sa royale origine...
En 94, Soppelsa reçoit une dame dans ses bureuax de Buenos Aires : Elais Zapiola qui lui explique que son ancêtre français débarqué de la goélette venue du Havre en 1818, ne serait pas selon la version officielle un ancien officier de marine du nom de Pierre Benoit : mais l'héritier direct d'une très grande famille fraçaise, la plus grande ! le trisaïeul serait le Dauphin, l'évadé du temple, Louis XVII.
Ce que pense Soppelsa, à ce moment là : "Mon dieu, encore une folle !"
Sauf qu'au fil des mois cette dame apporte une impressionnante documentation : papiers administratifs, coupures de presse, portraits, photos, objets personnels, correspndance...
Madame Zapiola posséderait une tresse de Marie-Antoinette, et aurait fait des démarches auprès de Carnavalet afin de faire authentifier les cheveux, mais le musée serait resté sans réponse.
Pierre benoit (Louis XVII) peignait et aurait fait les portraits de Marie-Antoinette, Elisabeth et Madame Royale toujours visibles du reste à la Casa Rosada en Argentine :
En 94, les archives de la marine nationale française au château de Vincennes, sont interrogées par le canal diplomatique sur le contenu du dossier de l'aspirant de marine P. Benoit, radié des cadres actifs le 23 août 1814. La réponse est plus que laconique : il n'y a plus de dossier "Pierre Benoit", aspirant de marine, dans les dites archives, alors qu'ils possèdent une photocopie dans les mains :
Son autoportrait :
P.Benoit apparait revêtu, de son costume d'officier de marine : ce portrait était disposé à l'origine dans un cadre ovale, jusqu'au jour où son fils Pedro le retrouve et le fait tombé malencontreusement tomber. Le cadre brisé révèle alors qu'il était en réalité rectangulaire et que la partie jusqu'alors masquée était ornée d'une frise de fleurs de Lys.
Autoportrait de Pierre Benoit
Photo de Pedro, fils de P.Benoit, petit fils supposé de Louis XVI et Marie-Antoinette.
La tresse de cheveux blond vénitien à priori semblable à celle de Carnavalet était enfermée dans une bourse de soie brodée aux armes des Bourbon et ornée de fleurs de lys, une bourse découverte sur le corps de P.Benoit.
Le livre renferme d'autres indices concordant avec la thèse de l'auteur.
Ecriture comparée entre LouisXVI et P.Benoit
Plan de la prison du temple, demeure de Louis XVII à l'âge de 8 ans.
Invité- Invité
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
C'est peut-être le portrait de Marie-Antoinette le moins ressemblant qui soit .
Mais, merci l'amour menaçant .
.
Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
Peut-être? Carrément, oui !
Je l'ai pris pour un portrait d'Anne d'Autriche d'où le fait qu'il ne m'avait pas choqué plus que ça...
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
Peut-être, mais n'oublions pas que c'est un jeune homme qui peint le visage de sa mère qui l'a perdu lorsqu'il était enfant. Je doute qu'il faille rechercher la ressemblance absolue mais plutôt l'intérêt que suscite P.Benoit a peindre la famille royale.Mme de Sabran a écrit:
C'est peut-être le portrait de Marie-Antoinette le moins ressemblant qui soit .
.
Invité- Invité
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
Oui, oui, c'est un argument recevable .
Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
XXXXX
Mme de Sabran a écrit:
C'est peut-être le portrait de Marie-Antoinette le moins ressemblant qui soit .
Mais, merci l'amour menaçant .
.
On dirait Dominique Besnehard.
Invité- Invité
Un faux dauphin, Hervagault et le Mystère du Temple
Louise-Adélaïde a écrit:....Dans le même ordre d'esprit viennent de paraître deux livres sur Louis XVII ( dont je n'ai jugé bon de retenir ni le titre ni l'auteur) ressassant ad nauseam les "mystères" du Temple;
On l'a pourtant identifié de façon catégorique ce malheureux enfant;
Mais sa mémoire est victime des "survivantistes" exaltés et il faut bien l'avouer de la façon dont fut gérée sa succession par Louis XVIII ...
A qui le dites-vous ! boudoi29
Tenez, j'ai un autre vrai-faux dauphin sous le coude . Je n'ai pas encore lu le livre !
... bel homme, au demeurant !
;
Comme d'habitude, Wiki est intarissable :
Le faux dauphin démasqué : Jean-Marie Hervagault (gravure de 1803).
Jean-Marie Hervagault, né à Saint-Lô (Normandie) le 20 septembre 1781 et mort à la maison de force de Bicêtre (commune de Gentilly) le 8 mai 1812, est connu pour avoir prétendu être Louis XVII.
Biographie
Fils d'un tailleur de Saint-Lô, Jean-Marie Hervagault quitta le domicile familial en septembre 1796.
Profitant de la confusion née des troubles révolutionnaires ainsi que de l'effet produit sur la sensibilité féminine par la finesse de ses traits, et abusant de la crédulité de nombreuses personnes, il parcourut la campagne normande en se faisant passer pour divers individus liés à la haute noblesse. Afin d'ajouter davantage de mystère à son personnage, Hervagault n'hésitait pas, à l'occasion, à se travestir en jeune femme.
Arrêté pour vagabondage à Cherbourg et reconduit chez lui, il récidiva peu de temps après : il se faisait alors passer pour le fils de Mme Lavaucelle de Ducey, ou pour celui du prince de Monaco, ou encore pour celui du duc d'Ursel. Arrêté par le juge de paix d'Hottot et emprisonné à Bayeux, il fut à nouveau relâché et rendu à son père.
Fuguant pour la troisième fois, Jean-Marie se rendit dans l'Orne en octobre 1797. Arrivé au hameau des Joncherets, à Valframbert, il fut hébergé par Mlle Talon-Lacombe, à laquelle soutira une quarantaine de louis d'or après s'être présenté à elle comme un membre de la famille de Montmorency. Poursuivant ses pérégrinations et ses impostures, il passa en mai 1798 par Meaux, d'où il se dirigea vers l'Est. Arrêté, en chemin, à Cernon, il refusa de décliner sa véritable identité, affirmant être un certain Louis-Antoine-Jean-François de Longueville de Beuzeville et fut emprisonné à Châlons-sur-Marne.
C'est pendant sa détention à Châlons que Jean-Marie Hervagault commença à se faire passer pour Louis XVII, gagnant à sa cause plusieurs partisans crédules. Condamné le 2 mai 1799 à un mois de prison, il retourna dans l'Ouest, où il comptait mettre à profit sa nouvelle identité d'emprunt. Il fut cependant dénoncé et arrêté en août à Vire, où il écopa, en tant que récidiviste, de deux ans d'emprisonnement.
C'est dans la prison de Vire qu'il prit connaissance d'un nouveau roman de Jean-Joseph Regnault-Warin, Le Cimetière de la Madeleine, qui imaginait l'enlèvement du dauphin de sa prison du Temple. C'est sous l'influence de cette œuvre de fiction qu'il étoffa les détails de son imposture. Prétendant avoir presque tout oublié de ses premières années, ce qui lui évitait toute question embarrassante sur la vie du vrai dauphin, il greffa le récit de son évasion (datée du 4 juin 1795) sur celui du roman de Regnault-Warin, n'en modifiant que quelques détails :
la substitution avait eu pour instrument un sac de linge et non un cheval de bois ;
l'enfant substitué au dauphin était le fils malade d'Hervagault, tailleur à Saint-Lô (ce qui permettait à Jean-Marie de faire passer sa véritable identité pour un nom d'emprunt) ;
le docteur Desault n'était mort qu'après avoir constaté l'enlèvement (en réalité, Desault est mort trois jours plus tôt) ;
le dauphin n'avait, bien entendu, pas été repris. Envoyé par les Vendéens en Angleterre, il y avait été mal reçu par les émigrés de l'entourage du comte d'Artois, opposés au rétablissement d'une monarchie constitutionnelle. Le roi George III ayant jugé plus prudent de l'éloigner des émigrés, le dauphin avait été envoyé à Rome auprès du pape Pie VI, qui l'avait sacré roi de France dans le plus grand secret. De passage en Espagne, Louis XVII y avait été reconnu par la duchesse d'Orléans, qui s'était prosternée à ses genoux, puis, arrivé au Portugal, il y avait épousé la princesse Marie-Bénédicte, veuve (quinquagénaire) du prince du Brésil. Rappelé en France par les partisans de la monarchie constitutionnelle, il s'y était secrètement rendu en 1797 en passant par la Prusse et par Bâle, mais le Coup d'État du 18 fructidor an V avait ruiné ses espoirs. Cherchant à regagner l'Angleterre, Louis XVII s'était rendu en Normandie, où il avait été arrêté à Cherbourg.
Libéré en août 1801, Hervagault fut cherché à Vire par ses fidèles de Châlons, dirigés par une certaine Pierrette Julien (femme divorcée de Jean-Pierre Saignes) et composés de plusieurs notables champenois (dont M. de Beurnonville, ex-garde du corps de Louis XVI), qui le cachèrent dans le chef-lieu de la Marne, puis à Reims et enfin à Vitry-sur-Marne. Il fut accueilli, dans cette ville, au domicile des Jacobé de Rambecourt puis à celui de M. Jacquier-Lemoine, qui le reçut avec une ostentation qui éveilla bientôt l'attention des autorités : Hervagault fut arrêté au début de l'année 1802.
Condamné le 17 février par le tribunal correctionnel de Vitry à quatre ans de prison pour escroquerie, usurpation de nom et vagabondage, il vit sa peine confirmée en appel par le tribunal de Reims le 3 avril suivant.
Sur la pression de la police, dirigée par Fouché, qui voulait limiter les risques de troubles en l'éloignant de ses partisans (parmi lesquels l'ancien évêque La Font de Savine), Hervagault fut transféré à Soissons puis à Bicêtre et son incarcération fut prolongée : il sera finalement emprisonné jusqu'à sa mort, à l'âge de trente et un ans.
Hervagault fut le premier d'une longue liste de « faux dauphins », dont les plus célèbres sont Mathurin Bruneau, le baron de Richemont et Karl-Wilhelm Naundorff.
;
Le faux dauphin démasqué : Jean-Marie Hervagault (gravure de 1803).
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
Ma chère amie, je comprends que vous faites actuellement vos bibliothèques et retrouvez des trésor.
HERVAGAULT, pour ma part, est le seul "faux dauphin" valable, c'est le premier de la liste et surtout FOUCHE l'a poursuivi d'une haine et d'une sévérité incroyable......... Il n'a jamais affirmé qu'il était LOUIS XVII, mais il a recherché à entrer en contact avec Madame de TOURZEL ...........il est mort à BICETRE et curieusement PAULINE DE TOURZEL épouse DE BEARN a obtenu de NAPOLÉON le droit de récupérer le défunt qui aurait été enterré dans le jardin d'ABONDANT où résidait Madame DE TOURZEL - puis après la vente du château aux SINGER - le DUC DES CARS est venu récupérer les os de Madame de TOURZEL dans l'église du village et ceux de la personne se trouvant dans le jardin d'ABONDANT !!!!!
J'ai suivi cette histoire grâce à feue mon Amie MYRIAME DE BEARN membre de la Famille qui avait trouvé des papiers secrets dans les archives de ladite Famille au moment d'écrire "LA COURONNE DE SILENCE" que l'on trouve encore en occasion.
J'ai étudié longuement l'affaire LOUIS XVII pour l'exposition de 1987 à PARIS et comme ANDRE CASTELOT je me suis toujours refusée à mettre un doigt dans ce mystère, mais j'ai mes idées sur le sujet, j'ai assez de travail pour le service de la Reine et l'affaire de MADAME ROYALE.
Le petit roi est sorti du TEMPLE ...........a quitté PARIS............puis, comme au Cinéma il disparaît dans la brume - rideau !!!!!!!!!!!!
MARIE ANTOINETTE àè-è\':
HERVAGAULT, pour ma part, est le seul "faux dauphin" valable, c'est le premier de la liste et surtout FOUCHE l'a poursuivi d'une haine et d'une sévérité incroyable......... Il n'a jamais affirmé qu'il était LOUIS XVII, mais il a recherché à entrer en contact avec Madame de TOURZEL ...........il est mort à BICETRE et curieusement PAULINE DE TOURZEL épouse DE BEARN a obtenu de NAPOLÉON le droit de récupérer le défunt qui aurait été enterré dans le jardin d'ABONDANT où résidait Madame DE TOURZEL - puis après la vente du château aux SINGER - le DUC DES CARS est venu récupérer les os de Madame de TOURZEL dans l'église du village et ceux de la personne se trouvant dans le jardin d'ABONDANT !!!!!
J'ai suivi cette histoire grâce à feue mon Amie MYRIAME DE BEARN membre de la Famille qui avait trouvé des papiers secrets dans les archives de ladite Famille au moment d'écrire "LA COURONNE DE SILENCE" que l'on trouve encore en occasion.
J'ai étudié longuement l'affaire LOUIS XVII pour l'exposition de 1987 à PARIS et comme ANDRE CASTELOT je me suis toujours refusée à mettre un doigt dans ce mystère, mais j'ai mes idées sur le sujet, j'ai assez de travail pour le service de la Reine et l'affaire de MADAME ROYALE.
Le petit roi est sorti du TEMPLE ...........a quitté PARIS............puis, comme au Cinéma il disparaît dans la brume - rideau !!!!!!!!!!!!
MARIE ANTOINETTE àè-è\':
MARIE ANTOINETTE- Messages : 3729
Date d'inscription : 22/12/2013
Age : 78
Localisation : P A R I S
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
MARIE ANTOINETTE a écrit:
HERVAGAULT, pour ma part, est le seul "faux dauphin" valable, c'est le premier de la liste et surtout FOUCHE l'a poursuivi d'une haine et d'une sévérité incroyable......
Ah bon ?
Pourtant, d'après WIKI, c'est un sacré mystificateur, non ?
MARIE ANTOINETTE a écrit:
J'ai suivi cette histoire grâce à feue mon Amie MYRIAME DE BEARN membre de la Famille qui avait trouvé des papiers secrets dans les archives de ladite Famille au moment d'écrire "LA COURONNE DE SILENCE" que l'on trouve encore en occasion.
Le fils de cette dame ne tenait-il pas la Librairie Historique Gilles de Béarn, à Paris ?
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Mme de Sabran- Messages : 55509
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Re: Rétrospective des faux Louis XVII
MYRIAM n'avait pas d'enfant, mais son Mari avait un lien de parenté avec ce libraire, peut-être son fils d'un premier mariage.
Avec MYRIAM il a écrit la célèbre série de GASTON PHOEBUS et autres livres à l'époque très connus et adaptés à la télévision.
MARIE ANTOINETTE
Avec MYRIAM il a écrit la célèbre série de GASTON PHOEBUS et autres livres à l'époque très connus et adaptés à la télévision.
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MARIE ANTOINETTE- Messages : 3729
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Re: Rétrospective des faux Louis XVII
Ah ?? mais c'est passionnant tout ceci !
Chère Eléonore, je connaissais cette "imposture" ( je n'ose du coup plus prononcer ce mot et le mets entre guillemets ! si notre Marie-Antoinette émet des réserves.....il y a de quoi s'interroger !)
Et, mon Dieu, en toute bonne foi, je fonde ma pauvre opinion sur l'ouvrage du médecin légiste et historien qui a écrit De quoi sont-ils vraiment mort ( son nom m'échappe un peu mille excuses Jacques Deblauwe ??? je vais vérifier, je lis tellement....) ; ce médecin recommandé par des historiens très sérieux analyse au crible de la médecine actuelle les documents cliniques des décès des Rois; il faut avoir l'estomac bien accroché, mais c'est très convaincant;
Ainsi, il analyse les relations des autopsies faites sur l'enfant du Temple et tout correspond bien; âge apparent, taille du squelette des traces de tuberculose osseuse......
Mais bon, pour moi, l'énigme se situe ensuite à partir des diverses sépultures, et là, il semble qu'il y ait des questions qui se posent;
Alors, chère Marie-Antoinette, si un jour vous disposez de quelques instants.......Je suis toute prête ( et sans doute tout le forum) à écouter des révélations; Gaston Phoebus de Myriam et Gaston de Béarn est l'un de mes livres de chevet........
Chère Eléonore, je connaissais cette "imposture" ( je n'ose du coup plus prononcer ce mot et le mets entre guillemets ! si notre Marie-Antoinette émet des réserves.....il y a de quoi s'interroger !)
Et, mon Dieu, en toute bonne foi, je fonde ma pauvre opinion sur l'ouvrage du médecin légiste et historien qui a écrit De quoi sont-ils vraiment mort ( son nom m'échappe un peu mille excuses Jacques Deblauwe ??? je vais vérifier, je lis tellement....) ; ce médecin recommandé par des historiens très sérieux analyse au crible de la médecine actuelle les documents cliniques des décès des Rois; il faut avoir l'estomac bien accroché, mais c'est très convaincant;
Ainsi, il analyse les relations des autopsies faites sur l'enfant du Temple et tout correspond bien; âge apparent, taille du squelette des traces de tuberculose osseuse......
Mais bon, pour moi, l'énigme se situe ensuite à partir des diverses sépultures, et là, il semble qu'il y ait des questions qui se posent;
Alors, chère Marie-Antoinette, si un jour vous disposez de quelques instants.......Je suis toute prête ( et sans doute tout le forum) à écouter des révélations; Gaston Phoebus de Myriam et Gaston de Béarn est l'un de mes livres de chevet........
Invité- Invité
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
Louise-Adélaïde a écrit: Gaston Phoebus de Myriam et Gaston de Béarn est l'un de mes livres de chevet........
Mon vinaigrier ( vinaigre de cidre, bien-sûr ) s'appelle comme mon téléphone fixe, Gaston , parce que je l'ai acheté ( dans des temps immémoriaux ) à Foix, une très charmante boutique sous les hauts remparts du château de Gaston-Phoebus .
:
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Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
Adoncques, ma bien chère, c'est un objet précieux......
Invité- Invité
Re: Rétrospective des faux Louis XVII
J'ai visité ce château il y a quelques annéesMme de Sabran a écrit:à Foix, une très charmante boutique sous les hauts remparts du château de Gaston-Phoebus .
Si on s'y était croisés, on ne se connaissait pas encore... 3196910
Bien à vous.
Invité- Invité
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