Le musée de l'Ermitage, à Saint-Pétersbourg

J'ignorais l’existence de ce théâtre de cour ....Merci à vous deux.

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Quelques pas de valse, veux-tu ?      ... une deux trois, une deux trois  ...  

Attention, cela démarre très rapide, ne te prends pas les pieds dans ma robe à crinoline !  : : :

Que de souvenirs...

Le prince Yosoupov avait effectivement fui la révolution, n'emportant que des bijoux "transportables" (dont la/les fameuses perles Peregrina ou Peregrine dont on ne sait s'il n'y en eut jamais qu'une ou deux LOL).

Arrivé en France, il dut faire avec les "débris" de sa fortune (un hôtel particulier à Boulogne, et des bijoux de "moindre valeur" que l'on avait laissés dans les coffres de la demeure par inadvertance...).

Ok, avant son départ, c'était l'homme le plus riche de Russie, voire du monde...

Il tenta de faire interdire la vente de ses biens mobiliers par les Soviets à Berln mais le gouvernement allemand lui donna tort...

L'histoire des bijoux qu'il dissimula dans un mur de son palais de la Moika reste célèbre... N'eût été un dégât des eaux, les Soviets ne les auraient jamais retrouvés....

J'en profite pour signaler que furent alors mises en vente parmi ses collections la console et la table à écrire de la chambre de la Reine à Trianon : après ventes successives, elles purent être acquises par le Château

Gouverneur Morris a écrit:

Arrivé en France, il dut faire avec les "débris" de sa fortune (un hôtel particulier à Boulogne, et des bijoux de "moindre valeur" que l'on avait laissés dans les coffres de la demeure par inadvertance...).
....

Les guillemets s'imposent en effet ... :

Quelques photos personnelles du Palais d’Hiver (c’est de saison...) de St Petersbourg, prises au mois d’août.
A la fois palais et musée ( l’Ermitage ), ce magnifique ensemble, construit et complété par les tsars successifs depuis Pierre Ie Grand, a conservé en grande partie ses pièces historiques. Ce sont celles que je présente ici :

Ah, mais que nous sommes gâtés !!!
Merci, merci, cher Févicq, et bravo pour la qualité de vos photos, les angles de prises de vue artistiques !
C'est un enchantement !!!

C'est magnifique, merci pour ces belles photos, mon cher Vicq. 

Quel somptueux palais !..

J'aime beaucoup la vue sur les jardins au travers de la fenêtre.
L'on se croirait en Italie !

Vos belles photos ont été transférées dans ce sujet dédié*, cher Vicq'.
Merci pour le partage !

* Depuis le sujet :   Eternelle Russie !

J'aime beaucoup la rotonde en marbre gris et rose, c'est sublime.

Continuons, si vous le voulez bien, par quelques œuvres de ce musée qui m’ont particulièrement marqué cet été. J’en ai rapporté les clichés suivants, œuvres en entier, ou extraits :

- École française : Hubert Robert, Greuze, Vigée-Lebrun, un buste de Voltaire par Houdon :










- École italienne : Michel-Ange, Canova :





- École flamande : Hals, Rubens, Rembrandt (une formidable collection d’œuvres en grand nombre du maître, réunie par Nicolas Ier.) :

Les peintures sont remarquables. j'adore. Merci

Et le baiser de l'Amour réveillant Psyché !
Merci, cher Févicq, c'est divin !

Ah Canova quand tu nous tiens !

Tu nous tiens bien...

Des sels je meurs !

Vicq d Azir a écrit:Tu nous tiens bien...

Mmmm oh no no no no  
Na na na na na na
Na na na na na na
Oh!
Étienne, Étienne, Étienne
Oh! Tiens-le bien
Baisers salés salis
Tombés le long du lit, de l'inédit
Il aime à la folie
Au ralenti, je soulève les interdits
Oh!
Étienne, Étienne, Étienne
Mmmm! Tiens-le bien
Affolé affolant
Il glisse comme un gant
Pas de limite, au goût de l'after beat
Reste allongé je vais te rallumer
Aïe
Étienne!

Guesch Patti

Là je suis mort !!!!

Mais non, ça réveille !!! ça ressuscite !

Et une petite roulade arrière, pour la route ?

Vicq d Azir a écrit:Et une petite roulade arrière, pour la route ?

Que oui ! ... roulons !!!

Catherine reçoit Esterhazy à l'Ermitage :    

Elle dit au général de les faire avertir de venir au spectacle, et qu'en attendant, elle allait me faire voir son petit Ermitage. Effectivement, elle me mena dans une grande quantité de salles, remplies des tableaux des plus grands maîtres, et terminées par une galerie, exactement copiée sur les loges de Raphaël, par les proportions et les peintures.  Mais sa conversation était si aimable et si gaie, que tous les chefs-d'œuvre des plus grands maîtres ne me frappaient pas, tant j'étais occupé de la manière d'être de l'impératrice. Le rapprochement de la gloire dont elle remplissait le monde, avec la simplicité et la grâce de sa manière d'étre, me faisait éprouver un sentiment qu'il est difficile de décrire.

Merci Eléonore, on a l’impression d’etre avec eux ...
Je pense que la galerie en question dans ce témoignage est celle -ci :



L’Impératrice a peut-être même marqué un temps d’arrêt à cet endroit précis de la galerie...