Suppression de la Louveterie, en 1787
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Suppression de la Louveterie, en 1787
Le Loup gris (Canis lupus) était autrefois présent sur l'ensemble du territoire métropolitain. Il est devenu une espèce extirpée au cours du XIXème siècle à la suite de sa prédation avérée ou supposée sur le bétail et sur les humains ainsi qu'à cause des superstitions et croyances populaires négatives et erronées sur sa nature .
Il a laissé son empreinte dans la culture française, par exemple au travers de l'affaire de la bête du Gévaudan ( notre sujet : https://marie-antoinette.forumactif.org/t520-la-bete-du-gevaudan?highlight=GEVAUDAN ) , et par le biais de contes et de légendes comme celle de l'appétissant Petit Chaperon rouge dont il ne fait qu'une bouchée .
...
Dès le Moyen Âge, l'extermination (plus par le fait que le loup s'attaque au gibier et au bétail qu'à la peur collective suscitée par le loup mangeur d'homme) débute par l'organisation de grandes battues par les seigneurs (la Louveterie est créée par Charlemagne dans ce but) et l'octroi de primes à celui qui parvient à le tuer ou à le piéger (trappes et fosses à loup avec des pieux, pièges à mâchoires, collet et nœud coulant, capture de louveteaux à la tanière, etc.).
Xavier Mauduit parlait il y a deux jours dans sa petite chronique d'Histoire, tous les soirs sur ARTE ( 28' ) de la suppression de la Louveterie, en 1787.
Deux cents ans plus tard, le problème est toujours d'actualité : les loups ne devorent plus les petits enfants, mais ils se régalent toujours de moutons et agneaux dans nos pâturages .
Charlemagne posa les jalons de cette administration qui, bien que parfois malmenée, existe toujours aujourd’hui. Les luparii ont été institués par le capitulaire de Villis en 813.
La louveterie a pour objectif d’organiser la destruction des nuisibles en général et des loups en particulier.
Les moyens employés en vue de la réalisation de cet objectif n’ont pas tous eu la même réalité. L’autorité nécessaire à la conduite des battues et les moyens nécessaires à la chasse aux loups, sans oublier le cadre général de limitation de la chasse, ont fait des louvetiers un corps de nobles locaux sous l’ancien régime.
Dès lors, leur statut social et l’importance de leur rôle conféraient aux louvetiers les pleins pouvoirs. Ce sont les abus liés à cette situation qui eurent à être encadrés.
La présence des loups était parfois moins dommageable que celle des louvetiers pour les paysans. Devant ces abus le corps sera même dissout par deux fois, par Charles VI tout d’abord, dès 1395. Il est toutefois contraint de le rétablir 9 ans plus tard face à la recrudescence des animaux.
Une ordonnance d’Henri IV, dès 1597, place les Maîtres des Eaux et Forêts en supérieurs hiérarchiques des sergents de louveterie. Cette autorité sera dégagée en 1783. Les rapports entre les deux administrations n’ont pas toujours été aussi clairs, notamment quant à l’organisation des battues, dont le droit d’initiative est passé de l’un à l’autre voire été concurrent.
Ces chasseurs spécialisés recevaient en échange de leurs services des exemptions aux devoirs militaires par l’Etat, et une prime touchée auprès des habitants à chaque loup tué.
Mais par une ordonnance royale de 1785, signée de la main de Louis XVI , les louvetiers ne peuvent plus prélever de taxe sur les habitants. En contrepartie, ils sont exonérés d’impôts.
Selon un dictionnaire du XVIIIème siècle, le mot louveterie désignait « Les Officiers de la louveterie » ou plus simplement « L'équipage pour la chasse du loup » ou encore le « lieu deſtiné dans quelques maiſons royales pour loger l'équipage dont on vient de parler » et le Louvetier était le nom donné à l'« officier qui commande l'équipage pour la chaſſe du loup ».
Ce dictionnaire précise : « Il y avoit autrefois des louvetiers entretenus dans toutes les forêts , & il en reſte encore en beaucoup d'endroits. Le grand Louvetier a deux têtes de loup au-deſſus de l'écu de ſes armes .»
Ce fut François Ier qui en créa la charge en 1520.
Le grand Louvetier prête ſerment entre les mains du Roi, les autres Officiers de la louveterie le prêtent entre ſes mains. Le ravage que cauſa dans les Provinces la grande multiplication de loups occaſionnée par la dépopulation qui ſuivit les incurſions des barbares dans les Gaules, attirèrent l'attention du Gouvernement : il y eut des lois faites à ce ſujet. Il fait ordonné par celles des Bourguignons & par les capitulaires de nos Rois, d'avertir les ſeigneurs du nombre de loups que chacun aura tués, d'en présenter les peaux au Roi y de chercher & de prendre les louveteaux au mois de Mai ; & aux Vicaires ou Lieutenans des Gouverneurs, d'avoir chacun deux louvetiers dans leur diſtrict : on propoſa des prix à ceux qui prendraient des loups. On finit par établir des louvetiers dans chaque forêt, & par créer un grand louvetier auquel les autres feroient ſubordonnés. Les places de louvetiers en chaque Province n'étoient que des commiſſions, lorſque François I les mit en titre d'office, & au-deſſus de ces Officiers, celui de grand Louvetier de France. On attribua d'abord aux louvetiers deux deniers par loup & trois deniers par louve , ſalaire qui dans la ſuite fut porté à quatre deniers par louve , & qui dût être payé par chaque feu de village, à deux lieues à la ronde du lieu où l'animal avoit été pris. Les habitans de la Banlieue de Paris en furent & ont continué d'en être exempts
De nombreux abus commis par ces officiers et sergents de Louveterie sur le versement de ces primes entraînent l'élaboration de divers règlements mais conduisent finalement à la disparition de cette institution par ordonnance royale du 9 août 1787, sous prétexte d'économie.
Cependant dix ans plus tard, la loi du 19 pluviôse an V (7 février 1797) est le prélude du rétablissement de la louveterie (Napoléon Ier rétablit le service en 1804) et de la fixation de la législation actuelle. Le lieutenant de louveterie était choisi parmi les hommes les plus aptes à capturer les loups.
Le corps des lieutenants de louveterie existe toujours, mais ses missions ont été modifiées en 1971 par la loi française. La louveterie est aujourd’hui chargée de veiller à la régulation des nuisibles et au maintien de l’équilibre de la faune sauvage.
http://www.loup.org/droit/louveterie.htm
https://fr.wikipedia.org/wiki/LouveterieLa Louveterie :
Il a laissé son empreinte dans la culture française, par exemple au travers de l'affaire de la bête du Gévaudan ( notre sujet : https://marie-antoinette.forumactif.org/t520-la-bete-du-gevaudan?highlight=GEVAUDAN ) , et par le biais de contes et de légendes comme celle de l'appétissant Petit Chaperon rouge dont il ne fait qu'une bouchée .
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Dès le Moyen Âge, l'extermination (plus par le fait que le loup s'attaque au gibier et au bétail qu'à la peur collective suscitée par le loup mangeur d'homme) débute par l'organisation de grandes battues par les seigneurs (la Louveterie est créée par Charlemagne dans ce but) et l'octroi de primes à celui qui parvient à le tuer ou à le piéger (trappes et fosses à loup avec des pieux, pièges à mâchoires, collet et nœud coulant, capture de louveteaux à la tanière, etc.).
Xavier Mauduit parlait il y a deux jours dans sa petite chronique d'Histoire, tous les soirs sur ARTE ( 28' ) de la suppression de la Louveterie, en 1787.
Deux cents ans plus tard, le problème est toujours d'actualité : les loups ne devorent plus les petits enfants, mais ils se régalent toujours de moutons et agneaux dans nos pâturages .
Charlemagne posa les jalons de cette administration qui, bien que parfois malmenée, existe toujours aujourd’hui. Les luparii ont été institués par le capitulaire de Villis en 813.
La louveterie a pour objectif d’organiser la destruction des nuisibles en général et des loups en particulier.
Les moyens employés en vue de la réalisation de cet objectif n’ont pas tous eu la même réalité. L’autorité nécessaire à la conduite des battues et les moyens nécessaires à la chasse aux loups, sans oublier le cadre général de limitation de la chasse, ont fait des louvetiers un corps de nobles locaux sous l’ancien régime.
Dès lors, leur statut social et l’importance de leur rôle conféraient aux louvetiers les pleins pouvoirs. Ce sont les abus liés à cette situation qui eurent à être encadrés.
La présence des loups était parfois moins dommageable que celle des louvetiers pour les paysans. Devant ces abus le corps sera même dissout par deux fois, par Charles VI tout d’abord, dès 1395. Il est toutefois contraint de le rétablir 9 ans plus tard face à la recrudescence des animaux.
Une ordonnance d’Henri IV, dès 1597, place les Maîtres des Eaux et Forêts en supérieurs hiérarchiques des sergents de louveterie. Cette autorité sera dégagée en 1783. Les rapports entre les deux administrations n’ont pas toujours été aussi clairs, notamment quant à l’organisation des battues, dont le droit d’initiative est passé de l’un à l’autre voire été concurrent.
Ces chasseurs spécialisés recevaient en échange de leurs services des exemptions aux devoirs militaires par l’Etat, et une prime touchée auprès des habitants à chaque loup tué.
Mais par une ordonnance royale de 1785, signée de la main de Louis XVI , les louvetiers ne peuvent plus prélever de taxe sur les habitants. En contrepartie, ils sont exonérés d’impôts.
Selon un dictionnaire du XVIIIème siècle, le mot louveterie désignait « Les Officiers de la louveterie » ou plus simplement « L'équipage pour la chasse du loup » ou encore le « lieu deſtiné dans quelques maiſons royales pour loger l'équipage dont on vient de parler » et le Louvetier était le nom donné à l'« officier qui commande l'équipage pour la chaſſe du loup ».
Ce dictionnaire précise : « Il y avoit autrefois des louvetiers entretenus dans toutes les forêts , & il en reſte encore en beaucoup d'endroits. Le grand Louvetier a deux têtes de loup au-deſſus de l'écu de ſes armes .»
Ce fut François Ier qui en créa la charge en 1520.
Le grand Louvetier prête ſerment entre les mains du Roi, les autres Officiers de la louveterie le prêtent entre ſes mains. Le ravage que cauſa dans les Provinces la grande multiplication de loups occaſionnée par la dépopulation qui ſuivit les incurſions des barbares dans les Gaules, attirèrent l'attention du Gouvernement : il y eut des lois faites à ce ſujet. Il fait ordonné par celles des Bourguignons & par les capitulaires de nos Rois, d'avertir les ſeigneurs du nombre de loups que chacun aura tués, d'en présenter les peaux au Roi y de chercher & de prendre les louveteaux au mois de Mai ; & aux Vicaires ou Lieutenans des Gouverneurs, d'avoir chacun deux louvetiers dans leur diſtrict : on propoſa des prix à ceux qui prendraient des loups. On finit par établir des louvetiers dans chaque forêt, & par créer un grand louvetier auquel les autres feroient ſubordonnés. Les places de louvetiers en chaque Province n'étoient que des commiſſions, lorſque François I les mit en titre d'office, & au-deſſus de ces Officiers, celui de grand Louvetier de France. On attribua d'abord aux louvetiers deux deniers par loup & trois deniers par louve , ſalaire qui dans la ſuite fut porté à quatre deniers par louve , & qui dût être payé par chaque feu de village, à deux lieues à la ronde du lieu où l'animal avoit été pris. Les habitans de la Banlieue de Paris en furent & ont continué d'en être exempts
De nombreux abus commis par ces officiers et sergents de Louveterie sur le versement de ces primes entraînent l'élaboration de divers règlements mais conduisent finalement à la disparition de cette institution par ordonnance royale du 9 août 1787, sous prétexte d'économie.
Cependant dix ans plus tard, la loi du 19 pluviôse an V (7 février 1797) est le prélude du rétablissement de la louveterie (Napoléon Ier rétablit le service en 1804) et de la fixation de la législation actuelle. Le lieutenant de louveterie était choisi parmi les hommes les plus aptes à capturer les loups.
Le corps des lieutenants de louveterie existe toujours, mais ses missions ont été modifiées en 1971 par la loi française. La louveterie est aujourd’hui chargée de veiller à la régulation des nuisibles et au maintien de l’équilibre de la faune sauvage.
http://www.loup.org/droit/louveterie.htm
https://fr.wikipedia.org/wiki/LouveterieLa Louveterie :
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55279
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Suppression de la Louveterie, en 1787
Je me demande depuis longtemps quelle place hiérarchique tenait le Grand Louvetier de France dans les grandes charges de la Cour de France.
Nous connaissons la charge de Grand Fauconnier de France, occupée par le comte de Vaudreuil sous Louis XVI.
Il me semble que la charge de Grand Louvetier était tenue par le comte d'Haussonville à la fin du XVIIIe siècle.
Nous connaissons la charge de Grand Fauconnier de France, occupée par le comte de Vaudreuil sous Louis XVI.
Il me semble que la charge de Grand Louvetier était tenue par le comte d'Haussonville à la fin du XVIIIe siècle.
Dominique Poulin- Messages : 6932
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: Suppression de la Louveterie, en 1787
Dominique Poulin a écrit:Je me demande depuis longtemps quelle place hiérarchique tenait le Grand Louvetier de France dans les grandes charges de la Cour de France.
.
Voici une question pour mon petit Lulu .
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55279
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Suppression de la Louveterie, en 1787
Mme de Sabran a écrit:
Il a laissé son empreinte dans la culture française, par exemple au travers de l'affaire de la bête du Gévaudan ( notre sujet : https://marie-antoinette.forumactif.org/t520-la-bete-du-gevaudan?highlight=GEVAUDAN )
Plusieurs louvetiers ont participé à cette chasse, dont :
Jean-Charles-Marc-Antoine Vaumesle d'Enneval, Grand Louvetier de Normandie en la Généralité d'Alençon, et son fils, considérés alors comme les meilleurs louvetiers de France.
http://www.labetedugevaudan.com/pages/homme/chasseurs/denneval_01.html
Mais il échouent (après avoir abattus des dizaines de bêtes) et seront remplacés par François-Antoine (de Beauterne), porte arquebuse du Roi et Grand Louvetier du Royaume... accompagné de 14 gardes chasse, d'une meute de plusieurs dizaines de chiens, de limiers et de quatre grands chiens de la Louveterie royale.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Antoine
La nuit, la neige- Messages : 18054
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Suppression de la Louveterie, en 1787
Quel branle-bas-de-combat !
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55279
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Suppression de la Louveterie, en 1787
Tu te souviens que les corps de Pétion et Buzot furent découverts en rase campagne, à moitié dévorés par les loups, quelques jours après la fin de leur cavale avec Barbaroux, Guadet ? ... Ils s'étaient suicidés d'un coup de pistolet .
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55279
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Suppression de la Louveterie, en 1787
Dominique Poulin a écrit:Je me demande depuis longtemps quelle place hiérarchique tenait le Grand Louvetier de France dans les grandes charges de la Cour de France.
D'un point de vue purement administrative ; le louvetier dépend du grand-veneur, en charge des chasses, lui même sous le premier-écuyer, qui fournit les chevaux.
Mais il ne faut pas oublier que tout cela est au service du souverain, et que sa faveur et sa proximité sont aussi importants pour évaluer la place et l'autonomie du dignitaire. Ainsi, les louvetiers furent souvent des proches du Roi et à ce titre avaient beaucoup de marge de manœuvre.
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 32
Re: Suppression de la Louveterie, en 1787
Pour le plaisir ...
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Mme de Sabran- Messages : 55279
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Suppression de la Louveterie, en 1787
Dominique Poulin a écrit:Il me semble que la charge de Grand Louvetier était tenue par le comte d'Haussonville à la fin du XVIIIe siècle.
Effectivement. Il mourut en 1806.
Comme le raconte son descendant dans ses Souvenirs, il fut vaguement question de rétablir la charge sur la tête de son fils sous l'Empire : les d'Haussonville était l'une des plus grande famille de Lorraine, et Napoléon venait d'épouser Marie-Louise.
Mais le projet ne vit jamais le jour, le jeune d'Haussonville refusant de quémander la faveur (cf. pp.52 et 53 des Souvenirs cités).
Gouverneur Morris- Messages : 11687
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Suppression de la Louveterie, en 1787
J'ai croisé un comte d'Haussonville dans l'entourage politique du comte de Paris ou du duc d'Orleans à la fin du XIXe siècle, mais c'est une autre histoire.
Dominique Poulin- Messages : 6932
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: Suppression de la Louveterie, en 1787
Dominique Poulin a écrit:J'ai croisé un comte d'Haussonville dans l'entourage politique du comte de Paris ou du duc d'Orleans à la fin du XIXe siècle, mais c'est une autre histoire.
N'est-ce pas justement celui qui rédige ses Souvenirs, Joseph d'Haussonville, ou son fils, Paul-Gabriel, qui semble avoir publié lui aussi des souvenirs mais sur le comte de Paris, petit-fils de Louis-Philippe ?
Gouverneur Morris- Messages : 11687
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Suppression de la Louveterie, en 1787
Il s'agit, Gouv, très certainement de Paul-Gabriel d'Haussonville, dont la carrière au sein de l'entourage politique du comte de Paris paraît bien établie.
Cette famille était devenue d'obédience orleaniste au XIXe siècle avec la Monarchie de Juillet.
Cette famille était devenue d'obédience orleaniste au XIXe siècle avec la Monarchie de Juillet.
Dominique Poulin- Messages : 6932
Date d'inscription : 02/01/2014
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