Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
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Comte d'Hézècques
Olivier
Mme de Sabran
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Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
Adorable !
Mme de Sabran- Messages : 55509
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Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
Aglaé de Polignac, était la fille de l'amie de Marie-Antoinette et comme telle un peu la fille adoptive de notre Reine.
Son éducation eu pour cadre le couvent de Panthémont, à Paris, comme sa mère avant elle, et Louise de Polastron ( en même temps qu'elle ) .
Façade de l'abbaye de Panthémont, sur la rue de Grenelle :
La Révolution survenant, Guichette n'a pas eu le temps d'avoir une charge à la Cour.
Guichette n'était pas vraiment irréprochable, j'ai le regret de vous le dire . Souvenez-vous de cette nuit où un jeune-homme de bonne mine qui enjambait prestement une fenêtre du château, sauta dans les bras des sentinelles éberluées. C'était le neveu de l'archevêque de Reims, M. d'Archambault !!!! Il était en train de jouer au papa et à la maman avec Aglaé quand survint le duc de Guiche. Ce dernier dit philosophiquement à sa petite femme un peu décoiffée: Il fallait me prévenir, je ne serais pas rentré .
Telle est la rumeur .
En vérité, le duc de Guiche provoqua Archambault en duel, et, comme il n'y a pas de justice, c'est lui qui reçut une blessure !
Et l'on colporta que Louis XVI, ayant appris l'incident, déclara goguenard :
Puisqu'il faut absolument que nous soyons entourés de p... qu'au moins on les loge au rez-de-chaussée ! On ne courra plus le risque de se casser le cou si, en allant les voir, on est obligé de passer par la fenêtre !
Le galant n'était autre qu' Archambault de Talleyrand, le frère cadet du Diable boiteux .
En date de 1786, dans la Correspondance Secrète de Lescure :
On parle beaucoup de l'aventure scandaleuse dont le comte d'Archambault, fils du chevalier de Talleyrand, a été le héros. La fenêtre du château par laquelle il descendait précipitamment lorsqu'on l'a arrêté, se trouvait être celle de l'appartement de la duchesse de Guiche, fille de La duchesse de Polignac, et l'une des plus jolies personnes de la cour. Les deux familles prennent beaucoup de soin pour donner le change sur cette anecdote, à laquelle leurs efforts ne font que procurer plus de célébrité.
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Son éducation eu pour cadre le couvent de Panthémont, à Paris, comme sa mère avant elle, et Louise de Polastron ( en même temps qu'elle ) .
Façade de l'abbaye de Panthémont, sur la rue de Grenelle :
La Révolution survenant, Guichette n'a pas eu le temps d'avoir une charge à la Cour.
Guichette n'était pas vraiment irréprochable, j'ai le regret de vous le dire . Souvenez-vous de cette nuit où un jeune-homme de bonne mine qui enjambait prestement une fenêtre du château, sauta dans les bras des sentinelles éberluées. C'était le neveu de l'archevêque de Reims, M. d'Archambault !!!! Il était en train de jouer au papa et à la maman avec Aglaé quand survint le duc de Guiche. Ce dernier dit philosophiquement à sa petite femme un peu décoiffée: Il fallait me prévenir, je ne serais pas rentré .
Telle est la rumeur .
En vérité, le duc de Guiche provoqua Archambault en duel, et, comme il n'y a pas de justice, c'est lui qui reçut une blessure !
Et l'on colporta que Louis XVI, ayant appris l'incident, déclara goguenard :
Puisqu'il faut absolument que nous soyons entourés de p... qu'au moins on les loge au rez-de-chaussée ! On ne courra plus le risque de se casser le cou si, en allant les voir, on est obligé de passer par la fenêtre !
Le galant n'était autre qu' Archambault de Talleyrand, le frère cadet du Diable boiteux .
En date de 1786, dans la Correspondance Secrète de Lescure :
On parle beaucoup de l'aventure scandaleuse dont le comte d'Archambault, fils du chevalier de Talleyrand, a été le héros. La fenêtre du château par laquelle il descendait précipitamment lorsqu'on l'a arrêté, se trouvait être celle de l'appartement de la duchesse de Guiche, fille de La duchesse de Polignac, et l'une des plus jolies personnes de la cour. Les deux familles prennent beaucoup de soin pour donner le change sur cette anecdote, à laquelle leurs efforts ne font que procurer plus de célébrité.
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Dernière édition par Mme de Sabran le Mer 25 Déc 2013, 23:13, édité 1 fois
Mme de Sabran- Messages : 55509
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Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
Guichette et son mari forment-ils un couple uni ?
Pierre de Nolhac est dubitatif :
M. de Guiche, le gendre, est aux pieds d'une belle-mère à qui il doit la fortune, sinon le bonheur.
Pierre de Nolhac est dubitatif :
M. de Guiche, le gendre, est aux pieds d'une belle-mère à qui il doit la fortune, sinon le bonheur.
Mme de Sabran- Messages : 55509
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Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
Il semble que Guichette, à peine mariée, ait été convoitée par le comte d'Artois (qui n'avait pas encore eu le coup de bambou pour Louise de Polastron ) .
Ainsi le raconte la Correspondance Secrète de Lescure :
M. le Comte d'Artois fait une cour très assidue à la duchesse de Guiche, qui, comme vous le savez, est la fille de la favorite de la Reine. Elle n'est pas encore nubile et son mari n'a pas encore habité avec elle. Les malins prétendent que ce n'est pas lui qui en aura les prémices et qu'elles sont réservées à Monseigneur. Je le croirais volontiers.
Convenez, Monsieur, qu'il est bien extraordinaire, et, quoiqu'on en dise à la Cour, bien désagréable d'être c... avant d'avoir couché avec sa femme ! Un simple bourgeois aurait bien de la peine à s'y faire. La providence apparemment a doué les demi-dieux de la terre d'une façon de penser et d'une humeur plus endurante .
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Ainsi le raconte la Correspondance Secrète de Lescure :
M. le Comte d'Artois fait une cour très assidue à la duchesse de Guiche, qui, comme vous le savez, est la fille de la favorite de la Reine. Elle n'est pas encore nubile et son mari n'a pas encore habité avec elle. Les malins prétendent que ce n'est pas lui qui en aura les prémices et qu'elles sont réservées à Monseigneur. Je le croirais volontiers.
Convenez, Monsieur, qu'il est bien extraordinaire, et, quoiqu'on en dise à la Cour, bien désagréable d'être c... avant d'avoir couché avec sa femme ! Un simple bourgeois aurait bien de la peine à s'y faire. La providence apparemment a doué les demi-dieux de la terre d'une façon de penser et d'une humeur plus endurante .
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Mme de Sabran- Messages : 55509
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Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
Mme de Sabran a écrit:
Convenez, Monsieur, qu'il est bien extraordinaire, et, quoiqu'on en dise à la Cour, bien désagréable d'être c... avant d'avoir couché avec sa femme !
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Excellent !! : : :
Invité- Invité
Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
Encore meilleur :
Un simple bourgeois aurait bien de la peine à s'y faire. La providence apparemment a doué les demi-dieux de la terre d'une façon de penser et d'une humeur plus endurante .
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Un simple bourgeois aurait bien de la peine à s'y faire. La providence apparemment a doué les demi-dieux de la terre d'une façon de penser et d'une humeur plus endurante .
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Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
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Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
... soit Mme Vigée Lebrun ment en allemand, soit Louis-Auguste Brun dessine comme un pied d'éléphant !
Invité- Invité
Mme de Sabran- Messages : 55509
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Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
Un grand merci !
Aglaé de Polignac était vraiment un parti de première importance. Tout le monde se l'arrachait ! !
Nonobstant la place éminente de sa famille à la cour et la promesse d'une dot considérable, elle était également d'une beauté à couper le souffle.
Aglaé de Polignac était vraiment un parti de première importance. Tout le monde se l'arrachait ! !
Nonobstant la place éminente de sa famille à la cour et la promesse d'une dot considérable, elle était également d'une beauté à couper le souffle.
Invité- Invité
Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
8 septembre 1780 :
Je crois avoir déjà lu cette dernière phrase quelque part.
Je crois avoir déjà lu cette dernière phrase quelque part.
Invité- Invité
Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
Nous eûmes plusieurs portraits de Guichette .
La famille de Polignac est très à l'honneur, dans cette exposition .
La famille de Polignac est très à l'honneur, dans cette exposition .
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55509
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Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
Le départ pour l'exil ......
à travers les yeux d'enfant de la petite Adèle d'Osmond.
Un jour, j'étais à jouer chez les petites de Guiche; on vint me chercher beaucoup plus tôt que de coutume. Au lieu du domestique ordinairement chargé du soin de me porter, je trouvai le valet de chambre de confiance de mon père. J'avais une bonne anglaise qui parlait mal français; on lui remit un billet de ma mère. Pendant qu'elle le lisait, je rentrai dans la chambre de mes petites compagnes et déjà tout y était sans dessus dessous: on pleurait et on commençait des paquets. On m'enveloppa dans une pelisse; le valet de chambre me prit dans ses bras, et, au lieu de me ramener chez mes parents, il m'installa avec ma bonne chez un vieux maître d'anglais qui habitait une petite chambre au quatrième dans un quartier éloigné.
La nuit suivante, on vint me chercher, et je fus menée à la campagne où je restai plusieurs jours sans nouvelles de personne. J'étais déjà assez âgée pour souffrir beaucoup de cet exil. C'était lors des troubles du mois de juin et à l'époque du départ de monsieur le comte d'Artois, de ses enfants et de la famille Polignac. À mon retour, je trouvai l'aînée des petites de Guiche partie et sa sœur cachée chez les parents de sa bonne. Le motif de tout cet émoi pour nous autres enfants avait été le bruit répandu que le peuple, comme on appelait dès lors une poignée de misérables, était en route pour venir enlever les enfants des nobles et en faire des otages. Il m'était resté un grand effroi de cette séparation et, lorsque les événements du 6 octobre arrivèrent, je n'étais occupée que de la crainte d'être renvoyée de la maison.
à travers les yeux d'enfant de la petite Adèle d'Osmond.
Un jour, j'étais à jouer chez les petites de Guiche; on vint me chercher beaucoup plus tôt que de coutume. Au lieu du domestique ordinairement chargé du soin de me porter, je trouvai le valet de chambre de confiance de mon père. J'avais une bonne anglaise qui parlait mal français; on lui remit un billet de ma mère. Pendant qu'elle le lisait, je rentrai dans la chambre de mes petites compagnes et déjà tout y était sans dessus dessous: on pleurait et on commençait des paquets. On m'enveloppa dans une pelisse; le valet de chambre me prit dans ses bras, et, au lieu de me ramener chez mes parents, il m'installa avec ma bonne chez un vieux maître d'anglais qui habitait une petite chambre au quatrième dans un quartier éloigné.
La nuit suivante, on vint me chercher, et je fus menée à la campagne où je restai plusieurs jours sans nouvelles de personne. J'étais déjà assez âgée pour souffrir beaucoup de cet exil. C'était lors des troubles du mois de juin et à l'époque du départ de monsieur le comte d'Artois, de ses enfants et de la famille Polignac. À mon retour, je trouvai l'aînée des petites de Guiche partie et sa sœur cachée chez les parents de sa bonne. Le motif de tout cet émoi pour nous autres enfants avait été le bruit répandu que le peuple, comme on appelait dès lors une poignée de misérables, était en route pour venir enlever les enfants des nobles et en faire des otages. Il m'était resté un grand effroi de cette séparation et, lorsque les événements du 6 octobre arrivèrent, je n'étais occupée que de la crainte d'être renvoyée de la maison.
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Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
On y lit l'angoisse de ces enfants qui comprenaient que la situation était dangereuse mais sans bien savoir pourquoi. àè-è\':
Invité- Invité
Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
Suite aux recherches des tableaux de la collection Vaudreuil, et en particulier ceux achetés directement à Elisabeth Vigée Le Brun par le comte de Vaudreuil, je reviens sur quelques portraits postés ici, et qui sont, à mon avis, des erreurs.
Dont celui-ci :
Aglaé de Polignac, née en 1768, ne peut être ainsi représentée sur cette toile (datée des années 93-95 apparemment), et sur laquelle apparaissent donc deux très jeunes filles.
Le Musée Pouchkine qui conserve ce tableau le titre d'ailleurs, plus sobrement, "Naiades" (si Google traduction ne se trompe pas : )
Наяды
Луиза Элизабет Виже-Лебрен
© 2009-2016 FGUP Musée National des Beaux-Arts Pouchkine
Dont celui-ci :
Aglaé de Polignac, née en 1768, ne peut être ainsi représentée sur cette toile (datée des années 93-95 apparemment), et sur laquelle apparaissent donc deux très jeunes filles.
Le Musée Pouchkine qui conserve ce tableau le titre d'ailleurs, plus sobrement, "Naiades" (si Google traduction ne se trompe pas : )
Наяды
Луиза Элизабет Виже-Лебрен
© 2009-2016 FGUP Musée National des Beaux-Arts Pouchkine
Dernière édition par La nuit, la neige le Sam 10 Déc 2016, 20:29, édité 1 fois
La nuit, la neige- Messages : 18137
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
Absolument !
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55509
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
Second portrait à mon avis mal, ou peut-être trop vite attribué ici, précédentes pages de ce sujet...
En effet, on le retrouve cette photo sur le site bien connu dédié aux portraits de Mme Vigée Le Brun, avec cette même légende : http://www.batguano.com/vigeeart100.html
En complément, une gravure retrouvée illustrant l'attribution :
Bon...
Mais l'on pourrait déjà s'étonner qu'un portrait datant apparemment des années 1820 ou 30, représente la duchesse de Guiche décédée en....1803 !!
Et pourquoi ces yeux si tombants ?
Aussi, ce portrait est passé aux enchères en 2009, à Drouot Paris.
Pour la maison de vente aux enchères, il était attribué à : "Ecole FRANCAISE du XIXème siècle, suiveur de Elisabeth Louise VIGEE LEBRUN".
En effet, quoique fort joli, il est parti pour la petite somme de 3800 €. Bien loin des résultats habituels des tableaux de Mme Le Brun. boudoi32
De plus, la maison de vente titrait alors : Portrait de la duchesse de Berry
Voir ici : http://www.thierrydemaigret.com/html/fiche.jsp?id=1021600&np=5&lng=fr&npp=20&ordre=&aff=1&r=&gsessionid=44E7EDABC79E2CF0F86D414F79B7D3AF
Mme Le Brun a également peint ces portraits-ci de la duchesse de Berry.
Le portrait exposé au salon de 1824, en "robe bleue" :
Et comme elle l'a souvent fait, existe apparemment un second portrait, en "robe rouge" cette fois-ci :
Autre piste qui embrouille encore tout, et toujours dans le thème " Mme Le Brun et sa photocopieuse" ... :
Le portrait cette fois-ci de la fille de Guichette, la petite fille donc de la duchesse de Polignac : Aglaé Angélique Gabrielle de Gramont, comtesse Davydov
Née en 1787 et décédée en 1842 : ce qui collerait davantage avec la période de réalisation de l'ensemble de ces portraits, puisque celui-ci est peint en 1824.
Passé en vente chez Sotheby's : http://www.sothebys.com/it/auctions/ecatalogue/2014/the-courts-of-europe-n09107/lot.136.html
En effet, on le retrouve cette photo sur le site bien connu dédié aux portraits de Mme Vigée Le Brun, avec cette même légende : http://www.batguano.com/vigeeart100.html
En complément, une gravure retrouvée illustrant l'attribution :
Bon...
Mais l'on pourrait déjà s'étonner qu'un portrait datant apparemment des années 1820 ou 30, représente la duchesse de Guiche décédée en....1803 !!
Et pourquoi ces yeux si tombants ?
Aussi, ce portrait est passé aux enchères en 2009, à Drouot Paris.
Pour la maison de vente aux enchères, il était attribué à : "Ecole FRANCAISE du XIXème siècle, suiveur de Elisabeth Louise VIGEE LEBRUN".
En effet, quoique fort joli, il est parti pour la petite somme de 3800 €. Bien loin des résultats habituels des tableaux de Mme Le Brun. boudoi32
De plus, la maison de vente titrait alors : Portrait de la duchesse de Berry
Voir ici : http://www.thierrydemaigret.com/html/fiche.jsp?id=1021600&np=5&lng=fr&npp=20&ordre=&aff=1&r=&gsessionid=44E7EDABC79E2CF0F86D414F79B7D3AF
Mme Le Brun a également peint ces portraits-ci de la duchesse de Berry.
Le portrait exposé au salon de 1824, en "robe bleue" :
Et comme elle l'a souvent fait, existe apparemment un second portrait, en "robe rouge" cette fois-ci :
Autre piste qui embrouille encore tout, et toujours dans le thème " Mme Le Brun et sa photocopieuse" ... :
Le portrait cette fois-ci de la fille de Guichette, la petite fille donc de la duchesse de Polignac : Aglaé Angélique Gabrielle de Gramont, comtesse Davydov
Née en 1787 et décédée en 1842 : ce qui collerait davantage avec la période de réalisation de l'ensemble de ces portraits, puisque celui-ci est peint en 1824.
Passé en vente chez Sotheby's : http://www.sothebys.com/it/auctions/ecatalogue/2014/the-courts-of-europe-n09107/lot.136.html
La nuit, la neige- Messages : 18137
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
Je pensais aussi à la duchesse de Berry en voyant le premier tableau, à part pour les yeux "tombants" boudoi32
_________________
« elle dominait de la tête toutes les dames de sa cour, comme un grand chêne, dans une forêt, s'élève au-dessus des arbres qui l'environnent. »
Comte d'Hézècques- Messages : 4390
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 44
Localisation : Pays-Bas autrichiens
Re: Aglaé de Polignac, duchesse de Guiche
La nuit, la neige a écrit: "Ecole FRANCAISE du XIXème siècle, suiveur de Elisabeth Louise VIGEE LEBRUN".
Il me semble que c'est la première fois que je rencontre ce terme curieux de suiveur !
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55509
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Localisation : l'Ouest sauvage
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