Jean-Honoré Fragonard
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Jean-Honoré Fragonard
Le beau musée Jacquemart-André (qui a fêté ses 100 ans en décembre dernier) organise, à partir de mars prochain, une intéressante exposition :
De Watteau à Fragonard, les fêtes galantes
Le Musée Jacquemart-André présente une grande exposition sur la peinture française du XVIIIe siècle et ses maîtres : "De Watteau à Fragonard, les Fêtes galantes". À cette occasion, il réunit une soixantaine d’œuvres, essentiellement des peintures provenant d’importantes collections, le plus souvent publiques, françaises, allemandes, anglaises ou encore américaines.
Le terme de "fête galante" désigne un genre pictural qui éclot au début du XVIIIe siècle, pendant la Régence (1715-1723), autour de la figure emblématique de Antoine Watteau (1684-1721). Dans des décors champêtres à la végétation luxuriante, Watteau met en scène le sentiment amoureux : danseurs, belles dames ou bergers s’adonnent à des divertissements ou à des confidences.
À la suite du maître, Nicolas Lancret (1690-1743) et Jean-Baptiste Pater (1695-1736) s’approprient les codes de la fête galante, qu’ils font évoluer. Ils ancrent ces scènes imaginaires dans la réalité en y reproduisant des lieux, des œuvres d’art ou des détails aisément reconnaissables par leurs contemporains.
Les artistes les plus créatifs, comme François Boucher (1703-1770) et Jean-Honoré Fragonard (1732-1806), donneront à leur tour une vision très personnelle des plaisirs de la fête galante.
La poésie et la légèreté qui se dégagent de leurs œuvres s’accompagnent d’une recherche d’élégance et de raffinement propres à l’esprit rococo qui s’épanouit au siècle des Lumières, maniant avec brio les lignes courbes et les couleurs claires.
Voir ici, sur le site du musée, avec notamment le dossier de presse de cette exposition à télécharger : http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/evenements/watteau-fragonard-fetes-galantes
RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Jean-Gilles Berizzi
De Watteau à Fragonard, les fêtes galantes
Le Musée Jacquemart-André présente une grande exposition sur la peinture française du XVIIIe siècle et ses maîtres : "De Watteau à Fragonard, les Fêtes galantes". À cette occasion, il réunit une soixantaine d’œuvres, essentiellement des peintures provenant d’importantes collections, le plus souvent publiques, françaises, allemandes, anglaises ou encore américaines.
Le terme de "fête galante" désigne un genre pictural qui éclot au début du XVIIIe siècle, pendant la Régence (1715-1723), autour de la figure emblématique de Antoine Watteau (1684-1721). Dans des décors champêtres à la végétation luxuriante, Watteau met en scène le sentiment amoureux : danseurs, belles dames ou bergers s’adonnent à des divertissements ou à des confidences.
À la suite du maître, Nicolas Lancret (1690-1743) et Jean-Baptiste Pater (1695-1736) s’approprient les codes de la fête galante, qu’ils font évoluer. Ils ancrent ces scènes imaginaires dans la réalité en y reproduisant des lieux, des œuvres d’art ou des détails aisément reconnaissables par leurs contemporains.
Les artistes les plus créatifs, comme François Boucher (1703-1770) et Jean-Honoré Fragonard (1732-1806), donneront à leur tour une vision très personnelle des plaisirs de la fête galante.
La poésie et la légèreté qui se dégagent de leurs œuvres s’accompagnent d’une recherche d’élégance et de raffinement propres à l’esprit rococo qui s’épanouit au siècle des Lumières, maniant avec brio les lignes courbes et les couleurs claires.
Voir ici, sur le site du musée, avec notamment le dossier de presse de cette exposition à télécharger : http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/evenements/watteau-fragonard-fetes-galantes
RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Jean-Gilles Berizzi
Dernière édition par La nuit, la neige le Dim 17 Mar 2019, 17:19, édité 1 fois
La nuit, la neige- Messages : 18060
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Jean-Honoré Fragonard
L'exposition comme le musée me plaisent énormément !!! :;\':;\':; :;\':;\':; :;\':;\':;
Je sais que j'y irai !!!
Bien à vous.
Je sais que j'y irai !!!
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Jean-Honoré Fragonard
Dieux que c'est tentant ! Je ne la manquerai pas .
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55309
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Mr de Talaru- Messages : 3186
Date d'inscription : 02/01/2014
Age : 65
Localisation : près des Cordeliers...
Exposition "Fragonard amoureux" (musée du Luxembourg)
Le RMN-Grand Palais propose au même temps que l'expo de Mme Vigée-Le Brun une expo dediée à Fragonard:
"Fragonard amoureux"
16 Septembre 2015 - 24 Janvier 2016
Musée du Luxembourg
"L’inspiration amoureuse parcourt l’oeuvre de Jean Honoré Fragonard (1732- 1806), souvent en écho avec les transformations et préoccupations de son époque. L’exposition explore les diverses variations autour du thème du sentiment ou de l’impulsion amoureux, inlassablement repris et enrichi dans l’oeuvre de l’artiste : depuis les premières « bergeries » liées à la grande tradition de galanterie héritée du XVIIe siècle jusqu’aux allégories amoureuses néoclassiques imprégnées d’un véritable mystère sacré de la fin de sa carrière.
Commissaire : Guillaume Faroult, conservateur en chef, en charge des peintures françaises du XVIIIe
siècle et des peintures britanniques et américaines du musée du Louvre.
Exposition organisée par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais en partenariat avec le Musée du Louvre."
http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/fragonard-amoureux
"Fragonard amoureux"
16 Septembre 2015 - 24 Janvier 2016
Musée du Luxembourg
"L’inspiration amoureuse parcourt l’oeuvre de Jean Honoré Fragonard (1732- 1806), souvent en écho avec les transformations et préoccupations de son époque. L’exposition explore les diverses variations autour du thème du sentiment ou de l’impulsion amoureux, inlassablement repris et enrichi dans l’oeuvre de l’artiste : depuis les premières « bergeries » liées à la grande tradition de galanterie héritée du XVIIe siècle jusqu’aux allégories amoureuses néoclassiques imprégnées d’un véritable mystère sacré de la fin de sa carrière.
Commissaire : Guillaume Faroult, conservateur en chef, en charge des peintures françaises du XVIIIe
siècle et des peintures britanniques et américaines du musée du Louvre.
Exposition organisée par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais en partenariat avec le Musée du Louvre."
http://www.grandpalais.fr/fr/evenement/fragonard-amoureux
Invité- Invité
Re: Jean-Honoré Fragonard
N'oublions pas :
FRAGONARD AMOUREUX :n,,;::::!!!: :n,,;::::!!!: :n,,;::::!!!:
Du Mercredi 17/06/2015 au Dimanche 24/01/2016
L’inspiration amoureuse parcourt l’œuvre de Jean-Honoré Fragonard (1732-1806). Se faisant tour à tour galante, libertine, audacieusement polissonne ou au contraire ouverte à une nouvelle éthique amoureuse, celle-ci ne cesse en effet de mettre en scène la rencontre des corps et la fusion des âmes. Inaugurée au mitan du XVIIIème siècle par des bergeries nourries des derniers feux de la galanterie, cette inlassable exploration de la sensualité et du sentiment s’épanouit par la suite au travers de voies contrastées, le « Divin Frago » s’illustrant avec autant de subtilité dans des œuvres « secrètes », scènes d’alcôve à la sensualité affirmée, que dans la célébration d’un amour sincère et moralisé. Réunissant peintures, dessins et ouvrages illustrés, au contenu érotique parfois explicite, l’exposition du Musée du Luxembourg met pour la première fois en lumière l’œuvre de Fragonard à travers ce prisme amoureux, la resituant à la croisée des préoccupations esthétiques et morales du siècle des Lumières.
Exposition organisée par la Réunion des musées nationaux - Grand Palais en partenariat avec le Musée du Louvre
.
FRAGONARD AMOUREUX :n,,;::::!!!: :n,,;::::!!!: :n,,;::::!!!:
Du Mercredi 17/06/2015 au Dimanche 24/01/2016
L’inspiration amoureuse parcourt l’œuvre de Jean-Honoré Fragonard (1732-1806). Se faisant tour à tour galante, libertine, audacieusement polissonne ou au contraire ouverte à une nouvelle éthique amoureuse, celle-ci ne cesse en effet de mettre en scène la rencontre des corps et la fusion des âmes. Inaugurée au mitan du XVIIIème siècle par des bergeries nourries des derniers feux de la galanterie, cette inlassable exploration de la sensualité et du sentiment s’épanouit par la suite au travers de voies contrastées, le « Divin Frago » s’illustrant avec autant de subtilité dans des œuvres « secrètes », scènes d’alcôve à la sensualité affirmée, que dans la célébration d’un amour sincère et moralisé. Réunissant peintures, dessins et ouvrages illustrés, au contenu érotique parfois explicite, l’exposition du Musée du Luxembourg met pour la première fois en lumière l’œuvre de Fragonard à travers ce prisme amoureux, la resituant à la croisée des préoccupations esthétiques et morales du siècle des Lumières.
Exposition organisée par la Réunion des musées nationaux - Grand Palais en partenariat avec le Musée du Louvre
.
Mme de Sabran- Messages : 55309
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Jean-Honoré Fragonard
Olivier a écrit:Préparons l'exposition avec :
le catalogue de l'exposition
Fragonard amoureux, galant et libertain
le magazine Le Figaro Hors-Série
Olivier, déverrouillé
Je devrais au moins pouvoir trouver le Figaro Hors-Série, même dans ma cambrousse .
Merci pour ces précieux conseils de lecture !
Eléonore amoureuse, galante et libertine
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55309
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Jean-Honoré Fragonard
Nous parlons beaucoup de l'exposition Vigée Le Brun, mais n'oublions pas l'exposition "Fragonard Amoureux"...
Voir ici le dossier de présentation de l'exposition : http://www.grandpalais.fr/pdf/expos/Depliant_Fragonard_francais.pdf
Le commissaire de l'exposition présente ici cet évènement :
Voir ici le dossier de présentation de l'exposition : http://www.grandpalais.fr/pdf/expos/Depliant_Fragonard_francais.pdf
Le commissaire de l'exposition présente ici cet évènement :
La nuit, la neige- Messages : 18060
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Jean-Honoré Fragonard
L'émission, La dispute, sur france Culture, a consacré une récente émission au sujet de l'exposition "Fragonard amoureux".
Je viens de citer cette même émission, dans le sujet dédié à l'exposition Vigée Le Brun (très critiquée).
Jean-Max Colard et Corinne Rondeau, les deux critiques d'art invités, commentent donc également l'exposition Fragonard.
Même lien, cette fois-ci à partir de la 44ème minute de l'émission.
Ici : http://www.franceculture.fr/emission-la-dispute-arts-plastiques-elisabeth-louise-vigee-le-brun-1755-1842-fragonard-amoureux-gala
Je viens de citer cette même émission, dans le sujet dédié à l'exposition Vigée Le Brun (très critiquée).
Jean-Max Colard et Corinne Rondeau, les deux critiques d'art invités, commentent donc également l'exposition Fragonard.
Même lien, cette fois-ci à partir de la 44ème minute de l'émission.
Ici : http://www.franceculture.fr/emission-la-dispute-arts-plastiques-elisabeth-louise-vigee-le-brun-1755-1842-fragonard-amoureux-gala
La nuit, la neige- Messages : 18060
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Jean-Honoré Fragonard
La nuit dernière, une longue émission sur la 7 sur Frago mais prise en cours donc pas le titre (très intéressante )
Re: Jean-Honoré Fragonard
Oh Madame! Veuillez cacher vos atouts! ou les mystères du tableau de Fragonard....Les Hasards heureux de l'escarpolette.
Allongé dans un buisson, le baron de Saint-Julien, receveur des finances du clergé sous Louis XV, Roi tout aussi lubrique et intéressé que lui, se rince l’œil. :
Sur une balançoire (l'escarpolette !) de velours rouge, couleur de l'érotisme, une jeune femme lève la jambe avec espièglerie, fait valdinguer sa pantoufle et dévoile ce qui devrait rester caché! (Eh oui! à l'époque les femmes ne portaient pas de culotte sous leurs robes et jupons!)
Le Baron ravi ravi ravi, la contemple avec extase. Cette scène sort tout droit de son imagination! boudoi30
En 1767, il passe une commande coquine auprès du peintre Gabriel François Doyen:
"Je désirerais que vous peignissiez Madame (en montrant sa maîtresse du bout du doigt) sur une escarpolette, Vous me placerez de façon, moi, que je sois à portée de voir les jambes de cette belle enfant et mieux même, si vous voulez égayer votre tableau!"
Le maître, surement un peu trop "coincé" refuse net cette proposition!
Le Baron ne perdant pas son projet retente sa chance avec un autre...qui deviendra un grand et qui, lui, n'est pas du tout frileux: Jean-Honoré Fragonard!
Ce dernier n'hésite pas une seconde et compose une œuvre qui contient tous les éléments de la scène galante. En haut, à gauche, la statue de l'ange lève le doigt devant la bouche comme pour garder le secret... en plein siècle libertin, le tableau va faire fureur et apporter la renommée à Fragonard!
Expo - "Dansez, embrassez qui vous voudrez" Louvre Lens , jusqu'au 29 février 2016.... ne trainez pas!
Bien à vous.
Allongé dans un buisson, le baron de Saint-Julien, receveur des finances du clergé sous Louis XV, Roi tout aussi lubrique et intéressé que lui, se rince l’œil. :
Sur une balançoire (l'escarpolette !) de velours rouge, couleur de l'érotisme, une jeune femme lève la jambe avec espièglerie, fait valdinguer sa pantoufle et dévoile ce qui devrait rester caché! (Eh oui! à l'époque les femmes ne portaient pas de culotte sous leurs robes et jupons!)
Le Baron ravi ravi ravi, la contemple avec extase. Cette scène sort tout droit de son imagination! boudoi30
En 1767, il passe une commande coquine auprès du peintre Gabriel François Doyen:
"Je désirerais que vous peignissiez Madame (en montrant sa maîtresse du bout du doigt) sur une escarpolette, Vous me placerez de façon, moi, que je sois à portée de voir les jambes de cette belle enfant et mieux même, si vous voulez égayer votre tableau!"
Le maître, surement un peu trop "coincé" refuse net cette proposition!
Le Baron ne perdant pas son projet retente sa chance avec un autre...qui deviendra un grand et qui, lui, n'est pas du tout frileux: Jean-Honoré Fragonard!
Ce dernier n'hésite pas une seconde et compose une œuvre qui contient tous les éléments de la scène galante. En haut, à gauche, la statue de l'ange lève le doigt devant la bouche comme pour garder le secret... en plein siècle libertin, le tableau va faire fureur et apporter la renommée à Fragonard!
Expo - "Dansez, embrassez qui vous voudrez" Louvre Lens , jusqu'au 29 février 2016.... ne trainez pas!
Merci à Cyrille de Marie-Antoinette tout simplement pour cet article:n,,;::::!!!:
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Jean-Honoré Fragonard
Majesté a écrit: en plein siècle libertin, le tableau va faire fureur et apporter la renommée à Fragonard!
Ce genre de tableaux étaient destinés aux intérieurs de ces messieurs libertins, et n'étaient pas exposés, ni encore moins diffusés. Je ne vois pas comment il aurait pu participer à la renommée de Fragonard, hors d'un cercle restreint d'intimes du commanditaire, en sachant que Fragonard est déjà très célèbre dès sa réception à l'académie.
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 32
Re: Jean-Honoré Fragonard
Il faut absolument que tu en fasses part au Louvre (Lens) car ces propos que tu critiques avec tant de maestria sont tenus dans le cadre de l'expo "Dansez, embrassez qui vous voudrez" !
Bien à toi
Bien à toi
Invité- Invité
Re: Jean-Honoré Fragonard
Il leur aurait suffit d'aller voir l'exposition Fragonard Amoureux au Luxembourg pour entendre ces mêmes propos !
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 32
Re: Jean-Honoré Fragonard
Elle est pourtant bien charmante, cette scène de l'escarpolette ...
... pas de quoi s'offusquer ! :
... pas de quoi s'offusquer ! :
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Mme de Sabran- Messages : 55309
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Jean-Honoré Fragonard
Ce tableau n'est pas présenté à l'exposition "Fragonard amoureux" au Luxembourg. Il y est indiqué qu'il n'était pas prêtable.
J'ai vu l'exposition et j'étais ravi. Le contenu est plus complet que les scènes érotiques sur lesquelles la communication s'est faite. J'ai découvert ses illustrations des contes de La Fontaine (pas les Fables).
Je n'ai pas pris de photos et je le regrette.
Olivier, sur parole
J'ai vu l'exposition et j'étais ravi. Le contenu est plus complet que les scènes érotiques sur lesquelles la communication s'est faite. J'ai découvert ses illustrations des contes de La Fontaine (pas les Fables).
Je n'ai pas pris de photos et je le regrette.
Olivier, sur parole
Olivier- Messages : 1007
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Jean-Honoré Fragonard
La Wallace ne prête pas ses œuvres.
Il existe un tableau d'intérieur où figure une peinture cachée par un rideau mais impossible de la retrouver dans mes images....
Il existe un tableau d'intérieur où figure une peinture cachée par un rideau mais impossible de la retrouver dans mes images....
Re: Jean-Honoré Fragonard
Olivier a écrit: J'ai découvert ses illustrations des contes de La Fontaine (pas les Fables).
Olivier, sur parole
Contes illustrés par J.H. Fragonard
Jean-Baptiste Oudry, Jean-Honoré Fragonard - Editions Editions Diane de Selliers - Coffret (2 volumes) - Textes en Français
Une nouvelle publication Les Fables illustrées par Oudry et Les Contes illustrés par Fragonard sont aujourd'hui réunis dans un somptueux coffret illustré. Voici une excellente manière de redécouvrir les oeuvres de La Fontaine, interprétées dans toute leur originalité et leur beauté par deux grands artistes du XVIIIe siècle.
Eléonore, en confiance
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Mme de Sabran- Messages : 55309
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Exposition : Fragonard, au Met Museum New-York
Le Met Fifth Avenue présentera, du 6 octobre 2016 au 8 janvier 2017, un bel ensemble d'une centaine de dessins du célèbre Fragonard :
Fragonard - Drawing Triumphant
Présentation :
Jean Honoré Fragonard (1732–1806)—one of the most forward-looking and inventive artists of the 18th century—was equally skilled in painting, drawing, and etching.
Unlike many old masters for whom drawing was a preparatory tool, Fragonard explored the potential of chalk, ink, and wash to create sheets that were works of art in their own right.
As displays of virtuosity and an imaginative spirit, his drawings have been prized highly from his own day to the present, and New York has long been a center for collecting these works.
Portrait of Jean Honoré Fragonard - 1797
Artist :Jacques Antoine Marie Lemoine
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
This exhibition celebrates the artist's achievements as a master draftsman. Among the 100 works on paper on view, nearly half are from private collections, some of which are being shown publicly for the first time.
A similar brio and inventiveness mark the artist's etchings, and examples of these are also featured in the selection.
The exhibition provides a rare opportunity to see well-loved masterpieces alongside new discoveries and works that have long been out of the public eye.
Sources et informations complémentaires, ici : http://www.metmuseum.org/exhibitions/listings/2016/fragonard
Quelques-unes des oeuvres présentées, ainsi que les notes des commissaires de l'exposition (extraits) :
Study of Plants, Including Acanthus, ca 1759
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
In 1759, when he likely made this drawing, Fragonard was a third-year pensionnaire (student) at the Académie de France in Rome.
The director, Charles Joseph Natoire, regularly took the pupils on excursions in the Roman countryside in order to sketch en plein air. This work belongs to a series of large-scale formal studies of plants that Fragonard produced on such expeditions.
The Indiscreet Bull, ca 1763-65
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
Rustic landscapes and farmyard scenes inspired by seventeenth-century Dutch painting were popular in eighteenth-century France, and Fragonard was not immune to their charms.
The Little Park, ca 1765
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
Young Athenian Women Drawing Lots
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
After winning acceptance at the Académie Royale, Fragonard was commissioned by the crown to produce a pendant for his painting Coresus and Callirhoë (1765).
No such painting was ever completed, but certain studies, including this one, of subjects from ancient history suggest that he may have begun the design process.
Imaginary View of a Roman Villa, mid 1770s
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
Parasol pines (Pinus pinea) are ubiquitous in Rome, and Fragonard was fascinated by them during both his stays there. Walking around the city, he made small sketches of the trees in chalk and wash.
The Husband-Confessor, ca 1770
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
This delicate drawing, made presumably for a collector, illustrates one of the famous Tales of Jean de La Fon-taine. In a careful technique, emphasizing legibility over spontaneity, Fragonard describes an elegant salon. The knight Artus returns from war to find his wife surrounded by admirers, his expression far from pleased. :
Portrait of a Neapolitan Woman, ca 1774
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
In his youth, Fragonard had visited Naples and studiously copied famous paintings in the local churches. Returning as a mature artist in 1774, he focused on the people in the streets.
The Sultan, ca 1774
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
Despite its traditional title, this sheet represents not a sultan but a model dressed in Turkish attire. Posing and drawing figures in exotic costume was a long-standing tradition at the Académie de France in Rome where Fragonard studied—a practice connected both to masquerades and to the training of young history painters.
In the Salon of Aline, Marquise of Castelmont, ca 1770-75
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
This drawing, and two exhibited nearby, belong to a group identified in recent years as illustrations of The Queen of Golconda, an amusing libertine tale by Stanislas Jean de Boufflers, first published in 1761. (Eh bien, Jean-Stanislas ! : )
A Young Woman Standing with her Hands on her Hips (La Coquette), ca 1770
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
The Dreamer, late 1770s
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
Fragonard exhibits an impressive technical mastery in this drawing, where several dilutions of wash, from pale gold to deep brown, suggest an atmospheric interior.
The First Riding Lesson, ca 1775-78
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
Playful scenes featuring the instruction of small children were a favored subject of Fragonard’s in the mid-1770s.
The dog here is a patient stand-in for a horse, as young parents give their child a first "riding lesson."
The Island of Love, ca 1770-80
Black chalk and gouache
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
* Source images : http://www.metmuseum.org/exhibitions/listings/2016/fragonard
Fragonard - Drawing Triumphant
Présentation :
Jean Honoré Fragonard (1732–1806)—one of the most forward-looking and inventive artists of the 18th century—was equally skilled in painting, drawing, and etching.
Unlike many old masters for whom drawing was a preparatory tool, Fragonard explored the potential of chalk, ink, and wash to create sheets that were works of art in their own right.
As displays of virtuosity and an imaginative spirit, his drawings have been prized highly from his own day to the present, and New York has long been a center for collecting these works.
Portrait of Jean Honoré Fragonard - 1797
Artist :Jacques Antoine Marie Lemoine
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
This exhibition celebrates the artist's achievements as a master draftsman. Among the 100 works on paper on view, nearly half are from private collections, some of which are being shown publicly for the first time.
A similar brio and inventiveness mark the artist's etchings, and examples of these are also featured in the selection.
The exhibition provides a rare opportunity to see well-loved masterpieces alongside new discoveries and works that have long been out of the public eye.
Sources et informations complémentaires, ici : http://www.metmuseum.org/exhibitions/listings/2016/fragonard
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Quelques-unes des oeuvres présentées, ainsi que les notes des commissaires de l'exposition (extraits) :
Study of Plants, Including Acanthus, ca 1759
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
In 1759, when he likely made this drawing, Fragonard was a third-year pensionnaire (student) at the Académie de France in Rome.
The director, Charles Joseph Natoire, regularly took the pupils on excursions in the Roman countryside in order to sketch en plein air. This work belongs to a series of large-scale formal studies of plants that Fragonard produced on such expeditions.
The Indiscreet Bull, ca 1763-65
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
Rustic landscapes and farmyard scenes inspired by seventeenth-century Dutch painting were popular in eighteenth-century France, and Fragonard was not immune to their charms.
The Little Park, ca 1765
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
Young Athenian Women Drawing Lots
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
After winning acceptance at the Académie Royale, Fragonard was commissioned by the crown to produce a pendant for his painting Coresus and Callirhoë (1765).
No such painting was ever completed, but certain studies, including this one, of subjects from ancient history suggest that he may have begun the design process.
Imaginary View of a Roman Villa, mid 1770s
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
Parasol pines (Pinus pinea) are ubiquitous in Rome, and Fragonard was fascinated by them during both his stays there. Walking around the city, he made small sketches of the trees in chalk and wash.
The Husband-Confessor, ca 1770
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
This delicate drawing, made presumably for a collector, illustrates one of the famous Tales of Jean de La Fon-taine. In a careful technique, emphasizing legibility over spontaneity, Fragonard describes an elegant salon. The knight Artus returns from war to find his wife surrounded by admirers, his expression far from pleased. :
Portrait of a Neapolitan Woman, ca 1774
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
In his youth, Fragonard had visited Naples and studiously copied famous paintings in the local churches. Returning as a mature artist in 1774, he focused on the people in the streets.
The Sultan, ca 1774
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
Despite its traditional title, this sheet represents not a sultan but a model dressed in Turkish attire. Posing and drawing figures in exotic costume was a long-standing tradition at the Académie de France in Rome where Fragonard studied—a practice connected both to masquerades and to the training of young history painters.
In the Salon of Aline, Marquise of Castelmont, ca 1770-75
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
This drawing, and two exhibited nearby, belong to a group identified in recent years as illustrations of The Queen of Golconda, an amusing libertine tale by Stanislas Jean de Boufflers, first published in 1761. (Eh bien, Jean-Stanislas ! : )
A Young Woman Standing with her Hands on her Hips (La Coquette), ca 1770
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
The Dreamer, late 1770s
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
Fragonard exhibits an impressive technical mastery in this drawing, where several dilutions of wash, from pale gold to deep brown, suggest an atmospheric interior.
The First Riding Lesson, ca 1775-78
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
Playful scenes featuring the instruction of small children were a favored subject of Fragonard’s in the mid-1770s.
The dog here is a patient stand-in for a horse, as young parents give their child a first "riding lesson."
The Island of Love, ca 1770-80
Black chalk and gouache
Jean-Honoré Fragonard (Grasse 1732–1806 Paris)
© 2000–2016 The Metropolitan Museum of Art
* Source images : http://www.metmuseum.org/exhibitions/listings/2016/fragonard
La nuit, la neige- Messages : 18060
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Jean-Honoré Fragonard
Merci beaucoup !
J'avoue ne pas apprécier Fragonard, ou du moins ce que j'en connaissais jusqu'à présent, je pense à sa peinture ( ayant dû commenter ad libitum L'escarpolette ou je crois, plus précisément, Les heureux hasards de l'escarpolette, en classe );
Vous m'ouvrez donc ici une toute autre facette de son œuvre; ces dessins sont superbes, le portrait de la jeune Napolitaine est frappant de vérité et d'une grande modernité; les paysages sont évanescents, les personnages ont des attitudes vraies, parfaitement captées;
Pour moi, c'est une découverte;
J'ai ainsi un peu "méprisé" ( le terme est excessif, disons méconnu) Watteau jusqu'à la publication de ses carnets de dessins;
Autant pour moi, donc, je vais songer à Fragonard de façon bien différente désormais;
J'avoue ne pas apprécier Fragonard, ou du moins ce que j'en connaissais jusqu'à présent, je pense à sa peinture ( ayant dû commenter ad libitum L'escarpolette ou je crois, plus précisément, Les heureux hasards de l'escarpolette, en classe );
Vous m'ouvrez donc ici une toute autre facette de son œuvre; ces dessins sont superbes, le portrait de la jeune Napolitaine est frappant de vérité et d'une grande modernité; les paysages sont évanescents, les personnages ont des attitudes vraies, parfaitement captées;
Pour moi, c'est une découverte;
J'ai ainsi un peu "méprisé" ( le terme est excessif, disons méconnu) Watteau jusqu'à la publication de ses carnets de dessins;
Autant pour moi, donc, je vais songer à Fragonard de façon bien différente désormais;
Invité- Invité
Re: Jean-Honoré Fragonard
Comme quoi avant de juger trop rapidement il faut connaitre et apprendre ...
Sublime et intelligent peintre !
Sublime et intelligent peintre !
hastur- Messages : 541
Date d'inscription : 22/12/2013
Comtesse Diane- Messages : 7398
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : TOURAINE
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