Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
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Gouverneur Morris
Trianon
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LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: Le patrimoine de Marie-Antoinette :: Divers : atours, objets et reliques etc. :: Divers objets et reliques associés à Marie-Antoinette
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Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
A-t-il appartenu à Marie-Antoinette ?
C'est ce que suggère la présentation du château de Versailles, qui conserve cet objet :
Rouet miniature de salon
Anonyme, France fin XVIIIe siècle
Amarante, chêne, bronze doré, soie
Dimensions : 18,2 x 36,7 x 21 cm
Don de la Congrégation des Religieuses du Sacré Coeur à Lyon, 1978.
Photo : Château de Versailles, Dist. RMN-Grand Palais / Christophe Fouin
Historique / Provenance :
Rouet de table portant l'étiquette de l'ancienne boutique parisienne "Aux Mousquetaires noirs ", située près de la caserne de cette compagnie, faubourg Saint-Antoine.
Réputé avoir appartenu à Marie-Antoinette et donné en 1792 par la reine à sa femme de chambre Melle Lemeneux, qui devint supérieure de la Congrégation du Bon Pasteur à Lyon ; elle conserva le rouet jusqu'en 1815 ; donnée à une des bienfaitrices de la congrégation, Madame de la Barmandière qui le légua au couvent ; lors de la séparation de l'Eglise et de l'Etat, le rouet fut emporté à Ixelles en Belgique avec d'autres objets précieux ; renvoyé à Lyon quand le couvent se rétablit dans l'entre-deux guerres.
Don de la Congrégation des Religieuses du Sacré Coeur à Lyon, 1978.
Photos : Château de Versailles, Dist. RMN-Grand Palais / Christophe Fouin
Photo : RMN-Grand Palais (Château de Versailles) / Gérard Blot
Nous enquêterons au sujet de Melle Lemeneux, dite avoir été la femme de chambre de la reine...
Marie-Antoinette aimait-elle filer ?
C'est fort possible, à lire la fiche descriptive d'un bien plus bel objet proposé récemment en vente aux enchères chez Sotheby's, et qui rappelle que ce passe-temps était apprécié des femmes de l'aristocratie.
J'en profite pour citer quelques extraits, car ils sont intéressants :
- Rouet et quenouille en piqué d’écaille incrustée d’or et de nacre, monture en bronze doré, probablement Naples
Milieu du XVIIIe siècle
Le socle ovale en écaille de tortue incrustée de nacre et piqué d’or, coulé et point d’or ; la quenouille et les autres éléments également en écaille de tortue décorée de masques, volutes, festons et cartouches; la roue ponctuée d’ancres miniatures évoquant le gouvernail d’un navire.
Long. 35 cm, haut. 22 cm
Extraits de la note au catalogue :
Ces rouets miniatures, dits de salon, étaient particulièrement appréciés des dames de qualité à travers toute l’Europe. Toute jeune femme accomplice se devait de savoir filer, et ces objets étaient aussi utilitaires que décoratifs.
Certains d’entre eux étaient conçus pour pouvoir être posés sur les genoux, tandis que d’autres prenaient place sur de petites tables volantes ; ils étaient bien sûr destinés à filer la soie, le lin ou encore la laine.
Une courroie reliait l’épinglier et la bobine à la roue qui était activée par une manivelle. La fileuse alimentait l’épinglier en fibres textiles tandis sa main droite actionnait la roue.
Artisanat rural à l’origine – exécuté au moyen de rouets plus imposants pour la laine ou le lin – le filage fut, dès la première moitié du XVIe siècle, adopté comme passe-temps par l’aristocratie et fit bientôt son apparition sur certains portraits (...)
Au XVIIIe siècle, la mode s’était répandue à travers l’Europe, et l’on trouvait des rouets de salon dans toutes les demeures patriciennes, que ce soit en Italie, en Allemagne, en Autriche ou en France.
(...)
Ce passe-temps était aussi associé dans la mentalité de l’époque à l’idéal de l’épouse vertueuse et, dès lors, était considéré comme particulièrement approprié pour l’éducation des jeunes filles.
La connotation morale du filage est confirmée par l’inscription figurant sur une gravure de Jacques André Joseph Aved (1702-1766) : « loisir mis à profit, moeurs douces, coeur sincère ».
Ainsi, les dames de la bonne société n’hésitaient pas à être portraiturées filant à leur rouet miniature, comme dans le Portrait présumé de Marie-Françoise Pouget, seconde femme de Chardin des environs de 1760 par le même Aved (Musée Carnavalet, Paris, inv. no. P49).
Portrait présumé de Françoise-Marie Pouget, seconde femme de Chardin
Jacques-André-Joseph Aved
Vers 1760
Photo : Musée Carnavalet, ville de Paris
Il faut aussi mentionner à cet égard le charmant autoportrait de l’archiduchesse Marie-Christine d’Autriche, duchesse de Teschen (1742-1798), fille de l’impératrice Marie-Thérèse et soeur de la reine Marie-Antoinette, et montrant un exemplaire plus simple mais identique au nôtre (inv. no. GG8786, Kunsthistorisches Museum à Vienne).
Marie-Christine, duchesse de Teschen
Autoportrait, d'après une gravure de Johann Casper Heilmann
Vers 1765
Notre sujet : Dessins et aquarelles de Marie-Christine de Habsbourg Lorraine, soeur de Marie-Antoinette
Réalisés d’après des modèles simples en bois, les rouets de salon étaient souvent enrichis de marqueterie précieuse ou de petits panneaux de laque, montés en laiton ou bronze doré. Les meilleurs ébénistes et artisans étaient sollicités par leurs clients pour leur fournir de tels objets. Pietro Piffetti (1701-1777), ébéniste de la cour de Turin, est connu pour être l’auteur, vers 1740, d’un ravissant modèle somptueusement marqueté d’ivoire et d’écaille, aujourd’hui conservé au Victoria & Albert Museum, à Londres (inv. no. W.159.1-7-1921).
Spinning wheel
Artist/Maker: Piffetti, Pietro, born 1700 - died 1777
Turin (probably, made)
ca. 1740-1750
Photo : Victoria and Albert Museum
Le même musée abrite également un autre exemplaire en vernis Martin, exécuté à Paris la décennie suivante :
Photo : Victoria & Albert Museum, London
(...)
* Source article complet et informations complémentaires : Sotheby's - Trésors de la prestigieuse collection Qizilbash
C'est ce que suggère la présentation du château de Versailles, qui conserve cet objet :
Rouet miniature de salon
Anonyme, France fin XVIIIe siècle
Amarante, chêne, bronze doré, soie
Dimensions : 18,2 x 36,7 x 21 cm
Don de la Congrégation des Religieuses du Sacré Coeur à Lyon, 1978.
Photo : Château de Versailles, Dist. RMN-Grand Palais / Christophe Fouin
Historique / Provenance :
Rouet de table portant l'étiquette de l'ancienne boutique parisienne "Aux Mousquetaires noirs ", située près de la caserne de cette compagnie, faubourg Saint-Antoine.
Réputé avoir appartenu à Marie-Antoinette et donné en 1792 par la reine à sa femme de chambre Melle Lemeneux, qui devint supérieure de la Congrégation du Bon Pasteur à Lyon ; elle conserva le rouet jusqu'en 1815 ; donnée à une des bienfaitrices de la congrégation, Madame de la Barmandière qui le légua au couvent ; lors de la séparation de l'Eglise et de l'Etat, le rouet fut emporté à Ixelles en Belgique avec d'autres objets précieux ; renvoyé à Lyon quand le couvent se rétablit dans l'entre-deux guerres.
Don de la Congrégation des Religieuses du Sacré Coeur à Lyon, 1978.
Photos : Château de Versailles, Dist. RMN-Grand Palais / Christophe Fouin
Photo : RMN-Grand Palais (Château de Versailles) / Gérard Blot
Nous enquêterons au sujet de Melle Lemeneux, dite avoir été la femme de chambre de la reine...
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Marie-Antoinette aimait-elle filer ?
C'est fort possible, à lire la fiche descriptive d'un bien plus bel objet proposé récemment en vente aux enchères chez Sotheby's, et qui rappelle que ce passe-temps était apprécié des femmes de l'aristocratie.
J'en profite pour citer quelques extraits, car ils sont intéressants :
- Rouet et quenouille en piqué d’écaille incrustée d’or et de nacre, monture en bronze doré, probablement Naples
Milieu du XVIIIe siècle
Le socle ovale en écaille de tortue incrustée de nacre et piqué d’or, coulé et point d’or ; la quenouille et les autres éléments également en écaille de tortue décorée de masques, volutes, festons et cartouches; la roue ponctuée d’ancres miniatures évoquant le gouvernail d’un navire.
Long. 35 cm, haut. 22 cm
Extraits de la note au catalogue :
Ces rouets miniatures, dits de salon, étaient particulièrement appréciés des dames de qualité à travers toute l’Europe. Toute jeune femme accomplice se devait de savoir filer, et ces objets étaient aussi utilitaires que décoratifs.
Certains d’entre eux étaient conçus pour pouvoir être posés sur les genoux, tandis que d’autres prenaient place sur de petites tables volantes ; ils étaient bien sûr destinés à filer la soie, le lin ou encore la laine.
Une courroie reliait l’épinglier et la bobine à la roue qui était activée par une manivelle. La fileuse alimentait l’épinglier en fibres textiles tandis sa main droite actionnait la roue.
Artisanat rural à l’origine – exécuté au moyen de rouets plus imposants pour la laine ou le lin – le filage fut, dès la première moitié du XVIe siècle, adopté comme passe-temps par l’aristocratie et fit bientôt son apparition sur certains portraits (...)
Au XVIIIe siècle, la mode s’était répandue à travers l’Europe, et l’on trouvait des rouets de salon dans toutes les demeures patriciennes, que ce soit en Italie, en Allemagne, en Autriche ou en France.
(...)
Ce passe-temps était aussi associé dans la mentalité de l’époque à l’idéal de l’épouse vertueuse et, dès lors, était considéré comme particulièrement approprié pour l’éducation des jeunes filles.
La connotation morale du filage est confirmée par l’inscription figurant sur une gravure de Jacques André Joseph Aved (1702-1766) : « loisir mis à profit, moeurs douces, coeur sincère ».
Ainsi, les dames de la bonne société n’hésitaient pas à être portraiturées filant à leur rouet miniature, comme dans le Portrait présumé de Marie-Françoise Pouget, seconde femme de Chardin des environs de 1760 par le même Aved (Musée Carnavalet, Paris, inv. no. P49).
Portrait présumé de Françoise-Marie Pouget, seconde femme de Chardin
Jacques-André-Joseph Aved
Vers 1760
Photo : Musée Carnavalet, ville de Paris
Il faut aussi mentionner à cet égard le charmant autoportrait de l’archiduchesse Marie-Christine d’Autriche, duchesse de Teschen (1742-1798), fille de l’impératrice Marie-Thérèse et soeur de la reine Marie-Antoinette, et montrant un exemplaire plus simple mais identique au nôtre (inv. no. GG8786, Kunsthistorisches Museum à Vienne).
Marie-Christine, duchesse de Teschen
Autoportrait, d'après une gravure de Johann Casper Heilmann
Vers 1765
Notre sujet : Dessins et aquarelles de Marie-Christine de Habsbourg Lorraine, soeur de Marie-Antoinette
Réalisés d’après des modèles simples en bois, les rouets de salon étaient souvent enrichis de marqueterie précieuse ou de petits panneaux de laque, montés en laiton ou bronze doré. Les meilleurs ébénistes et artisans étaient sollicités par leurs clients pour leur fournir de tels objets. Pietro Piffetti (1701-1777), ébéniste de la cour de Turin, est connu pour être l’auteur, vers 1740, d’un ravissant modèle somptueusement marqueté d’ivoire et d’écaille, aujourd’hui conservé au Victoria & Albert Museum, à Londres (inv. no. W.159.1-7-1921).
Spinning wheel
Artist/Maker: Piffetti, Pietro, born 1700 - died 1777
Turin (probably, made)
ca. 1740-1750
Photo : Victoria and Albert Museum
Le même musée abrite également un autre exemplaire en vernis Martin, exécuté à Paris la décennie suivante :
Photo : Victoria & Albert Museum, London
(...)
* Source article complet et informations complémentaires : Sotheby's - Trésors de la prestigieuse collection Qizilbash
La nuit, la neige- Messages : 18054
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
Je ne connaissais que par celui de l'archiduchesse Marie-Christine.
Je trouve que les 2 derniers au Victoria & Albert Museum à Londres sont très raffinés. Comme savent souvent le faire les anglais.
Concernant Marie-Antoinette, je me dis pourquoi pas ? Durant ses longues journées de solitude, cela aurait pu l'aider à se détendre et faire passer le temps. Mais, encore une fois, tout appartient à la Reine très à la mode.
Je trouve que les 2 derniers au Victoria & Albert Museum à Londres sont très raffinés. Comme savent souvent le faire les anglais.
Concernant Marie-Antoinette, je me dis pourquoi pas ? Durant ses longues journées de solitude, cela aurait pu l'aider à se détendre et faire passer le temps. Mais, encore une fois, tout appartient à la Reine très à la mode.
Trianon- Messages : 3306
Date d'inscription : 22/12/2013
Re: Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
Aucun des rouets présentés dans ce sujet n'a été fabriqué en Angleterre, chère Trianon...Trianon a écrit:
Je trouve que les 2 derniers au Victoria & Albert Museum à Londres sont très raffinés. Comme savent souvent le faire les anglais.
La nuit, la neige- Messages : 18054
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
L'Italie (peut-être ?), oui et bien je ne suis pas vraiment étonnée.
Cela n'empêche pas ce que j'ai dit concernant les choses fabriquées en Angleterre. Depuis, mon plus jeune âge, jai souvent eu des coups de coeur, mais cela vaut aussi pour l'Italie (nous connaissons tous le talent artistique des italiens).
Cela n'empêche pas ce que j'ai dit concernant les choses fabriquées en Angleterre. Depuis, mon plus jeune âge, jai souvent eu des coups de coeur, mais cela vaut aussi pour l'Italie (nous connaissons tous le talent artistique des italiens).
Trianon- Messages : 3306
Date d'inscription : 22/12/2013
Gouverneur Morris- Messages : 11675
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
Il est tout petit petit, extrêmement mignon; je me suis demandé si ce n'était pas un jouet ?
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55260
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
Merci pour les photos de cet objet inédit !
La nuit, la neige- Messages : 18054
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
Non, ce n'est pas un jouet, il y a quelques années la maison ODIO avait fait une copie, à un prix zernorme - mais j'ai trouvé le même objet à un prix correct !!!
J'ai aussi acheté le même genre qui par tradition venait de Madame ROYALE.
La première photo est le rouet dit de MADAME ROYALE, l'autre indique qu'il s'agit d'un rouet d'enfant du duc de BERRY.
MARIE ANTOINETTE
MARIE ANTOINETTE- Messages : 3718
Date d'inscription : 22/12/2013
Age : 78
Localisation : P A R I S
Re: Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
Bonjour tout le monde ! Je me suis inscrite ici pour répondre à ce sujet. (Je n'ai pas trouvé d'endroit où me présenter, s'il y a lieu sur ce forum, désolée). Je suis filandière et amatrice d'histoire, et par conséquent je m'intéresse à l'histoire du fil, et donc aux fuseaux et rouets. Je vous remercie pour cet article car je découvre grâce à vous cette mode des fuseaux "de cour". Je pense que la réflexion de Mme de Sabran quant au fait qu'il s'agirait d'un jouet est plutôt intéressante : par mon expérience je comprends qu'il ne s'agit pas d'un rouet "de travail" car il n'y a qu'une bobine, qu'elle est minuscule et qu'il n'y a pas de pédalier. Une filandière qui devrait gagner son argent avec n'irait pas bien loin De plus, il n'y a pas de pédalier alors qu'ils ont été introduits en Europe au cours du XVIIIème siècle justement : le travail va beaucoup plus vite avec cette invention. Je crois que cet objet n'est pas un jouet effectivement dans le sens où l'on peut tout de même travailler avec et acquérir les gestes, mais qu'il y ressemble, et résulte d'une mode plus que d'un souci de réellement produire du fil, surtout vu la qualité et la beauté de l’exécution ! En tout cas ils me font rêver
Emma H.- Messages : 8
Date d'inscription : 02/11/2021
Re: Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
Bonjour ! Soyez la bienvenue dans le Forum de Marie-Antoinette, chère Emma .
Je vous remercie pour cette présentation et premier intéressant message.
Nous devinons derrière vous le Vésuve, dans le beau portrait en vestale de George Romney que vous avez choisi pour avatar.
Filandière, quel antique et noble métier !
Tenez ! vous voici justement à l'oeuvre ( ce tableau figure dans votre sujet )
Ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t577p60-emma-hart-lady-hamilton-nee-amy-lyons
Je vous remercie pour cette présentation et premier intéressant message.
Nous devinons derrière vous le Vésuve, dans le beau portrait en vestale de George Romney que vous avez choisi pour avatar.
Filandière, quel antique et noble métier !
Tenez ! vous voici justement à l'oeuvre ( ce tableau figure dans votre sujet )
Ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t577p60-emma-hart-lady-hamilton-nee-amy-lyons
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55260
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
Soyez la bienvenue, Emma...
Je vous propose de lire nos échanges concernant cet autre objet, que nous ne connaissions pas, et qui nous a donné du fil à retordre...
Image : Image : Galerie Pellat de Villedon / Proantic
La réponse dans ce sujet : Le Garde-Meuble de la Couronne, actuel Hôtel de la Marine
Je vous propose de lire nos échanges concernant cet autre objet, que nous ne connaissions pas, et qui nous a donné du fil à retordre...
Image : Image : Galerie Pellat de Villedon / Proantic
La réponse dans ce sujet : Le Garde-Meuble de la Couronne, actuel Hôtel de la Marine
La nuit, la neige- Messages : 18054
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
Bonjour, bonsoir, et merci de votre accueil !
Ah ah oui c'est bien moi sur ce tableau, la poule s'appelle Welly^^
J'ai pensé instinctivement à un bobinoir pour le dernier objet mystère, bien que je ne sais pas trop à quoi sert le petit "cran d'arrêt". Cela est utile effectivement pour faire des bobines, et retordre le fil (justement) ! Là encore je n'en ai jamais vu de pareil avant, j'aime beaucoup l'aspect miniature et luxueux de ces objets. Par contre, je ne les emmènerais jamais en animation, même si c'étaient des reproductions, j'aurais bien trop peur de les abîmer
Ah ah oui c'est bien moi sur ce tableau, la poule s'appelle Welly^^
J'ai pensé instinctivement à un bobinoir pour le dernier objet mystère, bien que je ne sais pas trop à quoi sert le petit "cran d'arrêt". Cela est utile effectivement pour faire des bobines, et retordre le fil (justement) ! Là encore je n'en ai jamais vu de pareil avant, j'aime beaucoup l'aspect miniature et luxueux de ces objets. Par contre, je ne les emmènerais jamais en animation, même si c'étaient des reproductions, j'aurais bien trop peur de les abîmer
Emma H.- Messages : 8
Date d'inscription : 02/11/2021
Re: Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
Est-ce une abréviation pour Arthur Wellesley de Wellington ?!Emma H. a écrit:
Ah ah oui c'est bien moi sur ce tableau, la poule s'appelle Welly^^
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55260
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Emma H.- Messages : 8
Date d'inscription : 02/11/2021
Re: Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55260
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
En vérité, ça m'est venu comme ça, je voulais juste faire une blague^^ Ah, Christopher Plummer... Pour moi, il reste le capitaine von Trapp de la Mélodie du bonheur
Je n'ai jamais vu ce film, je le note !
Je n'ai jamais vu ce film, je le note !
Emma H.- Messages : 8
Date d'inscription : 02/11/2021
Re: Un rouet ayant appartenu à Marie-Antoinette ? Les rouets au XVIIIe siècle
... moi aussi !Emma H. a écrit:En vérité, ça m'est venu comme ça
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Mme de Sabran- Messages : 55260
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
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