Louis de Bourbon, Comte de Vermandois
4 participants
LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: Nos conseils et découvertes :: Conseils de lecture (hors bibliographie)
Page 1 sur 1
Louis de Bourbon, Comte de Vermandois
Louis de Bourbon, comte de Vermandois, né le 2 octobre 1667, fut un prince français légitimé en 1669, mort en 1683. Il est amiral de France de 1669 à sa mort.
Né alors que sa mère connaissait un début de disgrâce, il est le premier des fils naturels que le roi Louis XIV eut de sa favorite « officielle » la duchesse Louise de La Vallière et ne fut légitimé que deux ans après sa naissance. Deux autres fils étaient nés et morts avant que Mademoiselle de La Vallière ne soit déclarée ouvertement maîtresse royale. Il reçut le titre d'Amiral de France, alors qu'il n'était âgé que de deux ans, ce qui permit au roi de garder la maîtrise de la marine pendant de nombreuses années. Il était très proche de sa sœur Marie Anne de Bourbon qui fut mariée dès 1680 à un prince du sang Louis-Armand de Bourbon, prince de Conti. Lorsque sa mère entra chez les carmélites afin d'expier ses fautes de jeunesse, elle confia ses enfants à la belle-sœur du roi, la princesse palatine, duchesse d'Orléans (1674). Quelque temps plus tard, la duchesse d'Orléans ayant amené le petit comte de Vermandois et sa sœur visiter leur mère en son couvent, celle-ci, toute à ses pénitences, refusa d'embrasser son fils qui voulait se jeter dans ses bras. Néanmoins, toute sa vie le jeune prince en quête d'affection maternelle, surnommera sa mère « belle maman ».
Retirée chez les Carmélites, sa mère se mortifie en guise de pénitence afin d'absoudre sa jeunesse de pécheresse, et sa sœur, enfant favorite du roi, est devenue par mariage princesse du sang ; le jeune adolescent se voit ainsi délaissé par sa proche famille. En 1681, âgé de 13 ans, il fut séduit par le chevalier de Lorraine, favori de son oncle, « Monsieur, frère unique du roi », le duc d'Orléans. Celui-ci, après avoir créé une « confrérie d'italianisants », cherchait un « parapluie » au cas où le roi eût songé à le disgracier. Le dauphin ayant refusé d'entrer dans la « confrérie », le chevalier cherchait une autre victime. Naïf, le jeune comte au seuil de l'adolescence qui s'était laissé entraîner dans cette vie de débauche, rechercha trop ouvertement de nouveaux adeptes pour la « confrérie » au sein de la cour. Nombre de courtisans répondirent favorablement aux appels du fils légitimé du roi, notamment un prince du sang, François-Louis de Bourbon-Conti, ce qui attira l'attention du roi. Les craintes du chevalier s’avèrent fondées : les expériences de jeunesse du comte de Vermandois suscitèrent contre lui une terrible colère du roi. En effet, si Louis XIV tolérait par politique les débauches de son frère car, pensait-il, elles éloignaient celui-ci des intrigues politiques, il ne supporta pas qu'un fils de son sang, fût-il bâtard, entrât dans ces sortes de commerce. Découvert, le jeune comte fut très fortement réprimandé par son père et contraint de dénoncer ses « condisciples ». Le jeune amiral fut ensuite condamné à se retirer de la cour (1682). L'année suivante, la Duchesse d'Orléans, belle-sœur du roi et tutrice du jeune comte, obtint du roi pour son pupille qu'il puisse combattre en Flandres afin de racheter ses erreurs et tenter de rentrer en grâce.
Bien que se dépensant sans compter et n'écoutant pas les conseils de prudence de son gouverneur et du médecin d'Aquin, il contracta, durant le siège de Courtrai mené par Vauban, une maladie qui lui fut fatale. Il ne retrouva pas pour autant l'estime de son roi et géniteur et mourut le 18 novembre 1683, il n'avait que 16 ans. Il est enterré à la cathédrale d'Arras. La même année étaient morts la reine Marie-Thérèse et le comte de Vexin, second fils légitimé que Louis XIV avait eu de la marquise de Montespan et qui était infirme. Le roi, libre, avait épousé peu après et secrètement la gouvernante de ses enfants légitimés, la veuve Scarron qu'il avait faite Marquise de Maintenon. Louis XIV, qui par ailleurs donnait son affection à l'aîné des fils qu'il avait eus de la Marquise de Montespan, Louis Auguste de Bourbon, duc du Maine, légitimé en 1673 et élevé par la fameuse marquise de Maintenon, fut très peu affecté par la mort du comte de Vermandois, au contraire de sa sœur et de la Princesse Palatine, qui le pleurèrent beaucoup. Quant à sa mère, devenue « Sœur Louise de la Miséricorde », toujours pénitente, elle se refusa le secours des larmes déclarant que ce serait trop pleurer un fils dont elle n'avait « pas assez pleuré la naissance ». Les fonctions d'amiral furent octroyées à Louis-Alexandre, comte de Toulouse, âgé de deux ans, dernier des fils que le roi avait eu de la marquise de Montespan.
source: Geneanet
" />
Né alors que sa mère connaissait un début de disgrâce, il est le premier des fils naturels que le roi Louis XIV eut de sa favorite « officielle » la duchesse Louise de La Vallière et ne fut légitimé que deux ans après sa naissance. Deux autres fils étaient nés et morts avant que Mademoiselle de La Vallière ne soit déclarée ouvertement maîtresse royale. Il reçut le titre d'Amiral de France, alors qu'il n'était âgé que de deux ans, ce qui permit au roi de garder la maîtrise de la marine pendant de nombreuses années. Il était très proche de sa sœur Marie Anne de Bourbon qui fut mariée dès 1680 à un prince du sang Louis-Armand de Bourbon, prince de Conti. Lorsque sa mère entra chez les carmélites afin d'expier ses fautes de jeunesse, elle confia ses enfants à la belle-sœur du roi, la princesse palatine, duchesse d'Orléans (1674). Quelque temps plus tard, la duchesse d'Orléans ayant amené le petit comte de Vermandois et sa sœur visiter leur mère en son couvent, celle-ci, toute à ses pénitences, refusa d'embrasser son fils qui voulait se jeter dans ses bras. Néanmoins, toute sa vie le jeune prince en quête d'affection maternelle, surnommera sa mère « belle maman ».
Retirée chez les Carmélites, sa mère se mortifie en guise de pénitence afin d'absoudre sa jeunesse de pécheresse, et sa sœur, enfant favorite du roi, est devenue par mariage princesse du sang ; le jeune adolescent se voit ainsi délaissé par sa proche famille. En 1681, âgé de 13 ans, il fut séduit par le chevalier de Lorraine, favori de son oncle, « Monsieur, frère unique du roi », le duc d'Orléans. Celui-ci, après avoir créé une « confrérie d'italianisants », cherchait un « parapluie » au cas où le roi eût songé à le disgracier. Le dauphin ayant refusé d'entrer dans la « confrérie », le chevalier cherchait une autre victime. Naïf, le jeune comte au seuil de l'adolescence qui s'était laissé entraîner dans cette vie de débauche, rechercha trop ouvertement de nouveaux adeptes pour la « confrérie » au sein de la cour. Nombre de courtisans répondirent favorablement aux appels du fils légitimé du roi, notamment un prince du sang, François-Louis de Bourbon-Conti, ce qui attira l'attention du roi. Les craintes du chevalier s’avèrent fondées : les expériences de jeunesse du comte de Vermandois suscitèrent contre lui une terrible colère du roi. En effet, si Louis XIV tolérait par politique les débauches de son frère car, pensait-il, elles éloignaient celui-ci des intrigues politiques, il ne supporta pas qu'un fils de son sang, fût-il bâtard, entrât dans ces sortes de commerce. Découvert, le jeune comte fut très fortement réprimandé par son père et contraint de dénoncer ses « condisciples ». Le jeune amiral fut ensuite condamné à se retirer de la cour (1682). L'année suivante, la Duchesse d'Orléans, belle-sœur du roi et tutrice du jeune comte, obtint du roi pour son pupille qu'il puisse combattre en Flandres afin de racheter ses erreurs et tenter de rentrer en grâce.
Bien que se dépensant sans compter et n'écoutant pas les conseils de prudence de son gouverneur et du médecin d'Aquin, il contracta, durant le siège de Courtrai mené par Vauban, une maladie qui lui fut fatale. Il ne retrouva pas pour autant l'estime de son roi et géniteur et mourut le 18 novembre 1683, il n'avait que 16 ans. Il est enterré à la cathédrale d'Arras. La même année étaient morts la reine Marie-Thérèse et le comte de Vexin, second fils légitimé que Louis XIV avait eu de la marquise de Montespan et qui était infirme. Le roi, libre, avait épousé peu après et secrètement la gouvernante de ses enfants légitimés, la veuve Scarron qu'il avait faite Marquise de Maintenon. Louis XIV, qui par ailleurs donnait son affection à l'aîné des fils qu'il avait eus de la Marquise de Montespan, Louis Auguste de Bourbon, duc du Maine, légitimé en 1673 et élevé par la fameuse marquise de Maintenon, fut très peu affecté par la mort du comte de Vermandois, au contraire de sa sœur et de la Princesse Palatine, qui le pleurèrent beaucoup. Quant à sa mère, devenue « Sœur Louise de la Miséricorde », toujours pénitente, elle se refusa le secours des larmes déclarant que ce serait trop pleurer un fils dont elle n'avait « pas assez pleuré la naissance ». Les fonctions d'amiral furent octroyées à Louis-Alexandre, comte de Toulouse, âgé de deux ans, dernier des fils que le roi avait eu de la marquise de Montespan.
source: Geneanet
" />
_________________
"Le 7 de septembre, le roi a été heureusement purgé d'humeurs fort âcres, et de beaucoup d'excréments fermentés, en dix selles."
Journal de santé de Louis XIV
Re: Louis de Bourbon, Comte de Vermandois
... seize ans ! pauvre petit .
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55502
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Louis de Bourbon, Comte de Vermandois
Louis de Bourbon fut inhumé dans le choeur de l'église de l'abbatiale Notre-Dame d'Arras.
On pouvait lire son épitaphe au-dessous des armes sculptées en bas-relief au niveau du pavé de l'église:
" />
L'ancienne église abbatiale fut remplacée par une nouvelle dont les travaux débutèrent en 1774. Interrompus par la Révolution, ils reprirent en 1804 à l'initiative de Napoléon I er pour l'édification d'une cathédrale qui fut inaugurée en 1833. Il ne reste rien de la tombe du jeune comte de Vermandois.
On pouvait lire son épitaphe au-dessous des armes sculptées en bas-relief au niveau du pavé de l'église:
" />
L'ancienne église abbatiale fut remplacée par une nouvelle dont les travaux débutèrent en 1774. Interrompus par la Révolution, ils reprirent en 1804 à l'initiative de Napoléon I er pour l'édification d'une cathédrale qui fut inaugurée en 1833. Il ne reste rien de la tombe du jeune comte de Vermandois.
_________________
"Le 7 de septembre, le roi a été heureusement purgé d'humeurs fort âcres, et de beaucoup d'excréments fermentés, en dix selles."
Journal de santé de Louis XIV
La sépulture du jeune Louis de Bourbon
Monsieur de Coco a écrit: Il ne reste rien de la tombe du jeune comte de Vermandois.
Pour se consoler un peu on peut penser que même à Saint-Denis son lieu de sépulture aurait été troublé. Merci monsieur Coco de cette présentation. Bonne journée et au plaisir
Fauveau de Frénilly- Messages : 32
Date d'inscription : 13/02/2019
Re: Louis de Bourbon, Comte de Vermandois
A lire:
Les bâtards du soleil de Eve de Castro, France Loisirs, 1987
Livre très intéressant sur les enfants de Louis XIV
Louis de Bourbon ou le soleil maudit de Claude Puzin, Editions T.G, 2007
Les bâtards du soleil de Eve de Castro, France Loisirs, 1987
Livre très intéressant sur les enfants de Louis XIV
Louis de Bourbon ou le soleil maudit de Claude Puzin, Editions T.G, 2007
_________________
"Le 7 de septembre, le roi a été heureusement purgé d'humeurs fort âcres, et de beaucoup d'excréments fermentés, en dix selles."
Journal de santé de Louis XIV
Re: Louis de Bourbon, Comte de Vermandois
Merveilleux comme titre. Pourquoi associez-vous Louis avec coco?
Fauveau de Frénilly- Messages : 32
Date d'inscription : 13/02/2019
Re: Louis de Bourbon, Comte de Vermandois
Fauveau de Frénilly a écrit:Merveilleux comme titre. Pourquoi associez-vous Louis avec coco?
Aucun rapport, j'aime bien le portrait de Louis de Bourbon et je trouve coco rigolo!!!!!
_________________
"Le 7 de septembre, le roi a été heureusement purgé d'humeurs fort âcres, et de beaucoup d'excréments fermentés, en dix selles."
Journal de santé de Louis XIV
Re: Louis de Bourbon, Comte de Vermandois
Eve de Castro dans son superbe ouvrage présente le comte de Vermandois comme un adolescent aimable sans beaucoup de relief. Louis XIV selon la romancière le prisait peu. Cela explique peut-être la violente disgrâce dont le prince fut l'objet après le scandale ou l'avait entraîné les libertins de la Cour. La princesse palatine fut la seule à plaider sa cause et à s'émouvoir de sa chute.
Dominique Poulin- Messages : 7010
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: Louis de Bourbon, Comte de Vermandois
Je viens de finir le roman de Chris Verhoest: Les Lauriers de la vengeance.
" />
Photo: amazon.fr
Résumé Amazon:
« C’est mon histoire. Celle d’une vengeance. De ma vengeance. » Juin 1680. Orphelin trouvé sur le parvis d’une église, Lannig est parvenu à se jouer de ce triste départ dans la vie en travaillant dans une auberge de St Cloud. Un jour, des nobles ivres font irruption, saccagent l’établissement, tuent la personne la plus chère à son cœur et brûlent tout. Lannig parvient à s’enfuir et se retrouve sous la protection d’Armand de Torquemart, l’un des mignons du frère du roi. Armand l’emmène au château de St Cloud. Lannig sait que les assassins sont là, quelque part. Le danger est partout, entre les intrigues, les manipulations et les luttes de pouvoir. Lannig rencontre l’inquiétant chevalier de Lorraine, l’amant de Monsieur, frère du roi, mais aussi Louis de Vermandois, dont il tombe éperdument amoureux. Ce fils bâtard du roi Soleil, si beau, n’est pourtant pas le préféré de son père, qui le délaisse. La passion emporte Lannig et Louis. Jusqu’à ce que sa vengeance rattrape Lannig, au cours d’une cérémonie secrète. Réussira-t-il à prendre sa revanche, ou bien se retournera-t-elle contre Lannig et celui qu’il aime tellement ?
Court roman intéressant avec des faits réels sur la vie de Monsieur et de Louis de Bourbon et des passages osés. La fin se décale de la réalité.
Une hypothèse affirme que le comte de Vermandois serait le masque de fer....
" />
Photo: amazon.fr
Résumé Amazon:
« C’est mon histoire. Celle d’une vengeance. De ma vengeance. » Juin 1680. Orphelin trouvé sur le parvis d’une église, Lannig est parvenu à se jouer de ce triste départ dans la vie en travaillant dans une auberge de St Cloud. Un jour, des nobles ivres font irruption, saccagent l’établissement, tuent la personne la plus chère à son cœur et brûlent tout. Lannig parvient à s’enfuir et se retrouve sous la protection d’Armand de Torquemart, l’un des mignons du frère du roi. Armand l’emmène au château de St Cloud. Lannig sait que les assassins sont là, quelque part. Le danger est partout, entre les intrigues, les manipulations et les luttes de pouvoir. Lannig rencontre l’inquiétant chevalier de Lorraine, l’amant de Monsieur, frère du roi, mais aussi Louis de Vermandois, dont il tombe éperdument amoureux. Ce fils bâtard du roi Soleil, si beau, n’est pourtant pas le préféré de son père, qui le délaisse. La passion emporte Lannig et Louis. Jusqu’à ce que sa vengeance rattrape Lannig, au cours d’une cérémonie secrète. Réussira-t-il à prendre sa revanche, ou bien se retournera-t-elle contre Lannig et celui qu’il aime tellement ?
Court roman intéressant avec des faits réels sur la vie de Monsieur et de Louis de Bourbon et des passages osés. La fin se décale de la réalité.
Une hypothèse affirme que le comte de Vermandois serait le masque de fer....
_________________
"Le 7 de septembre, le roi a été heureusement purgé d'humeurs fort âcres, et de beaucoup d'excréments fermentés, en dix selles."
Journal de santé de Louis XIV
Re: Louis de Bourbon, Comte de Vermandois
Sur quels faits réels de la courte vie du comte de Vermandois cet auteur s'appuie t-il ? Donne t-il des sources ? Merci d'avance Monsieur de Coco.
Dominique Poulin- Messages : 7010
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: Louis de Bourbon, Comte de Vermandois
Dominique Poulin a écrit:Sur quels faits réels de la courte vie du comte de Vermandois cet auteur s'appuie t-il ? Donne t-il des sources ? Merci d'avance Monsieur de Coco.
Par exemple, son rejet par le roi, la confrérie, son amitié avec La Palatine....
Mais l'auteur ne cite pas ses sources!
_________________
"Le 7 de septembre, le roi a été heureusement purgé d'humeurs fort âcres, et de beaucoup d'excréments fermentés, en dix selles."
Journal de santé de Louis XIV
Re: Louis de Bourbon, Comte de Vermandois
Louis XIV le chérissait peu. Je ne sais pas pourquoi, c'est énigmatique... Peut-être revoyait-il en lui le reflet de sa mère carmélite Mlle de La Valliere ? Mais pourquoi adorait il la sœur de Vermandois, Mlle de Blois, princesse de Conti alors ? Bizarre.
Ou alors avait-il détecté d'instinct les goûts sexuels de son fils ? Louis XIV a bien accepté les goûts de son frère Monsieur !
Enfin le scandale de la confrérie a mis le roi en fureur il est vrai et le petit Louis était tout jeune. Peut-être que tout cela se recoupe.
Ou alors avait-il détecté d'instinct les goûts sexuels de son fils ? Louis XIV a bien accepté les goûts de son frère Monsieur !
Enfin le scandale de la confrérie a mis le roi en fureur il est vrai et le petit Louis était tout jeune. Peut-être que tout cela se recoupe.
Dominique Poulin- Messages : 7010
Date d'inscription : 02/01/2014
Sujets similaires
» Louise-Marie-Adélaïde Bourbon, mademoiselle de Penthièvre, duchesse de Chartres puis duchesse d'Orléans
» Le comte Charles-Philippe d'Artois, futur Charles X
» Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
» Louis II de Bourbon
» Naundorff, un descendant Bourbon ?... Louis XVII ??
» Le comte Charles-Philippe d'Artois, futur Charles X
» Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
» Louis II de Bourbon
» Naundorff, un descendant Bourbon ?... Louis XVII ??
LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: Nos conseils et découvertes :: Conseils de lecture (hors bibliographie)
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum