Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
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Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Je profite de la description que je lis sur le frère de Louis XVI, dans les Mémoires de Léonard Autié pour ouvrir un sujet sur lui.
"Louis-Stanislas-Xavier, comte de Provence, qui accompagnait son frère chez la Dauphine, avait alors seize anqs, et déjà Son Altesse Royale, envahie par un embonpoint extrêmement précoce, roulait plutôt qu'elle ne marchait.
On pouvait présager dès lors qu'à l'âge de vingt ans, il faudrait hisser mécaniquement à cheval ce colonel-général des carabiniers.
M. le comte de Provence , mal fait, mal posé sur ses jambes, avait une figure agréable, un bel oeil, de l'esprit dans le regard, de la malice dans le sourire, et quelque peu de pédantisme dans la manière de s'exprimer.
Son Altesse Royale affichait une grande prétention au savoir et à l'érudition. L'humeur de ce prince était caustique ; son caractère enclin aux détours et à la subtilité.
(...) Là dessus , et comme pour corroborer son opinion, Monsieur commençait à débiter une citation latine."
Redoutable présentation...mais qui correspond bien à l'idée qu'on se fait de ce Prince...
"Louis-Stanislas-Xavier, comte de Provence, qui accompagnait son frère chez la Dauphine, avait alors seize anqs, et déjà Son Altesse Royale, envahie par un embonpoint extrêmement précoce, roulait plutôt qu'elle ne marchait.
On pouvait présager dès lors qu'à l'âge de vingt ans, il faudrait hisser mécaniquement à cheval ce colonel-général des carabiniers.
M. le comte de Provence , mal fait, mal posé sur ses jambes, avait une figure agréable, un bel oeil, de l'esprit dans le regard, de la malice dans le sourire, et quelque peu de pédantisme dans la manière de s'exprimer.
Son Altesse Royale affichait une grande prétention au savoir et à l'érudition. L'humeur de ce prince était caustique ; son caractère enclin aux détours et à la subtilité.
(...) Là dessus , et comme pour corroborer son opinion, Monsieur commençait à débiter une citation latine."
Redoutable présentation...mais qui correspond bien à l'idée qu'on se fait de ce Prince...
Invité- Invité
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
On dirait qu'il a pris le même tissu pour son habit, que celui de la robe en satin blanc de Marie Antoinette.
fleurdelys- Messages : 668
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 54
Localisation : Québec
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Petite citation à propos de Louis XVIII que j'ai découverte en révisant mon histoire du droit :
"Qui pouvait résister à l’esprit déflorateur de Louis XVIII, lui qui disait que l’on n’a de véritables passions que dans l’âge mûr, parce que la passion n’est belle et furieuse que quand il s’y mêle de l’impuissance et qu’on se trouve alors à chaque plaisir comme un joueur à son dernier jeu."
Honoré de Balzac, Le Lys dans la Vallée
"Qui pouvait résister à l’esprit déflorateur de Louis XVIII, lui qui disait que l’on n’a de véritables passions que dans l’âge mûr, parce que la passion n’est belle et furieuse que quand il s’y mêle de l’impuissance et qu’on se trouve alors à chaque plaisir comme un joueur à son dernier jeu."
Honoré de Balzac, Le Lys dans la Vallée
Dernière édition par Louis XV le Jeu 23 Jan 2014, 23:06, édité 3 fois
Invité- Invité
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
J'ai des doutes sur l’esprit déflorateur de Louis XVIII ...
Mais pour le reste de la citation : l'on n'a de véritables passions que dans l’âge mûr, parce que la passion n'est belle et furieuse que quand il s'y mêle de l’impuissance , cela demande réflexion !
.
Mme de Sabran- Messages : 55505
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Mme de Sabran a écrit:
J'ai des doutes sur l’esprit déflorateur de Louis XVIII ...
Moi aussi, quoi qu'on puisse entendre par là.
Cosmo a écrit:Quelle boutade étonnante, pour quelqu'un qui a été impuissant toute sa vie. boudoi32
Vous m'avez devancée !
Dernière édition par Louis XV le Sam 28 Déc 2013, 00:01, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
... impuissant, mais mystificateur .
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55505
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Louis XV a écrit:Mme de Sabran a écrit:
J'ai des doutes sur l’esprit déflorateur de Louis XVIII ...
Moi aussi, quoi qu'on puisse entendre par là.
Il faut peut-être comprendre par là que Provence ne pouvait déflorer quiconque que par la pensée ? ... boudoi26
Mme de Sabran- Messages : 55505
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
C'est bien possible ; je doute que Balzac ait parlé de cet esprit-là.
"La belle prend le tout en patience :
Il suit sa pointe ; et d’encor en encor
Toujours l'esprit s’insinue et s’avance,
Tant et si bien qu'il arrive à bon port."
Jean de La Fontaine, Comment l'esprit vient aux filles
boudoi26
"La belle prend le tout en patience :
Il suit sa pointe ; et d’encor en encor
Toujours l'esprit s’insinue et s’avance,
Tant et si bien qu'il arrive à bon port."
Jean de La Fontaine, Comment l'esprit vient aux filles
boudoi26
Dernière édition par Louis XV le Sam 28 Déc 2013, 00:10, édité 3 fois
Invité- Invité
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Le comte de Provence, par Antoine Callet (1789).
Exposé au Salon de 1789. Il semble n'y être paru qu'assez tard, si on considère le silence de la critique (celle-ci s'est en effet peu exprimée sur le tableau ; l'opinion générale semble être celle de la gazette "L'année littéraire", qui trouve de la "ressemblance" et que "les détails sont traités avec beaucoup de vérité", mais reproche au tableau de paraître "froid et monotone") (Marc Sandoz, "Antoine-François Callet").
Exposé au Salon de 1789. Il semble n'y être paru qu'assez tard, si on considère le silence de la critique (celle-ci s'est en effet peu exprimée sur le tableau ; l'opinion générale semble être celle de la gazette "L'année littéraire", qui trouve de la "ressemblance" et que "les détails sont traités avec beaucoup de vérité", mais reproche au tableau de paraître "froid et monotone") (Marc Sandoz, "Antoine-François Callet").
Invité- Invité
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Mme de Sabran a écrit:
... impuissant, mais mystificateur .
... très menteur, et je ne suis pas certain que tout le monde se laissait si facilement abuser.
Marie-Antoinette, en tout cas, a tout de suite senti qu'il était hypocrite, puisqu'elle l'écrit à sa mère.
Il se vantera, je crois, d'avoir fait l'amour 3 ou 4 fois à sa femme pendant la nuit de noce.
Invité- Invité
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Cosmo a écrit:Il se vantera, je crois, d'avoir fait l'amour 3 ou 4 fois à sa femme pendant la nuit de noce.Mme de Sabran a écrit:
... impuissant, mais mystificateur .
Le terme qu'il emploie, si je me souviens bien, c'est l'avoir rendue heureuse 3 ou 4 fois pendant leur nuit de noce .
Tu penses ! Il a dû se tourner de l'autre côté et ronfler dans l'instant .
Mme de Sabran- Messages : 55505
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Cosmo a écrit:Quelle boutade étonnante, pour quelqu'un qui a été impuissant toute sa vie. boudoi32
C'est à quoi je pensais aussi ! :
Invité- Invité
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Ce portrait que je ne connaissais pas exposé durant le salon 1789 donc en été est de la pure provocation !
Invité- Invité
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
J'ai idée que Callet a nettement flatté la silhouette du Prince...
Bien à vous.
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Reinette a écrit:Ce portrait que je ne connaissais pas exposé durant le salon 1789 donc en été est de la pure provocation !
Pourquoi? Le portrait de Louis XVI en costume de sacre, par Callet, fut également exposé au Salon de 1789.
Invité- Invité
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Majesté a écrit:J'ai idée que Callet a nettement flatté la silhouette du Prince...
Bien à vous.
Il est déjà bien poupon sur ce portrait tout de même. Alors qu'il n'a que 34 ans. Il est vrai cependant qu'il n'est pas aussi obèse qu'on pourrait se l'imaginer.
Ce demi-sourire suffisant en-deça de petit yeux plissés par la graisse dégage quelque chose de très déplaisant.
Invité- Invité
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Cosmo a écrit: Il est vrai cependant qu'il n'est pas aussi obèse qu'on pourrait se l'imaginer.
Quoique déjà laid, il est terriblement flatté !
Mme de Sabran- Messages : 55505
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Mme de Sabran a écrit:Cosmo a écrit:Il se vantera, je crois, d'avoir fait l'amour 3 ou 4 fois à sa femme pendant la nuit de noce.Mme de Sabran a écrit:
... impuissant, mais mystificateur .
Le terme qu'il emploie, si je me souviens bien, c'est l'avoir rendue heureuse 3 ou 4 fois pendant leur nuit de noce .
Tu penses ! Il a dû se tourner de l'autre côté et ronfler dans l'instant .
:
Deux petites anecdotes sympatoches à propos des exploits amoureux de notre adonis :
- Alors que le comte de Provence demandait à sa femme de se séparer de sa maîtresse, Mme de Gourbillon, en lui faisant remarquer que "la femme de César ne doit pas même être soupçonnée", celle-ci lui répondit : "Vous n'êtes pas César et, comme vous le savez, je n'ai jamais été votre femme".
- Dans un conseil de Louis XVIII (en exil), comme on rappelait l'exemple de Charles VII qui avait reconquis son royaume avec une poignée de braves et moins de ressources que n'en offraient les armées de Vendée et de Bretagne, M. d'Avaray (favori de Louis XVIII) répondit : "Oui, mais le roi avait auprès de lui une pucelle qui inspirait aux troupes un courage invincible." Le bailly de Crussol tourna la chose en plaisanterie : "S'il ne s'agit, dit-il, que d'une pucelle, nous sommes sûrs de réussir ; j'en connais deux : la femme du roi et son épée."
Invité- Invité
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Provence est suspecté d'avoir comploté contre son frère et sa belle-sœur, mais il était malin et n'a pas laissé beaucoup de traces. Il avoue à Gustave III son dépit lors de la naissance du Dauphin. Un rare moment de sincérité :
"Vous avez vu le changement survenu dans ma fortune... Je me suis rendu maître de moi à l'extérieur fort vite, et j'ai toujours tenu la même conduite qu'avant, sans témoignage de joie, ce qui aurait passé pour fausseté, car franchement, et vous pouvez aisément le croire, je n'en ressentais pas du tout ; - ni de tristesse, qu'on aurait pu attribuer à de la faiblesse d'âme. L'intérieur a été plus difficile à vaincre ; il se soulève encore quelquefois."
D'accord avec cette lettre du comte de Provence à Gustave III, le Journal de Bachaumont dit, au moment de la naissance du Dauphin : "Les courtisans, toujours malins, toujours exacts observateurs des passions des princes, ont cru remarquer sur le visage de Monsieur, à la première inspection du sexe (au moment de la naissance du Dauphin), un mouvement d'humeur et de chagrin ; mais son âme magnanime, surmontant bientôt cette faiblesse, s'est livrée ensuite à toute la joie que lui ont inspirée son attachement au Roi et à la Reine, et son zèle pour la félicité de l'Etat." (26 octobre 1781).
Il y a également une lettre qu'on attribue au comte de Provence, écrite au duc de Fitz-James pendant l'assemblée des notables de 1787, et déposée dans les archives secrètes du Parlement en 1788, où il accuse la reine d'adultère. La voici :
"Les notables n'hésiteront pas à croire, d'après les pièces que vous leur avez remises, il y a plus de six semaines, que les enfants du roi ne sont pas les siens. Les pièces prouvent jusqu'à l'évidence la conduite coupable de la reine : vous êtes sujet trop attaché au sang de vos maîtres pour ne pas rougir de ployer devant ces fruits adultérins. Dès demain donc, pas plus tard, proposez un rapport à mon bureau sur ce sujet. Je serai absent, mais mon frère d'Artois, dont le bureau ne tient pas de séance, présidera à ma place. Le fait dont il s'agit une fois avéré, les conséquences sont faciles à tirer. Le parlement, qui n'aime pas la reine, ne fera pas grande difficulté, mais s'il avait la fantaisie d'en élever, nous avons le moyen de le rendre raisonnable. Quant aux Etats Généraux, j'espère bien qu'on en parlera longtemps avant d'y penser sérieusement. Enfin il faut tenter le coup ; et comme nos prétentions reposent sur la vérité, il faut réussir. Ce n'est qu'ainsi qu'il me sera facile d'oublier les sacrifices énormes qu'il m'a fallu faire pour acquérir cette conviction. Je sais qu'elle ne sera pas très agréable au roi ; mais, jouet comme il l'est de sa femme, mérite-t-il de régner? Oui, mon cher Fitz-James, c'est un pauvre sire, et la France est digne d'avoir un véritable roi."
Le Morning Chronicle de Londres du 25 février 1833 rapporte la vente aux enchères publiques de cette lettre autographe chez Evans, acquise comme pièce historique par MM. Treuttel et Würtz, éditeurs à Paris. Mais elle paraît tellement énorme, tellement en désaccord avec le caractère cauteleux, sournois et prudent du comte de Provence, que son authenticité n'est, selon beaucoup d'historiens, rien moins que très douteuse.
"Vous avez vu le changement survenu dans ma fortune... Je me suis rendu maître de moi à l'extérieur fort vite, et j'ai toujours tenu la même conduite qu'avant, sans témoignage de joie, ce qui aurait passé pour fausseté, car franchement, et vous pouvez aisément le croire, je n'en ressentais pas du tout ; - ni de tristesse, qu'on aurait pu attribuer à de la faiblesse d'âme. L'intérieur a été plus difficile à vaincre ; il se soulève encore quelquefois."
D'accord avec cette lettre du comte de Provence à Gustave III, le Journal de Bachaumont dit, au moment de la naissance du Dauphin : "Les courtisans, toujours malins, toujours exacts observateurs des passions des princes, ont cru remarquer sur le visage de Monsieur, à la première inspection du sexe (au moment de la naissance du Dauphin), un mouvement d'humeur et de chagrin ; mais son âme magnanime, surmontant bientôt cette faiblesse, s'est livrée ensuite à toute la joie que lui ont inspirée son attachement au Roi et à la Reine, et son zèle pour la félicité de l'Etat." (26 octobre 1781).
Il y a également une lettre qu'on attribue au comte de Provence, écrite au duc de Fitz-James pendant l'assemblée des notables de 1787, et déposée dans les archives secrètes du Parlement en 1788, où il accuse la reine d'adultère. La voici :
"Les notables n'hésiteront pas à croire, d'après les pièces que vous leur avez remises, il y a plus de six semaines, que les enfants du roi ne sont pas les siens. Les pièces prouvent jusqu'à l'évidence la conduite coupable de la reine : vous êtes sujet trop attaché au sang de vos maîtres pour ne pas rougir de ployer devant ces fruits adultérins. Dès demain donc, pas plus tard, proposez un rapport à mon bureau sur ce sujet. Je serai absent, mais mon frère d'Artois, dont le bureau ne tient pas de séance, présidera à ma place. Le fait dont il s'agit une fois avéré, les conséquences sont faciles à tirer. Le parlement, qui n'aime pas la reine, ne fera pas grande difficulté, mais s'il avait la fantaisie d'en élever, nous avons le moyen de le rendre raisonnable. Quant aux Etats Généraux, j'espère bien qu'on en parlera longtemps avant d'y penser sérieusement. Enfin il faut tenter le coup ; et comme nos prétentions reposent sur la vérité, il faut réussir. Ce n'est qu'ainsi qu'il me sera facile d'oublier les sacrifices énormes qu'il m'a fallu faire pour acquérir cette conviction. Je sais qu'elle ne sera pas très agréable au roi ; mais, jouet comme il l'est de sa femme, mérite-t-il de régner? Oui, mon cher Fitz-James, c'est un pauvre sire, et la France est digne d'avoir un véritable roi."
Le Morning Chronicle de Londres du 25 février 1833 rapporte la vente aux enchères publiques de cette lettre autographe chez Evans, acquise comme pièce historique par MM. Treuttel et Würtz, éditeurs à Paris. Mais elle paraît tellement énorme, tellement en désaccord avec le caractère cauteleux, sournois et prudent du comte de Provence, que son authenticité n'est, selon beaucoup d'historiens, rien moins que très douteuse.
Invité- Invité
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Quelle infâme crapule !
Mme de Sabran- Messages : 55505
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Le pire c'est sa réaction lorsqu'il apprend que Louis XVI a été guillotiné. Son interlocuteur (je crois que c'est Taube?... je ne me rappelle plus exactement) aperçoit alors une lueur de satisfaction dans son oeil.
Invité- Invité
Re: Louis-Stanislas, comte de Provence, et futur roi Louis XVIII
Quand je pense à lui, j'en ai le poil au garde-à-vous .
Mme de Sabran- Messages : 55505
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
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