Jean-Baptiste Van Loo (1684-1745)
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Jean-Baptiste Van Loo (1684-1745)
Jean-Baptiste Van Loo, né à Aix-en-Provence le 11 janvier 1784 et mort dans la même ville le 19 décembre 1745 est le fils de Louis-Abraham Van Loo (né à Amsterdam en 1653 et mort à Nice en 1712) et le frère de Charles Van Loo ou Carle Van Loo (1705-1765).
Il est également le père de Louis-Michel Van Loo (1707-1771).
Je viens de découvrir, grâce à la gravure, ce beau tableau de Jean-Baptiste Van Loo, exposé au musée Granet d'Aix-en Provence, "l'Education de l'Amour" ou "l'Amour à l'école" (peint en 1736) :
Wiki nous enseigne que pendant sa jeunesse à Aix, Grasse, Majorque et Nice, Jean-Baptiste Van Loo est initié à la peinture par son père, Louis-Abraham van Loo, fils de Jacob van Loo. À Toulon en 1706-1707, il étudie les sculptures de Pierre Puget à l'arsenal. Il commence à y peindre quelques portraits et y épouse le 17 mai 1706 Marguerite Le Brun (ou Brun), fille d'un avocat toulonnais. Lors de l'invasion de la ville par le duc de Savoie en 1707, van Loo émigre vers sa ville natale (Aix-en-Provence), où il peint deux plafonds au pavillon de Lenfant, qui représentent L'Assemblée des dieux et Apollon et les arts, et travaille pour plusieurs églises. L'amitié de Lenfant lui vaut d'être invité, sans doute en présence de son jeune frère Carle, à la cour de Monaco où il exécute plusieurs portraits de la famille d'Antoine Grimaldi.
Jean-Baptiste Van Loo part en 1712 s'établir en Italie, à Gênes puis Turin en 1713, où il fait la connaissance du prince de Carignan, gendre de Victor-Amédée de Savoie, qui va devenir son protecteur et qui l'envoie à Rome de 1714 à 1718.
À l'écart de l'Académie de France, Van Loo y fréquente les Cours de Benedetto Luti à la villa Médicis, copie l'Antique et laisse une Flagellation à l'église de Santa Maria in monticelli.
Après la fuite de Carignan à Paris, il décide de rentrer en France et s'arrête en 1719 à Turin, où il peint deux plafonds au château de Rivoli.
De retour à Paris en 1720, la banqueroute de Law provoque sa ruine financière, l'obligeant à passer une longue période à peindre des portraits.
Jean-Baptise Van Loo, portrait de Louis XV, roi de France et de Navarre (vers 1723), château de Versailles.
Jean-Baptise Van Loo, portrait de Marie Leszczyńka (vers 1725), château de Versailles.
Van Loo exécute aussi des scènes mythologiques et religieuses, un may pour Saint-Germain-des-Prés et le plafond de la salle des machines du Palais-Royal à Paris, pour le Régent.
Jean-Baptiste Van Loo, Le Triomphe de Galatée (1720), Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage.
Agréé en 1722, Van Loo est finalement reçu à l'Académie le 23 février 1731 avec Diane et Endymion (Paris, musée du Louvre).
Jean-Baptiste Van Loo, Diane et Endymion (1731), musée du Louvre.
Parmi ses nombreux travaux historiques, il participe à la restauration de la galerie François-Ier au palais de Fontainebleau.
Jean-Baptise Van Loo, Apollon et Daphnée (1720-1737), musée des beaux-arts de Budapest.
En 1735, il décide de quitter Paris pour retourner en Provence. Mais, au bout d'un an, ayant appris que son fils, Louis-Michel van Loo est nommé à la place du premier peintre du roi d'Espagne, il retourne à Paris, puis passe plusieurs années à Londres entre 1738 et 1742, où il jouit d'une réputation exceptionnelle.
Jean-Baptiste Van Loo, portrait de William Stephen Poyntz, New Haven, Centre d'art britannique de Yale.
Jean-Baptiste Van Loo retourne en France en 1742, pour des raisons de santé.
En octobre 1742, après être rentré à Paris, il part pour Aix dans l'espoir d'y retrouver une meilleure santé. Il restera dans sa ville natale jusqu'à sa mort, peignant de nombreux portraits. Il installe notamment un atelier au pavillon de Vendôme, dont il est un temps le propriétaire. Il s'éteint dans sa ville natale le 19 décembre 1745. On dit qu'il est mort le pinceau à la main.
Il est également le père de Louis-Michel Van Loo (1707-1771).
Je viens de découvrir, grâce à la gravure, ce beau tableau de Jean-Baptiste Van Loo, exposé au musée Granet d'Aix-en Provence, "l'Education de l'Amour" ou "l'Amour à l'école" (peint en 1736) :
Wiki nous enseigne que pendant sa jeunesse à Aix, Grasse, Majorque et Nice, Jean-Baptiste Van Loo est initié à la peinture par son père, Louis-Abraham van Loo, fils de Jacob van Loo. À Toulon en 1706-1707, il étudie les sculptures de Pierre Puget à l'arsenal. Il commence à y peindre quelques portraits et y épouse le 17 mai 1706 Marguerite Le Brun (ou Brun), fille d'un avocat toulonnais. Lors de l'invasion de la ville par le duc de Savoie en 1707, van Loo émigre vers sa ville natale (Aix-en-Provence), où il peint deux plafonds au pavillon de Lenfant, qui représentent L'Assemblée des dieux et Apollon et les arts, et travaille pour plusieurs églises. L'amitié de Lenfant lui vaut d'être invité, sans doute en présence de son jeune frère Carle, à la cour de Monaco où il exécute plusieurs portraits de la famille d'Antoine Grimaldi.
Jean-Baptiste Van Loo part en 1712 s'établir en Italie, à Gênes puis Turin en 1713, où il fait la connaissance du prince de Carignan, gendre de Victor-Amédée de Savoie, qui va devenir son protecteur et qui l'envoie à Rome de 1714 à 1718.
À l'écart de l'Académie de France, Van Loo y fréquente les Cours de Benedetto Luti à la villa Médicis, copie l'Antique et laisse une Flagellation à l'église de Santa Maria in monticelli.
Après la fuite de Carignan à Paris, il décide de rentrer en France et s'arrête en 1719 à Turin, où il peint deux plafonds au château de Rivoli.
De retour à Paris en 1720, la banqueroute de Law provoque sa ruine financière, l'obligeant à passer une longue période à peindre des portraits.
Jean-Baptise Van Loo, portrait de Louis XV, roi de France et de Navarre (vers 1723), château de Versailles.
Jean-Baptise Van Loo, portrait de Marie Leszczyńka (vers 1725), château de Versailles.
Van Loo exécute aussi des scènes mythologiques et religieuses, un may pour Saint-Germain-des-Prés et le plafond de la salle des machines du Palais-Royal à Paris, pour le Régent.
Jean-Baptiste Van Loo, Le Triomphe de Galatée (1720), Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage.
Agréé en 1722, Van Loo est finalement reçu à l'Académie le 23 février 1731 avec Diane et Endymion (Paris, musée du Louvre).
Jean-Baptiste Van Loo, Diane et Endymion (1731), musée du Louvre.
Parmi ses nombreux travaux historiques, il participe à la restauration de la galerie François-Ier au palais de Fontainebleau.
Jean-Baptise Van Loo, Apollon et Daphnée (1720-1737), musée des beaux-arts de Budapest.
En 1735, il décide de quitter Paris pour retourner en Provence. Mais, au bout d'un an, ayant appris que son fils, Louis-Michel van Loo est nommé à la place du premier peintre du roi d'Espagne, il retourne à Paris, puis passe plusieurs années à Londres entre 1738 et 1742, où il jouit d'une réputation exceptionnelle.
Jean-Baptiste Van Loo, portrait de William Stephen Poyntz, New Haven, Centre d'art britannique de Yale.
Jean-Baptiste Van Loo retourne en France en 1742, pour des raisons de santé.
En octobre 1742, après être rentré à Paris, il part pour Aix dans l'espoir d'y retrouver une meilleure santé. Il restera dans sa ville natale jusqu'à sa mort, peignant de nombreux portraits. Il installe notamment un atelier au pavillon de Vendôme, dont il est un temps le propriétaire. Il s'éteint dans sa ville natale le 19 décembre 1745. On dit qu'il est mort le pinceau à la main.
Duc d'Ostrogothie- Messages : 3227
Date d'inscription : 04/11/2017
Re: Jean-Baptiste Van Loo (1684-1745)
Merci pour l'ouverture de ce merveilleux sujet, mon cher Duc !
J'adore le tableau très voluptueux représentant Diane et Endymion .
L'Amour à l'école aussi, mais ça, tu le savais déjà !
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55504
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Jean-Baptiste Van Loo (1684-1745)
Père, fils, frères ... lequel a peint Mme Helvétius, dis-moi ?
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55504
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Jean-Baptiste Van Loo (1684-1745)
Mme de Sabran a écrit:
Merci pour l'ouverture de ce merveilleux sujet, mon cher Duc !
De rien.
Mme de Sabran a écrit:
J'adore le tableau très voluptueux représentant Diane et Endymion .
Moi aussi, il est superbe.
Mme de Sabran a écrit:
L'Amour à l'école aussi, mais ça, tu le savais déjà !
Les couleurs sont vives, le trait est léger, presque aérien...
La peinture mythologique nous transporte, non ? Boucher, Natoire, Lemoyne, Trémolières...
J'ai découvert dans Wiki que ce cher Trémolières (mort trop jeune) avait été l'élève de Jean-Baptiste Van Loo (v. notre sujet sur ce peintre ici : Pierre-Charles Trémolières (1703-1739), un peintre discret au siècle des Lumières ).
Mme de Sabran a écrit:Père, fils, frères ... lequel a peint Mme Helvétius, dis-moi ?
C'est Louis-Michel Van Loo, fils de Jean-Baptiste :
Portrait d’Anne-Catherine de Ligniville Helvétius par Louis-Michel van Loo.
Duc d'Ostrogothie- Messages : 3227
Date d'inscription : 04/11/2017
Re: Jean-Baptiste Van Loo (1684-1745)
Il a oublié les chats, les chats, les chats, partout sur le canapé !
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Mme de Sabran- Messages : 55504
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Jean-Baptiste Van Loo (1684-1745)
Je te verrais bien dans une robe comme ça, non ?
Duc d'Ostrogothie- Messages : 3227
Date d'inscription : 04/11/2017
Re: Jean-Baptiste Van Loo (1684-1745)
... dans une autre vie peut-être ?
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Mme de Sabran- Messages : 55504
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Jean-Baptiste Van Loo (1684-1745)
https://magazine.interencheres.com/art-mobilier/une-esquisse-historique-de-jean-baptiste-van-loo-aux-encheres-en-mayenne/?utm_source=newsletters&utm_medium=email&utm_campaign=NWL_2022-05-27
Une esquisse historique de Jean-Baptiste Van Loo aux enchères en Mayenne
par Diane Zorzi
Une esquisse exécutée par Jean-Baptiste Van Loo à partir d’un tableau détruit lors de la Révolution sera vendue aux enchères le 1er juin à Mayenne. Réalisée en 1729, elle célèbre la naissance du Dauphin Louis, premier fils de Louis XV et Marie Leszczyńska.
Si le Dauphin Louis (1729-1765) n’a jamais goûté au trône, décédé neuf ans avant son père Louis XV, sa naissance en 1729 à Versailles est célébrée en grande pompe. Après avoir mis au monde trois filles (Louise-Elisabeth, Anne-Henriette et Marie-Louise), Louis XV et Marie Leszczyńska accueillaient leur premier garçon, assurant ainsi, selon la règle monarchique, la succession à la tête du Royaume de France. Pour immortaliser l’heureux événement, maints artistes sont sollicités, à l’instar de Jean-Baptiste Van Loo (1684-1745), l’un des peintres favoris de la famille royale, qui se voit confier par le Bureau de la Ville de Paris la réalisation d’un tableau figurant Louis XV recevant le corps des échevins de Paris, destiné à rejoindre l’Hôtel de Ville, siège du prévôt des marchands. De ce portrait collectif, détruit durant la Révolution, demeureraient deux esquisses – la première est conservée au musée Carnavalet à Paris, la seconde, plus aboutie, est l’une des pièces maîtresses de la vente aux enchères organisée par Pascal Blouet le 1er juin à Mayenne.
Louis XV recevant le corps des échevins de Paris à l’occasion de la naissance du Dauphin
Jean-Baptiste Van Loo livre ici un brillant témoignage de la peinture rocaille du XVIIIe siècle. La composition, théâtralisée par un lourd rideau, donne à voir Louis XV qui, accompagné d’un groupe de nobles, reçoit une lettre du prévôt des marchands de Paris, vêtu d’un habit de cérémonie rouge chatoyant. Avant qu’il ne soit remplacé par le maire, au lendemain de la Révolution, le prévôt des marchands est à Paris l’un des acteurs les plus influents de la vie commerciale et politique, responsable, dès le XIVe siècle, de l’approvisionnement de la capitale par voie fluviale. Les deux protagonistes prennent place au pied d’une grande toile allégorique figurant un ange qui dépose un enfant dans les bras de la Royauté. Autour, les festivités battent leur plein – un banquet anime l’arrière-plan tandis qu’un feu d’artifice jaillit à gauche. Une large place est accordée aux côtés du prévôt aux échevins de la ville auxquels l’artiste confère des gestes et expressions variés.
Jean-Baptiste Van Loo, portraitiste de la famille royale
En 1729, l’artiste, issu d’une dynastie de peintres d’origine néerlandaise, est à l’apogée de sa carrière. Arrivé en 1720 à Paris, où il est logé avec sa famille à l’hôtel de Soissons, propriété de son mécène le prince de Carignan, Jean-Baptiste Van Loo s’attire les faveurs du Régent, Philippe d’Orléans, qui lui commande un décor pour parer le plafond de la salle des machines du Palais Royal et qui l’introduit à la cour et auprès de Louis XV, pour qui il exécute deux portraits officiels en pied en 1724 et 1727. S’il est reçu en 1731 à l’Académie royale de peinture et de sculpture avec Diane et Endymion, sa popularité se tarira au fil des années, au profit de la célébrité grandissante de son frère cadet, Carle Van Loo, et d’artistes tels François Boucher et Quentin de La Tour qui auront les faveurs de la nouvelle favorite de Louis XV, la marquise de Pompadour.
Une esquisse historique de Jean-Baptiste Van Loo aux enchères en Mayenne
par Diane Zorzi
Une esquisse exécutée par Jean-Baptiste Van Loo à partir d’un tableau détruit lors de la Révolution sera vendue aux enchères le 1er juin à Mayenne. Réalisée en 1729, elle célèbre la naissance du Dauphin Louis, premier fils de Louis XV et Marie Leszczyńska.
Jean-Baptiste Van Loo (1684-1745), « Louis XV recevant le corps des échevins de Paris, à l’occasion de la naissance du Dauphin en 1729 ». Peinture sur toile, 46,5 x 73,5 cm. Estimée entre 30 000 et 40 000 euros. Expertisée par le cabinet Turquin.
Si le Dauphin Louis (1729-1765) n’a jamais goûté au trône, décédé neuf ans avant son père Louis XV, sa naissance en 1729 à Versailles est célébrée en grande pompe. Après avoir mis au monde trois filles (Louise-Elisabeth, Anne-Henriette et Marie-Louise), Louis XV et Marie Leszczyńska accueillaient leur premier garçon, assurant ainsi, selon la règle monarchique, la succession à la tête du Royaume de France. Pour immortaliser l’heureux événement, maints artistes sont sollicités, à l’instar de Jean-Baptiste Van Loo (1684-1745), l’un des peintres favoris de la famille royale, qui se voit confier par le Bureau de la Ville de Paris la réalisation d’un tableau figurant Louis XV recevant le corps des échevins de Paris, destiné à rejoindre l’Hôtel de Ville, siège du prévôt des marchands. De ce portrait collectif, détruit durant la Révolution, demeureraient deux esquisses – la première est conservée au musée Carnavalet à Paris, la seconde, plus aboutie, est l’une des pièces maîtresses de la vente aux enchères organisée par Pascal Blouet le 1er juin à Mayenne.
Louis XV recevant le corps des échevins de Paris à l’occasion de la naissance du Dauphin
Jean-Baptiste Van Loo livre ici un brillant témoignage de la peinture rocaille du XVIIIe siècle. La composition, théâtralisée par un lourd rideau, donne à voir Louis XV qui, accompagné d’un groupe de nobles, reçoit une lettre du prévôt des marchands de Paris, vêtu d’un habit de cérémonie rouge chatoyant. Avant qu’il ne soit remplacé par le maire, au lendemain de la Révolution, le prévôt des marchands est à Paris l’un des acteurs les plus influents de la vie commerciale et politique, responsable, dès le XIVe siècle, de l’approvisionnement de la capitale par voie fluviale. Les deux protagonistes prennent place au pied d’une grande toile allégorique figurant un ange qui dépose un enfant dans les bras de la Royauté. Autour, les festivités battent leur plein – un banquet anime l’arrière-plan tandis qu’un feu d’artifice jaillit à gauche. Une large place est accordée aux côtés du prévôt aux échevins de la ville auxquels l’artiste confère des gestes et expressions variés.
Jean-Baptiste Van Loo, portraitiste de la famille royale
En 1729, l’artiste, issu d’une dynastie de peintres d’origine néerlandaise, est à l’apogée de sa carrière. Arrivé en 1720 à Paris, où il est logé avec sa famille à l’hôtel de Soissons, propriété de son mécène le prince de Carignan, Jean-Baptiste Van Loo s’attire les faveurs du Régent, Philippe d’Orléans, qui lui commande un décor pour parer le plafond de la salle des machines du Palais Royal et qui l’introduit à la cour et auprès de Louis XV, pour qui il exécute deux portraits officiels en pied en 1724 et 1727. S’il est reçu en 1731 à l’Académie royale de peinture et de sculpture avec Diane et Endymion, sa popularité se tarira au fil des années, au profit de la célébrité grandissante de son frère cadet, Carle Van Loo, et d’artistes tels François Boucher et Quentin de La Tour qui auront les faveurs de la nouvelle favorite de Louis XV, la marquise de Pompadour.
Lady Jhane- Messages : 1318
Date d'inscription : 04/11/2021
Localisation : Gévaudan
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