Uchronie sur la Révolution française

EDIT /

Nouveau texte où j'incarne cette fois-ci notre Reine face à un Sans-Culotte, texte écrit avec un de mes fidèles partenaires ^^

Le personnage de mon ami est un jeune homme un peu gauche et un peu perdu, peu sûr de ses convictions mais dans un coup de folie il tente d'assassiner la reine de France. Je vous laisse lire la suite. ~ Excusez-moi d'avance pour les fautes et la mise en page, comme c'est du "copisme" je n'ai pas eu le courage de tout reprendre parfaitement (mauvais élève que je suis oui oui.. j'aurais dû demandé à Madame Roland de me le faire elle adore ça).

C'est ICI -> https://docs.google.com/document/d/1TbWbpzqVxCaIPy7iKevRcGiLFfowwKHMwyuxs9qCgZ0/edit?usp=sharing


Bonne lecture !

Je commence à vous lire, Gigi, à peine, de façon sporadique donc décousue, car j'ai une vie de famille trépidante .
Vous avez du style. C'est plein d'allant, de fantaisie ... une bonne surprise !
Je ne puis que vous encourager à continuer. Laissez à votre muse la bride sur le cou .

Merci pour tous ces compliments Madame !

Prenez votre temps pour lire surtout, le texte est assez long qui plus est :3

Bonne nuit, Messieurs, et à demain !

Votre uchronie, Gigi, est un cocktail de hardiesse et de naïveté .     Vous excellez dans les scènes d'action assaisonnées de psychologie. Bien sûr, votre Antoine Selebert nous rappelle le preux Barnave, à la différence près que ce conventionnel n'a jamais eu l'intention de trancher la gorge de Marie-Antoinette mais, tout comme votre héros,  il tombe irrésistiblement sous le charme de la reine.   Est pris qui croyait prendre . Votre sans-culotte ne comprend plus rien à rien.  Passons sur le contexte historique qui n'a pas lieu de se soucier d'exactitude .  C'est alors un dialogue, bien improbable dans pareille situation (  ) , dans lequel chacun des deux protagonistes s'explique, se justifie ou tente de se justifier.  Marie-Antoinette est telle qu'en elle-même, courageuse devant le danger, digne toujours, bonne aussi, indulgente . Elle désarme l'agressivité, elle pardonne, elle séduit même.  Car vous ajoutez, coquin que vous êtes, une petite note d'érotisme, la gorge de Marie-Antoinette qui trouble votre Antoine ( tiens ! Antoine, comme Barnave )  .  Elle sent ce trouble, en frémit et vire au rouge écarlate ?!  ...   euh !  Non,  là votre imagination vous emporte !     Mais soit, ce n'est pas grave, nous sommes en pleine uchronie , ou plutôt non déjà à la fin de votre uchronie,  car Antoine Selebert  s'arrache à regrets et disparaît aussi prestement qu'il était arrivé .

Vous avez bien cerné mon récit je crois.

En voici un autre qui je pense pourrait aussi vous intéresser.

--> https://docs.google.com/document/d/1L1oVgXvxY1j8oXSHFyHPVP1EirENjG4ODgbaFERYl6A/edit?usp=sharing

Nous lirons cela .
Vous êtes très en verve, dites-moi, Gigi !
La Révolution vous inspire décidément .