Notre Jeu de l'Eté !

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Le père de Fersen et Breteuil sont très liés .

Ah oui! Ça me revient.
Ne l’appelait-elle point « Papa Breteuil »?

Ma Majesté a écrit:Ah oui! Ça me revient. Ne l’appelait-elle point « Papa Breteuil »?

Fersen écrit à son père :

C'est une princesse charmante. Elle m'a toujours traité avec bonté, mais depuis que le baron de Breteuil lui a parlé, elle me distingue encore plus. Elle s'est presque toujours promenée avec moi aux bals de l'Opéra et c'est après cela qu'elle a parlé de moi au baron de Breteuil et qu'il lui a parlé de vous, mon cher père. ( ... ) La reine l'appelle toujours " mon papa " depuis qu'il lui a parlé de vous .

Si Votre Majesté veut bien prendre la main !

Je la prends volontiers.

A trouver derrière "C'est l'enfer qui m'a créé" et "Un veto corse la finira" un personnage historique important et un évènement clef

Ce personnage vit-il au XVIIIème ?

Non

...avant ? ... après ?

Avant

... donc la Corse génoise ? ( ce qui nous change de la brioche )

tant qu'on mêle faussement notre Reine à des histoires de brioches, ça me va

Point de Corse pour le personnage en question

Le personnage tient-il sa célébrité davantage de sa naissance, de son rang ou bien de ses capacités personnelles, voire des deux ?
Féminin ou masculin ?
Du XVIIe ou avant ?

... français ? étranger ?

Dominique Poulin a écrit:Le personnage tient-il sa célébrité davantage de sa naissance, de son rang ou bien de ses capacités personnelles, voire des deux ?
Féminin ou masculin ?
Du XVIIe ou avant ?

Avant XVIIe
Masculin
Et quant à sa célébrité : aucun de ceci

Français

Alors né de haute naissance et né fortuné ?

Du Moyen-âge ? Renaissance ?...

Je crois me souvenir que les lettres de « un veto corse, etc ... » mises dans un autre ordre donnent : «  Révolution française »
Comment appelle t on ça , un anagramme ?
Par déduction, je propose comme personnage « le frère Jacques Clément »...

en effet, docteur !
vous avez les deux. je vous laisse la main.

Merci !
Voici l’énigme : Louis XVI réunit les États Généraux en mai 89, afin de résoudre le problème du déficit et de la crise politique qui lui est associée. Ces États s’autoproclament très vite « assemblée nationale », forts de la double représentation du Tiers. Mais le divorce n’est pas tout de suite consommé avec le Roi. Les députés des trois ordres, ainsi que le président Mounier, continuent de venir voir le Roi au château, pour lui rendre compte de leurs travaux. Louis XVI, qui accepte encore de les soutenir, et même de les encourager, n’accepte pas la nouvelle dénomination prise par l’assemblée. Aussi, pour ménager la susceptibilité du Roi ( qui reste le chef de l’exécutif ), les délégations se présentent à lui autrement que comme « assemblée nationale constituante »
Question : comment ces députés se présentent-ils au Roi, après juin 89 ?

l'assemblée constituante ?

Non, ce terme est bien la dénomination officielle, mais réfutée par le Roi, dans son discours de juin. Il finira par se résigner à la réunion des ordres, mais il essaiera de conserver un peu de son pouvoir royal, apparaissant donc finalement comme le seul restant attaché à la séparation des pouvoirs...
Devant lui, les députés qu’on appellera plus tard « monarchiens », useront encore de la dénomination originelle de l’assemblée : laquelle ?

Assemblée des communes ?

... sur une proposition de Mirabeau : « Assemblée des représentants du peuple français » ?

Oui, c’est Sa Majesté qui a trouvé : au début, les députés se sont désignés d’un terme emprunté au système britannique : les Communes. Ceci agaçait « royalement » Louis XVI, qui n’était pas franchement anglophile, contrairement à ces Messieurs du Tiers, acquis aux idées nouvelles et issus pour beaucoup d’entre eux du notariat ( cf le livre d’A Maral ).

Bravo ! A vous la main .