Notre jeu de l'été
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Dominique Poulin
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Re: Notre jeu de l'été
S'agit-il de la démission du Chancelier qui pouvait être interprétée comme un désaveu anticipé de l'enregistrement, le 2 août 1714, de l'Edit royal déclarant aptes à la succession au trône les princes légitimés Maine et Toulouse, fils naturels de Louis XIV ?
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55522
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Notre jeu de l'été
Ce bâtard est bien l'ancêtre de la fiancée, et l'objet de l'ambition du chancelier ?
D'une grande famille française ? S'agissait-il de faire tomber les marques de cette naissance illégitime ?
D'une grande famille française ? S'agissait-il de faire tomber les marques de cette naissance illégitime ?
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
Re: Notre jeu de l'été
Non, il ne s'agit pas de cela. C'est plus ancien; à une question de Dominique, j'avais d'ailleurs répondu "Nous sommes dans les années 1690", il est vrai cependant que cela pouvait y faire penser pour l'avenir, et le Roi a sans doute voulu éviter les chicaneries qu'on pourrait lui opposer indirectement grâce au cas soulevé par la demande en mariage émanant du clan Pontchartrain !Mme de Sabran a écrit:S'agit-il de la démission du Chancelier qui pouvait être interprétée comme un désaveu anticipé de l'enregistrement, le 2 août 1714, de l'Edit royal déclarant aptes à la succession au trône les princes légitimés Maine et Toulouse, fils naturels de Louis XIV ?
Allons, encore un indice : le Roi se méfiait beaucoup, au cas où il aurait donné son agrément à ce mariage, des chaises à porteurs... et connaissant les astuces, les ruses et les subterfuges de nombre de ses sujets, il prévit certainement une manière de coup monté, très habile, de la part de Pontchartrain, vit rouge et édicta : "niet" ! Car, d'une chaise à porteur on peut passer assez facilement à un carrosse... et quoi encore ?! Saint-Simon regorge de cas pareils !
Lecréateur- Messages : 1713
Date d'inscription : 01/06/2021
Localisation : Comté d'Enghien et Livonie
Re: Notre jeu de l'été
Il y a bien ce bâtard dans les ancêtres de la fiancée, mais cela, c'est de l'histoire assez ancienne quand même ! Il ne s'agissait nullement de faire tomber les marques de cette naissance illégitime (et après tout, les Lavallière et les Rochechouart et d'autres dames étaient de naissance mois relevée que la dame qui fut à l'origine de cette branche bâtarde!). Il s'agissait de profiter de la renommée attachée aux armes originelles de l'auteur légitime (d'une très grande famille française) de cette branche bâtarde, et c'est de cela que le Roi ne voulait pas !Lucius a écrit: Ce bâtard est bien l'ancêtre de la fiancée, et l'objet de l'ambition du chancelier ?
D'une grande famille française ? S'agissait-il de faire tomber les marques de cette naissance illégitime ?
Lecréateur- Messages : 1713
Date d'inscription : 01/06/2021
Localisation : Comté d'Enghien et Livonie
Re: Notre jeu de l'été
Une Rohan, une Noailles...?
Cet épisode se situe vers la décennie 1680, 1690 1700, ou avant ?
Cet épisode se situe vers la décennie 1680, 1690 1700, ou avant ?
Dominique Poulin- Messages : 7018
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: Notre jeu de l'été
Dominique Jamin a écrit: Nous sommes dans les années 1660, 1670, 1680, 1690, 1700, 1710 ?
Cher Dominique, Le 12 août vous aviez déjà posé la question, et le même jour je vous avais répondu : 1690 !
Non, il ne s'agit ni de Rohan ni de Noailles etc, il s'agit d'une famille moins connue et plus humble... mais qui néanmoins portait un patronyme qui pouvait faire tourner toutes les têtes car leur ancêtre bâtard avait quand même été dûment légitimé par son père qui en plus était connétable de France !
Lecréateur- Messages : 1713
Date d'inscription : 01/06/2021
Localisation : Comté d'Enghien et Livonie
Re: Notre jeu de l'été
Pontchartrain cherchait à marier son fils. Il lui avait fait faire une grande tournée par les ports du levant et du ponant pour lui faire voir les choses dont il entendait parler tous les jours, et connaître les officiers. Tout s'y passa moins en étude et en examens qu'en réceptions, en festins et en honneurs, tels qu'on aurait pu les rendre au Dauphin. Chacun s'y surpassa en cour et en bassesses pour le maître naissant de son sort et de sa fortune, qui revint peu instruit, mais beaucoup plus gâté qu'auparavant, et dans l'opinion d'être parfaitement au fait de tout. Le père crut avoir trouvé tout ce qu'il pouvait désirer en Mlle de Malause, qui était pensionnaire à la Ville-l'Évêque à Paris. Sa mère, qui était Mitte, fille du marquis de Saint-Chaumont, était morte. Son père était un homme retiré dans sa province après avoir servi quelque temps jusqu'à être brigadier, et s'était remarié à une Bérenger-Montmouton dont il avait deux fils. Sa mère à lui était soeur des maréchaux de Duras et de Lorges qui avait toujours pris soin de cette famille avec amitié.
L'alliance en plut tant à Pontchartrain qu'il traita ce mariage, et qu'il en demanda l'agrément au roi. Sa surprise fut grande lorsqu'il entendit le roi lui conseiller de penser à autre chose. Comme celle-là lui convenait, il insista, tellement que le roi lui dit franchement que cette fille portait les armes de Bourbon qui le choqueraient accolées avec les siennes, qu'il la voulait marier à son gré, et qu'en un mot, il désirait qu'il n'y pensât plus. La mortification fut grande. Les ministres n'y étaient pas accoutumés. Peu à peu ils s'étaient mis de ce règne au niveau de tout le monde. Ils avaient pris l'habit et toutes les manières des gens de qualité. Leurs femmes étaient parvenues à manger et à entrer dans les carrosses par Mme Colbert, sous le prétexte de suivre Mme la princesse de Conti qu'elle avait élevée; et d'ailleurs [elle] était extrêmement bien avec la reine. Douze ou quinze ans après, M. de Louvois l'obtint pour sa femme sous prétexte qu'elle était fille de qualité, et par l'émulation qui était entre Colbert et lui. De là leurs belles-filles, et à cet exemple les autres femmes des secrétaires d'État, et à la fin celle des contrôleurs généraux. Leurs alliances les soutenaient dans ce brillant nouveau, et leur autorité, dont tout sans exception dépendait, leur avait acquis une supériorité et des distinctions étranges sur tout ce qui n'était point titré, qui leur rendit bien amer et bien nouveau le refus du roi sur une alliance dont il n'aurait pas fait difficulté avec qui que c'eût été de la noblesse ordinaire. Pontchartrain se garda bien de se vanter de ce qui lui était arrivé, et se hâta seulement de trouver des prétextes de rompre. Mais le roi, si secret toujours, ne jugea pas à propos de l'être dans cette occasion. Il parla aux maréchaux de Duras et de Lorges, à M. de Bouillon, parce que leur mère était soeur de M. de Turenne, et à d'autres encore, de manière que ce que Pontchartrain avait caché fut su, et que ses confrères n'en furent pas moins mortifiés que lui.
Mlle de Malause, unique de son lit, et ses deux frères étaient la sixième et dernière génération, et la seule existante de Charles, baron de Malause, sénéchal de Toulouse et de Bourbonnais, bâtard du duc Jean II de Bourbon, connétable de France, qui ne laissa point d'enfants légitimes, et qui était frère de Pierre, comte de Beaujeu, mari de la célèbre Mme de Beaujeu, fille de Louis XI, soeur et régente de la minorité de Charles VIII, qui fut duc de Bourbon après son frère, et qui ne laissa qu'une fille héritière, Suzanne de Bourbon, qui épousa le malheureux connétable de Bourbon si cruellement persécuté par la mère de François Ier, et qui fut tué devant Rome à la tête de l'armée de Charles V, après s'être trouvé à la bataille de Pavie contre François Ier. Ils étaient frères de Louis de Bourbon, élu évêque de Liège, qui laissa un bâtard, tige des seigneurs de Busset qui subsistent encore. Outre ces frères légitimes, ils en eurent un bâtard qui fut comte de Roussillon, amiral de France, et qui figura avec sa femme, bâtarde de Louis XI et de Marguerite de Sassenage. Mais l'amiral était bien loin alors d'être officier de la couronne, et la marine de ce temps-là d'être sur un grand pied en France. Peu à peu ces bâtards de Bourbon ont changé leur barre de bâtards et leurs autres et diverses marques de bâtardise en bande comme les princes de cette maison, et l'ont enfin raccourcie comme eux, tellement qu'il n'y a plus aucune différence entre les armes des légitimes et des bâtards; et c'est ce qui choquait si fort le roi qu'il ne voulut pas voir, disait-il, à la chaise à porteurs de la nouvelle mariée, les armes de Bourbon accolées à celles de Phélypeaux.
L'alliance en plut tant à Pontchartrain qu'il traita ce mariage, et qu'il en demanda l'agrément au roi. Sa surprise fut grande lorsqu'il entendit le roi lui conseiller de penser à autre chose. Comme celle-là lui convenait, il insista, tellement que le roi lui dit franchement que cette fille portait les armes de Bourbon qui le choqueraient accolées avec les siennes, qu'il la voulait marier à son gré, et qu'en un mot, il désirait qu'il n'y pensât plus. La mortification fut grande. Les ministres n'y étaient pas accoutumés. Peu à peu ils s'étaient mis de ce règne au niveau de tout le monde. Ils avaient pris l'habit et toutes les manières des gens de qualité. Leurs femmes étaient parvenues à manger et à entrer dans les carrosses par Mme Colbert, sous le prétexte de suivre Mme la princesse de Conti qu'elle avait élevée; et d'ailleurs [elle] était extrêmement bien avec la reine. Douze ou quinze ans après, M. de Louvois l'obtint pour sa femme sous prétexte qu'elle était fille de qualité, et par l'émulation qui était entre Colbert et lui. De là leurs belles-filles, et à cet exemple les autres femmes des secrétaires d'État, et à la fin celle des contrôleurs généraux. Leurs alliances les soutenaient dans ce brillant nouveau, et leur autorité, dont tout sans exception dépendait, leur avait acquis une supériorité et des distinctions étranges sur tout ce qui n'était point titré, qui leur rendit bien amer et bien nouveau le refus du roi sur une alliance dont il n'aurait pas fait difficulté avec qui que c'eût été de la noblesse ordinaire. Pontchartrain se garda bien de se vanter de ce qui lui était arrivé, et se hâta seulement de trouver des prétextes de rompre. Mais le roi, si secret toujours, ne jugea pas à propos de l'être dans cette occasion. Il parla aux maréchaux de Duras et de Lorges, à M. de Bouillon, parce que leur mère était soeur de M. de Turenne, et à d'autres encore, de manière que ce que Pontchartrain avait caché fut su, et que ses confrères n'en furent pas moins mortifiés que lui.
Mlle de Malause, unique de son lit, et ses deux frères étaient la sixième et dernière génération, et la seule existante de Charles, baron de Malause, sénéchal de Toulouse et de Bourbonnais, bâtard du duc Jean II de Bourbon, connétable de France, qui ne laissa point d'enfants légitimes, et qui était frère de Pierre, comte de Beaujeu, mari de la célèbre Mme de Beaujeu, fille de Louis XI, soeur et régente de la minorité de Charles VIII, qui fut duc de Bourbon après son frère, et qui ne laissa qu'une fille héritière, Suzanne de Bourbon, qui épousa le malheureux connétable de Bourbon si cruellement persécuté par la mère de François Ier, et qui fut tué devant Rome à la tête de l'armée de Charles V, après s'être trouvé à la bataille de Pavie contre François Ier. Ils étaient frères de Louis de Bourbon, élu évêque de Liège, qui laissa un bâtard, tige des seigneurs de Busset qui subsistent encore. Outre ces frères légitimes, ils en eurent un bâtard qui fut comte de Roussillon, amiral de France, et qui figura avec sa femme, bâtarde de Louis XI et de Marguerite de Sassenage. Mais l'amiral était bien loin alors d'être officier de la couronne, et la marine de ce temps-là d'être sur un grand pied en France. Peu à peu ces bâtards de Bourbon ont changé leur barre de bâtards et leurs autres et diverses marques de bâtardise en bande comme les princes de cette maison, et l'ont enfin raccourcie comme eux, tellement qu'il n'y a plus aucune différence entre les armes des légitimes et des bâtards; et c'est ce qui choquait si fort le roi qu'il ne voulut pas voir, disait-il, à la chaise à porteurs de la nouvelle mariée, les armes de Bourbon accolées à celles de Phélypeaux.
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Mme de Sabran- Messages : 55522
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Notre jeu de l'été
Voilà, chère Madame, vous avez gagné : vous avez répondu aux deux guestions initiales ! Brava ! Il est vrai qu'une fois que Saint-Simon s'occupe d'un cas, on peut se fier à lui, et que d'ailleurs il ne néglige pas l'aide de Moréri ! J'ai un tout petit peu plus à proposer, ce que ni l'un ni l'autre évidemment ne pouvaient faire : proposer un petit reportage photographique que j'avais fait sur les lieux, sur les confins du Rouergue méridional, des monts de Lacaune etc, en plein Haut Languedoc, avec des pièces qui prouvent que Louis XIV avait entièrement raison. Encore une fois : brava, je dirai même plus : bravissima !
Lecréateur- Messages : 1713
Date d'inscription : 01/06/2021
Localisation : Comté d'Enghien et Livonie
Re: Notre jeu de l'été
...
Je réfléchis donc à la prochaine énigme .
Oh oui, s'il vous plaît ! oui, oui !!!
... sans oublier votre reportage spécial Varennes !
Je réfléchis donc à la prochaine énigme .
Lecréateur a écrit:J'ai un tout petit peu plus à proposer, ce que ni l'un ni l'autre évidemment ne pouvaient faire : proposer un petit reportage photographique que j'avais fait sur les lieux, sur les confins du Rouergue méridional, des monts de Lacaune etc, en plein Haut Languedoc, avec des pièces qui prouvent que Louis XIV avait entièrement raison.
Oh oui, s'il vous plaît ! oui, oui !!!
... sans oublier votre reportage spécial Varennes !
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Mme de Sabran- Messages : 55522
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Notre jeu de l'été
Mme de Sabran a écrit: Oh oui, s'il vous plaît ! oui, oui !!!
... sans oublier votre reportage spécial Varennes !
C'est entendu, c'est noté ou renoté dans mon carnet de commandes !
Lecréateur- Messages : 1713
Date d'inscription : 01/06/2021
Localisation : Comté d'Enghien et Livonie
Re: Notre jeu de l'été
La demoiselle en question épousera en janvier 1715 le comte de Poitiers de Rye, un cousin un peu lointain de la célèbre sénéchale de Normandie. Leur fille unique épousera le duc de Randan, de la maison de Durfort (nous retombons sur nos sujets du forum !) dont l'unique fille épousera, sans descendance, le prince de Tarente.
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
Re: Notre jeu de l'été
Lecréateur a écrit:
C'est entendu, c'est noté ou renoté dans mon carnet de commandes !
Merci !
Que diriez-vous d'une petite charade, les amis ?!
Allez zou ! c'est parti :
Mon premier est l'un des frères Dalton.
Mon deuxième a jeté Marie-Antoinette sur le gazon. ( Non non, Momo, ce n'est pas Fersen )
Mon troisième est une chanteuse française.
Mon quatrième indique la direction.
Mon cinquième signifie " petit coin " en langage populaire.
Mon tout est une célébrité européenne de la fin XVIIIème !
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55522
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Notre jeu de l'été
Je suis nul en charades.
Puis je contourner l'affaire en posant des questions ?
Est ce un homme, une femme ?
Plutôt 1ere moitié du XVIIIe ou 2e moitié ?
Un personnage français ? versé dans les lettres, les sciences, les arts ?
Un personnage de pouvoir ? militaire ? diplomate ?
Ha oui, fin XVIIIe, pardon.
Puis je contourner l'affaire en posant des questions ?
Est ce un homme, une femme ?
Plutôt 1ere moitié du XVIIIe ou 2e moitié ?
Un personnage français ? versé dans les lettres, les sciences, les arts ?
Un personnage de pouvoir ? militaire ? diplomate ?
Ha oui, fin XVIIIe, pardon.
Dominique Poulin- Messages : 7018
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: Notre jeu de l'été
Mme de Sabran a écrit:Mon premier est l'un des frères Dalton.
Jack, Joe, Averell, William?
Mon deuxième a jeté Marie-Antoinette sur le gazon. ( Non non, Momo, ce n'est pas Fersen )
Le bourreau, son aide ?
Mon quatrième indique la direction.
carte, boussole, plan ?
Mon cinquième signifie " petit coin " en langage populaire.
WC, chiottes, tinette, gogues ?
Gouverneur Morris- Messages : 11802
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Notre jeu de l'été
Dominique Poulin a écrit:Je suis nul en charades.
Puis je contourner l'affaire en posant des questions ?
Est ce un homme, une femme ?
Plutôt 1ere moitié du XVIIIe ou 2e moitié ?
Un personnage français ? versé dans les lettres, les sciences, les arts ?
Un personnage de pouvoir ? militaire ? diplomate ?
Ha oui, fin XVIIIe, pardon.
Mais, Domi, une charade n'est pas un " c'est kiki ? " ! En effet, vous contournez !!! ( gros yeux ) .
Je veux bien vous concéder que mon tout est un monsieur, tenez, plus versé dans lettres et sciences que dans les arts et la politique, but mais c'est tout .
Dussiez-vous vous traîner à mes genoux que je ne vous dirais rien de plus .
Gouverneur Morris a écrit:Mme de Sabran a écrit:Mon premier est l'un des frères Dalton.Jack, Joe,Averell, William?Mon deuxième a jeté Marie-Antoinette sur le gazon. ( Non non, Momo, ce n'est pas Fersen )
Le bourreau, son aide ?Mon quatrième indique la direction.carte, boussole, plan ?Mon cinquième signifie " petit coin " en langage populaire.
WC,chiottes, tinette, gogues ?
Joe, oui, pour mon premier.
Mon deuxième rappelle une anecdote très joyeuse bien connue.
Mon quatrième n'est pas un objet, mais une locution.
W.C. ( water closet ) te mets sur la bonne piste de mon cinquième.
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55522
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Notre jeu de l'été
Mme de Sabran a écrit:Mon deuxième rappelle une anecdote très joyeuse bien connue.
Un de ses frères ?
Mon quatrième n'est pas un objet, mais une locution.
Ici, là ?
W.C. ( water closet ) te mets sur la bonne piste de mon cinquième.
Les wawa ? Les waters ?
Gouverneur Morris- Messages : 11802
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Notre jeu de l'été
Mme de Sabran a écrit:Je veux bien vous concéder que mon tout est un monsieur, tenez, plus versé dans lettres et sciences que dans les arts et la politique, but mais c'est tout .
François de Water-Closets ?
Gouverneur Morris- Messages : 11802
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Notre jeu de l'été
Gouverneur Morris a écrit:Mme de Sabran a écrit:Mon deuxième rappelle une anecdote très joyeuse bien connue.
Un de ses frères ?
Non. Très très connue !
Mon quatrième n'est pas un objet, mais une locution.
Les wawa ? Leswaters ?
water, oui !!! prononcé " vater "
Gouverneur Morris a écrit:
François de Water-Closets ?
... Mais c'est pas ça !!!
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Mme de Sabran- Messages : 55522
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Notre jeu de l'été
Je vais te donner un indice, mon cher Momo, sur mon troisième sur lequel tu cales désespérément : la chanteuse française .
C'est une demoiselle qui chante le blues. ...
C'est une demoiselle qui chante le blues. ...
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55522
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Notre jeu de l'été
Patricia Kaas !!!
Gouverneur Morris- Messages : 11802
Date d'inscription : 21/12/2013
Mme de Sabran- Messages : 55522
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Notre jeu de l'été
Là-bas ?Mon quatrième n'est pas un objet, mais une locution.
Gouverneur Morris- Messages : 11802
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Notre jeu de l'été
-vater
-Joe
-Kaas
-là-bas
Est-ce Ligne qui poussa la reine dans le gazon ?
-Joe
-Kaas
-là-bas
Est-ce Ligne qui poussa la reine dans le gazon ?
Gouverneur Morris- Messages : 11802
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Notre jeu de l'été
Johann Kaspar Lavater !
Lecréateur- Messages : 1713
Date d'inscription : 01/06/2021
Localisation : Comté d'Enghien et Livonie
Re: Notre jeu de l'été
Eh oui, Marie-Antoinette est jetée par terre lors d'une promenade à dos d'âne .
Joe âne Kaas par-là water cher Lecréateur !
A vous la main.
Je vous invite à lire ici la très belle lettre qu'il adresse à Hérault de Séchelles en pleine tourmente révolutionnaire :
https://marie-antoinette.forumactif.org/t1636-lettre-de-lavater-a-herault-de-sechelles?highlight=LAVATER
Lecréateur a écrit:Johann Kaspar Lavater !
Joe âne Kaas par-là water cher Lecréateur !
A vous la main.
Je vous invite à lire ici la très belle lettre qu'il adresse à Hérault de Séchelles en pleine tourmente révolutionnaire :
https://marie-antoinette.forumactif.org/t1636-lettre-de-lavater-a-herault-de-sechelles?highlight=LAVATER
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Mme de Sabran- Messages : 55522
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
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