Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
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MARIE ANTOINETTE
Dominique Poulin
Mr de Talaru
La nuit, la neige
Comtesse Diane
Mme de Sabran
10 participants
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Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
Bravo ! superbe reportage que ces merveilles de papiers peints. Moi aussi, je n'ai pas gardé un souvenir mémorable des papiers peints de nos intérieurs dans les années 1970. De nos jours, la sobrieté et l'uni dominent... c'est assez ennuyeux pour les yeux je le reconnais !
Mais pour ceux des appartements du XVIIIe siècle, quelle délectation pour nos prunelles... Scènes mythologiques ou orientales, j'adore.. et quel viviers de curiosité et d'appels du bon goût pour les petites têtes blondes ou brunes...
De même, l'appartement de Yves Saint-Laurent et de Pierre Bergé était absolument fabuleux et unique en son genre.
Mais pour ceux des appartements du XVIIIe siècle, quelle délectation pour nos prunelles... Scènes mythologiques ou orientales, j'adore.. et quel viviers de curiosité et d'appels du bon goût pour les petites têtes blondes ou brunes...
De même, l'appartement de Yves Saint-Laurent et de Pierre Bergé était absolument fabuleux et unique en son genre.
Dominique Poulin- Messages : 7013
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
Mme de Sabran a écrit:La nuit, la neige a écrit:
Pour le plaisir des yeux, qu’on aime ou pas...
Je n'aime pas, j'adore ............
C'est tellement beau ! boudoi30
Invité- Invité
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
l'amour menaçant a écrit:Pour rester dans les chinoiseries, même s'il ne s'agit pas de papier peint, à partir du 27 mai dans l'appart de Mme de Maintenon : La Chine à Versailles, art et diplomatie au XVIIIème siècle (peintures, meubles, laques, porcelaines)
Youhou !!! :n,,;::::!!!:
Invité- Invité
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
Vous savez quoi ? Je bouturerais bien volontiers nos anciens sujets Chinoiseries,
avec l'autorisation de qui de droit, bien-sûr ...
Leurs titres seuls faisaient déjà rêver ..........
Fontaines en chinoiseries...
.... Mobilier et chinoiseries
.......... Miroir, mon beau miroir...et chinoiseries.
.............. Les heures tournent, en chinoiseries...
................. Ecritoires et chinoiseries
........................ Chinoiseries et pots-pourris
................................ Chinoiseries végétales ...
....................................... Chinoiseries aux 36 chandelles
.................
.
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
Ces noms suffisent déjà à eux-mêmes pour nous émerveiller à nouveau
Bien à vous.
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
Mme de Sabran a écrit:
Vous savez quoi ? Je bouturerais bien volontiers nos anciens sujets Chinoiseries,
avec l'autorisation de qui de droit, bien-sûr ...
C’est prévu.
J’ai eu le temps de charger quelques malles avant le grand départ... :
La nuit, la neige- Messages : 18138
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
Ah, que je m'en réjouis !
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
Je vous emmène au château de Pierre Grosse :c^ùù!!: , en Ardèche, découvrir le fabuleux papier panoramique Hindoustan de la manufacture Zuber et Cie, installée à Rixheim, près de Mulhouse . Il couvre les murs d'un petit salon rond devenu bureau .
Un peu de bibliographie pour fixer les idées sur tout tout tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les papiers panoramiques sans avoir jamais osé le demander !
C'est ici :
- L’Hindoustan copie "Oriental Scenery. Twenty Four Views in Hindoostan from the Drawings of Thomas Daniell engraved by himself and William Daniell" publié à Londres en 1797.
Tiburce, à toi de jouer !!!
Le papier peint panoramique appartient au décor des maisons du XIXe siècle : il apparaît dans les dernières années du XVIIIe siècle, alors que l’industrie du papier peint est en plein essor, se développe sous la Restauration pour décliner après le Second Empire, les fabricants se contentant alors de rééditer leurs anciennes productions ; il semble que seule la France, au moins jusqu’à la fin du XIXe siècle, en ait produit.
On estime à une centaine le nombre de panoramiques édités au cours du siècle dernier, et sur ce nombre, il faut tenir compte des variantes nombreuses. Deux manufactures dominent la production et le marché, surtout jusqu’au Second Empire, Dufour et Zuber.
La production de Dufour a fait l’objet d’une publication. Quant à la manufacture Zuber et Cie, installée à Rixheim, à proximité du centre industriel de Mulhouse, elle continue sa production, avec les mêmes méthodes que dans le passé ; elle conserve depuis 1790 ses archives, remises en 1982 au Musée du Papier Peint.
Cette situation privilégiée permet de suivre de façon concrète les étapes de la fabrication des panoramiques.
Pour désigner ces panoramiques, les fabricants du XIXe siècle parlaient de " paysage ", ce qui convient mieux à la réalité de l’objet, puisqu’il s’agit de vastes vues imprimées en camaïeu ou en couleur sur des lés de papier, jusqu’à 32 ( !!! ), de telle sorte que chaque lé collé bord à bord au précédent forme un élément d’un paysage pouvant atteindre 16 mètres de développement. Ces paysages sont destinés au décor des pièces, des salons surtout : on les colle sur les murs, directement ou le plus souvent en usant de l’intermédiaire d’une toile grossière .
Comme le paysage est conçu pour être vu à la hauteur du regard, le lambris d’appui sert de base ; les éléments les plus élevés ne dépassent pas 2,20 m et au-delà, un vaste ciel, parfois décoré de nuages, permet d’adapter le décor à l’architecture de la pièce en coupant si nécessaire.
Pour tenir compte des murs et des ouvertures, le décor est conçu de façon assez souple en tableaux de largeur variable, avec, parfois en matière d’ombre, deux "jours". Les fabricants prévoyaient même des bordures, des lambris, des colonnes imprimés en trompe-l’œil pour découper l’ensemble.
Enfin, les deux extrémités se raboutent, sauf pour les Vues de Suisse, le premier créé par Zuber.
Oh rage, oh désespoir, ô étagères ennemies !!! 54385210
A partir de la maquette de chaque lé se fait la mise sur bois : le metteur sur bois fait le découpage en planches à imprimer du motif en fonction de ses couleurs et de sa taille. C’est un travail lent, difficile, qui peut trahir l’idée du créateur. Aussi Mongin contrôlait-il lui-même ce travail en venant surveiller à Rixheim sa réalisation.
Il semble que l’on procédait selon la méthode du poncif ( ? ), si l’on en croit les rares dessins conservés : la disparition de toutes les maquettes s’expliquent aussi de cette façon. Pour la Grande Helvétie, J. Zuber veut tenter la méthode du papier huilé (proche du calque) mais son metteur en bois s’y oppose (7 novembre 1812).
Vient ensuite le long travail de gravure dont les "livres de gravure", conservés depuis 1824, donnent une idée : pour graver les 1 693 planches des Vues du Brésil, il a fallu 7 mois à une vingtaine de Graveurs ; mais on dépasse souvent un an de travail . Aussi grave-t-on les premiers lés, alors même que les maquettes des derniers ne sont pas achevés.
Ces graveurs travaillent dans un bâtiment construit à cet effet à la manufacture : les concurrents parisiens semblent donner, au contraire, la gravure en sous-traitance.
Les planches à imprimer sont des blocs de bois gravés en relief, épaisses d’environ 5 centimètres, elles sont formées de quatre couches : la couche gravée est du poirier, acheté en Franche-Comté; ce poirier est contre-collé sur trois couches de sapin en fil croisé car ce bois est moins coûteux et moins lourd ; des pointes de laiton ou "picots" placés sur les bords servent au repérage.
Ces planches diffèrent de celles utilisées pour l’impression du tissu par quelques détails : leur largeur est standard, comme le format du papier ; cependant, pour le panoramique plus particulièrement, on peut utiliser des planches de rentrure plus petites pour des détails ; comme le système d’impression est différent, ainsi qu’on le verra, on place sur chaque planche une "traverse" en forme de chevalet de bois ; ces planches ont tendance à se fendre, aussi les conserve-t-on dans une ambiance humide, en cave, et les mouille-t-on superficiellement avant usage.
Par la magie de Google images, les étagères tombent !
Et schpounk !!!
.
La planche est destinée à imprimer la couleur : c’est le mélangeur ou coloriste qui a la lourde tâche de la préparation de la gamme de couleurs, de son harmonie. On travaille en détrempe : une "base" faite de blanc de Champagne et de colle animale est colorée à l’aide de pigments variés, végétaux, animaux ou minéraux. Le blanc de Champagne donne à l’impression une épaisseur sensible qui la rend très vivante. La manufacture a toujours été réputée pour la perfection de ses couleurs : une recherche intense, l’appel aux meilleurs chimistes du moment a permis de créer des couleurs de grande qualité qui tiennent bien à la lumière ; on est, de ce point de vue, étonné de l’état de conservation des panoramiques anciens. .
Pour la petite histoire :
Maîtriser un nombre important de couleurs n’est pas à la hauteur de chacun : J. Zuber raconte que lors de la réalisation de l’Hindoustan, son mélangeur. Dollfus fut "troublé et si excité qu’il devint fou en quelques jours"
Avant d’imprimer sur le papier, il est nécessaire de le recouvrir d’une couche de couleur : pour les panoramiques, à l’exception du "décor chinois" et du "jardin japonais", ce fond est un ciel bleu.
L’opération a été ainsi décrite : "On étale le rouleau sur une longue table... Deux ouvriers et un aide exécutent la manœuvre qui demande une vive prestesse ; le premier ouvrier répand la couleur sur le papier ; l’apprenti, armé de deux brosses carrées, l’étend de son mieux, et derrière lui, le second ouvrier, brandissant deux énormes brosses rondes à longues soies, égalise la pâte qui se raffermit graduellement pendant le travail".
À Rixheim, l’opération est plus complexe car le ciel est en dégradé, du beige, derrière l’impression, au bleu du ciel : on applique ici le procédé de l’irisé, découvert par Michel Spoerlin, beau-frère de J. Zuber en 1819. La couleur déposée à la brosse sur le papier vient d’un bac où, grâce à un système de godets, elle est dégradée. Les ciels de Zuber en tirent une beauté magique.
Sur ce fond, on imprime le motif : la technique est proche de celle utilisée pour le tissu imprimé, elle doit résoudre un problème particulier, faire en sorte qu’une couche épaisse de couleur tienne sur un support non absorbant ; on a vu que dans ce but, on use de couleur mêlée à de la colle. Le détail des opérations suivies va permettre de voir l’autre aspect de la solution apportée à ce problème. .
L’imprimeur a devant lui sa table bien éclairée. À sa droite, un bac à couleur : un baquet rempli d’eau que recouvre un châssis encadrant un cuir de veau tendu qui comprime légèrement la surface du liquide et en tire une certaine élasticité. Sur le cuir, un feutre enduit de couleur.
La table elle-même a un plateau de chêne très épais et très stable sur laquelle on pose à plat le papier. Un levier est fixé à la table. L’imprimeur encre sa planche dans le bac à couleurs puis la dépose sur le papier en repérant avec soin son emplacement grâce aux picots placés à cet effet. Il abaisse alors le levier qui écrase la planche et transfère la couleur sur le papier : ce levier différencie l’impression du papier peint de celle du tissu.
Au XIXe siècle, un jeune apprenti, le "tireur", souvent le fils de l’imprimeur, mettait la couleur dans le bac et sautait sur le levier. L’impression est vérifiée soigneusement une fois la planche soulevée, au besoin, on retouche au pinceau. Puis le papier est mis à sécher sur des étendages situés à proximité: on sèche entre chaque planche. L’impression des couleurs (la "marche des couleurs") se fait selon un ordre précis : au début les grandes surfaces ou géométral, puis les autres teintes des plus foncées aux plus claires. On achève par les détails.
Le travail est donc long : pour 150 collections (la règle au XIXe siècle pour une impression) si l’on utilise 1 500 planches, cela suppose un total de 225 000 manutentions ! Certes, c’est tout un atelier qui se partage l’ouvrage : au siècle dernier, il faut 3 mois au moins pour le réaliser (6 mois actuellement, avec sans doute, une équipe moins nombreuse) .
Depuis la première idée du panoramique, il s’est écoulé entre 18 mois et 2 ans au moment de l’achèvement de son impression.
.
Dernière édition par Mme de Sabran le Jeu 1 Mai - 16:04, édité 1 fois
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
Etonnant reportage !
Merci Eléonore... certains coloris de ces papiers-peints me font songer au Douanier Rousseau :
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
Ah ... ! Quel choc j'ai reçu hier soir ! :\\\\\\\\: :\\\\\\\\: :\\\\\\\\: :\\\\\\\\:
Je me suis demandée si je n'avais pas la berlue ... ben nan ... c'était la Sabran qui avait encore frappé ! : : :
Merci pour toutes les explications de ce papier peint panoramique ... c'est très intéressant et vraiment original !
Quel travail quand on y pense ... boudoi29
Tiburce a drôlement bien vu Pierre Grosse également ! Magnifique !
Tiburce a l'oeil !
Je me suis demandée si je n'avais pas la berlue ... ben nan ... c'était la Sabran qui avait encore frappé ! : : :
Merci pour toutes les explications de ce papier peint panoramique ... c'est très intéressant et vraiment original !
Quel travail quand on y pense ... boudoi29
Tiburce a drôlement bien vu Pierre Grosse également ! Magnifique !
Tiburce a l'oeil !
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Comtesse Diane- Messages : 7397
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : TOURAINE
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
Remarquable reportage, merci Eléonore. Que ces panoramiques sont fabuleux. Le graphisme et les coloris sont exeptionnels. On voyage avec eux d'un simple coup d'oeil. Pas de lassitude chaque lé apporte son grain de mouvance ou pas, son rythme et quelques fois même l'inverse qui donne une dynamique à l'ensemble.
Superbe !! Encore et encore. :,;:!ùù^^^$: :,;:!ùù^^^$: :,;:!ùù^^^$: :;\':;\':;
Superbe !! Encore et encore. :,;:!ùù^^^$: :,;:!ùù^^^$: :,;:!ùù^^^$: :;\':;\':;
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Un verre d'eau pour la Reine.
Mr de Talaru- Messages : 3193
Date d'inscription : 02/01/2014
Age : 65
Localisation : près des Cordeliers...
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
Superbe ! Merci.
J’avais évoqué ce panorama quelques posts en arrière, à l’occasion d’une récente ventes aux enchères d’un fragment d’exemplaire...
J’avais évoqué ce panorama quelques posts en arrière, à l’occasion d’une récente ventes aux enchères d’un fragment d’exemplaire...
La nuit, la neige- Messages : 18138
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
Oui oui, tu disais :
La nuit, la neige a écrit:
Ainsi par exemple, ce 19 mars prochain, à Drouot, la maison Massol propose à la vente 20 lès du fameux panorama « L’Hindoustan », créé justement par la manufacture Zuber en 1807.
A l’origine, le panorama complet mesurait 4m de haut sur 13,5m de développement linéaire.
Faut la place, et le porte-monnaie ! Estimation entre 28 000 et 30 000 € (hors-frais). boudoi32
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
Lors de mon installation j'ai retiré la toile de jute posée par les précédents propriétaire qui cachait dans le living un papier à motif chinois et dans ma chambre une japonaiserie
l'ensemble étant d'époque début XX° siècle - ils sont toujours en place car je n'ai pas voulu les arracher et la toile au fleur de lys les recouvre actuellement - le prochain propriétaire aura la joie de les redécouvrir , mais comme je l'espère dans très longtemps !!!!!!!!
MARIE ANTOINETTE
l'ensemble étant d'époque début XX° siècle - ils sont toujours en place car je n'ai pas voulu les arracher et la toile au fleur de lys les recouvre actuellement - le prochain propriétaire aura la joie de les redécouvrir , mais comme je l'espère dans très longtemps !!!!!!!!
MARIE ANTOINETTE
MARIE ANTOINETTE- Messages : 3729
Date d'inscription : 22/12/2013
Age : 78
Localisation : P A R I S
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
:;\':;\':; boudoi30 :;\':;\':; :;\':;\':; boudoi30 :;\':;\':;
Que de merveilleux souvenirs ! Merci du fond du coeur !
Y'en a d'autres ?
Que de merveilleux souvenirs ! Merci du fond du coeur !
Y'en a d'autres ?
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Comtesse Diane- Messages : 7397
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : TOURAINE
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
Je suis très heureuse de vous faire plaisir ! :n,,;::::!!!: :n,,;::::!!!: :n,,;::::!!!:
Mme de Sabran- Messages : 55511
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Papiers peints de rêve au XVIIIe siècle
Le pavillon Favorite du château de Ludwigsbourg, dans l'ancien duché de Wurtemberg, non loin de Stuttgart, conserve plusieurs pièces décorées d'assemblages de papiers peints commandés quelques années avant la révolution à la manufacture de Réveillon, et installée par l'architecte Nicolas Thouret à la demande du duc Frédéric II, entre 1798 et 1799.
En voici quelques unes
En voici quelques unes
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
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