Les anciens métiers du XVIIIe siècle
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Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
Tiens, à l'époque il n'y avait pas de statues de cire. Mais tu peux voir que l'auberge est plus proche des Ténardier que du Boudoir de Trianon .
_________________
Un verre d'eau pour la Reine.
Mr de Talaru- Messages : 3193
Date d'inscription : 02/01/2014
Age : 65
Localisation : près des Cordeliers...
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
Je constate en effet...Mais rien de tel qu'un ressenti direct comme le tien
Les photos ne suffisent pas à nous impressionner.... Tes propos y parviennent bien davantage !
Bien à toi
Les photos ne suffisent pas à nous impressionner.... Tes propos y parviennent bien davantage !
Bien à toi
Invité- Invité
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
Autre nom d'auberge à Versailles:
«le Bœuf Couronné, place du marché»
«rue de Bourbon, au Bon Vinaigre»
«au Gros Raisin, place du marché»
«rue de l'Orangerie, au Chariot de Bois»
«rue de Bel-Air, aux Trois Etoiles»
«rue de Paris, à la Ville de Mastrik»
Parmi les métiers, on trouve aussi des «cordonniers en vieux», c'est à dire qu'il travaillent les objets déjà réalisés, de seconde main.
«le Bœuf Couronné, place du marché»
«rue de Bourbon, au Bon Vinaigre»
«au Gros Raisin, place du marché»
«rue de l'Orangerie, au Chariot de Bois»
«rue de Bel-Air, aux Trois Etoiles»
«rue de Paris, à la Ville de Mastrik»
Parmi les métiers, on trouve aussi des «cordonniers en vieux», c'est à dire qu'il travaillent les objets déjà réalisés, de seconde main.
Dernière édition par Lucius le Mer 18 Jan 2017, 15:56, édité 5 fois
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
Lucius a écrit: on trouve aussi des «cordonniers en vieux», c'est à dire qu'il travaillent les objets déjà réalisés, de seconde main.
Eh bien voilà, mon petit Lulu, ce qui aurait pu constituer une nouvelle énigme amusante !
... et pas facile à trouver !!!
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55505
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
au contraire, l'explication me paraît évidente ...
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
;
Petits Métiers Parisiens : Quand les Gagne-Misère arpentaient les rues
Détail des Miserables de Victor Hugo représentant Cosette
Jusqu’au tournant du 20ème siècle, le concept de « plein emploi » n’effleurait même pas les esprits et nombre de personnes devaient se débrouiller comme elles pouvaient pour survivre.
La capitale grouillait littéralement de « gagne-misère » en tout genre qui tentaient par tous les moyens, nuit et jour, qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il vente, de gagner un sou par ci par là.
Petit florilège des plus insolites ou émouvants de ces petits métiers disparus : :n,,;::::!!!:
. La Marchande d’Arlequins (ou regrattière)
Avec elle, vous pouviez manger pour 25 centimes…
Sauf que la pitance était composée des restes des restaurants et des maisons bourgeoises alentour, recuits tous ensemble dans une grande marmite et vendu à la louche.
Et bon appétit bien sur !!
. Le Marchand de Feu :
Au 19ème siècle, un homme ça fume, et quand ça n’a pas de quoi s’allumer une tige, ça va voir un marchand de feu qui se balade un peu partout avec un petit brasier amoureusement entretenu dans une petite lanterne.
Le Vendeur de Mouron :
marchande de mouron des oiseaux pour illustrer l'article PCPL dédié aux gagne-misère.
Le mouron des oiseaux est une « mauvaise herbe », qui poussait jadis un peu partout en périphérie des villes, le long des murs…
Comestible, on la mangeait en salade, en soupe, ou on la donnait aux oiseaux dans les parcs pour amuser les enfants ou agrémenter un rendez-vous galant.
. L’Ange Gardien
Quand on allait chez le marchand de vins, c’était pas pour jouer aux cartes : on venait picoler !
fatalement, presque mathématiquement je dirai, à un moment : on finissait fin bourré !
Au signal du patron, l’ange gardien raccompagnait alors les clients ivres morts à leur domicile avant que la situation tourne au vinaigre (on est un établissement respectable que diable !) .
En récompense, il recevait quelques pièces (le client donnait ce qu’il voulait, mais jamais moins que 50centimes) et avait table ouverte chez le marchand de vins pour lequel il officiait.
. Le Marchand de Lacets :
En cas de rupture du cordon droit ou gauche de la chaussure, on pouvait procéder à la réparation de la pièce défectueuse quasiment instantanément, à même le trottoir grâce aux vendeurs de lacets. (souvent des enfants dont les petits doigts étaient plus pratiques pour passer le lacet dans les trous)
Le Maletachier
(ou crieur de maletache):
Ce métier date du Moyen-Age, une époque où rester propre relevait de l’exploit !
En cas de bavure, de projection ou de contact avec une substance crado, le maletachier se proposait de débarrasser vos vêtements des maletaches (mauvaises taches) grâce à sa «pierre à détacher » ou son « savon à dégraisser».
Ce qui pouvait s’avérer bien pratique avant de rentrer à la maison pour éviter la fatidique question : « C’est quoi cette trace rouge sur ton col Edmond ?!?!? ».
La profession dura jusqu’à la Belle époque…
Le Décrotteur :
Marcher dans une crotte de chien n’a rien d’agréable… alors marcher dans celle d’un cheval !
Mais pas de panique si votre chemin croisait une bouse : le décrotteur était là pour vous gratter les semelles souillées.
Le Boyaudier
(ou boyautier) :
Poétiquement on disait qu’il avait le « secret de faire chanter les cordes et de leur donner une âme »
Plus prosaïquement, il nettoyait les intestins des animaux (généralement moutons ou agneaux) pour en faire des cordes d’instrument de musique… Bonjour l’odeur !
. Le Vendeur d’Attrape mouches :
Avec toute cette pestilence, la mouche était partout.
Pour n’être point trop incommodé on pouvait acheter un attrape-mouche : sorte de cône dans lequel l’insecte s’engouffrait pour ne plus ressortir et qu’on pouvait tenir à bout de bras comme une ombrelle… So Chic !
La Chaisière
( ou Loueuse de chaises) :
Citons ici simplement la définition du livre « Il n’y a pas de sot métier » de R.Hesse :
« Telle une sauterelle de jardin public, inopportune, elle bondit sur le promeneur qui s’installe. De la sauterelle, elle possède encore le costume uni. Toujours vêtue de noir, elle circule attentive, en méfiante, autour des pelouses et des bassins. On la redoute. Dès qu’on voit poindre sa sacoche au travers des arbres, on abandonne la place. En dépit des ruses de Sioux, elle arrive à temps pour toucher sa créance.»
. Le Cueilleur d’Orphelins :
Au 19ème, on fumait sans filtre.
Le cueilleur d’orphelins arpentait donc avidement les rues, le nez collé au trottoir à la recherche de résidus de cigarettes pour revendre, après un fastidieux travail de grattage, le tabac non consommé ainsi récupéré.
. L’arracheur d’Ailes
Au 19ème siècle, la mode fut un temps au chapeau tyrolien.
Le summum du chic étant de le porter orné de plumes d’hirondelle.
Aussi vit-on des hommes « pêcher en l’air » à l’aide d’une canne (avec un hameçon au bout sur lequel était piqué un petit insecte dodu et appétissant pour l’oiseau) pour attraper des hirondelles et leur arracher les plumes… vivantes bien sur.
Le Nettoyeur/Tondeur
de chien (ou chat)
Pas simple de nettoyer Medor quand on n’avait qu’un cabinet de toilette avec une bassine !
Mais là encore, le malheur des uns fait le bonheur des autres : il suffisait d’aller sur les quais de seine pour trouver les ancêtres des toiletteurs qui officient avec l’eau du fleuve.
Attention toutefois : on était nettoyeur de chien OU de chat… pas les deux.
Le Ramasseur de Crottes :
On ne se doute pas comme ça, mais la crotte était un outil de travail primordial aux mégissiers.
Ils s’en servaient pour transformer la peau animale en cuir : « On s’était aperçu que les déjections d’animaux carnivores contenaient un acide rongeant la graisse adhérant aux peaux. […] Une bonne journée ramenait dix kilos de crottes de chiens. »
Ni une ni deux, le commerce de caca se mit en place (aujourd’hui on appelle ça la télé-réalité ! )
. La Vendeuse de Sangsues :
Du coté des mégissiers, on trouvait également des jeunes filles venues ramasser des sangsues pour les revendre aux apothicaires.
Certaines avaient carrément des accords avec les tanneurs mais pour les clandestines, elles se trempaient les jambes dans la Seine (où les bains des peaux étaient déversés) jusqu’à ce que les mini-vampires se collent à leurs cuisses.
https://parciparla.fr/petits-metiers-et-gagne-misere/
Petits Métiers Parisiens : Quand les Gagne-Misère arpentaient les rues
Détail des Miserables de Victor Hugo représentant Cosette
Jusqu’au tournant du 20ème siècle, le concept de « plein emploi » n’effleurait même pas les esprits et nombre de personnes devaient se débrouiller comme elles pouvaient pour survivre.
La capitale grouillait littéralement de « gagne-misère » en tout genre qui tentaient par tous les moyens, nuit et jour, qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il vente, de gagner un sou par ci par là.
Petit florilège des plus insolites ou émouvants de ces petits métiers disparus : :n,,;::::!!!:
. La Marchande d’Arlequins (ou regrattière)
Avec elle, vous pouviez manger pour 25 centimes…
Sauf que la pitance était composée des restes des restaurants et des maisons bourgeoises alentour, recuits tous ensemble dans une grande marmite et vendu à la louche.
Et bon appétit bien sur !!
. Le Marchand de Feu :
Au 19ème siècle, un homme ça fume, et quand ça n’a pas de quoi s’allumer une tige, ça va voir un marchand de feu qui se balade un peu partout avec un petit brasier amoureusement entretenu dans une petite lanterne.
Le Vendeur de Mouron :
marchande de mouron des oiseaux pour illustrer l'article PCPL dédié aux gagne-misère.
Le mouron des oiseaux est une « mauvaise herbe », qui poussait jadis un peu partout en périphérie des villes, le long des murs…
Comestible, on la mangeait en salade, en soupe, ou on la donnait aux oiseaux dans les parcs pour amuser les enfants ou agrémenter un rendez-vous galant.
. L’Ange Gardien
Quand on allait chez le marchand de vins, c’était pas pour jouer aux cartes : on venait picoler !
fatalement, presque mathématiquement je dirai, à un moment : on finissait fin bourré !
Au signal du patron, l’ange gardien raccompagnait alors les clients ivres morts à leur domicile avant que la situation tourne au vinaigre (on est un établissement respectable que diable !) .
En récompense, il recevait quelques pièces (le client donnait ce qu’il voulait, mais jamais moins que 50centimes) et avait table ouverte chez le marchand de vins pour lequel il officiait.
. Le Marchand de Lacets :
En cas de rupture du cordon droit ou gauche de la chaussure, on pouvait procéder à la réparation de la pièce défectueuse quasiment instantanément, à même le trottoir grâce aux vendeurs de lacets. (souvent des enfants dont les petits doigts étaient plus pratiques pour passer le lacet dans les trous)
Le Maletachier
(ou crieur de maletache):
Ce métier date du Moyen-Age, une époque où rester propre relevait de l’exploit !
En cas de bavure, de projection ou de contact avec une substance crado, le maletachier se proposait de débarrasser vos vêtements des maletaches (mauvaises taches) grâce à sa «pierre à détacher » ou son « savon à dégraisser».
Ce qui pouvait s’avérer bien pratique avant de rentrer à la maison pour éviter la fatidique question : « C’est quoi cette trace rouge sur ton col Edmond ?!?!? ».
La profession dura jusqu’à la Belle époque…
Le Décrotteur :
Marcher dans une crotte de chien n’a rien d’agréable… alors marcher dans celle d’un cheval !
Mais pas de panique si votre chemin croisait une bouse : le décrotteur était là pour vous gratter les semelles souillées.
Le Boyaudier
(ou boyautier) :
Poétiquement on disait qu’il avait le « secret de faire chanter les cordes et de leur donner une âme »
Plus prosaïquement, il nettoyait les intestins des animaux (généralement moutons ou agneaux) pour en faire des cordes d’instrument de musique… Bonjour l’odeur !
. Le Vendeur d’Attrape mouches :
Avec toute cette pestilence, la mouche était partout.
Pour n’être point trop incommodé on pouvait acheter un attrape-mouche : sorte de cône dans lequel l’insecte s’engouffrait pour ne plus ressortir et qu’on pouvait tenir à bout de bras comme une ombrelle… So Chic !
La Chaisière
( ou Loueuse de chaises) :
Citons ici simplement la définition du livre « Il n’y a pas de sot métier » de R.Hesse :
« Telle une sauterelle de jardin public, inopportune, elle bondit sur le promeneur qui s’installe. De la sauterelle, elle possède encore le costume uni. Toujours vêtue de noir, elle circule attentive, en méfiante, autour des pelouses et des bassins. On la redoute. Dès qu’on voit poindre sa sacoche au travers des arbres, on abandonne la place. En dépit des ruses de Sioux, elle arrive à temps pour toucher sa créance.»
. Le Cueilleur d’Orphelins :
Au 19ème, on fumait sans filtre.
Le cueilleur d’orphelins arpentait donc avidement les rues, le nez collé au trottoir à la recherche de résidus de cigarettes pour revendre, après un fastidieux travail de grattage, le tabac non consommé ainsi récupéré.
. L’arracheur d’Ailes
Au 19ème siècle, la mode fut un temps au chapeau tyrolien.
Le summum du chic étant de le porter orné de plumes d’hirondelle.
Aussi vit-on des hommes « pêcher en l’air » à l’aide d’une canne (avec un hameçon au bout sur lequel était piqué un petit insecte dodu et appétissant pour l’oiseau) pour attraper des hirondelles et leur arracher les plumes… vivantes bien sur.
Le Nettoyeur/Tondeur
de chien (ou chat)
Pas simple de nettoyer Medor quand on n’avait qu’un cabinet de toilette avec une bassine !
Mais là encore, le malheur des uns fait le bonheur des autres : il suffisait d’aller sur les quais de seine pour trouver les ancêtres des toiletteurs qui officient avec l’eau du fleuve.
Attention toutefois : on était nettoyeur de chien OU de chat… pas les deux.
Le Ramasseur de Crottes :
On ne se doute pas comme ça, mais la crotte était un outil de travail primordial aux mégissiers.
Ils s’en servaient pour transformer la peau animale en cuir : « On s’était aperçu que les déjections d’animaux carnivores contenaient un acide rongeant la graisse adhérant aux peaux. […] Une bonne journée ramenait dix kilos de crottes de chiens. »
Ni une ni deux, le commerce de caca se mit en place (aujourd’hui on appelle ça la télé-réalité ! )
. La Vendeuse de Sangsues :
Du coté des mégissiers, on trouvait également des jeunes filles venues ramasser des sangsues pour les revendre aux apothicaires.
Certaines avaient carrément des accords avec les tanneurs mais pour les clandestines, elles se trempaient les jambes dans la Seine (où les bains des peaux étaient déversés) jusqu’à ce que les mini-vampires se collent à leurs cuisses.
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55505
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Mme de Sabran- Messages : 55505
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
Connu au jardin des Tuileries : nous posions nos séants sur les bancs .
Je découvre ce sujet fort intéressant :\\\\\\\\:
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
Tous ces anciens petits métiers disparus indiquent un autre monde. On a l'impression que le temps s'était arrêté pour chaque chose alors qu'aujourd'hui, nous courons pour tout et pour rien.
Enfin, disons surtout après nous-mêmes, après nos smartphones et tant d'autres objets sans âme.
Merci Éléonore de nous montrer cela. Bien sûr, ces métiers attachants et amusants ne devaient probablement pas nourrir son monde.
Enfin, disons surtout après nous-mêmes, après nos smartphones et tant d'autres objets sans âme.
Merci Éléonore de nous montrer cela. Bien sûr, ces métiers attachants et amusants ne devaient probablement pas nourrir son monde.
Trianon- Messages : 3305
Date d'inscription : 22/12/2013
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
Nous en retrouvons quantité ici :n,,;::::!!!: , dont la chaisière bien sûr mais aussi, entre autres, le chasseur de vipères, la femme cocher ( si si !!!! ) le dernier porteur d'eau ( à Montmartre ) , le distributeur de nouvelles à la main ... etc ... etc ...
Je vous laisse découvrir tout ce petit peuple ...
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55505
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
à la suite d'une énigme capilotractée :
une parties des auberges de Versailles regroupées par rues, trouvées dans les registres de 1699-1700 !
à l'avenue de Paris se trouvent le Grand César, le Roi François, le Doge de Gêne et le Roi Charlemagne
à la rue dauphine ; le Globe, le Prince de Galles, la Botte Allemande
à la rue de l'Etang ; la Pucelle d'Orléans, le rat, le Chef de Saint Jean et le Renard
à la place du marché : les Treize Cantons, la Pinte Royale, la Croix Blanche et la Rose Rouge
à la rue de la paroisse : l'Ange Gabriel
à la rue de Satory (près de la future cathédrale) l'Ange Gardien
à la rue Sainte Anne : la Galère
à la rue du Bel-Air ; l'Espérance de la Victoire
et à la rue du Plessis on loge à la Grâce de Dieu
une parties des auberges de Versailles regroupées par rues, trouvées dans les registres de 1699-1700 !
à l'avenue de Paris se trouvent le Grand César, le Roi François, le Doge de Gêne et le Roi Charlemagne
à la rue dauphine ; le Globe, le Prince de Galles, la Botte Allemande
à la rue de l'Etang ; la Pucelle d'Orléans, le rat, le Chef de Saint Jean et le Renard
à la place du marché : les Treize Cantons, la Pinte Royale, la Croix Blanche et la Rose Rouge
à la rue de la paroisse : l'Ange Gabriel
à la rue de Satory (près de la future cathédrale) l'Ange Gardien
à la rue Sainte Anne : la Galère
à la rue du Bel-Air ; l'Espérance de la Victoire
et à la rue du Plessis on loge à la Grâce de Dieu
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
N'est-elle pas située plus au Nord ? :
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
Dis donc ! J'espère que le nez ne goutte pas dans le potage ...
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55505
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
Un petit peu plus nordiste en effet et bientôt belfortaise .
Nous l'avions ainsi baptisée car il y faisait un froid de canard .J'avais cuisiné une soupe bien roborative : pas remarqué de fluide corporel ....
Nous l'avions ainsi baptisée car il y faisait un froid de canard .J'avais cuisiné une soupe bien roborative : pas remarqué de fluide corporel ....
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
Éléonore a écrit:Dis donc ! J'espère que le nez ne goutte pas dans le potage ..
Tu rigoles mais j'ai eu un chef qui avait une sécrétion nasale qui est tombée dans les pâtes fraiches qu'il venait de faire cuire !!!!!!! Et de me dire "la cuisson est difficile pour la fraîche :!" Inutile de dire que j'ai balancé le tout à la poubelle, que je l ' ai fait partir et que j'ai dû remplacer icelui au débotté !!!!
Comme je suis content d'avoir quitté la restauration !!!!!!!
_________________
Un verre d'eau pour la Reine.
Mr de Talaru- Messages : 3193
Date d'inscription : 02/01/2014
Age : 65
Localisation : près des Cordeliers...
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
C'est inouï !!! àè-è\': àè-è\': àè-è\':
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55505
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
Un ami de maman travaillait à l'hôtel Continental : toutes les horreurs qu'il a pu nous raconter sur les cuisines....
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
CLIOXVIII a écrit:Un ami de maman travaillait à l'hôtel Continental : toutes les horreurs qu'il a pu nous raconter sur les cuisines....
Heureusement, il y a dans le lot, des tables d'hôtes propres et où l'hygiène est scrupuleusement observée et suivie.
J'avais déjà entendu parler de ces horreurs chère Clio pour d'autres hôtels. Pourtant, un BON RESTAURANT aux mets fins et délicats, rien de tel pour éveiller en sécurité les papilles. Et heureusement aussi, il y a des professionnels qui viennent régulièrement vérifier le bon déroulement des plats et l'hygiène des bâtiments. Ouf, on a eu chaud.
Trianon- Messages : 3305
Date d'inscription : 22/12/2013
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
Du reste, il peut y avoir des gougnafiers aussi bien dans les familles que dans les restaurants ...
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55505
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
Mme de Sabran a écrit:Du reste, il peut y avoir des gougnafiers aussi bien dans les familles que dans les restaurants ...
Ça c'est bien vrai.....
Bon j'arrête, je viens de prendre mon petit-déjeuner et il me reste à ingurgiter un morceau de melon. A plus tard.
Trianon- Messages : 3305
Date d'inscription : 22/12/2013
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
Nous trouvons aussi les enseigne
au Marteau d'or, au Grand Cerf, au Soleil Levant, au Pied de Biche, au Coq en Pate, au Perroquet, au Cadran bleu et à la Voix blanche !
La belle vigne, rue de la Pompe
Aux Trois Rois, rue de Paris
au Marteau d'or, au Grand Cerf, au Soleil Levant, au Pied de Biche, au Coq en Pate, au Perroquet, au Cadran bleu et à la Voix blanche !
La belle vigne, rue de la Pompe
Aux Trois Rois, rue de Paris
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
à la Clef d'Argent, rue de la Paroisse
à la Petite Sirenne [sic] rue du Petit Marché
à la Petite Sirenne [sic] rue du Petit Marché
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
Re: Les anciens métiers du XVIIIe siècle
à Paris, rue Pavée
"à l'enseigne de la Belle Arrivée de Mantes"
"à l'enseigne de la Belle Arrivée de Mantes"
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
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