Les commodes à la grecque de Jean-François Oeben pour Mme de Pompadour
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Les commodes à la grecque de Jean-François Oeben pour Mme de Pompadour
Présentée en vente aux enchères, organisée par Sotheby's Paris, le 11 avril 2018 :
- A gilt-bronze mounted mahogany commode, Louis XV, circa 1760, by Jean-François Oeben
The beige marble top with green, red and yellow veins, the front slightly protruding 'à ressaut', opening by three drawers above two doors, revealing a shelf and two drawers, on curved legs ending by foliate scrolls, the marble top marked "N° 11"
Haut. 85 cm., larg. 135 cm., prof. 53,5 cm
Provenance : Almost certainly delivered to the Marquise de Pompadour, for her castle of Ménars, circa 1760.
Note au catalogue (extraits) :
The inventory after Pompadour’s death (see J. Cordey, 1939) reveals that she had seventeen “à la grecque" commodes at Ménars , twelve of them in mahogany, estimated around 180, 200 and 240 livres and allocated to furnish the guest apartments.
The terminology “commode à la grecque" was studied by A. Pradère (Connaissance des Arts, Dec. 1989, 454) and refers to a specific commode model with a central projection framed by door panels developed by Jean- François Oeben whose particularity lied with an elaborate locking system, a single lock controlling all the drawers and door panels along the facade.
A summary description was featured in 1763 after Jean-François Oeben’s death inventory, who was indisputably the appointed cabinetmaker of Madame de Pompadour, "Item, deux corps de commode de bois d'acajou massif, (...) garnis chacun de de trois tiroirs, dans le milieu deux petites portes sur le côté, prisés ensemble 220 livres”.
Among the commodes stamped by Jean-François Oeben that may match the model at Ménars, three commodes have an incised mark under the marble top, no. 10 for the one from the former Lagerfeld collection (presented at the Madame de Pompadour et les arts exhibition in 2002, no. 151), no. 17 for the one from Sotheby's auction in Paris (10 November 2009, lot 81) and our commode with no. 11.
(...)
Madame de Pompadour acquired Ménars in June 1760 and undertook a major renovation and layout that were resolutely "modernes".
It was during this period that she paid Jean-François Oeben 17,400 livres "comme acompte sur des meubles à fournir pour ses différentes maisons" and the latter purchased "trente-quatre madriers d'acajou (...) par l'ordre et pour le compte de la dite dame marquise de Pompadour pour être employés à faire des meubles pour les différentes maisons de la dite dame" (inv. Jean-François Oeben, op cit).
At the Marquise’s demise, Ménars and its contents were bequeathed to her brother, the Marquis de Marigny, who continued the project.
Contrary to his deeds at other residences, he kept Ménars almost intact, probably because of the modern aspect of the furnishings.
* Source et informations complémentaires ici : http://www.sothebys.com/en/auctions/ecatalogue/2018/important-mobilier-sculptures-objets-d-art-pf1801/lot.142.html
Notre sujet consacré à la collection XVIIIe siècle de Karl Lagerfeld, où nous retrouvons cette commode évoquée dans la note Sotheby's.
Commode à la grecque d'époque Transition
Attribuée à Jean-François Oeben
En acajou mouluré et placage d'acajou, dessus de marbre campan mélangé inscrit au revers no.10
C'est ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t2478-les-collections-xviiie-siecle-de-karl-lagerfeld?highlight=Lagerfeld
Tout fout le camp depuis l'héritage du marquis de Marigny , après les meubles, c'est aujourd'hui le château de Ménars qui serait mis en vente.
C'est ici :
https://marie-antoinette.forumactif.org/t3595-le-chateau-de-menars-de-la-marquise-de-pompadour-mis-aux-encheres?highlight=Menars
- A gilt-bronze mounted mahogany commode, Louis XV, circa 1760, by Jean-François Oeben
The beige marble top with green, red and yellow veins, the front slightly protruding 'à ressaut', opening by three drawers above two doors, revealing a shelf and two drawers, on curved legs ending by foliate scrolls, the marble top marked "N° 11"
Haut. 85 cm., larg. 135 cm., prof. 53,5 cm
Provenance : Almost certainly delivered to the Marquise de Pompadour, for her castle of Ménars, circa 1760.
Note au catalogue (extraits) :
The inventory after Pompadour’s death (see J. Cordey, 1939) reveals that she had seventeen “à la grecque" commodes at Ménars , twelve of them in mahogany, estimated around 180, 200 and 240 livres and allocated to furnish the guest apartments.
The terminology “commode à la grecque" was studied by A. Pradère (Connaissance des Arts, Dec. 1989, 454) and refers to a specific commode model with a central projection framed by door panels developed by Jean- François Oeben whose particularity lied with an elaborate locking system, a single lock controlling all the drawers and door panels along the facade.
A summary description was featured in 1763 after Jean-François Oeben’s death inventory, who was indisputably the appointed cabinetmaker of Madame de Pompadour, "Item, deux corps de commode de bois d'acajou massif, (...) garnis chacun de de trois tiroirs, dans le milieu deux petites portes sur le côté, prisés ensemble 220 livres”.
Among the commodes stamped by Jean-François Oeben that may match the model at Ménars, three commodes have an incised mark under the marble top, no. 10 for the one from the former Lagerfeld collection (presented at the Madame de Pompadour et les arts exhibition in 2002, no. 151), no. 17 for the one from Sotheby's auction in Paris (10 November 2009, lot 81) and our commode with no. 11.
(...)
Madame de Pompadour acquired Ménars in June 1760 and undertook a major renovation and layout that were resolutely "modernes".
It was during this period that she paid Jean-François Oeben 17,400 livres "comme acompte sur des meubles à fournir pour ses différentes maisons" and the latter purchased "trente-quatre madriers d'acajou (...) par l'ordre et pour le compte de la dite dame marquise de Pompadour pour être employés à faire des meubles pour les différentes maisons de la dite dame" (inv. Jean-François Oeben, op cit).
At the Marquise’s demise, Ménars and its contents were bequeathed to her brother, the Marquis de Marigny, who continued the project.
Contrary to his deeds at other residences, he kept Ménars almost intact, probably because of the modern aspect of the furnishings.
* Source et informations complémentaires ici : http://www.sothebys.com/en/auctions/ecatalogue/2018/important-mobilier-sculptures-objets-d-art-pf1801/lot.142.html
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Notre sujet consacré à la collection XVIIIe siècle de Karl Lagerfeld, où nous retrouvons cette commode évoquée dans la note Sotheby's.
Commode à la grecque d'époque Transition
Attribuée à Jean-François Oeben
En acajou mouluré et placage d'acajou, dessus de marbre campan mélangé inscrit au revers no.10
C'est ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t2478-les-collections-xviiie-siecle-de-karl-lagerfeld?highlight=Lagerfeld
Tout fout le camp depuis l'héritage du marquis de Marigny , après les meubles, c'est aujourd'hui le château de Ménars qui serait mis en vente.
C'est ici :
https://marie-antoinette.forumactif.org/t3595-le-chateau-de-menars-de-la-marquise-de-pompadour-mis-aux-encheres?highlight=Menars
Dernière édition par La nuit, la neige le Lun 19 Mar 2018, 09:13, édité 1 fois
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Les commodes à la grecque de Jean-François Oeben pour Mme de Pompadour
C'est curieux La Nuit, cette jolie commode ne me paraît pas être de l'époque Louis XV, mais un peu après Louis XVI. Non ? Qu'en pensez-vous ?
Toutefois, connaissant les goûts très raffinés de Mme de Pompadour, je dis pourquoi pas ?
Toutefois, connaissant les goûts très raffinés de Mme de Pompadour, je dis pourquoi pas ?
Trianon- Messages : 3305
Date d'inscription : 22/12/2013
Re: Les commodes à la grecque de Jean-François Oeben pour Mme de Pompadour
Après Louis XVI ??
Non, non...
La période de réalisation est précisée dans la note du catalogue et donc l'inventaire d'Oeben.
Il s'agit d'une commande de la marquise pour meubler son château de Ménars qu'elle souhaite de façon "moderne".
Comme précisé, elle en commandera 17 de la sorte !
Je ne suis pas expert, mais remarquez que les pieds sont encore galbés.
Et nous sommes donc dans la période entre les styles "Louis XV" et Louis "XVI" que certains spécialistes nomment : "Transition".
Voir notamment notre sujet ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t3648-les-styles-transition-et-louis-xvi-de-anne-droguet?highlight=style+transition
Plus simplement, nous sommes parfois surpris de découvrir des meubles "avant-gardistes" que les artisans de chaque période proposaient à leurs commanditaires.
Et nous savons que Mme de Pompadour aimait les arts de son temps et les nouveautés.
Sûre de ses goûts, elle n'était pas du genre à se contenter de suivre les modes passées.
Non, non...
La période de réalisation est précisée dans la note du catalogue et donc l'inventaire d'Oeben.
Il s'agit d'une commande de la marquise pour meubler son château de Ménars qu'elle souhaite de façon "moderne".
Comme précisé, elle en commandera 17 de la sorte !
Je ne suis pas expert, mais remarquez que les pieds sont encore galbés.
Et nous sommes donc dans la période entre les styles "Louis XV" et Louis "XVI" que certains spécialistes nomment : "Transition".
Voir notamment notre sujet ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t3648-les-styles-transition-et-louis-xvi-de-anne-droguet?highlight=style+transition
Plus simplement, nous sommes parfois surpris de découvrir des meubles "avant-gardistes" que les artisans de chaque période proposaient à leurs commanditaires.
Et nous savons que Mme de Pompadour aimait les arts de son temps et les nouveautés.
Sûre de ses goûts, elle n'était pas du genre à se contenter de suivre les modes passées.
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Les commodes à la grecque de Jean-François Oeben pour Mme de Pompadour
Voici prochainement vendu aux enchères, un nouvel exemplaire de ces commodes (voir d'autres modèles ci-dessus), à la sobriété avant-gardiste pour l'époque, que Madame de Pompadour a commandé pour son château de Ménars.
Commode à la grecque en placage de bois de satiné et bronze doré
d'époque Louis XV, vers 1762
estampillée Jean-François Oeben
ouvrant par cinq tiroirs sur trois rangs, façade à ressaut central, marbre mélange campan
estampillée "J.F OEBEN / JME " à gauche, marque d'inventaire au revers du marbre et sur la commode : DU.N °.I / .I ? (partiellement effacée)
Haut. 87 cm, larg. 125 cm, prof. 64 cm
Note au catalogue :
Ce modèle de commode apparait au début des années 1760, il illustre la réaction classique face aux excès du style rocaille. L’invention de ce meuble d’un goût nouveau revient à Jean-François Oeben qui va privilégier des formes simples et rectilignes soulignées par des moulures, un ressaut central et que viennent tempérer des pieds galbés, seule réminiscence d’un style que souhaitent bannir les partisans du renouveau classique. Parmi eux, la marquise de Pompadour va solliciter Oeben et lui commander un grand nombre de commodes de ce type pour l’ameublement du château de Ménars qu’elle achète en 1760 et dans lequel elle entreprend de grands travaux d’aménagement.
Pas moins de 15 commodes à la grecque en acajou sont livrées vers 1761-1762 par l’ébéniste et décrites dans l’inventaire du château qui sera établi après son décès. Elles sont décrites dans l’inventaire de 1764 dans de nombreux appartements, et plus tard identifiées grâce au numéro gravé ou marqué au dos du plateau en marbre et sur le bâti.
Le marbre qui coiffait les commodes était généralement assorti à celui de la cheminée de la pièce dans laquelle elle se trouvait. Les commodes à la grecque en acajou avec leur marbre étaient prisées 200 livres.
Somme à comparer à celle de 400 livres pour la commode à la grecque en bois satiné mentionnée dans la chambre à coucher de la marquise dans le même inventaire : « 1917. Une commode de bois satiné à la grecque avec ornement de cuivre doré d’or moulu, avec son dessus de marbre, prisé quatre cens livres ».
Au décès de la marquise de Pompadour en 1764, c’est son frère, le marquis de Marigny qui l’occupa et poursuivit l’œuvre entamée. Contrairement aux autres résidences héritées de sa sœur, Marigny conserva une grande partie du mobilier de Ménars très vraisemblablement en raison de son caractère moderne.
Quatrième vue du château de Ménars, de la série de vues du château au temps de Madame de Pompadour
Nicolas Pérignon
18e siècle
Plume et encre noire, aquarelle et gouache
Fait partie d'une série de dessins représentant le château de Ménars et ses jardins exécutés, selon Marchand pour le maquis de Marigny
Image : RMN Musée du Louvre
Notre sujet : Le château de Ménars, chez Mme de Pompadour (à vendre !)
L’Inventaire après décès de Marigny en 1781 nous apprend que la commode qui se trouvait dans la chambre de la marquise a été conservée en lieu et place. La description plus précise : « une commode à trois tiroirs par le haut, deux dans le milieu et battants dans les côtés, de bois rose satiné, orné en cuivre doré avec dessus de marbre d’Italie » indique qu’elle possédait deux portes de chaque côté des grands tiroirs et écarte toute correspondance avec notre commode. En revanche, une commode identique à la nôtre (mis à part l’entrée de serrure et le marbre) mais possédant la même découpe du tablier est illustrée dans l’article (voir A. Pradère, op. cit.). Estampillée de Simon Oeben, elle provient de l’ameublement du duc de Choiseul à Chanteloup.
Cet exemple montre les interactions entre les deux frères, dont les rôles ont été déterminants dans le développement du néoclassicisme, tant par les modèles qu’ils réalisèrent qu’à travers les goûts de leurs commanditaires.
* Source et infos complémentaires : Sotheby's - Paris, vente du 28 juin 2023
Commode à la grecque en placage de bois de satiné et bronze doré
d'époque Louis XV, vers 1762
estampillée Jean-François Oeben
ouvrant par cinq tiroirs sur trois rangs, façade à ressaut central, marbre mélange campan
estampillée "J.F OEBEN / JME " à gauche, marque d'inventaire au revers du marbre et sur la commode : DU.N °.I / .I ? (partiellement effacée)
Haut. 87 cm, larg. 125 cm, prof. 64 cm
Note au catalogue :
Ce modèle de commode apparait au début des années 1760, il illustre la réaction classique face aux excès du style rocaille. L’invention de ce meuble d’un goût nouveau revient à Jean-François Oeben qui va privilégier des formes simples et rectilignes soulignées par des moulures, un ressaut central et que viennent tempérer des pieds galbés, seule réminiscence d’un style que souhaitent bannir les partisans du renouveau classique. Parmi eux, la marquise de Pompadour va solliciter Oeben et lui commander un grand nombre de commodes de ce type pour l’ameublement du château de Ménars qu’elle achète en 1760 et dans lequel elle entreprend de grands travaux d’aménagement.
Pas moins de 15 commodes à la grecque en acajou sont livrées vers 1761-1762 par l’ébéniste et décrites dans l’inventaire du château qui sera établi après son décès. Elles sont décrites dans l’inventaire de 1764 dans de nombreux appartements, et plus tard identifiées grâce au numéro gravé ou marqué au dos du plateau en marbre et sur le bâti.
Le marbre qui coiffait les commodes était généralement assorti à celui de la cheminée de la pièce dans laquelle elle se trouvait. Les commodes à la grecque en acajou avec leur marbre étaient prisées 200 livres.
Somme à comparer à celle de 400 livres pour la commode à la grecque en bois satiné mentionnée dans la chambre à coucher de la marquise dans le même inventaire : « 1917. Une commode de bois satiné à la grecque avec ornement de cuivre doré d’or moulu, avec son dessus de marbre, prisé quatre cens livres ».
Au décès de la marquise de Pompadour en 1764, c’est son frère, le marquis de Marigny qui l’occupa et poursuivit l’œuvre entamée. Contrairement aux autres résidences héritées de sa sœur, Marigny conserva une grande partie du mobilier de Ménars très vraisemblablement en raison de son caractère moderne.
Quatrième vue du château de Ménars, de la série de vues du château au temps de Madame de Pompadour
Nicolas Pérignon
18e siècle
Plume et encre noire, aquarelle et gouache
Fait partie d'une série de dessins représentant le château de Ménars et ses jardins exécutés, selon Marchand pour le maquis de Marigny
Image : RMN Musée du Louvre
Notre sujet : Le château de Ménars, chez Mme de Pompadour (à vendre !)
L’Inventaire après décès de Marigny en 1781 nous apprend que la commode qui se trouvait dans la chambre de la marquise a été conservée en lieu et place. La description plus précise : « une commode à trois tiroirs par le haut, deux dans le milieu et battants dans les côtés, de bois rose satiné, orné en cuivre doré avec dessus de marbre d’Italie » indique qu’elle possédait deux portes de chaque côté des grands tiroirs et écarte toute correspondance avec notre commode. En revanche, une commode identique à la nôtre (mis à part l’entrée de serrure et le marbre) mais possédant la même découpe du tablier est illustrée dans l’article (voir A. Pradère, op. cit.). Estampillée de Simon Oeben, elle provient de l’ameublement du duc de Choiseul à Chanteloup.
Cet exemple montre les interactions entre les deux frères, dont les rôles ont été déterminants dans le développement du néoclassicisme, tant par les modèles qu’ils réalisèrent qu’à travers les goûts de leurs commanditaires.
* Source et infos complémentaires : Sotheby's - Paris, vente du 28 juin 2023
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Les commodes à la grecque de Jean-François Oeben pour Mme de Pompadour
Les effets de frisages sont remarquables.
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
Re: Les commodes à la grecque de Jean-François Oeben pour Mme de Pompadour
Oui, il défrisent vraiment !!!!!
Gouverneur Morris- Messages : 11795
Date d'inscription : 21/12/2013
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