Boudoir ou Cabinet des glaces mouvantes au Petit Trianon
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Boudoir ou Cabinet des glaces mouvantes au Petit Trianon
Pièce du mécanisme des glaces mouvantes
Sous Louis XV, la petite pièce au nord-est comporte un escalier qui mène aux cabinets du roi du premier étage. Il est supprimé en 1776 et la pièce devient un simple dépôt
Voici le texte explicatif du panneau de la dite pièce:
"Lors de la construction de château neuf du Trianon, conformément au project d'A.J. Gabriel, se trouvait ici un escalier. Celui-ci, très privé, essentiellement réservé à l'usage du roi, desservait, les quatre étages. Les portes des paliers étaient munies de serrures tres perfectionnées qui, une fois fermées à double tour, ne pouvaient être ouvertes que par le roi a l'aide d'une clef qu'il était seul à posséder. Du rez-de-chaussée, l'escalier permettait de gagner l'étage noble où il ouvrait sur le salon de compagnie et sur le cabinet de retraite du roi, devenu par la suite la cambre à coucher de Mme du Barry puis de Marie Antoinette"..." Cet escalier fut démoli sur ordre de Marie Antoinette. Il en subsiste quelques traces d'arrachement, encore lisibles sur les murs de cette salle"
On y installe le mécanisme des «glaces mouvantes» du boudoir de la Reine, situé au-dessus. Celui-ci est réalisé, pour un coût de 24 470 livres, par Jean-Tobie Mercklein, ingénieur royal des Menus-Plaisirs et concepteur quelques années auparavant du jeu de bague et le maître serrurier de la Couronne Jacques-Antoine Courbin. Vendu à la Révolution, ce système de poulies quasi théâtral est restitué en 1985, rendu totalement opérationnel et même modernisé par son électrification.
Sont aussi exposées dans cette salle deux vitrines présentant un ensemble d'outils de jardinage, vraisemblablement utilisés dans le hameau et le Theatre de Marie-Antoinette.
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Sous Louis XV, la petite pièce au nord-est comporte un escalier qui mène aux cabinets du roi du premier étage. Il est supprimé en 1776 et la pièce devient un simple dépôt
Voici le texte explicatif du panneau de la dite pièce:
"Lors de la construction de château neuf du Trianon, conformément au project d'A.J. Gabriel, se trouvait ici un escalier. Celui-ci, très privé, essentiellement réservé à l'usage du roi, desservait, les quatre étages. Les portes des paliers étaient munies de serrures tres perfectionnées qui, une fois fermées à double tour, ne pouvaient être ouvertes que par le roi a l'aide d'une clef qu'il était seul à posséder. Du rez-de-chaussée, l'escalier permettait de gagner l'étage noble où il ouvrait sur le salon de compagnie et sur le cabinet de retraite du roi, devenu par la suite la cambre à coucher de Mme du Barry puis de Marie Antoinette"..." Cet escalier fut démoli sur ordre de Marie Antoinette. Il en subsiste quelques traces d'arrachement, encore lisibles sur les murs de cette salle"
On y installe le mécanisme des «glaces mouvantes» du boudoir de la Reine, situé au-dessus. Celui-ci est réalisé, pour un coût de 24 470 livres, par Jean-Tobie Mercklein, ingénieur royal des Menus-Plaisirs et concepteur quelques années auparavant du jeu de bague et le maître serrurier de la Couronne Jacques-Antoine Courbin. Vendu à la Révolution, ce système de poulies quasi théâtral est restitué en 1985, rendu totalement opérationnel et même modernisé par son électrification.
Sont aussi exposées dans cette salle deux vitrines présentant un ensemble d'outils de jardinage, vraisemblablement utilisés dans le hameau et le Theatre de Marie-Antoinette.
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JAG- Invité
Re: Boudoir ou Cabinet des glaces mouvantes au Petit Trianon
Merci ! JAG, je n'avais jamais vu ces outils de jardinage :\\\\\\\\:
fleurdelys- Messages : 668
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 54
Localisation : Québec
Re: Boudoir ou Cabinet des glaces mouvantes au Petit Trianon
J A Gabriel a écrit: Vendu à la Révolution, ce système de poulies quasi théâtral est restitué en 1985, rendu totalement opérationnel et même modernisé par son électrification.
On n'arrête pas le progrès !
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
La visite du Petit Trianon: Le Boudoir
Et bin, je n'oublie pas de continuer la visite, mais avant je dois préparer bien le tour... :
Cette petite pièce de l'angle nord-est du château n'est à l'origine destinée qu'à permettre le passage entre le rez-de-chaussée et les appartements privés du Roi situés en entresol ou en attique. Elle est certainement la pièce de « café du Roi ». L'escalier est en demi-cercle et occupe une large moitié de l'espace. On y trouve un canapé en gros de Tours vert ainsi qu'une table encastrée de Riesener. Le café est à la mode à la cour de Versailles ; le Roi torréfie lui-même les quelques livres récoltées dans son jardin expérimental de Trianon et prépare en personne sa boisson favorite qu'il partage avec sa famille66, en contemplant les serres de son jardin botanique.
En 1776, Marie-Antoinette fait transformer l'endroit en boudoir. L'escalier est supprimé et l'on installe un mécanisme ingénieux permettant d'obturer par de grands miroirs s'élevant du sol les deux fenêtres de cette pièce, qui est directement accessible depuis le perron est donnant sur le jardin fleuriste de Louis XV, futur jardin anglo-chinois. La mécanique est installée à l'étage inférieur sous la direction de l'ingénieur des Menus-Plaisirs, Jean-Tobie Mercklein. On appelle dès lors ce boudoir le « Cabinet des glaces mouvantes », dans lequel la Reine vient rechercher intimité et discrétion, mais dont elle peut aussi sortir facilement par le perron pour accéder aux jardins, en toute indépendance.
Aujourd'hui est dimanche...entre sieste et sieste j'essaierai de mettre quelque une autre chose....
Cette petite pièce de l'angle nord-est du château n'est à l'origine destinée qu'à permettre le passage entre le rez-de-chaussée et les appartements privés du Roi situés en entresol ou en attique. Elle est certainement la pièce de « café du Roi ». L'escalier est en demi-cercle et occupe une large moitié de l'espace. On y trouve un canapé en gros de Tours vert ainsi qu'une table encastrée de Riesener. Le café est à la mode à la cour de Versailles ; le Roi torréfie lui-même les quelques livres récoltées dans son jardin expérimental de Trianon et prépare en personne sa boisson favorite qu'il partage avec sa famille66, en contemplant les serres de son jardin botanique.
En 1776, Marie-Antoinette fait transformer l'endroit en boudoir. L'escalier est supprimé et l'on installe un mécanisme ingénieux permettant d'obturer par de grands miroirs s'élevant du sol les deux fenêtres de cette pièce, qui est directement accessible depuis le perron est donnant sur le jardin fleuriste de Louis XV, futur jardin anglo-chinois. La mécanique est installée à l'étage inférieur sous la direction de l'ingénieur des Menus-Plaisirs, Jean-Tobie Mercklein. On appelle dès lors ce boudoir le « Cabinet des glaces mouvantes », dans lequel la Reine vient rechercher intimité et discrétion, mais dont elle peut aussi sortir facilement par le perron pour accéder aux jardins, en toute indépendance.
Aujourd'hui est dimanche...entre sieste et sieste j'essaierai de mettre quelque une autre chose....
Dernière édition par J A Gabriel le Jeu 20 Fév 2014, 23:41, édité 2 fois
JAG- Invité
Re: Boudoir ou Cabinet des glaces mouvantes au Petit Trianon
Dernière édition par J A Gabriel le Jeu 20 Fév 2014, 23:43, édité 2 fois
Invité- Invité
MARIE ANTOINETTE- Messages : 3729
Date d'inscription : 22/12/2013
Age : 78
Localisation : P A R I S
Re: Boudoir ou Cabinet des glaces mouvantes au Petit Trianon
voici le mecanisme des glaces mouvantes, sous le boudoir
En 1787, Marie-Antoinette demande à son architecte Mique de redessiner la décoration de cette pièce, bien que jusque là « élégamment décorée ». Les frères Jules-Hugues et Jean-Siméon Rousseau réalisent des lambris richement ouvragés dans un style arabesque: les sculptures se détachent en blanc sur un fond peint de bleu, à la manière des camées de Wedgwood, marque du nouveau goût de la France pour l'anglomanie. On y retrouve la part importante laissée aux fleurs, dans l'inspiration des jardins alentour. Les panneaux étroits sont agrémentés de bouquets de roses fleuries. Les plus larges montrent l'écu fleurdelisé soutenu par des rubans, avec des cassolettes à fumées légères, des colombes, couronnes et carquois d'Amours. Le chiffre de la Reine apparaît encadré de deux torches amoureuses ornées de roses.
Cette rénovation marque la première étape du renouvellement prévu de l'ensemble des décors des appartements de la Reine, qui est interrompu par la Révolution.
Le mobilier commandé par Marie-Antoinette à Georges Jacob en 1786 se compose d'un lit de repos, de trois fauteuils et deux chaises, le tout couvert d'un poult-de-soie bleu garni d'une broderie de dentelle et de soie. Ce mobilier est dispersé à la Révolution, mais lors de la restauration du château dans les années 2000, on installe des meubles d'origine et de facture comparables, provenant du pavillon du comte de Provence situé près de la pièce d'eau des Suisses. Créés en 1785 par Jacob sur des dessins de l'ornemaniste Dugourc et confectionnés dans les ateliers Reboul et Fontebrune, à Lyon, ils sont recouverts d'un lampas bleu à grand dessin arabesque blanc, représentant des Cyclopes
Sur la cheminée de marbre blanc à colonnes engagées dans des gaines, installée en 1787, sont disposés les bustes de l'Impératrice Catherine II de Russie (1729-1796) et de son fils le futur Paul Ier (1754-1801) furent réalisés à la manufacture de Sèvres d'aprés de modèles de Louis-Simon Bizot. Celui de la Grande Catherine avait été donné en 1779, et celui du tsarévitch en 1782. Ce dernier rappelle la visite que ce prince dit à Trianon cette année là sous le nom de Comte du Nord, accompagnée de son épouse, Maria Feodorovna (Sophie-Dorothée de Wurtemberg). ces busten daten d'une édition du XIX e siècle. Il y a aussi une reproduction d'une pendule créée pour Marie-Antoinette en 1780 par le sculpteur François Vion et l'horloger Jean-Antoine Lépine, en bronze ciselé doré sur un socle de marbre blanc. Nommée « la Douleur » ou « la Pleureuse d'oiseau », elle représente une jeune femme pleurant la mort de son oiseau posé sur un autel tandis qu'un Amour lui en offre un autre.
photo:RMN
les bras de lumière, vers 1770 en bronze ciselé et doré.
En 1787, Marie-Antoinette demande à son architecte Mique de redessiner la décoration de cette pièce, bien que jusque là « élégamment décorée ». Les frères Jules-Hugues et Jean-Siméon Rousseau réalisent des lambris richement ouvragés dans un style arabesque: les sculptures se détachent en blanc sur un fond peint de bleu, à la manière des camées de Wedgwood, marque du nouveau goût de la France pour l'anglomanie. On y retrouve la part importante laissée aux fleurs, dans l'inspiration des jardins alentour. Les panneaux étroits sont agrémentés de bouquets de roses fleuries. Les plus larges montrent l'écu fleurdelisé soutenu par des rubans, avec des cassolettes à fumées légères, des colombes, couronnes et carquois d'Amours. Le chiffre de la Reine apparaît encadré de deux torches amoureuses ornées de roses.
Cette rénovation marque la première étape du renouvellement prévu de l'ensemble des décors des appartements de la Reine, qui est interrompu par la Révolution.
Le mobilier commandé par Marie-Antoinette à Georges Jacob en 1786 se compose d'un lit de repos, de trois fauteuils et deux chaises, le tout couvert d'un poult-de-soie bleu garni d'une broderie de dentelle et de soie. Ce mobilier est dispersé à la Révolution, mais lors de la restauration du château dans les années 2000, on installe des meubles d'origine et de facture comparables, provenant du pavillon du comte de Provence situé près de la pièce d'eau des Suisses. Créés en 1785 par Jacob sur des dessins de l'ornemaniste Dugourc et confectionnés dans les ateliers Reboul et Fontebrune, à Lyon, ils sont recouverts d'un lampas bleu à grand dessin arabesque blanc, représentant des Cyclopes
Sur la cheminée de marbre blanc à colonnes engagées dans des gaines, installée en 1787, sont disposés les bustes de l'Impératrice Catherine II de Russie (1729-1796) et de son fils le futur Paul Ier (1754-1801) furent réalisés à la manufacture de Sèvres d'aprés de modèles de Louis-Simon Bizot. Celui de la Grande Catherine avait été donné en 1779, et celui du tsarévitch en 1782. Ce dernier rappelle la visite que ce prince dit à Trianon cette année là sous le nom de Comte du Nord, accompagnée de son épouse, Maria Feodorovna (Sophie-Dorothée de Wurtemberg). ces busten daten d'une édition du XIX e siècle. Il y a aussi une reproduction d'une pendule créée pour Marie-Antoinette en 1780 par le sculpteur François Vion et l'horloger Jean-Antoine Lépine, en bronze ciselé doré sur un socle de marbre blanc. Nommée « la Douleur » ou « la Pleureuse d'oiseau », elle représente une jeune femme pleurant la mort de son oiseau posé sur un autel tandis qu'un Amour lui en offre un autre.
photo:RMN
les bras de lumière, vers 1770 en bronze ciselé et doré.
Dernière édition par J A Gabriel le Jeu 20 Fév 2014, 23:44, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Boudoir ou Cabinet des glaces mouvantes au Petit Trianon
Le boudoir est vidé à la Révolution de son mobilier et de son système de « glaces mouvantes ». Lors de son installation au Petit Trianon, la duchesse d'Orléans y fait apporter un ensemble de mobilier de forme gondole, composé de deux fauteuils, douze chaises et des tabourets de pied, livré en 1810 par le tapissier Darrac pour le salon de musique du Pavillon français. À l'origine couvert d'un damas bleu et blanc, il est retapissé en 1837 d'une « toile perse fond blanc, rayures à petits bouquets, avec crête à jour en soie lilas et blanche, suspendus à des thyrses dorés». Un fauteuil d'un genre « fantaisiste et déroutant » est installé dans le boudoir sur instruction de la duchesse, en 1837: de style gothique tendant vers l'indonésien, il est en bois noirci à montants et traverses torsadés et couvert par le tapissier Perrelle d'une perse capitonnée.
Guéridon, 1786 par Gapard Schneider, Pierre-Philippe Thomire et Jean Jacques Lagrenée le Jeune, manufacture de Sèvres. En acajou, fer, bonze ciselé doré et patiné, papier, verre, porcelaine et marbre blanc. Le guéridon, enrichi des bonzes de Thomire, présente un detail rare: les faces des pieds en gaine, protegées par un plaque de verre, sont ornées d'arabesques peintes sur papier par Lagrnée le jeune. Au sommet des pieds, des medaillons en biscuit de Sèvres à la manière de Wegwood rapelle que le dessus devait recevoir un plateau également en porcelaine de Sèvres, aujourd'hui remplacé par une plaque de marbre blanc veiné. Le guéridon fut apporté à Trianon en 1867.
Guéridon, 1786 par Gapard Schneider, Pierre-Philippe Thomire et Jean Jacques Lagrenée le Jeune, manufacture de Sèvres. En acajou, fer, bonze ciselé doré et patiné, papier, verre, porcelaine et marbre blanc. Le guéridon, enrichi des bonzes de Thomire, présente un detail rare: les faces des pieds en gaine, protegées par un plaque de verre, sont ornées d'arabesques peintes sur papier par Lagrnée le jeune. Au sommet des pieds, des medaillons en biscuit de Sèvres à la manière de Wegwood rapelle que le dessus devait recevoir un plateau également en porcelaine de Sèvres, aujourd'hui remplacé par une plaque de marbre blanc veiné. Le guéridon fut apporté à Trianon en 1867.
Invité- Invité
Le cabinet des glaces mouvantes au Petit Trianon
Sous Louis XV commençaient ici les cabinets privés du Roi.
Marie-Antoinette transforma la pièce et commanda en 1776, à son mécanicien Jean-Tobie Mercklein, des glaces mouvantes montant du sol pour obturer les deux fenêtres et obtenir un boudoir à double jeu de miroirs.
En 1787, la reine ordonna de nouveaux lambris dans le style arabesque qu’exécutèrent les frères Rousseau.
Bien à vous.
Marie-Antoinette transforma la pièce et commanda en 1776, à son mécanicien Jean-Tobie Mercklein, des glaces mouvantes montant du sol pour obturer les deux fenêtres et obtenir un boudoir à double jeu de miroirs.
En 1787, la reine ordonna de nouveaux lambris dans le style arabesque qu’exécutèrent les frères Rousseau.
Bien à vous.
Invité- Invité
Duc d'Ostrogothie- Messages : 3227
Date d'inscription : 04/11/2017
Re: Boudoir ou Cabinet des glaces mouvantes au Petit Trianon
J'adore les couleurs de ce salon. Il y règne toujours une atmosphère délicate propice à la rêverie.
_________________
Un verre d'eau pour la Reine.
Mr de Talaru- Messages : 3193
Date d'inscription : 02/01/2014
Age : 65
Localisation : près des Cordeliers...
Duc d'Ostrogothie- Messages : 3227
Date d'inscription : 04/11/2017
Re: Boudoir ou Cabinet des glaces mouvantes au Petit Trianon
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Boudoir ou Cabinet des glaces mouvantes au Petit Trianon
Ce mobilier est tellement beau .
Quand on pense que tout cela a failli partir en fumée il y a 4 mois lors du départ d'incendie dans la chambre de Marie-Antoinette.
Quand on pense que tout cela a failli partir en fumée il y a 4 mois lors du départ d'incendie dans la chambre de Marie-Antoinette.
Duc d'Ostrogothie- Messages : 3227
Date d'inscription : 04/11/2017
Re: Boudoir ou Cabinet des glaces mouvantes au Petit Trianon
L'ensemble est si suave !
C'est toujours la même impression d'absolue perfection ...
C'est toujours la même impression d'absolue perfection ...
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Boudoir ou Cabinet des glaces mouvantes au Petit Trianon
Le luxe élégant.
Duc d'Ostrogothie- Messages : 3227
Date d'inscription : 04/11/2017
Re: Boudoir ou Cabinet des glaces mouvantes au Petit Trianon
Joseph II, nous dit Cobenzl, observa ce même dispositif de glaces mouvantes, à Paris, chez le prince de Condé.
Cobenzl, Philipp von: Journal de mon voyage en France avec l’Empereur Joseph en 1777.
Notre sujet:
https://marie-antoinette.forumactif.org/t6012-cobenzl-philipp-von-journal-de-mon-voyage-en-france-avec-lempereur-joseph-en-1777#187860
Cobenzl, Philipp von: Journal de mon voyage en France avec l’Empereur Joseph en 1777.
Notre sujet:
https://marie-antoinette.forumactif.org/t6012-cobenzl-philipp-von-journal-de-mon-voyage-en-france-avec-lempereur-joseph-en-1777#187860
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Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
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