Cobenzl, Philipp von: Journal de mon voyage en France avec l’Empereur Joseph en 1777.
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Cobenzl, Philipp von: Journal de mon voyage en France avec l’Empereur Joseph en 1777.
Chers amis,
J'ai encore trouvé quelque chose de nouveau traduit en français, l
e journal de Philippe de Coblenze, compagnon de l'empereur Joseph, dans lequel il décrit son séjour en France.
Leos
Johann Philipp, Graf von Cobenzl (28 May 1741 – 30 August 1810)
Le 13 mai, par exemple, il décrit la reine au bague de Trianon avec Mme Jules de Polignac.
https://archiviodistatogorizia.cultura.gov.it/wp-content/uploads/2023/03/21-Englebert_Vidic-v2.pdf
J'ai encore trouvé quelque chose de nouveau traduit en français, l
e journal de Philippe de Coblenze, compagnon de l'empereur Joseph, dans lequel il décrit son séjour en France.
Leos
Johann Philipp, Graf von Cobenzl (28 May 1741 – 30 August 1810)
Le 13 mai, par exemple, il décrit la reine au bague de Trianon avec Mme Jules de Polignac.
https://archiviodistatogorizia.cultura.gov.it/wp-content/uploads/2023/03/21-Englebert_Vidic-v2.pdf
Leos- Messages : 793
Date d'inscription : 29/12/2013
Age : 54
Localisation : Zlin, Tcheque
Re: Cobenzl, Philipp von: Journal de mon voyage en France avec l’Empereur Joseph en 1777.
Oh , merci, mon cher Leos !
Que de détails ! Comme c'est vivant !
Détail intéressant ...
... qui semble indiquer que Marie-Antoinette était passablement inquiète de ce que son frère pouvait rapporter sur son compte à leur mère.
Nous voyons Cobenzl dîner par deux fois chez le marquis de Talaru !
Joseph est un voyageur infatigable qui joint l'utile à l'agréable. Il manifeste la plus grande curiosité pour tous les sites traversés et beaucoup d'urbanité dans ses visites, notamment à Louveciennes chez Mme du Barry. Et toujours cet oeil lucide et critique qui fait un peu frémir Marie-Antoinette.
Que de détails ! Comme c'est vivant !
Détail intéressant ...
... qui semble indiquer que Marie-Antoinette était passablement inquiète de ce que son frère pouvait rapporter sur son compte à leur mère.
Nous voyons Cobenzl dîner par deux fois chez le marquis de Talaru !
Joseph est un voyageur infatigable qui joint l'utile à l'agréable. Il manifeste la plus grande curiosité pour tous les sites traversés et beaucoup d'urbanité dans ses visites, notamment à Louveciennes chez Mme du Barry. Et toujours cet oeil lucide et critique qui fait un peu frémir Marie-Antoinette.
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55259
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Cobenzl, Philipp von: Journal de mon voyage en France avec l’Empereur Joseph en 1777.
Merci Leos pour le lien de lecture de ce texte...
Voici notre mémorialiste :
Philipp von Cobenzl at the Teschen Conference (1779)
Le traité de Teschen est un traité de paix signé le 13 mai 1779, à Teschen dans la Silésie autrichienne, entre le royaume de Prusse et la monarchie d'Autriche pour mettre fin à la guerre de Succession de Bavière, qui les opposait depuis la mort sans postérité de Maximilien III Joseph, électeur de Bavière, en 1777.
Giovanni Filippo Cobenzl
Johann Daniel Donat
1775
Image : Fondazione Palazzo Coronini Cronberg, Gorizia
Voici notre mémorialiste :
Philipp von Cobenzl at the Teschen Conference (1779)
Le traité de Teschen est un traité de paix signé le 13 mai 1779, à Teschen dans la Silésie autrichienne, entre le royaume de Prusse et la monarchie d'Autriche pour mettre fin à la guerre de Succession de Bavière, qui les opposait depuis la mort sans postérité de Maximilien III Joseph, électeur de Bavière, en 1777.
Giovanni Filippo Cobenzl
Johann Daniel Donat
1775
Image : Fondazione Palazzo Coronini Cronberg, Gorizia
La nuit, la neige- Messages : 18054
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Cobenzl, Philipp von: Journal de mon voyage en France avec l’Empereur Joseph en 1777.
Merci beaucoup, cher Leos, pour ce beau cadeau : nous permettre d'avoir accès à un document précieux, qui est pour nous comme un inédit. Je suis persuadé que c'est dans ce genre de direction que les chercheurs infatigables doivent poursuivre leurs recherches. C'est là qu'on peut encore trouver de belles pépites ! Encore une simple question : l'original allemand de Cobenzl peut-il être consulté quelque part par le curieux lambda ? Probablement à Gorizia ?
Lecréateur- Messages : 1692
Date d'inscription : 01/06/2021
Localisation : Comté d'Enghien et Livonie
Re: Cobenzl, Philipp von: Journal de mon voyage en France avec l’Empereur Joseph en 1777.
Cher Lecréateur
Je pense que ça pourrait être l'original..
le comte a écrit son journal en français..
Leos
https://steffenvoelkel.com/cobenzl-eyewitness-diary
Je pense que ça pourrait être l'original..
le comte a écrit son journal en français..
Leos
https://steffenvoelkel.com/cobenzl-eyewitness-diary
Leos- Messages : 793
Date d'inscription : 29/12/2013
Age : 54
Localisation : Zlin, Tcheque
Re: Cobenzl, Philipp von: Journal de mon voyage en France avec l’Empereur Joseph en 1777.
Merci encore une fois, cher Leos, pour la précision ( Cobenzl a écrit son journal en français),ce qui en augmente encore l'intérêt, et peut modifier l'importance accordée à certains faits. A titre d'illustration: il est fort regrettable de devoir constater, au cours de lectures, que parfois des textes présentés comme étant de la plume de x, n'en sont que les traductions, sans que le lecteur en soit averti ! Ainsi pour certaines parties de la correspondance de Leibniz avec la princesse Palatine
Lecréateur- Messages : 1692
Date d'inscription : 01/06/2021
Localisation : Comté d'Enghien et Livonie
Re: Cobenzl, Philipp von: Journal de mon voyage en France avec l’Empereur Joseph en 1777.
Pour en savoir plus sur les collections constituées par Cobenzl au cours de ses voyages :
https://www.cairn.info/revue-dix-huitieme-siecle-2015-1-page-567.htm
https://www.cairn.info/revue-dix-huitieme-siecle-2015-1-page-567.htm
Gouverneur Morris- Messages : 11675
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Cobenzl, Philipp von: Journal de mon voyage en France avec l’Empereur Joseph en 1777.
Le manuscrit de ce "journal de voyage" fut présenté en vente aux enchères en 2016 seulement.
Voici quelle était alors sa présentation :
Jean Philippe, comte de COBENZL (Ljubljana 1741 - 1810 Vienne).
"Journal de mon Voyage en France avec l'Empereur Joseph en 1777".
93 pp. in-f°, en français, graphie lisible, ratures et corrections (attestant qu'il s'agit bien du manuscrit original), texte sur la droite des ff., jours ou ajouts sur la partie gauche, 2 croquis légèrement exécutés à la mine de plomb aux pp. 29 et 67, sur le titre : cote de classement "Litt[érature] M[anuscrit] A[rmoire] 3" (rares piqûres, déchirures restaurées au 1er f., qqs notes au crayon d'une main récente aux derniers ff., numérotation postérieure).
Rel. de récupération du 18e s.: plein vélin vert, plats cernés de filets dorés avec fleurons d'angle au lys royal doré, dos lisse fleurdelisé doré, cordons de fermeture en tissu vert (mors et dos part. craquelés, fente dans le cuir du plat sup., gardes renouvelées, une 50aine de ff. de papier blanc in fine servant à adapter le corps d'ouvrage à la reliure).
Note au catalogue :
Manuscrit inédit de cette relation très détaillée, d'un style plaisant et alerte, par Cobenzl accompagnant le premier voyage en France, du 18 avril au 30 mai 1777, du comte de Falkenstein, pseudonyme adopté par Joseph II pour jouir d'une plus grande liberté de mouvement lors de visites non officielles.
Alors corégent avec sa mère Marie-Thérèse, Joseph II était chargé des affaires extérieures de l'Empire. Son voyage en France avait des motifs à la fois politiques et privés : consolider l'alliance nouée par le mariage de Louis XVI avec sa soeur cadette Marie-Antoinette (et la "sermonner" pour sa réputation de frivolité), obtenir le soutien de son beau-frère pour intervenir en Bavière et conseiller le couple, leur mariage n'étant toujours pas consommé sept ans après les noces. L'intercession de l'empereur porta ses fruits puisque le 18 août 1777, le roi de France put enfin remplir son devoir conjugal.
Outre Versailles et Paris, Joseph II visita la Normandie, la Bretagne, la Touraine, l'Aquitaine, la Provence et le Lyonnais, étudiant en particulier les vaisseaux et les installations portuaires de la marine royale à Brest, Nantes, La Rochelle, Toulon. Il retourna par Genève, Berne et Bâle.
Formé à Vienne et Salzbourg, le comte Jean-Philippe de Cobenzl avait été envoyé en 1760 à Bruxelles chez son oncle Jean-Charles-Philippe de Cobenzl, ministre plénipotentiaire dans les Pays-Bas autrichiens. Il travailla dans divers conseils et continuera une belle carrière diplomatique. Il est en 1777 vice-président de la députation ministérielle de la Banque de Commerce mais, selon une note de Jadot, il est également grand maître de la garde-robe de Joseph II.
Contenu
Sous le titre, l'auteur souligne : "N.B. ce ne sont que des annotations que je fesois à la hâte tous les soirs avant de me mettre au lit pour garder le souvenir de ce qui s'étoit passé dans la journée, m'étant proposé de rédiger après mon retour à Vienne une Relation circonstanciée de ce Voyage".
Si son témoignage est de première main, il ne dévoile pas pour autant le détail des entretiens privés de l'empereur (p. 46: "en voiture S[a] M[ajesté] me dit les propos tenus entre lui, le Roi et la Reine concernant la consommation du mariage du Roi") mais relate avec précision ses conversations avec Joseph II, les lieux visités (intéressantes descriptions du palais de Versailles, du jardin anglais du duc de Chartres, du pavillon de Madame du Barry et de la machine de Marly, du palais Gallien à Bordeaux), les repas et divertissements, etc.
Il décrit les bâtiments remarquables, tant civils que religieux, les fortifications, les industries et les commerces, tout en donnant des commentaires brefs mais incisifs sur les personnes rencontrées, en particulier à la cour de Louis XVI : "[l'empereur] trouva la Reine fort belle, de l'esprit, le ton bien français, beaucoup de goût pour les plaisirs et un peu de légèreté" ; quant au roi, Joseph II lui trouva "un extérieur peu avantageux" ; "le comte d'Artois d'une jolie figure et l'air bien étourdi" ; "M.r de Meaurepas [i.e. le comte de Maurepas, ministre d'État] vieux goguenard" ; "la duchesse de Grammont [i.e. Gramont] d'un abord froid et hautain" ; visite du château de Bicêtre "pour voir les prisonniers qui y sont en grande quantité" et de la Salpêtrière "où il y a 1°. des enfants trouvés, 2°. près de 13 cent folles, 3°. quelques centaines de filles et femmes de mauvaise vie, 4°. des bonnes pauvres" ; démonstration de langue des signes chez l'abbé de l'Épée, pionnier de l'éducation des sourds et muets ; expériences d'électricité chez "Camus" ; visite de l'Académie française où l'empereur écoute des conférences par d'Alembert, de La Harpe et Marmontel ; entretien avec l'explorateur et aventurier hongrois Maurice Beniowski; visite du port de Brest et rencontre du comte Louis-Antoine de Bougainville ; démonstration de torpilles à Nantes ; visite à Toulouse du canal de Brienne, de la bibliothèque du comte Justin Mac-Carthy Reagh, bibliophile d'origine irlandaise, et de la congrégation des filles du Bon Pasteur qui n'accueille que "les filles qui veulent expier la faute d'être devenue mère hors du mariage" ; coup de foudre pour la cité phocéenne : "Marseille est après Paris la plus belle ville que nous ayons rencontrée en France [...]. Le port est très sûr quoique peu large [...]. La ville est fort peuplée, les habitants sont fort vifs et le cours où on se promène le soir est si rempli de beau monde qu'il y a plus de foule que dans les promenades les plus fréquentées à Paris".
Souvent cité par Cobenzl, le comte Louis-Charles-Marie de Barbiano et Belgiojoso, futur ministre plénipotentiaire de Joseph II dans les Pays-Bas, faisait également partie du voyage.
(...)
* Source et infos complémentaires : Catalogue Librairie Henri Godts
Voici quelle était alors sa présentation :
Jean Philippe, comte de COBENZL (Ljubljana 1741 - 1810 Vienne).
"Journal de mon Voyage en France avec l'Empereur Joseph en 1777".
93 pp. in-f°, en français, graphie lisible, ratures et corrections (attestant qu'il s'agit bien du manuscrit original), texte sur la droite des ff., jours ou ajouts sur la partie gauche, 2 croquis légèrement exécutés à la mine de plomb aux pp. 29 et 67, sur le titre : cote de classement "Litt[érature] M[anuscrit] A[rmoire] 3" (rares piqûres, déchirures restaurées au 1er f., qqs notes au crayon d'une main récente aux derniers ff., numérotation postérieure).
Rel. de récupération du 18e s.: plein vélin vert, plats cernés de filets dorés avec fleurons d'angle au lys royal doré, dos lisse fleurdelisé doré, cordons de fermeture en tissu vert (mors et dos part. craquelés, fente dans le cuir du plat sup., gardes renouvelées, une 50aine de ff. de papier blanc in fine servant à adapter le corps d'ouvrage à la reliure).
Note au catalogue :
Manuscrit inédit de cette relation très détaillée, d'un style plaisant et alerte, par Cobenzl accompagnant le premier voyage en France, du 18 avril au 30 mai 1777, du comte de Falkenstein, pseudonyme adopté par Joseph II pour jouir d'une plus grande liberté de mouvement lors de visites non officielles.
Alors corégent avec sa mère Marie-Thérèse, Joseph II était chargé des affaires extérieures de l'Empire. Son voyage en France avait des motifs à la fois politiques et privés : consolider l'alliance nouée par le mariage de Louis XVI avec sa soeur cadette Marie-Antoinette (et la "sermonner" pour sa réputation de frivolité), obtenir le soutien de son beau-frère pour intervenir en Bavière et conseiller le couple, leur mariage n'étant toujours pas consommé sept ans après les noces. L'intercession de l'empereur porta ses fruits puisque le 18 août 1777, le roi de France put enfin remplir son devoir conjugal.
Outre Versailles et Paris, Joseph II visita la Normandie, la Bretagne, la Touraine, l'Aquitaine, la Provence et le Lyonnais, étudiant en particulier les vaisseaux et les installations portuaires de la marine royale à Brest, Nantes, La Rochelle, Toulon. Il retourna par Genève, Berne et Bâle.
Formé à Vienne et Salzbourg, le comte Jean-Philippe de Cobenzl avait été envoyé en 1760 à Bruxelles chez son oncle Jean-Charles-Philippe de Cobenzl, ministre plénipotentiaire dans les Pays-Bas autrichiens. Il travailla dans divers conseils et continuera une belle carrière diplomatique. Il est en 1777 vice-président de la députation ministérielle de la Banque de Commerce mais, selon une note de Jadot, il est également grand maître de la garde-robe de Joseph II.
Contenu
Sous le titre, l'auteur souligne : "N.B. ce ne sont que des annotations que je fesois à la hâte tous les soirs avant de me mettre au lit pour garder le souvenir de ce qui s'étoit passé dans la journée, m'étant proposé de rédiger après mon retour à Vienne une Relation circonstanciée de ce Voyage".
Si son témoignage est de première main, il ne dévoile pas pour autant le détail des entretiens privés de l'empereur (p. 46: "en voiture S[a] M[ajesté] me dit les propos tenus entre lui, le Roi et la Reine concernant la consommation du mariage du Roi") mais relate avec précision ses conversations avec Joseph II, les lieux visités (intéressantes descriptions du palais de Versailles, du jardin anglais du duc de Chartres, du pavillon de Madame du Barry et de la machine de Marly, du palais Gallien à Bordeaux), les repas et divertissements, etc.
Il décrit les bâtiments remarquables, tant civils que religieux, les fortifications, les industries et les commerces, tout en donnant des commentaires brefs mais incisifs sur les personnes rencontrées, en particulier à la cour de Louis XVI : "[l'empereur] trouva la Reine fort belle, de l'esprit, le ton bien français, beaucoup de goût pour les plaisirs et un peu de légèreté" ; quant au roi, Joseph II lui trouva "un extérieur peu avantageux" ; "le comte d'Artois d'une jolie figure et l'air bien étourdi" ; "M.r de Meaurepas [i.e. le comte de Maurepas, ministre d'État] vieux goguenard" ; "la duchesse de Grammont [i.e. Gramont] d'un abord froid et hautain" ; visite du château de Bicêtre "pour voir les prisonniers qui y sont en grande quantité" et de la Salpêtrière "où il y a 1°. des enfants trouvés, 2°. près de 13 cent folles, 3°. quelques centaines de filles et femmes de mauvaise vie, 4°. des bonnes pauvres" ; démonstration de langue des signes chez l'abbé de l'Épée, pionnier de l'éducation des sourds et muets ; expériences d'électricité chez "Camus" ; visite de l'Académie française où l'empereur écoute des conférences par d'Alembert, de La Harpe et Marmontel ; entretien avec l'explorateur et aventurier hongrois Maurice Beniowski; visite du port de Brest et rencontre du comte Louis-Antoine de Bougainville ; démonstration de torpilles à Nantes ; visite à Toulouse du canal de Brienne, de la bibliothèque du comte Justin Mac-Carthy Reagh, bibliophile d'origine irlandaise, et de la congrégation des filles du Bon Pasteur qui n'accueille que "les filles qui veulent expier la faute d'être devenue mère hors du mariage" ; coup de foudre pour la cité phocéenne : "Marseille est après Paris la plus belle ville que nous ayons rencontrée en France [...]. Le port est très sûr quoique peu large [...]. La ville est fort peuplée, les habitants sont fort vifs et le cours où on se promène le soir est si rempli de beau monde qu'il y a plus de foule que dans les promenades les plus fréquentées à Paris".
Souvent cité par Cobenzl, le comte Louis-Charles-Marie de Barbiano et Belgiojoso, futur ministre plénipotentiaire de Joseph II dans les Pays-Bas, faisait également partie du voyage.
(...)
* Source et infos complémentaires : Catalogue Librairie Henri Godts
La nuit, la neige- Messages : 18054
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Cobenzl, Philipp von: Journal de mon voyage en France avec l’Empereur Joseph en 1777.
Eh bien, La nuit la neige, je peux transformer M. Cobenzl.
Merci pour la réparation..
Je lis souvent son journal. et je me réjouis en lui témoignage.
Merci pour la réparation..
Je lis souvent son journal. et je me réjouis en lui témoignage.
Leos- Messages : 793
Date d'inscription : 29/12/2013
Age : 54
Localisation : Zlin, Tcheque
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