Pierre André de Suffren, dit « le bailli de Suffren » ( 1729 - 1788 )
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Pierre André de Suffren, dit « le bailli de Suffren » ( 1729 - 1788 )
L'extrémité méridionale de la Pièce d'eau des Suisses à Versailles, qui se termine au pied du plateau de Satory, fut disposée en rampes plantées de sycomores et formant un grand vertugadin -, au fond duquel on plaça le Louis XIV du Bernin transformé en Curtius.
C'est derrière cette statue, vulgairement appelée le Cavalier Bernin, que l'illustre bailli de Suffren, un de nos plus grands hommes de mer, sinon le plus grand, fut blessé mortellement en se battant en duel contre M. de Mirepoix, en décembre 1788 .
Source : Le château de Versailles, histoire et description
https://archive.org/stream/lechateaudeversa02duss/lechateaudeversa02duss_djvu.txt
Que non point !!! se récrie WIKI .
Une mort soudaine
À l’automne 1788, la santé de Suffren semble s’améliorer. Le 9 octobre, il annonce à Mme d’Alès que son érysipèle va mieux et l’assure qu’il est en bonne santé. Le 4 décembre 1788 Suffren se rend à Versailles pour assister à une réunion de l’assemblée des notables. Après la séance, il fait une visite à son amie, Madame Victoire, l’une des filles de Louis XV dont il a fait connaissance à son retour des Indes. Cette dernière, restée célibataire, adore la compagnie du bailli et entendre le récit de ses campagnes, que ce dernier lui conte bien volontiers. La suite nous est donnée par le médecin personnel de Suffren, Alfonse Leroy, régent de la faculté de Paris :
« Suffen était allé faire sa cour à Mme Victoire, tante du roi, celle-ci frappée de sa mauvaise mine, voulut qu’il consultât son propre médecin. Celui-ci, ne connaissant pas son tempérament, le saigna : à peine piqué, il perdit connaissance. La goutte fit une métastase rapide sur la poitrine. On réitéra la saignée et lorsque j’allai voir cet illustre ami qui m’avait promis de se faire appliquer des sangsues, je restai stupéfait, en apprenant son agonie. »
Comme le veut l’usage du temps, il n’est pas possible que quelqu’un meure dans les appartements d’une princesse de sang royal. On porte donc prestement le bailli dans sa voiture et on le renvoie à son domicile parisien par un froid glacial. Suffren garde la chambre pendant plusieurs jours, sans qu’on sache s’il reprend connaissance. Il décède la 8 décembre, entouré de quelques proches. Sylvain, son valet, fait quelques jours plus tard, le récit de ses derniers instants :
« Monsieur et Madame le comte et la comtesse de Saint-Tropez sont arrivés à Paris le 7 courant. Ils ont trouvé Monsieur de Suffren au lit depuis trois jours et, le lendemain à trois heures et demie de l’après-midi, ils ont eu le chagrin de le voir mourir entre leurs bras, ce qui, comme il est facile à concevoir, les a bien affligés ainsi que Monseigneur l’évêque de Sisteron. Un rhume, une goutte remontée, joints à une fièvre putride, pour tout cela les saignées, ont eu bientôt pris fin [sic] de ses jours. (…) Vous savez sans doute, Monsieur, cette triste nouvelle, mais peut-être pas si détaillée. Je suis fâchée d’être si mauvais nouvelliste.
Signé Ordinaire dit Sylvain. »
Suffren avait 59 ans et cinq mois. La date et l’heure du décès sont confirmés par le commissaire Jean Sirbeau, requis pour apposer les scellés sur les biens, meubles et papiers du bailli, et qui entrevoit son corps « gisant sur un lit étant dans une chambre ayant partiellement vue sur le boulevard. » Le 10 décembre, Suffren est porté en terre à l’église Sainte-Marie du Temple à Paris, comme l’ont été avant lui plusieurs dignitaires de son Ordre.
Les circonstances de la mort de Suffren sont donc clairement établies par les documents et témoignages d’époque et ont toujours été acceptées, sans aucune réserve, par les membres de sa famille.
En somme, ce sujet commence par la fin ...
Une légende va pourtant naitre quelques années plus tard, bâtie sur la rumeur selon laquelle Suffren serait mort des suites d’un duel dans les jardins de Versailles. Un duel dont maints chroniqueurs vont chercher à percer le «mystère» de l’adversaire inconnu et de ses motifs. Divers noms vont circuler, dont ceux des officiers Tromelin et Cillart qui auraient cherché à venger leur honneur à la suite de leur sanction lors de la campagne des Indes ( ... et le duc de Mirepoix donc).
Une fable romanesque confortée par le témoignage d’un certain Dehodencq, cabaretier se présentant comme un ancien domestique de Suffren et livrant cette version à deux historiens différents, en 1832 et 1845. Un témoignage extrêmement tardif, émanant d’un personnage douteux cherchant peut-être à faire parler de lui et dont on ne trouve pas trace dans la liste des domestiques de Suffren, bien qu’on ne peut exclure que le commandeur l’ait congédié avant sa mort. Au début du XXe siècle, les historiens, passant en revue les documents d’époque feront table rase de ce témoignage et du « mystère » de ce duel fantôme, peut-être né au départ des taches de sang que devait porter Suffren après ses deux saignées, à moins qu'il ne s'agisse d'une rumeur colportée dans Paris par des proches de Madame Victoire soucieux de protéger la réputation de la princesse royale.
Mais le roman a la vie dure, et il n'est pas rare, aujourd’hui encore, que cette version des faits se retrouve dans certains ouvrages ou sites internet mal renseignés. En fait, si mystère il y a, il est plutôt à éclaircir du côté de la situation financière très dégradée que Suffren laisse derrière lui.
Portrait réalisé probablement lors du voyage du bailli en Italie.
"Suffren en grand uniforme d'officier général de la Marine"
Pierre André de Suffren, dit « le bailli de Suffren » et également connu sous le nom de « Suffren de Saint-Tropez », est un vice-amiral français, bailli et commandeur de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem, né le 17 juillet 1729 au château de Saint-Cannat près d’Aix-en-Provence et mort le 8 décembre 1788 à Paris.
Suffren traverse trois guerres navales franco-anglaises au milieu de la seconde guerre de Cent Ans. Les deux premières lui permettent de mener une double carrière en gravissant peu à peu tous les échelons de la Marine royale et ceux de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem. La troisième lui apporte la gloire. Son nom a depuis été donné à huit navires de la marine française, le dernier en date baptisé en juillet 2019.
Suffren est à l’étranger le plus connu des marins français. De son vivant déjà, il est remarqué par les officiers anglais qui le surnomment l’« amiral Satan ». Clerk of Eldin, penseur naval britannique de la fin du xviiie siècle, vante « son mérite, sa bravoure, ses talents militaires » pour bâtir des théories navales dont se serait inspiré Nelson. À la fin du XIXe siècle, Mahan, un stratège américain, fait son éloge. En 1942, l’amiral King, alors à la tête de la marine américaine, dresse la liste des cinq plus fameux amiraux du passé. Il nomme John Jervis, Horatio Nelson, Maarten Tromp, Suffren et David Farragut. Selon lui, Suffren possédait « l’art de tirer le meilleur parti des moyens disponibles accompagné d’un instinct de l’offensive et de la volonté de la mener à bien ».
En France, le jugement de Napoléon est connu, rapporté par Emmanuel de Las Cases : « Oh ! pourquoi cet homme n’a-t-il pas vécu jusqu’à moi, ou pourquoi n’en ai-je pas trouvé un de sa trempe, j’en eusse fait notre Nelson, et les affaires eussent pris une autre tournure, mais j’ai passé tout mon temps à chercher l’homme de la marine sans avoir pu le rencontrer ». Pourtant, Suffren a toujours fait en France l’objet de commentaires contrastés. Le même Las Cases se fait l’écho des nombreux officiers de marine qui détestaient Suffren et surnommaient ce dernier le « gros calfat » en raison de son physique, mais aussi de son comportement.
Au début du XXe siècle, l’amiral Raoul Castex, stratège maritime français, lui rend hommage en parlant de « l’un des trois noms immortels qui jalonnent la marine à voile » avec Michiel de Ruyter et Horatio Nelson. Mais tous les officiers historiens ne partagent pas cet avis. En 1996, l’amiral François Caron qui étudie les campagnes du bailli lâche contre lui une bordée de boulets rouges en concluant que « si le chevalier de Suffren manifesta un indiscutable courage, eut un coup d’œil tactique incomparable, son action, tous bilans faits, reste d’une grande banalité et est très décevante », l'engouement de certains à son égard, estime François Caron, n'étant pas justifié au vu de ses résultats réels. Ah bon ?!
Que chacun se fasse son idée !
Sur les états de service glorieux de Suffren, ainsi que sur ses moeurs ... un peu décousues, WIKI est très prolixe:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Andr%C3%A9_de_Suffren
C'est derrière cette statue, vulgairement appelée le Cavalier Bernin, que l'illustre bailli de Suffren, un de nos plus grands hommes de mer, sinon le plus grand, fut blessé mortellement en se battant en duel contre M. de Mirepoix, en décembre 1788 .
Source : Le château de Versailles, histoire et description
https://archive.org/stream/lechateaudeversa02duss/lechateaudeversa02duss_djvu.txt
Que non point !!! se récrie WIKI .
Une mort soudaine
À l’automne 1788, la santé de Suffren semble s’améliorer. Le 9 octobre, il annonce à Mme d’Alès que son érysipèle va mieux et l’assure qu’il est en bonne santé. Le 4 décembre 1788 Suffren se rend à Versailles pour assister à une réunion de l’assemblée des notables. Après la séance, il fait une visite à son amie, Madame Victoire, l’une des filles de Louis XV dont il a fait connaissance à son retour des Indes. Cette dernière, restée célibataire, adore la compagnie du bailli et entendre le récit de ses campagnes, que ce dernier lui conte bien volontiers. La suite nous est donnée par le médecin personnel de Suffren, Alfonse Leroy, régent de la faculté de Paris :
« Suffen était allé faire sa cour à Mme Victoire, tante du roi, celle-ci frappée de sa mauvaise mine, voulut qu’il consultât son propre médecin. Celui-ci, ne connaissant pas son tempérament, le saigna : à peine piqué, il perdit connaissance. La goutte fit une métastase rapide sur la poitrine. On réitéra la saignée et lorsque j’allai voir cet illustre ami qui m’avait promis de se faire appliquer des sangsues, je restai stupéfait, en apprenant son agonie. »
Comme le veut l’usage du temps, il n’est pas possible que quelqu’un meure dans les appartements d’une princesse de sang royal. On porte donc prestement le bailli dans sa voiture et on le renvoie à son domicile parisien par un froid glacial. Suffren garde la chambre pendant plusieurs jours, sans qu’on sache s’il reprend connaissance. Il décède la 8 décembre, entouré de quelques proches. Sylvain, son valet, fait quelques jours plus tard, le récit de ses derniers instants :
« Monsieur et Madame le comte et la comtesse de Saint-Tropez sont arrivés à Paris le 7 courant. Ils ont trouvé Monsieur de Suffren au lit depuis trois jours et, le lendemain à trois heures et demie de l’après-midi, ils ont eu le chagrin de le voir mourir entre leurs bras, ce qui, comme il est facile à concevoir, les a bien affligés ainsi que Monseigneur l’évêque de Sisteron. Un rhume, une goutte remontée, joints à une fièvre putride, pour tout cela les saignées, ont eu bientôt pris fin [sic] de ses jours. (…) Vous savez sans doute, Monsieur, cette triste nouvelle, mais peut-être pas si détaillée. Je suis fâchée d’être si mauvais nouvelliste.
Signé Ordinaire dit Sylvain. »
Suffren avait 59 ans et cinq mois. La date et l’heure du décès sont confirmés par le commissaire Jean Sirbeau, requis pour apposer les scellés sur les biens, meubles et papiers du bailli, et qui entrevoit son corps « gisant sur un lit étant dans une chambre ayant partiellement vue sur le boulevard. » Le 10 décembre, Suffren est porté en terre à l’église Sainte-Marie du Temple à Paris, comme l’ont été avant lui plusieurs dignitaires de son Ordre.
Les circonstances de la mort de Suffren sont donc clairement établies par les documents et témoignages d’époque et ont toujours été acceptées, sans aucune réserve, par les membres de sa famille.
En somme, ce sujet commence par la fin ...
Une légende va pourtant naitre quelques années plus tard, bâtie sur la rumeur selon laquelle Suffren serait mort des suites d’un duel dans les jardins de Versailles. Un duel dont maints chroniqueurs vont chercher à percer le «mystère» de l’adversaire inconnu et de ses motifs. Divers noms vont circuler, dont ceux des officiers Tromelin et Cillart qui auraient cherché à venger leur honneur à la suite de leur sanction lors de la campagne des Indes ( ... et le duc de Mirepoix donc).
Une fable romanesque confortée par le témoignage d’un certain Dehodencq, cabaretier se présentant comme un ancien domestique de Suffren et livrant cette version à deux historiens différents, en 1832 et 1845. Un témoignage extrêmement tardif, émanant d’un personnage douteux cherchant peut-être à faire parler de lui et dont on ne trouve pas trace dans la liste des domestiques de Suffren, bien qu’on ne peut exclure que le commandeur l’ait congédié avant sa mort. Au début du XXe siècle, les historiens, passant en revue les documents d’époque feront table rase de ce témoignage et du « mystère » de ce duel fantôme, peut-être né au départ des taches de sang que devait porter Suffren après ses deux saignées, à moins qu'il ne s'agisse d'une rumeur colportée dans Paris par des proches de Madame Victoire soucieux de protéger la réputation de la princesse royale.
Mais le roman a la vie dure, et il n'est pas rare, aujourd’hui encore, que cette version des faits se retrouve dans certains ouvrages ou sites internet mal renseignés. En fait, si mystère il y a, il est plutôt à éclaircir du côté de la situation financière très dégradée que Suffren laisse derrière lui.
Portrait réalisé probablement lors du voyage du bailli en Italie.
"Suffren en grand uniforme d'officier général de la Marine"
Pierre André de Suffren, dit « le bailli de Suffren » et également connu sous le nom de « Suffren de Saint-Tropez », est un vice-amiral français, bailli et commandeur de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem, né le 17 juillet 1729 au château de Saint-Cannat près d’Aix-en-Provence et mort le 8 décembre 1788 à Paris.
Suffren traverse trois guerres navales franco-anglaises au milieu de la seconde guerre de Cent Ans. Les deux premières lui permettent de mener une double carrière en gravissant peu à peu tous les échelons de la Marine royale et ceux de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem. La troisième lui apporte la gloire. Son nom a depuis été donné à huit navires de la marine française, le dernier en date baptisé en juillet 2019.
Suffren est à l’étranger le plus connu des marins français. De son vivant déjà, il est remarqué par les officiers anglais qui le surnomment l’« amiral Satan ». Clerk of Eldin, penseur naval britannique de la fin du xviiie siècle, vante « son mérite, sa bravoure, ses talents militaires » pour bâtir des théories navales dont se serait inspiré Nelson. À la fin du XIXe siècle, Mahan, un stratège américain, fait son éloge. En 1942, l’amiral King, alors à la tête de la marine américaine, dresse la liste des cinq plus fameux amiraux du passé. Il nomme John Jervis, Horatio Nelson, Maarten Tromp, Suffren et David Farragut. Selon lui, Suffren possédait « l’art de tirer le meilleur parti des moyens disponibles accompagné d’un instinct de l’offensive et de la volonté de la mener à bien ».
En France, le jugement de Napoléon est connu, rapporté par Emmanuel de Las Cases : « Oh ! pourquoi cet homme n’a-t-il pas vécu jusqu’à moi, ou pourquoi n’en ai-je pas trouvé un de sa trempe, j’en eusse fait notre Nelson, et les affaires eussent pris une autre tournure, mais j’ai passé tout mon temps à chercher l’homme de la marine sans avoir pu le rencontrer ». Pourtant, Suffren a toujours fait en France l’objet de commentaires contrastés. Le même Las Cases se fait l’écho des nombreux officiers de marine qui détestaient Suffren et surnommaient ce dernier le « gros calfat » en raison de son physique, mais aussi de son comportement.
Au début du XXe siècle, l’amiral Raoul Castex, stratège maritime français, lui rend hommage en parlant de « l’un des trois noms immortels qui jalonnent la marine à voile » avec Michiel de Ruyter et Horatio Nelson. Mais tous les officiers historiens ne partagent pas cet avis. En 1996, l’amiral François Caron qui étudie les campagnes du bailli lâche contre lui une bordée de boulets rouges en concluant que « si le chevalier de Suffren manifesta un indiscutable courage, eut un coup d’œil tactique incomparable, son action, tous bilans faits, reste d’une grande banalité et est très décevante », l'engouement de certains à son égard, estime François Caron, n'étant pas justifié au vu de ses résultats réels. Ah bon ?!
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Sur les états de service glorieux de Suffren, ainsi que sur ses moeurs ... un peu décousues, WIKI est très prolixe:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Andr%C3%A9_de_Suffren
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Pierre André de Suffren, dit « le bailli de Suffren » ( 1729 - 1788 )
Quand on y réfléchit bien, en fait, rien n'empêche que Suffren ait pu être transporté blessé chez Mme Victoire, son amie, et que de là tout se soit passé comme il est dit dans WIKI ... non ?
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Pierre André de Suffren, dit « le bailli de Suffren » ( 1729 - 1788 )
Oui... mais ! Et les convenances, les usages et les tiques et les tiquettes ?!
Lecréateur- Messages : 1712
Date d'inscription : 01/06/2021
Localisation : Comté d'Enghien et Livonie
Re: Pierre André de Suffren, dit « le bailli de Suffren » ( 1729 - 1788 )
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Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
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