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Révolution française, l'Arbre de la Liberté

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Révolution française,  l'Arbre de la Liberté Empty Révolution française, l'Arbre de la Liberté

Message par Mme de Sabran Lun 22 Avr 2024, 15:53


L'ARBRE DE LA LIBERTE


Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _301


« C'est un beau et vrai symbole pour la liberté qu'un arbre ! La liberté a ses racines dans le cœur du peuple, comme l'arbre dans le cœur de la terre ; comme l'arbre elle élève et déploie ses rameaux dans le ciel ; comme l'arbre, elle grandit sans cesse et couvre les générations de son ombre. Le premier arbre de la liberté a été planté, il y a dix-huit cents ans, par Dieu même sur le Golgotha. Le premier arbre de la liberté, c'est cette croix sur laquelle Jésus-Christ s'est offert en sacrifice pour la liberté, l'égalité et la fraternité du genre humain. »

Victor Hugo, Discours lors de la plantation d'un arbre de la liberté sur la place des Vosges, 2 mars 1848.


Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _300
L'un des plus vieux arbres de la liberté encore debout, à Bayeux, Normandie.
Tango7174 —


Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _299
La plantation d’un arbre de la liberté en 1790, par Jean-Baptiste Lesueur.



L’arbre de la liberté, nous dit WIKI,  est un symbole de la liberté, depuis la période de la Révolution française. Il symbolise aussi en tant qu'arbre de la vie, la continuité, la croissance, la force et la puissance. Il est devenu au cours du XIXe siècle un des symboles de la République française avec la Marianne ou la semeuse. Il figure depuis 1999 sur les pièces françaises d'un euro et de deux euros.   Je ne m'en étais jamais avisée quant à moi  ...

Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _302

Plantés, en général dans l’endroit le plus fréquenté, le plus apparent d’une localité, comme signes de joie et symboles d’affranchissement, ces végétaux devaient grandir avec les institutions nouvelles...

...   en principe, oui, mais pas toujours.  Voyez comme conteste celui-ci !

Tract manuscrit contre la République et l'enrôlement aux armées.
Versailles, avril 1793
( Archives départementales des Yvelines )

C'est un Arbre de la Liberté ( dissident Eventaille  ) qui parle :


Croyez, Factieux hébétés
Qui me voyez ici planté
Que je n'y suis pas pour des prunes
Et qu'avant qu'il soit 4 lunes
Vous aurez vu certainement
Suspendre verticalement
A mon sec et jaune branchage
Les Administrateurs de ce Département
Tous ces héros du jour, tous ces prétendus sages
Vrais Monstres que l'Enfer a vomi de son sein
Qu'on voit prêcher le crime, exciter l'assassin ...
Oui oui, je vous le dis, sitôt que dans la France
Le jour de la Justice et celui des Vengeances,
Grâce à nos bons voisins, seront enfin venus
En ce moment heureux nul besoin ne sera
De cordes ni de Potences
Car c'est par leur Licou (x) qu'ils seront suspendus
Et c'est à moi qu'alors on les accrochera.
Ah ! ça ira, ça ira.


Jean-Baptise-Laurent
Trophonius


(x) :  C'est de l'écharpe tricolore de ces messieurs qu'on veut parler ici.

Remis au  département
le 13 avril 1793

Citoyen soldat partant pour les frontières où le sort le force à marcher, mais qui jure que par cet arbre auguste et le bonnet sacré qui le couronne si majestueusement, qu'il ne brûlera pas une seule cartouche pour la défense de la république.  Fait à Vllou ( ? ) l'an dernier dicellé, et le 5ème des déprédations, des brigandages et des crimes.

 

Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _297

_________________



Le premier qui, en France, planta un arbre de la liberté, plusieurs années même avant la Révolution, fut le comte Camille d'Albon en 1782 dans les jardins de sa maison de Franconville, en hommage à Guillaume Tell.

Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _303
Claude-Camille-François d'Albon (1752-1789)

Le comte Claude-François-Camille d’Albon, dernier prince d’Yvetot, vient s’installer en 1781 et commence la construction de jardins qui vont, dans son esprit, éclipser par leur pittoresque et leur curiosité tous ceux qui sont connus à l’époque : à Ermenonville, Mortefontaine ou Monceau. Sa propriété est celle de Cassini acquise en 1781. Dans le parc est incluse la source des Rinvals, qui lui sert à alimenter une vaste pièce d’eau.
Il agrandit son domaine par l’échange de terres avoisinantes. Toute l’originalité du comte y est représentée : ses idées, ses opinions, son caractère, ses fantasmes.
Il érige une colonne au marquis de Mirabeau.
Épris de liberté, il dresse un arbre à la mémoire de Guillaume Tell. Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _304

Pratiquant la tolérance, il élève un tombeau à Court de Gébelin, écrivain protestant. Adepte de Jean-Jacques Rousseau et aussi de la nature, il crée un village suisse, un chalet des chèvres, un asile des bergers, une cabane de pêcheurs. Homme de lettres, il a sa bibliothèque ; poète, un temple des muses ; fabuliste, la cascade d’Esope.
Chaque monument possède une inscription ou une devise. On peut également admirer une profusion de bustes de poètes grecs ou latins, de sages de l’Antiquité ou de savants. Comme il s’occupe aussi d’agriculture et de botanique, il élève un monument à la mémoire de Haller, une colonne à Boërhave.
Enfin, se disant homme de science, il a son cabinet d’histoire naturelle, un cabinet de physique, un laboratoire de chimie, un observatoire et des instruments d’astronomie. Mais tous ces aménagements ont entraîné des dépenses inconsidérées, de sorte que le 8 mai 1787, par décision de justice, il est pourvu d’un « conseil judiciaire ». Ses soucis financiers, et ses fantaisies ont probablement ébranlé sa raison. Il meurt à Lyon le 5 octobre 1789, fou dit-on. (présentation réalisée par l'association Valmorency)
https://www.journaldefrancois.fr/conference-le-comte-dalbon-batisseur-demesure-de-jardins-a-franconville.htm



Aux États-Unis à la suite de la guerre de l’indépendance avaient été érigés les poteaux de la Liberté, tel celui-ci :

Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _309
Poteau de la liberté à la frontière de la République de Mayence,
issu des guerres de la Révolution française,
aquarelle de Johann Wolfgang von Goethe, 1793


À l’époque de la Révolution, par imitation de ce qui s’était fait aux États-Unis , l’usage s’introduisit en France de planter avec cérémonie un jeune peuplier dans les communes françaises.  L’arbre devient donc un symbole fort de l’idéal révolutionnaire.

Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _316
(The People Is Sovereign - Allegory of the French Republic and Tree of Liberty)
Unknown artist


Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _298
Plantation de l'arbre de la Liberté à l'Hôtel de Ville :
[estampe] | Gallica


Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _35
Réjouissances des Français à Mayence, octobre 1792. Plantation de l'arbre de la Liberté
Agence Bulloz (fondée en 1897)
Charenton-le-Pont, Médiathèque du patrimoine et de la photographie


La plantation des arbres de la liberté se faisait avec une grande solennité, toujours accompagnée de cérémonies et de réjouissances populaires  Révolution française,  l'Arbre de la Liberté 693620883  auxquelles prenaient part, dans un même enthousiasme patriotique  cheers , toutes les autorités, magistrats, administrateurs, et même le clergé, prêtres, évêques constitutionnels et jusqu’aux généraux. Ornés de fleurs, de rubans tricolores, de drapeaux, de cartouches avec des devises patriotiques, ces arbres servaient de stations comme les autels de la patrie aux processions et aux fêtes civiques avec plusieurs autres personnes.


Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _298
Plantation de l'arbre de la Liberté à l'Hôtel de Ville :
[estampe] | Gallica


Louis XVI lui-même présida à l’élévation d’un de ces arbres dans le jardin des Tuileries, mais il fut abattu en pluviôse an II « en haine du tyran ». Au moment du jugement du roi qui devait aboutir à sa condamnation, Barère de Vieuzac va jusqu'à paraphraser Thomas Jefferson en déclarant :
« L'arbre de la liberté ne saurait croître s'il n'était arrosé du sang des rois ».


Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _306
Érection d'un arbre de la liberté, vers 1792-1794.
Étienne Béricourt, dessinateur. Cliché Paris Musées / Musée Carnavalet.


Les arbres de la liberté étaient considérés comme monuments publics. Entretenus par les habitants avec un soin religieux, la plus légère mutilation eût été considérée comme une profanation. Des inscriptions en vers et en prose, des couplets, des strophes patriotiques attestaient la vénération des populations locales pour ces emblèmes révolutionnaires. Des lois spéciales protégèrent leur consécration. Un décret de la Convention ordonna que l’arbre de la liberté et l’autel de la patrie, renversés le 27 ventôse an II, dans le département du Tarn, seraient rétablis aux frais de ceux qui les avaient détruits.


Le culte des symboles révolutionnaires se poursuit avec la plantation, le 24 février 1793, d'un second arbre, cette fois « de la fraternité », place du Ralliement, en hommage à Michel Lepeletier, député de la Convention assassiné le 20 janvier 1793 pour avoir voté la mort du roi.

Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _webp34
« M. Le Pelletier assassiné le 20 janvier 1793 ».
Assis, de profil à dr., entre un chêne et un laurier.


Un grand nombre d’arbres de la liberté déracinés en pleine croissance, étant venus à se dessécher, la Convention ordonna, par un décret du 3 pluviôse an II, que « dans toutes les communes de la République où l’arbre de la liberté aurait péri, il en serait planté un autre d’ici au 1er germinal ». Elle confiait cette plantation et son entretien à la garde et aux bons soins des citoyens, afin que dans chaque commune « l’arbre fleurisse sous l’égide de la liberté française ». La même loi ordonna qu’il en serait planté un dans le Jardin National par les orphelins des défenseurs de la patrie. D’autres décrets prescrivirent des peines contre ceux qui détruiraient ou mutileraient les arbres de la liberté.


Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _307


De nouveaux arbres furent alors plantés, mais, malgré toute la surveillance dont ils furent l’objet, beaucoup furent détruits par les contre-révolutionnaires, qui les sciaient ou arrosaient leurs racines de vitriol pendant la nuit.   Shocked  Ces attentats étaient vivement ressentis par le peuple, qui avait le culte de ces plantations ; les lois d’ailleurs les punirent souvent avec la dernière sévérité, et des condamnations à mort furent même prononcées contre leurs auteurs. Ainsi, à Bédoin dans le Vaucluse, 63 personnes furent exécutées, cinq cents maisons rasées pour non-dénonciation des personnes coupables d'avoir arraché un tel arbre, les terres agricoles stérilisées au sel. Trois paysans de La Versanne qui en coupèrent un furent guillotinés à Lyon, un meunier de Mas-Grenier fut également guillotiné à Toulouse pour les mêmes faits. En revanche, le révolutionnaire Marie Joseph Chalier envisagea d'utiliser de faire un grand fossé autour de l’arbre de la liberté, pour le fumer du sang des victimes de la guillotine du pont Moraud à Lyon.


Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _308

Le 31 mars 1794, à Clermont, Michel Fauré est guillotiné   Révolution française,  l'Arbre de la Liberté 4223966497  pour avoir déraciné un arbre et crié « Vive le roi ! ». Le Directoire veilla au remplacement de ceux qui étaient renversés, mais Bonaparte cessa bientôt de les entretenir et fit même abattre une partie de ceux qui s’élevaient dans différents endroits de Paris. Sous le Consulat, toutes ces lois tombèrent en désuétude, et les arbres de la liberté qui survécurent au gouvernement républicain perdirent leur caractère politique. Mais la tradition populaire conserva le souvenir de leur origine.

Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _312


Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _313
Arbre de la liberté avec le diable tentant John Bull, pub. par Hannah Humphrey, 1798
(The Tree of Liberty with the Devil Tempting John Bull, pub. by Hannah Humphrey, 1798 )
James Gillray


Abattage à la Restauration
À la rentrée des Bourbons, il existait encore un grand nombre d’arbres de la liberté dans toute la France, qui avaient été appelés arbres Napoléon sous l’Empire. Le gouvernement de Louis XVIII donna des ordres rigoureux pour déraciner ces derniers emblèmes de la Révolution.


Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _314


En grande partie abattus ou déracinés sous la Restauration les arbres de la liberté devinrent donc très rares dans les villes, mais on en voyait encore dans les communes rurales.


Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _311


Les arbres de la liberté encore debout sont en sursis. Un arrêté du 20 mars 1800 avait d'ailleurs introduit un autre type de symbole : les colonnes départementales, pour honorer la mémoire des soldats morts pour la patrie et la liberté. Les événements politiques du XIXe siècle ne laissent aucune chance aux arbres de la liberté. Après 1802, on n’en entend plus parler.


Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _317
Destruction des arbres de la liberté
par Henri Valentin, 1850.


Ils ne devaient ressurgir qu’en 1848 ... Après les Trois Glorieuses, quelques communes plantèrent encore de nouveaux arbres de la liberté, mais l’enthousiasme fut vite comprimé, et il y eut peu de ces plantations. Il n’en fut pas de même après la révolution de février 1848, où cet usage fut renouvelé. Les encouragements des autorités provisoires ne manquèrent pas aux plantations d’arbres de la liberté ; le clergé se prêta complaisamment à les bénir. Un ancien ministre de Louis-Philippe offrit même un jeune arbre de son parc parisien pour le planter devant sa porte avec cette inscription : « Jeune, tu grandiras ».

Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _webp35
Victor Hugo plante un arbre de la liberté sur la place des Vosges,
le 2 mars 1848.


Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _315


...  mais de façon éphémère. l’arbre de la liberté, planté le 16 avril sur les quinconces du Mail, par exemple,  est déjà retrouvé scié au matin du 9 février 1851.


Le retour de la République, en 1870, fut l’occasion de planter de nouveaux arbres. Cependant, le contexte (guerre franco-prussienne de 1870, puis Commune de Paris, et enfin république conservatrice) ne s’y prêtait guère. Les plantations sont plus fréquentes en 1889 (centenaire de la prise de la Bastille), puis en 1892 (centenaire de la Première République française).
D’autres arbres sont plantés en 1919-1920, pour célébrer la victoire du droit et la libération de l’Alsace et de la Moselle, et d’autres en 1944-1945, à l’occasion de la Libération. Les autres anniversaires (1939, 1948, 1989) sont d’autres occasions.
Il arrive aussi que l’on replante un nouvel arbre quand l’ancien meurt. Comme par le passé, ils reçoivent parfois un accueil mitigé.  Révolution française,  l'Arbre de la Liberté 1123740815

https://fr.wikipedia.org/wiki/Arbre_de_la_libert%C3%A9


Le 21 mars 1989, premier jour du printemps, François Mitterrand ouvre le cycle des cérémonies du Bicentenaire de la Révolution française. Il se déplace alors à Saint-Gaudent, dans la Vienne, afin de planter lui-même un chêne. Il renouvelle ainsi le geste du prêtre révolutionnaire Norbert Pressac, qui avait planté le premier arbre de la liberté en 1790 et ainsi initié la plantation de plus de 60 000 arbres.

Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _318


François Mitterrand prononce un discours sur le bicentenaire, le symbole de "l'arbre de la Liberté" et l'instruction publique. Il rappelle qu'il a inauguré quelques jours auparavant une exposition au Grand Palais sur l'Europe et la Révolution. Sa venue à Saint-Gaudent est donc le deuxième temps officiel du bicentenaire. Il évoque ensuite la symbolique de l'arbre de la liberté. Il évoque les racines profondes et explique que cet arbre "signifiera désormais à travers le temps, l'effort des hommes et des femmes de cette génération qui ont désormais pour mission, à leur manière, et compte tenu de l'évolution des temps, mais dans le même esprit et pour célébrer les mêmes symboles, d'assurer la relève des grands fondateurs de la Révolution française".


Révolution française,  l'Arbre de la Liberté _319
Aujourd'hui, petit arbre est devenu grand.


L'arbre de la liberté est l'un des symboles les plus riches de la Révolution française. Il est le symbole de la vie, en perpétuelle évolution et en ascension vers le ciel. Il symbolise également le caractère cyclique mais aussi la solidité et la continuité de la Révolution : ses feuilles tombent puis renaissent.

Félix Paties
https://fresques.ina.fr/mitterrand/fiche-media/Mitter00282/francois-mitterrand-plante-un-arbre-de-la-liberte-pour-le-bicentenaire.html

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Message par Monsieur de Coco Mar 23 Avr 2024, 21:36

Les Vernonnais plantèrent aussi un arbre de la liberté en respect au duc de Penthièvre.

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Message par Mme de Sabran Mer 24 Avr 2024, 23:33

Oui, cher Monsieur de Coco, devant le château de Bizy habité alors par le duc de Penthièvre ! Very Happy
Notre sujet :
https://marie-antoinette.forumactif.org/t5109-le-chateau-de-bizy?highlight=bizy

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Message par Vincent88 Jeu 25 Avr 2024, 08:50

Jusque sur les pièces d'1€ ! Incroyable.
Je ne savais pas du tout.

Finalement ces arbres célèbrent la fin de la Monarchie, je ne sais pas si j'aurai encore envie d'en avoir dans ma poche lol!

Merci pour cet article intéressant et bien fourni Smile

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