Mesdames de Boufflers ...
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Mesdames de Boufflers ...
Mme de Sabran a écrit:
Il semble qu'il y ait tant de Mesdames de Boufflers que je m'y perds et me prends les ripatons dans le tapis !
Aussi, je me dépêche de rectifier, avant que notre petit Lulu ne vienne me remonter les bretelles :
La mère du chevalier de Boufflers n'est pas la soeur de la maréchale de Luxembourg comme je le disais plus haut, mais sa cousine ( et encore ! par alliance boudoi29).
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Belle-Maman est bien la soeur d'une maréchale ( d'où mon erreur ) , mais de la maréchale de Lévis-Mirepois, deuxième épouse du père de Gaston, duc de Lévis .
Les noms de jeunes-filles, différents, m'ont mis la puce à l'oreille .
J'en fais mon mea culpa .
Voici de quoi il retourne :
Je passe donc sur la maréchale de Luxembourg qui fait l'objet d'un sujet à elle . :n,,;::::!!!:
Et hop ! les autres mesdames de Boufflers :
Nous avons tout d'abord Marie Françoise Catherine de Beauvau-Craon, marquise de Boufflers (1711-1787) .
Elle est la fille de Marc de Beauvau-Craon (1679-1754), 1er prince de Beauvau, et d'Anne-Marguerite de Ligniville (1686-1772), comtesse du Saint-Empire, dame d'honneur de la duchesse de Lorraine, et maitresse du duc Léopold Ier.
Elle épouse Louis François de Boufflers (1714-1752), marquis d’Amestranges, et fut la mère du poète le chevalier Jean Stanislas de Boufflers.
Belle, spirituelle, la marquise de Boufflers avait été parfaitement éduquée. Elle savait tourner des vers légers et dessinait admirablement au pastel. Elle est devenue membre de l'Académie de Stanislas.
À la cour de Lunéville, elle devint en 1745, à trente-quatre ans, la maîtresse en titre du roi de Pologne Stanislas, qui en avait trente de plus qu’elle ( une paille ! : ).
Ceci ne l’empêchait pas de collectionner les amants. Surnommée la « Dame de Volupté », elle fut ainsi la maîtresse du poète Jean-François de Saint-Lambert, puis de M. d’Adhémar, de l’intendant de Lorraine Antoine-Martin Chaumont de La Galaizière, de l’avocat et poète François-Antoine Devaux, de l’abbé Porquet…
C’est pour tenter de la rendre jalouse et retrouver son affection que Saint-Lambert entreprit de séduire la marquise du Châtelet lorsque celle-ci arriva à Lunéville en 1748. La marquise conçut pour le poète une passion qui devait lui être fatale ce qui ruina complètement les plans du père Menou, confesseur de Stanislas, qui voulait la pousser dans les bras du roi pour en déloger Madame de Boufflers. Au lieu de quoi la marquise du Châtelet et la marquise de Boufflers devinrent les meilleures amies du monde.
Elle est la sœur de la célèbre maréchale de Levis-Mirepoix qui fut l'amie de Louis XV et la conseillère de ses favorites : mesdames de Pompadour et du Barry.
Elle a deux autres soeurs, la Princesse de Chimay, et la belle comtesse de Bassompierre, et pour frère le prince de Beauvau.
Marie Françoise Catherine de Beauvau-Craon:
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Ensuite vient Marie-Charlotte Hippolyte de Boufflers, maitresse de Louis-François prince de Conti .
Marie-Charlotte Hippolyte de Campet de Saujon est née en 1724. Elle fut baptisée à Saint-Sulpice le 6 septembre 1726. Elle devint une célèbre « 05_531466 salonnière » et femme de lettres française.
Jusqu'en 1789, elle tient un salon brillant, haut lieu de l'anglomanie à Paris. Elle était la fille de Charles-François de Saujon, baron de la Rivière, lieutenant des gardes du corps du roi et de Louise Angélique de Barberin de Reignac.
Elle épousa le 15 février 1746 le comte Édouard de Boufflers-Rouverel (1722-1764), capitaine de cavalerie au régiment de Bellefonds. Ce dernier était le fils d’Antoine François Oudent de Bouffleurs, seigneur de Rouverel (1676-1751) et d’Anne Françoise de Wanchep. Le couple eut un fils, Louis Édouard de Boufflers-Rouverel (1746-1794), comte de Boufflers, maréchal de camp.
Il épousera Amélie Constance Puchot des Alleurs (1751-1825), fille du comte des Alleurs, ambassadeur de France à Constantinople. Femme brillante, spirituelle et sensuelle, Mme de Boufflers fut célèbre pour sa beauté et son esprit.
Elle fut adulée et courtisée. Le comte de Tressan écrira sur elle cette épigramme :
«Quand Boufflers parut à la Cour
On crut voir la reine d'amour
Chacun s'empressait de lui plaire
Et chacun l'avait à son tour. »
Dans les faits, elle ignora largement la cour de Versailles, où elle ne se rend qu'en 1750, à l'occasion de la mort de son beau-père. Elle n’y aurait été présentée officiellement, par son amie la maréchale de Luxembourg, qu'en 1770. Elle n’aura pas d’appartement à Versailles mais partagea peut-être celui de la duchesse de Chartes puis d’Orléans dans l’aile des Princes. Peu après son mariage, elle devient dame de compagnie de Louise Henriette de Bourbon-Conti (1725-1759), duchesse de Chartres puis sa dame d’honneur quand elle devient duchesse d’Orléans.
Au Palais-Royal, elle fait la connaissance du frère de cette dernière, Louis François de Bourbon, prince de Conti, dont elle ne tarde pas à devenir la maîtresse.
Après une brouille avec la famille d'Orléans, elle vint s'installer dans un petit hôtel particulier dans l’enclos du Temple, près du palais du Grand prieur. Cet hôtel était mis à sa disposition par son amant le prince de Conti alors propriétaire des Lieux. Mme du Deffand la surnommera alors « l'idole du Temple ».
En 1773, la comtesse de Boufflers achète une maison de campagne à Auteuil, située sur la route menant des Tuileries au château de Versailles. La demeure se trouvait à l’emplacement de l’actuel 60 rue d’Auteuil. Elle y était voisine de Mme Helvétius.
Son immense parc à l'anglaise de dix hectares, qui s’étendait jusqu’à la lisière du bois de Boulogne, lui valut le surnom de « Château invisible ». Ce parc était l’œuvre de l’anglais Prescott. Horace Walpole décrivit le domaine d’Auteuil en septembre 1775 :
« Hier, je suis allé à Auteuil voir le jardin anglais, il contient cinquante deux acres de terre depuis la maison jusqu'à une hauteur qui s'avance dans les champs, avec des lices (lys), des arbres et des arbustes détachés. »
Elle se retire dans ce domaine à la mort du prince de Conti en 1776. L’ancien cercle du Temple s’y retrouve jusqu’en 1789. Trois fois par semaine, Mme de Boufflers invitait une quinzaine de personnes à souper.
A plusieurs reprises, la reine Marie-Antoinette honora le salon de sa présence. Elle y servit d'agent au roi de Suède Gustave III.
Selon la tradition, elle y arrangea le mariage, en 1786, de Germaine Necker avec le baron de Staël, ambassadeur de Suède. Elle posséda également le château de La Rivière à Fronsac (bien vendu en 1794).
Arrêtée en janvier 1794, avec sa belle-fille, Amélie de Boufflers, Mme de Boufflers-Rouverel échappa de justesse à la guillotine. Elle sera acquittée par le tribunal révolutionnaire.
Ruiné par la révolution, elle louera le domaine d’Auteuil à M. de Talleyrand. Elle mourut à Rouen en 1800.
Voici son épitaphe :
« Ci-gît dans une paix profonde,
Une dame de volupté
Qui, pour plus de sécurité,
Fit son paradis en ce monde. »
( Blog Les Favorites Royales
La découverte du pouvoir secret des femmes )
Marie-Charlotte Hippolyte peinte par Carmontelle :
... ici avec sa belle-fille Amélie de Boufflers, duchesse de Lauzun, qui sera guillotinée :
En 1797, je deviendrai à mon tour marquise de Boufflers en épousant Jean-Stanislas, le fameux chevalier de Boufflers .
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Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Mesdames de Boufflers ...
J'en profite pour signaler qu'une des artères principales de Nancy, l'avenue de Boufflers, honore le chevalier . Hasard de la toponymie, elle croise la rue de Saint-Lambert, honorant le poète :
Gouverneur Morris- Messages : 11795
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Mesdames de Boufflers ...
Gouverneur Morris a écrit: Hasard de la toponymie, elle croise la rue de Saint-Lambert, honorant le poète :
Développons l'anecdote ( plutôt tragique boudoi32 ) en passant ...
Issu d’une famille noble mais peu fortunée, Jean-François de Saint-Lambert fit ses études au collège de Pont-à-Mousson puis servit dans les gardes lorraines du roi Stanislas Leszczyński, avant de devenir grand-maître de sa garde-robe. Grand, distingué, taciturne, ne riant jamais, refusant de flatter quiconque, un rien sauvage, les femmes l’adoraient.
Il fut remarqué d’abord par la marquise de Boufflers, maîtresse en titre du roi Stanislas, qui le prit un temps pour amant. En 1746, Saint-Lambert partit pour la guerre et, à son retour, constata que Madame de Boufflers l’avait remplacé. C’est pour tenter de la rendre jalouse qu’il séduisit la marquise Émilie du Châtelet, qui venait d’arriver à la cour de Lunéville.
Loin d’être piquée, Madame de Boufflers rit de cette liaison et se plut à l’encourager. Ce qui n’était au départ qu’une bagatelle devint une véritable passion. Émilie du Châtelet, qui mettait de l’excès dans tout ce qu’elle entreprenait, se comportait comme une jeune fille amoureuse, laissant des billets dans les cordes de la harpe de Madame de Boufflers pour que Saint-Lambert les y trouvât. Voltaire ignorait la situation ou feignait de ne s’apercevoir de rien ; en tout cas, à cette époque, ses relations avec Saint-Lambert paraissent sans nuage. Émilie du Châtelet finit par tomber enceinte des œuvres de Saint-Lambert. À quarante ans passés, elle mourut le 10 septembre 1749, peu de temps après avoir donné naissance à une petite fille qui ne lui survécut pas. Voltaire et Saint-Lambert furent auprès d’elle jusqu’aux derniers moments. C’est après cette fin tragique que leurs relations s’aigrirent.
Ce froid dura quelques années puis leurs relations reprirent. Voltaire avait de l’admiration pour Saint-Lambert, qu’il estimait comme poète, et fut l’un de ses partisans résolus lorsqu’il se présenta à l’Académie française.
Merci WIKI.
.
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Mesdames de Boufflers ...
Voltaire décrit de façon poignante les derniers instants de la marquise dans ses Mémoires. Il me semble qu'il dit ou écrivit alors à Saint-Lambert quelque chose comme Que vous êtes-vous avisé de lui faire un enfant !
Gouverneur Morris- Messages : 11795
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Mesdames de Boufflers ...
Tenez, mon cher Maurice, ouvrons un sujet pour cette chère Emilie, voulez-vous ?
J'y saute !!!
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Mesdames de Boufflers ...
Saint-Lambert qui repose d'ailleurs auprès de Mme de Sabran et du chevalier de Boufflers au Père Lachaise !!
Lucius- Messages : 11656
Date d'inscription : 21/12/2013
Age : 33
Re: Mesdames de Boufflers ...
Nous sommes bien contents de ce voisinage !
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Mesdames de Boufflers ...
Merci, cher petit Lulu ! Ainsi tout est-il d'une clarté lumineuse ! :n,,;::::!!!:
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Mesdames de Boufflers ...
Mme de Sabran a écrit:
En 1773, la comtesse de Boufflers achète une maison de campagne à Auteuil, située sur la route menant des Tuileries au château de Versailles. La demeure se trouvait à l’emplacement de l’actuel 60 rue d’Auteuil. Elle y était voisine de Mme Helvétius.
Son immense parc à l'anglaise de dix hectares, qui s’étendait jusqu’à la lisière du bois de Boulogne, lui valut le surnom de « Château invisible ».
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En 1781, Mme de Polignac, qui est enceinte, demande à Mme de Boufflers de bien vouloir lui louer sa maison d'Auteuil renommée pour son calme, ses jardins à l'anglaise ...
Mais Marie-Charlotte Hippolyte, peu disposée à accéder à sa demande, lui envoie les vers suivants :
Tout ce que vous voyez conspire à vos désirs,
Vos jours toujours sereins coulent dans les plaisirs,
L'empire en est pour vous l'inépuisable source,
Ou si quelque chagrin en interrompt la course,
Le courtisan, soigneux de les entretenir,
S'empresse à l'effacer de votre souvenir .
Moi je suis seule ici. Quelque ennui qui me presse,
Je n'en vois dans mon sort aucun qui s'intéresse,
Et n'ai pour tout plaisir, Madame, que ces fleurs
Dont le parfum exquis vient charmer mes douleurs .
" On ne pouvait écarter en termes plus gracieux des ouvertures fâcheuses . Quelqu'un à qui Mme de Polignac montre ces vers les qualifia de mauvais croyant qu'ils étaient de Mme de Boufflers, et comme on rapportait à celle-ci quel jugement en avait été porté dans le cercle des Polignac : J'en suis fâchée, dit-elle, pour le pauvre Racine .
Elle les avait, en effet, copiés dans Britannicus .
( A. Savines et F. Bourdand : Les jours de Trianon . )
.
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Mesdames de Boufflers ...
La comtesse fût la maîtresse de Gustave III?!
Elle ne risquait pas de tomber enceinte, la gosse! :
Elle ne risquait pas de tomber enceinte, la gosse! :
Invité- Invité
Re: Mesdames de Boufflers ...
La comtesse de Bouflers disait au prince de Conti, qu'il était le meilleur des tyrans.
( Chamfort )
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Mesdames de Boufflers ...
Mme de Sabran a écrit:
Marie-Charlotte Hippolyte peinte par Carmontelle :
... ici avec sa belle-fille Amélie de Boufflers, duchesse de Lauzun, qui sera guillotinée :
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On demandait à M. de Lauzun ce qu'il répondrait à sa femme (qu'il n'avait pas vue depuis dix ans), si elle lui écrivait: «Je viens de découvrir que je suis grosse.» Il réfléchit, et répondit: «Je lui écrirais: je suis charmé d'apprendre que le ciel ait enfin béni notre union; soignez votre santé; j'irai vous faire ma cour ce soir.»
(Chamfort )
La pauvre ! Elle a bien fait d'en profiter ...
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Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Mesdames de Boufflers ...
Mme de Sabran a écrit:
La comtesse de Bouflers disait au prince de Conti, qu'il était le meilleur des tyrans.
( Chamfort )
... elle a dit ça en parlant de Gustave III?
Dernière édition par Cosmo le Lun 17 Mar 2014, 19:34, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Mesdames de Boufflers ...
Comme quoi les rumeurs ...
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Mesdames de Boufflers ...
Mme de Sabran a écrit:
Le portrait de la comtesse de Boufflers, par le duc de Lévis :
On a vraiment l'impression que lui et Besenval parlent de deux personnes différentes. : De même, pour Mme du Deffand.
Invité- Invité
Re: Mesdames de Boufflers ...
Cela s'appelle la subjectivité ... :
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Mesdames de Boufflers ...
Le duc de Lévis est trop politiquement correct. Il commence tout de même son portrait par une vacherie, et rappelle le fameux couplet dont Besenval parlait déjà dans ses mémoires. Un peu mauvaise langue lui aussi, le duc de Lévis...
Invité- Invité
Re: Mesdames de Boufflers ...
Moi je ne sais plus de qui vous parlez désormais... :
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Mesdames de Boufflers ...
La nuit, la neige a écrit:Moi je ne sais plus de qui vous parlez désormais... :
Moi non plus.
Invité- Invité
Re: Mesdames de Boufflers ...
Ladies and gentlemen, attention ! Une Madame de Boufflers peut en cacher une autre !!! àè-è\':
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
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