L'archiduchesse Marie-Amélie (1746-1804), duchesse de Parme et Plaisance

Oui, et je donne des détails et une source en amont de ce sujet sur cette question.

Grâce à Dominique et à ce nouveau livre, j'en sais plus...

Dans un contrat de mariage de 1769 est fixé,, en cas de veuvage, Marie Amélie recevra 25 000 sculdos dorés espagnols versés à l’avance en quatre versements.

Selon la correspondance conservée entre Vienne et Paris, après la mort de duc Ferdinand, le gouvernement français a ignoré le respect des accords. Bien que la France ait acquis toute la propriété du duché
limité au paiement partiel des droits et des pensions à la duchesse. le 3 novembre 1803, le duché tient officiellement Paris pour payer la somme de 723 770 rhin et 61 hellers de la dot, comme promis par l'envoyé français auprès du chancelier autrichien Coblenz.
Toutefois, les obligations, qui s'élevaient à plus de 2 200 000 francs français, n'ont jamais été entièrement amorties, même après le testament de Maria Amelia du 15 juin 1804. en conséquence, et compte tenu du fait qu'une partie de l'argent appartenait à des enfants / descendants /Marie Amélie, l'exécuteur testamentaire était Marie Therese, sa nièce /épouse de l'empereur François Ier, fille de Marie Caroline/.
l'acte est venu directement au bureau du secrétaire Mettenrich.
Le problème du non-paiement des remboursements des veuves s'est poursuivi.
même après 1825, le cour français continua de refuser de payer la totalité du montant. La dette avec intérêts s'élevait à 2 500 000 francs..


Ce extrait. transcription, ce que j'ai étudié dans le livre..


Je ne savais pas ce que la duchesse avait du mal à quitter Parme ...
D'une part, créanciers d'Italie ils l'ont poussé à Prague, d'abord, elle devait réclamer les pensions de sa veuve…

Leos

Merci, cher Leos, comme toujours vous êtes une mine de renseignements inédits !
Toutes ces tracasseries financières sous-tendaient la politique et la compliquaient encore .

Chere Eleanor,

Toute la profondeur de l'information sur la vie de Marie Amélie que j'ai trouvée dans l'article de Dominique Poulin, /mon grand merci à Lui/, dans la presse du temps et maintenant dans ce livre ..
Comme j´ai deja  écrit, il n´est pas trop ample...

Je lis là une nouvelle assez terrible concernant l'Amélie… par exemple, qu'elle était en colère et a battu sa fille Caroline, comme l'a écrit un observateur du palais.
Calomnie? ou verité ...?
D'après son analyse de la correspondance, elle n'était pas une souveraine éclairée  comme sa mère

Il me fait plaisir de partager avec vous ..

Leos

Leos a écrit:Chere Eleanor,

Toute la profondeur de l'information sur la vie de Marie Amélie que j'ai trouvée dans l'article de Dominique Poulin, /mon grand merci à Lui

Oui, notre ami Dominique est un puits de science. Nous avons beaucoup de chance.  

Leos a écrit:

Je lis là une nouvelle assez terrible concernant l'Amélie… par exemple, qu'elle était en colère et a battu sa fille Caroline, comme l'a écrit un observateur du palais.
Calomnie? ou verité ...?

Voici une information extrêmement désagréable qui ternit considérablement l'image de Marie-Amélie ...  

Leos a écrit:

Il me fait plaisir de partager avec vous ..
Leos

...   moi aussi, cher Leos, très !    

Comme je l'ai dit dans un post plus haut, Talleyrand s'est aussi intéressé à cette affaire. Mais au final des tractations après la mort du duc de Parme, et compte tenu de l'indifférence apparente de l'Espagne qui pourtant était liée au contrat de mariage de 1769, Marie-Amelie n'aurait rien obtenu ou pas grand chose ??
J'avoue que les termes du contrat fidèlement retranscrits par notre cher Leos me laissent désemparé, car il me semble vouloir examiner chaque détail à la loupe n'étant pas juriste...  

Concernant le fait que la duchesse se soit emportée contre sa fille Caroline, je ne suis pas si surpris que cela. Elle était dotée d'un tempérament très fort, mais querelleur et autoritaire, elle a dû en faire subir des vertes et des pas mûres à son mari Ferdinand, tous les observateurs de la cour de Parme au début des années 1770 décrivent les relations entre les deux époux comme cahotiques, et encore je ne parle pas de l'impasse politique dont Marie-Amélie a été la principale protagoniste.

Ferdinand ne passait-il pas pour un peu faible d'esprit ? Marie-Amélie devait n'avoir aucune peine à le dominer ce qui confortait ses propensions à l'autoritarisme.

Bonjour chers amis,

C'est surtout à toi, cher Dominique, qui t'intéresses à cette Amalia rebelle, à qui j'adresse ces lignes..

Peut-être trop tard .. mais j'ai trouvé quelques références dans la presse d'époque pour sécuriser la duchesse après son départ de Parme. Le public pouvait lire sur son exil et apparemment il était intéressée car c'était un sujet assez discuté dans les journaux italien et allemand.
/ Je n'ai pas étudié français ou espagnol /

J'ai compris que la duchesse était partie de Parme, accompagnée de 8 voitures, ou avec une petite cour, et n'était pas partie avant que son loyer de 40 000 Zecchin n'ait été payé.

La Cour espagnole se serait entendue pour lui verser une rente de 150000 Piastres (je ne sais pas quelle est la valeur de cette monnaie, dont la duchesse bienfaitrice (comme l'appelait la presse) avait déduit une somme pour les gens qui l'avaient servie à Parme, et il fut même écrit dans certains journaux qu'elle avait quitté Parme quasiment pauvre..

L'image médiatique de la duchesse de la charité a été préservée aussi lors de son séjour à Prague.

La Cour viennoise s'est apparemment souciée que la duchesse soit financièrement sécurisée (par l'Espagne et la France) afin qu'elle puisse l'accueillir sur son territoire.

Mais .. comme je l'ai lu dans la monographie susmentionnée, elle a toujours lutté avec des dettes tout au long de son séjour à Prague et n'a pas obtenu de sommes à temps, si jamais .. mais généreuse était toujours \ pour les pauvres soldats handicapés ../


J'ai encore une étude inachevée sur son séjour a Praque.. mais ça touche à sa fin.

Cordialement, Léos


les sources:

Augsburgische Ordinari Postzeitung von Staats-, gelehrten, historisch- u. ökonomischen Neuigkeiten (Augsburger Postzeitung), /1802/

Staats- und gelehrte Zeitung des Hamburgischen unpartheyischen Correspondenten  /1802/

Kurpfalzbaierische Münchner Staats-Zeitung (Münchener politische Zeitung),/1802/



d.p...  Je m'excuse pour l'inexactitude de la traduction



Augsburgische Ordinari Postzeitung von Staats-, gelehrten, historisch- u. ökonomischen Neuigkeiten (Augsburger Postzeitung), 9.11.1802
/Mayland, den 30. Okt, - Am 22. dieß ist die verwittibte Herzogin von Parma mit einem Gefolge von 8. Kutschen von Parma über Verona nach Venedig und Treviso abgereiſt. In lezterer Stadt wird sie den Herzog von Modena besuchen. Wohin sie sich von da wenden  ist noch nicht bekannt./
Le 22, la duchesse veuve de Parme avec une suite de huitièmes voitures quitta Parme via Vérone pour Venise et Trévise. Dans cette dernière ville, elle rendra visite au duc de Modène. On ne sait pas encore où elle va.


Kurpfalzbaierische Münchner Staats-Zeitung (Münchener politische Zeitung), 15.11.1802
Rome, 3.11, 1802
Die Witwe Herzoginn von Parma hat 40000 Zechini a Witwengehalt: Sie ist nach Oestereich abgereiset.
La veuve duchesse de Parme a 40 000 zecchini de salaire de veuve: elle est partie pour l'Autriche.


Staats- und gelehrte Zeitung des Hamburgischen unpartheyischen Correspondenten, 19.11.1802
Aus Wien
Unserer Hof beſchäftigt sich damit der verwittwe en Herzogin von Parma eine standes - und tracta enmäßige Appanage zu bewirken, und man soll dieserwegen auch mit dem Spanischem Hofe in Correspondenz getreten sein.
Notre cour / de Vienne/ est soucieuse de faire de la duchesse de Parme un appanage convenable et semblable à un tracta, et on aurait donc dû entrer en correspondance avec la cour espagnole.


Augsburgische Ordinari Postzeitung von Staats-, gelehrten, historisch- u. ökonomischen Neuigkeiten (Augsburger Postzeitung), 20.11. 1802
8.11 Verona
Die bisherigen Parmeſaniſchen Truppen ſind von der franzöſiſchen Regierung angewieſen worden, Parma zu verlaſſen, und ſich nach Toskana zu begeben Sie ſind auch dereits 1144 Mann ſtark, dahin aufgebrocher. Das Hans Oestreich vergozirt in Paris für die Herzogin von Parma eine Penſion,
La maison autriche à Paris a gazé une pension pour la duchesse de Parme.


Staats- und gelehrte Zeitung des Hamburgischen unpartheyischen Correspondenten  30.11.

Nach den hiesigen Blättern erhält die verwittwete Herzogin von Parma eine Pension von 150000 Piastern von Spanien. 10000 Piaster hat sie unter die Armen zu Parma vertheiten lassen.

Selon les informations locales, la duchesse de Parme, veuve d'Espagne, reçoit une pension de 150 000 piastres. 10 000 piastres se sont creusés parmi les pauvres de Parme.

Augsburgische Ordinari Postzeitung von Staats-, gelehrten, historisch- u. ökonomischen Neuigkeiten (Augsburger Postzeitung), 15.12.1802  
Straßburg, den 10. Dec.- .
Die franzöſiſche Regierung hat dem Wienerbof die Verſicherung ertheit, daß der erſte Konſul der verwittibten Herzogin von Parma ein anstänoiges Wittwengehalt ausgemittelt habe.

Le gouvernement français a donné au  Cour de Vienne l'assurance que le premier consul a la duchesse veuve de Parme avait arrangé un salaire de veuve décent.


Augsburgische Ordinari Postzeitung von Staats-, gelehrten, historisch- u. ökonomischen Neuigkeiten (Augsburger Postzeitung), 06.12.1802

Verona 23.11
Italianische Blätter behaupten unamehr, du konig von Spanien, du der de verwitwette herzogin von Parma eine jahrige Pensinon von 150 000 Piastre ausgesezt, dieser edelmuthige princessin sei selber entschlossen von diese Summe Jahrich 50 000 piaster unter die jenige Personen auszutheilen, die durch regirungsveranderlung ihren bisherten unterhalt verlieren.

Les feuilles italiennes réclament /affirment/ de plus en plus, roi d'Espagne, la duchesse veuve de Parme fixe une pension d'un an de 150 000 piastre. que cette noble princesse était déterminée à distribuer 50 000 piastres à ces qui perdent l'entretien précédent en raison de changements de gouvernement.

Grand merci, mon cher Leos, pour ce long post sur les oeuvres charitables de Marie-Amélie . Ainsi donc, l'archiduchesse donnait, donnait, à son propre détriment et jusqu'à contracter des dettes personnelles .
Vous avez toujours accès à des sources qui nous sont inconnues et d'autant plus précieuses !

Chere Eli,

pour moi l'écriture schwabacher est difficile à lire, mais le désir de connaissance est plus grand .. et j'aime le partager avec les autres .. ça me fait plaisir.
/Par exemple, j'ai lu dans l'un des journaux/'écriture schwabacher,/ de 1784,lque la reine adorait chasser dans le foret de Saint-Germain ... mais je le tourne de Parme à notre reine bien-aimée a Versailles/.

Oui Amalia n'a peut-être pas été personnellement sympathique, mais elle était certainement généreuse et remarquable.

Leos

Cher Leos,

Je vous félicite de tout coeur pour vos fructueuses recherches ; vous avez eu accès à des sources inédites, c'est vraiment épatant et très méritoire pour vous.

De fait, si la duchesse de Parme est partie de Parme en 1802, accompagnée d'un cortège de huit voitures, on peut sans crainte avancer les chiffres de quinze à vingt personnes de sa suite, sans compter probablement quelques gardes du corps. Sans doute également a t-elle emporté des bijoux et objets précieux, mais la duchesse a vraisemblablement dû vendre la majeure partie de ces biens pour subvenir aux dépenses de son exil, et cela malgré l'aide financière de l'Espagne, de l'Autriche et de la France. Marie-Amélie était l'épouse d'un souverain, elle avait donc droit à des égards : sa malheureuse sœur, Marie-Antoinette en 1792 et 1793 n'a bénéficié d'aucun égard mais en 1802, le climat de terreur n'était plus de mise ( heureusement ! ) et la France avait renoué avec des formes pré-monarchiques, notamment dans ses relations diplomatiques.

Bonjour Leos,
Je me permets de m'adresser à vous pour ceci : peut-être savez-vous où se trouveraient (afin de les consulter) les archives de la correspondance de l'archiduchesse Marie-Amélie avec ses soeurs Marie-Caroline et Marie-Antoinette : Parme, Vienne, Prague ?

Cher Lecreateur
Malheuresement..je ne sais pas.. je voudrais les trouver..Leos

S'il en reste quelque chose, les historiens auront bien de la chance... J'ai longtemps travaillé sur le dossier Marie-Amelie, je crois que je n'ai retrouvé, si ma mémoire est bonne, aucune trace privée entre l'infante de Parme et ses sœurs.
Seules et maigres compensations : Marie-Antoinette fait parfois allusion à Marie-Amelie dans sa correspondance avec sa mère ; la reine Marie-Caroline parle parfois de Marie-Amelie dans des termes très brefs dans son Journal ; et enfin la reine de Naples parle d'elle rarement et succinctement dans ses lettres au marquis de Gallo.

Leos a écrit: Merci, cher Leos ! Il y a évidemment peu de chances, mais qui sait, peut-être dans une brocante à Zlin ?!

Il y a quelques années, j'avais moi-même trouvé des choses très très intéressantes chez un bouquiniste à Ostrava... mais cela n'avait malheureusement aucun rapport avec la reine Marie-Antoinette !

Dominique Poulin a écrit: S'il en reste quelque chose, les historiens auront bien de la chance...

Merci, cher Dominique, pour ces très précieuses indications ! J'avais moi-même fait quelques coups de sonde, mais très sommaires. Vous confirmez ainsi ce que je pressentais. Il est vrai qu'il est tout à fait possible que de gros morceaux de telle ou telle correspondance, tant privée qu'officielle, aient été mis à l'abri ou même détruits, pour les soustraire à la curiosité de personnes ou d'instances malintentionnées. Ce qui m'avait intrigué, c'est dans le livre de C. Hyams (Mémoires d'une espionne de Marie-Antoinette, Mercure de France, 2019) une note (que je n'arrive pas à retrouver en ce moment !) disant que Marie-Antoinette, depuis le Temple, correspondait avec sa soeur,  la duchesse de Parme, et que celle-ci fut (peut-être la dernière) à recevoir ainsi des nouvelles de la Reine

Présenté prochainement en vente aux enchères...

Portrait of Archduchess Maria Amalia of Austria (1746–1804), Duchess of Parma
Habsburg Court Painter, 18th Century
oil on canvas, 71 x 57 cm, framed


Lot Essay

Archduchess Maria Amalia of Austria was the daughter of Empress Maria Theresia and Emperor Francis I. She was married against her will to Ferdinand of Parma, which led to a difficult relationship with her mother. In 1796, the duchy of Parma was occupied by French troops under Napoleon. Following Ferdinand’s death in 1802, Maria Amalia left Parma and moved to Prague, where she died in 1804.



* Source et infos complémentaires : Dorotheum - Vienne, vente du 3 mai 2023


C'est heureux que ce portrait soit titré sur la toile, car nous retrouvons sur le net un autre portrait similaire, mais mal (ou différemment) identifié. Et ici même d'ailleurs, donné une fois comme le portrait de l'archiduchesse Marie-Elisabeth, une autre celui de Marie-Christine.
Il est également rapproché d'autres portraits dans le même goût, mais de l'archiduchesse Marie-Anne cette fois-ci !!    


Bref, voici donc la version similaire conservée par la Galerie de la ville de Bratislava, et qui la présente comme un portrait de...


Archiduchesse Marie-Elisabeth  
Anonyme, 18e siècle
Huile sur toile, c. 1765  
73.2 cm x 57.0 cm
Image : Galéria mesta Bratislavy, GMB

Retour sur quelques autres portraits de Marie-Amélie, soit qui n'avaient pas encore été publiés ici, soit avec une image de moins bonne qualité de résolution.

De l'importance de bien choisir ses peintres...


Archiduchesse Marie-Christine (à gauche) et Marie-Amélie
Martin van Meytens der Jüngere
Dessin
14,9 x 17 cm
Image : Albertina, Wien


Archduchess Maria Amalia of Austria, Duchess of Parma and Piacenza
Jean-Etienne Liotard
black chalk, red chalk, graphite and watercolor
1762, commissioned by Empress Maria Theresia of Austria
31.8 cm x 25.7 cm
Image : Musée d’Art et d’Histoire de Genève


Marie-Amélie, archiduchesse d'Autriche
Auteur inconnu, (à gauche), Marie-Christine d'Autriche (à droite)
Images : Schloss Schönbrunn Kultur und Betriebsges.m.b.H et Slovakiana



Marie-Amélie, archiduchesse d'Autriche
Josef Hauzinger
Peinture à l'huile, 1765-70
363 cm X 170 cm
Innsbruck, Hofburg, Riesensaal
Image : Zentralinstitut für Kunstgeschichte, Photothek


Archiduchesse Marie-Amélie
Maître de peinture des archiduchesses
Huile sur toile, c. 1767
Image :  Kunsthistorisches Museum Wien, Gemäldegalerie


Marie-Amélie, archiduchesse d'Autriche
Joseph Ducreux (attr.)
Pastel, 1769
H. 68,6 ; L. 52,8 cm
Image : RMN-GP (Château de Versailles) /  Franck Raux


Portrait de Marie-Amélie d'Autriche, duchesse de Parme
attribué à Martin van Meytens
Image : Commons Wikimedia



Marie Amélie Joséphine, archiduchesse d'Autriche, infante, duchesse de Parme
Alexandre Roslin
Huile sur toile, 18e siecle
0,92 x 0,75 cm
Images : RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / Adrien Didierjean


Marie Amalie (1746-1804), archiduchesse d'Autriche duchesse de Parme
Anonyme
Huile sur toile, 18e siècle
168,5 x 96 x 14 cm (avec cadre)
Image : Nationalmuseum, Stockholm


Images : Nationalmuseum, Stockholm


Portrait of Archduchess Maria Amalia of Austria (1746-1804)
Domenico Muzzi, formerly attributed to Johann Zoffany
Oil on canvas, 18th century
104,4 x 87,6 cm
Image : Galleria nazionale di Parma / Commons wikimedia


Archduchess Maria Amalia of Austria, Duchess of Parma and Piacenza
Parmese school
oil on canvas, 18th century
58.5 x 44 cm
Image : Christie's



Marie-Amélie d'Autriche
Anonyme, d'après Johann Zoffany
Huile sur toile, 18e siècle
104 x 90 cm
Collection de Manuel Godoy (probablement précédemment de la collection de l'infant Don Louis de Bourbon)
Image : Royal academy of fine arts of San Fernando

La nuit, la neige a écrit: Retour sur quelques autres portraits de Marie-Amélie, soit qui n'avaient pas encore été publiés ici, soit avec une image de moins bonne qualité de résolution.

De l'importance de bien choisir ses peintres...

.... Finalement, nous avons peu de portaits à proposer. De fait, elle était considérée comme belle, au moment de son mariage, je trouve qu'elle s'est enlaidie avec le temps. La féminité n'était pas son fort, elle aimait la chasse, le grand air, le mouvement... Comme elle a dû s'ennuyer ferme à Parme !

Dominique Poulin a écrit:s'ennuyer ferme à Parme..C

Comment est-ce possible alors que Colorno est à côté ?! J'ai adoré ce petit Versailles !

Elle aimait les grands espaces, la principauté ne pouvait lui suffire.