L'archiduchesse Marie-Amélie (1746-1804), duchesse de Parme et Plaisance

Dominique Poulin a écrit:J'aime beaucoup ce portrait de Roslin pourtant...

En 1769, l'année de son mariage, l'ambassadeur La Houze trace les traits de la duchesse de Parme à vingt trois ans :
"Un air majestueux, de grands yeux bleus, des cheveux châtains et une physionomie régulièrement belle." 
Source : "l'Infant de Parme" de Elisabeth Badinter.

Or le portrait de Roslin date de 1778... Je ne sais pas, c'est sûr que l'attribution est bonne, on ne parle pas d'un peintre de seconde zone. Et c'est vrai qu'il est magnifique. Et tellement plus que tous les autres que nous voyons ici. C'est pour cela que je suis étonnée qu'on ne puisse y déceler aucune ressemblance entre eux.
Pour les moches, on voit bien la même personne.
Roslin semble être un intrus, pour sa facture, mais aussi pour le modèle.

D'autant qu'en général, nous qui sommes habitués aux portraits de Marie-Antoinette, nous reconnaissons tout de suite ces traits Habsbourg si typiques. On retrouve la forme du visage, les yeux un peu globuleux, le front bombé et bien sûr les lèvres.
D'autant que si l'on regarde bien, elle n'a pas les yeux bleus, ce qui est le cas des autres portraits postés.
Là, cela en devient troublant...  

Je veux bien croire que Roslin a souhaité enjoliver son modèle, mais de là à lui modifier la couleur de ses yeux, c'est un peu fort.

J'ai regardé mon catalogue sur l'expo de Roslin, il n'y figure pas, c'est dommage.
Néanmoins, un portrait de la duchesse de Parme est bien attesté (sans confondre avec un autre de sa belle-mère Madame Infante). Elle et sa sœur Marie-Christine auraient posé pour lui mais ce seraient plaintes de la longueur des poses. Ce qui fit refuser ensuite leur mère de lui passer commande à son tour. Un portrait de Marie-Antoinette dauphine aurait existé également mais qui n'eut pas l'heur de plaire (on sait que jeune, Marie-Antoinette se plaignait tout le temps de ses portraitistes).

En feuilletant, je suis tombée sur ses portraits de Mesdames, du Dauphin leur frère, de Louis XVI. D'autres modèles que nous connaissons bien et que nous reconnaissons sans problème ici chez Roslin, proches de ceux que nous connaissons de Drouais, Duplessis, etc.

Il ne semble donc pas que Roslin s'accapare son modèle de façon à devenir unique entre ses mains. Dommage que les portraits de Marie-Christine et surtout de Marie-Antoinette semblent avoir disparu de la circulation car peut-être avait-il une façon bien à lui de représenter les archiduchesses.
Mais bon, s'il a également peint Marie-Antoinette avec les yeux marron, je comprends mieux qu'elle ne l'ait jamais rappelé...

Je n'en sais pas plus, je ne connais pas grand chose à cet artiste.
Cependant, aucun doute que ce portrait de Roslin fasse "intrus" à côté de tous les autres.

C'est chouette cette enquête, merci chers intervenants, j'avais oublié à quel point cela me plaît !

Reinette a écrit:J'ai regardé mon catalogue sur l'expo de Roslin, il n'y figure pas, c'est dommage.

J'ai regardé tout-à-l'heure aussi... j'allais y rejeter un coup d’œil... persuadé de l'y avoir vu... Je ne m'acharnerai pas à cette recherche, grâce à toi... Merci


Bien à vous.

Cette enquête ressemble à celle concernant le portrait de Marie-Antoinette qui semble avoir été celui de Madame Sophie...

https://marie-antoinette.forumactif.org/t824-perin-marie-antoinette-ou-madame-sophie?highlight=Sophie


Bien à vous.

J'ai quelque chose la dessus dans mon dossier Marie-Amélie, je diffuserais en ligne demain ce que j'ai sur ce portrait de Roslin.

Ce portrait de Zoffany, vers 1790, La duchesse en noir ... peut-être après la mort de Joseph, l'empereur ... ou peut-être sa sœur, La Reine de France.
Leos

Merci pour ce portrait. Il me fait penser, en moins réussi, à celui à peu près contemporain de Marie-Antoinette en deuil par Kurcharski. Je ne peux poster d'images de mon téléphone mais je pense que vous voyez sûrement duquel je parle. Pas celui de 1793, je précise. Un autre où elle est en deuil de son fils ou de son frère.

Dominique Poulin a écrit:Il y a quelques années, le portrait de la duchesse par Roslin, se trouvait à l'Élysée, peut-être s'y trouve-t-il encore.

J'ai corrigé mon message, parce que j'avais (trop vite) lu, sur le net, qu'il était en collection privée...
Merci Dominique.
Alors les chanceux sont les locataires de l'Elysée, s'il y est encore, en effet ?

Nous le retrouvons, sur cette photo, qui illustre la décoration du salon Cléopâtre (en 2013) :



* Source : http://www.olivierberni-interieurs.com/en/node/73

Leos a écrit:Ce portrait de Zoffany, vers 1790, La duchesse en noir ...

Merci Leos.

En effet, ce portrait n'est guère flatteur...

Duchessa Maria Amalia d'Austria
Johann Zoffany
Image : Galleria Nazionale / Sailko on Commons Wikimedia

Reinette et Majesté ont évoqué le catalogue de Roslin à propos du portrait de Marie-Amélie qui n'y figure malheureusement pas.

Il me semble l'avoir emprunté il y a quelques années à la bibliothèque Universitaire car j'ai conservé une note à ce sujet.

Le titre de ce livre est "Alexandre Roslin, un portraitiste pour l'Europe 1718-1793", Éditions de la RMN/2008.
Est-ce celui-ci ?

Voilà ce que j'avais noté au sujet de Marie-Amélie, mais je n'ai pas le numéro de la page qui y correspond :

"Après son séjour à la Cour de Russie, il dut se contenter d'immortaliser les filles de l'impératrice Marie-Thérèse, la Duchesse Marie-Amélie de Parme et la Duchesse Marie-Christine de Saxe-Teshen.
Il est possible que cela satisfisit, le concurrent de Roslin, le Suisse Liotard, lequel semble s'être alarmé de l'arrivée du peintre Suédois. Il écrivit en effet à son épouse :
"L'impératrice et ses filles s'inquiètent   que je ne les rende pas assez belles et je n'ai donc pas le droit de peindre ni l'une, ni l'autre."
L'auteur ajoute "Roslin quitta Saint-Petersbourg en août 1777, pour ensuite gagner Vienne. Ses deux portraits d'archiduchesses ont probablement été exécutés dans les derniers mois de l'année ou au début 1778."

Bon soir a tous,
J'envoie un autre portrait de Marie Amélie (découpe) de la peinture à l'huile conservée dans le salon Habsburg du château de Prague.
Demain, j'énvoyerai une lecture longue et quelque peu morbide sur la recherche des restes de Maria Amalia.
Leos

Il y a quelques années, j'ai vu ce portrait sur un site Internet et puis j'ai perdu l'adresse et n'ai pu le retrouver. 
Grand merci cher Leos !
La duchesse de Parme dévoile un air spirituel plus que beau sur ce portrait.
En connait-on l'auteur ?
De même, la tombe de Marie-Amélie a t-elle été ouverte pour parlez ainsi de ses restes et dans le cadre de quelle enquête ?

Dominique Poulin a écrit:Le titre de ce livre est "Alexandre Roslin, un portraitiste pour l'Europe 1718-1793", Éditions de la RMN/2008.
Est-ce celui-ci ?

C'est bien ce catalogue que je possède, cher Dominique


Bien à vous.

C'est un portrait dans le salon de Habsbourg au château de Prague. Parmi eux se trouve le portrait de Marie Antoinette, il est possible qu'il ait déjà été discuté sur ce forum. Je ne connais pas l'auteur.
Leos

Je voudrais apporter un peu de la science ...

Sur l'ancien forum, j'ai fait référence à un article intéressant qui a été publié en 1995 dans l'une de nos revues scientifiques appelées Univers. On discute des restes de Marie Amélie.
Maintenant, je l'ai traduit pour vous par le traducteur.
Je m'excuse pour le manque de traduction
Alors je l'apporte vraiment le dernier portrait
Il existe encore un article suivante dans meme revue appelé
Caractères héréditaires inscrits dans les visages de la famille Maria Theresa.

http://casopis.vesmir.cz/clanek/marie-amalie-numizmatika-a-antropologie

Leos

En 1804, dans la tombe des rois tchèques au château de Prague a été enterrée  Marie Amálie, la fille de l'impératrice et la reine Maria Theresa, et Francois de Lorraine
Ce dernier enterrement dans la tombe royale était aussi le dernier enterrement d'un membre de la famille impériale des Habsbourg à Prague.
Après la réparation de la tombe royale de 1928 à 1935, seul le sarcophage de l'empereur Rudolf II et le cercueil d'étain de Maria Amalia a été laissé par les cercueils originaux.
Les autres vieux cercueils en bois des rois tchèques (commençant par Charles IV et la fin de Georges de Bohême) ont été remplacés par des métaux et incorporés dans des pierres tombales modernes.
Le cercueil de Marie Amalia n'a pas été ouvert à ce moment-là, et les restes de la Duchesse n'ont été ni traités ni examinés
En 1970, l'efflorescence blanchâtre a commencé sur le cercueil et l'humidité ci-dessous a signalé la corrosion ou la plaque d'étain du cercueil et donc Les bâtiments présidentiels et de bureaux du bureau du président ont décidé de réparer le cercueil.
Marie Amalia est née en 1746 en tant que huitième enfant de l'impératrice et de la reine Marie-Thérèse et Francois de Lorraine
À l'âge de 23 ans, elle épouse Ferdinand, le duc de Parme.  On dit que par leur morale légère, qui a faussé la politique financière du pays  La petite joie de ma mère,  était à couper le souffle dans toute l'Europe.
Après la veuve, elle a quitté Parme et a vécu à Prague, où elle est décédée en 1804. Elle a été exceptionnellement enterrée dans la tombe royale de St. Viet
L'exhumation comisionele des vestiges de l'archiduchesse  était le 4 octobre 1971, J. Tesař (médecine légale), prof. R. Čihák (anatomie), dr. J. Pelikán (chimie), dr. E. Poche (histoire de l'art), auteur et personnel du département anthropologique du Musée national de Prague.
Les restes corporels de la duchesse se composaient d'un simple cercueil d'épinette sans couvercle placé dans un cercueil de chêne avec un couvercle portant les restes polychromes représentant le Christ.  Enfin, le cercueil a été déposé dans un cercueil d'étain, qui était représenté sur le couvercle du manteau et croisé et sur ses côtés portant huit anneaux, allongés dans la tête du lion. Les reliques ont été emballées dans un linceul soyeuse couleur brun ornée d'une garniture de dentelle.
Après l'effondrement du linceul, le cadavre de la Duchesse était vêtu de robe plissé la couleur brun. La tête de mort  était couverte par un chapeau lié sous le menton au nœud.
Les gants étaient sur leurs mains et les talons de tissu avec leurs talons sur leurs pieds.
Les mains sur ses genoux portaient un chapelet orné d'une croix en bronze avec un corps en plastique.
Une boucle jaunâtre coupée a été insérée dans la main droite du défunt. Le corps se trouve dans une position anatomique intacte sur le dos, la tête légèrement courbée sur l'épaule gauche.
Il y avait un long coussin sur le fond du cercueil, et l'autre plus petite au-dessous de la tête; Les deux ont été remplis d'humus brut d'Erica arborea, probablement apporté de Parme (déterminé par A. Pilate, National Museé à Prague)
Le squelette recouvrait la masse élastique brun cassé, irrégulièrement attachée à son propre squelette, correspondant à la peau momifiée, au tissu sous-cutané et aux muscles morts. À plusieurs endroits, cette masse était couverte par le produit de décomposition amorphe blanchâtre et sèche des os et du sulfate de sodium utilisé dans l'embaumement (examiné par Č Šedivý, Institut d'Etat pour les soins de monuments et la conservation de la nature, Prague).
De même, le squelette facial est resté. Remarquable était la préservation de l'épingle à cheveux entière, habillée dans une coupe de cheveux d'une période et la préservation des ongles sur les mains et les pieds.

Le corps de la duchesse momifiée était en grande partie en décomposition et les tissus mummifiés doux ne pouvaient pas être sauvés, de sorte que le squelette a été nettoyé puis conservé.
Le corps de la duchesse a été embaumé de la manière habituelle au 18ème siècle.
Le crâne a été ouvert en coupant la canopée et l'ouverture ovale de la taille 111 x 129 mm a été enlevée par le cerveau.  La cavité abdominale a été ouverte par une section commençant sous la protubérance gonflée du sternum et se terminant au-dessus de la symphyse. Dans la cavité thoracique, les poumons et les cœurs ont été laissés dans la cavité du foie abdominal. Les autres organes (intestins) ont été enlevés. Les trous naturels du corps ont été tassés avec des parties de l'éponge (Spongia officinalis, déterminée par V. Pfleg, NM à Prague). Deux bouchons de l'éponge ont été insérés dans la cavité buccale, et dans la petite casserole, l'éponge était au-dessus du rectum pour éviter que la solution conservatrice ne s'échappe du corps. Les cavités ont été remplies de sciure, d'aiguilles et d'herbes, et toutes ont été associées à une solution de préservation du sulfate de sodium avec des huiles. Les incisions sur la tête et sur l'estomac ont été cousues avec un fil mince. Le crâne de la duchesse a été ramassé séparément. C'est une structure graciliste et typiquement une femme. Sauf pour la paroi avant cassée de la mâchoire supérieure et des protubérances alvéolaires, des défauts dans les parois des oreilles et l'os occipital est conservé. En plus de la couture du volet encore ouvert entre l'os et les os du paysage d'asterion temporel et ouvert, les autres coutures crâniennes majeures sont totalement envahies et inimaginables. L'atrophie des prothèses des deux mâchoires est avancée et les mâchoires portent des dents très usées et corrodées.Tout cela correspond à des individus à l'âge de soixante ans et accepte l'âge chronologique bien connu de Marie Amalie - 58 ans. De l'autre squelette post-squelettique du bassin, malgré une mauvaise conservation, il illustre sans aucun doute le sexe féminin. Les os du squelette post-crânien ont été conservés différemment.
Ils sont légers, ocre léger à brun foncé, recouvert de petites particules de tissus momifiés. Comme plusieurs os longs ont survécu tout au long de la longueur, il était possible de déterminer la hauteur de la duchesse à 161 à 162 cm.C'était une figure mince, une robustitie moyenne à faible.
Une fois le squelette assemblé, la longueur maximale de la piste était de 20,2 cm.  Les résultats pathologiques ont révélé une spondylarthrose de la colonne vertébrale entière, un bloc osseux congénital dans les vertèbres cervicales C6 - C7 et le crâne d'une marque typique de rachitisme - rachitisme.
J. Tesar à l'Institut de médecine légale, par un examen répété par la méthode de dessiccation et le test d'élution par absorption des échantillons de tissu osseux de Duchesse, a clairement identifié la propriété du groupe AB0, à savoir le groupe A.
L'authenticité des restes de la Duchesse est absolument incontestable. Elle était mince, d'environ 162 cm de hauteur, sa tête courte et son long visage. Les deux portraits concurrents, à la fois sur la peinture à l'huile et sur la médaille de mariage, représentent fidèlement son visage. Les cheveux conservés étaient de couleur lumineuse. Dans l'adolescence de Marie Amalia, elle a souffert d'une carence en vitamine D. Au cours des années, elle a souffert d'une spondylarthrose totale considérable de toute sa colonne vertébrale. La cause de sa mort ne peut être exprimée à partir de la découverte du squelette et des restes des tissus momifiés.

Epingle à cheveux préservée de l'archiduchesse Marie Amalia

Que de détails peu ragoûtants !

Certes oui mais Leos bravo pour l'histoire de ces "restes".

Merci, cher Leos, pour ce grand article .
Vous nous disiez :

Leos a écrit:
Chers amis,
Je voudrais joindre à ce sujet quelques unes de mes trouvailles sur la vie de Marie-Amélie.
Je les tire du livre de Fridrich Weissensteiner Les filles de Marie-Thérèse
Marie-Amelie était en bons termes avec ses sœurs Marie-Anne et Marie-Elisabeth.
Marie-Élisabeth a résidé à la Hofburg à Innsbruck.
Elle a même rendu visite aux deux au printemps 1783.
Pendant son séjour à Innsbruck chez Marie Élisabeth, elle a rencontré Casanova .
Puis elle a séjourné aussi un certain temps chez Marie Anne à Klagenfurt.

Un très beau portrait de famille de Marie-Amélie se trouve dans la  www.schlosshof.at - Pressenservice - Bildarchive
Les pages sont aussi en français
Bonsoir.
Je joindrai encore autre chose si je peux
Leos

Je ne savais pas qu'elle avait rencontré Casanova !  

Oui ...
J'envoie un extrait du livre Lettres de femmes à Jacques Casanova. Cette réunion est mentionné

Francesca Buschini A Monsieur Casanova de Seingalt,
en poste restante, Augsbourg.
Venise, vendredi n juillet 1783.
Je réponds à la chère lettre que vous m'avez écrite d'Augsbourg le 29 juin, dans laquelle j'ai vu que vous vous étiez arrêté à Innsbruck pour aller au théâtre où vous dites que vous avez eu l'honneur de vous entretenir avec la duchesse de Parme (1), et puis que vous êtes parti tout de suite et que vous avez voyagé quarante-huit heures sans vous arrêter. Grand homme que vous êtes, vous, pour voyager! Je suis bien heureuse de vous savoir en parfaite santé.

(1) Maria Amalia, duchesse de Parme, comme on le lit dans le Wiener Diarium du 31 mai 1783, séjourna en effet à Innsbriick du 22 au 30 mai de cette année.

Mme de Sabran a écrit:Que de détails peu ragoûtants !

Peut-être un peu macabre, mais n'est-ce pas là le sort qui nous est réservé à nous tous ?
En tout cas, merci pour ce rapport fascinant des restes de l'archiduchesse Leos
On reconnaît encore la coiffure à l'enfant que Maria Amalia avait sans doute continué à porter jusqu'à sa mort...

Après tous ces détails morbides, revenons à la jeunesse de l'archiduchesse, avec ce joli portrait de Liotard, effectué en 1762 :

Merci pour ce magnifique dessin de Liotard ! Quelle délicatesse ...

J'ai été surpris par les résultats de cette recherche.
On penserait que la famille impériale n'a pas épargné la carence en vitamine D, peut-être pas due au manque de soleil, mais à cause du manque de sel iodé.

Elle était mince, d'environ 162 cm de hauteur, sa tête courte et son long visage.
Les cheveux conservés étaient de couleur lumineuse.
Dans l'adolescence de Marie Amalia, elle a souffert d'une carence en vitamine D.
Au cours des années, elle a souffert d'une spondylarthrose totale considérable de toute sa colonne vertébrale

Leos a écrit:Elle était mince, d'environ 162 cm de hauteur, sa tête courte et son long visage.

Ce qui indique bien que Marie-Antoinette devait plutôt 1,63m que 1,72m ... qui sont les deux "extrémités " de taille entre lesquelles on s'interroge parfois à Son propos ...


Bien à vous.

Merci, cher Leos, pour cette enquête intéressante...