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Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794)

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Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 Empty Re: Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794)

Message par Mme de Sabran Dim 13 Jan - 10:46


Les dépêches d'office du comte de Mercy, c'est à dire ses rapports mensuels à la Chancellerie de Vienne ( soit Kaunitz ) , pouvaient parfois atteindre une centaine de pages ! Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 3231074342

( source Hervé Hasquin )

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Message par La nuit, la neige Dim 13 Jan - 16:53

Très consciencieux !! Surprised
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Message par Mme de Sabran Ven 18 Jan - 7:59


Oui, n'est-ce pas ! Very Happy C'est fou .  Shocked Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 1123740815
Ces gens-là passaient leur vie à écrire, écrire, écrire ...
Hervé Hasquin poursuit :

Les rapports de Mercy à Vienne,  les fameuses " dépêches d'office "  généralement rédigées en allemand, se divisaient en deux catégories, les hebdomadaires et les mensuels. Les premiers suivaient le cheminement de la poste : les risques qu'ils soient ouverts, lus et recopiés par les services du roi de France étaient considérables.  Aussi, ces missives étaient-elles généralement courtes et impersonnelles; leur auteur en arrivait même à falsifier ses vrais sentiments à propos de tel ou tel événement pour induire en erreur l'indiscret potentiel. Un rapport tronqué pouvait endormir la méfiance ...  Dans ces conditions, Mercy réservait ses informations les plus détaillées et les plus sensibles pour les dépêches mensuelles.  Elles étaient acheminées par courriers, des messagers assermentés qui parfois transitaient par Bruxelles avant de faire étape en terre d'Empire par Cologne, Francfort, Nuremberg, Ratisbonne, Passau et Linz jusqu'à Vienne. En temps normal, il fallait deux ou trois jours pour relier Paris à Bruxelles, et environ sept à huit jours pour parcourir les 1100 kilomètres qui séparaient la capitale des Pays-Bas autrichiens de celle de la monarchie. Bref, les informations parvenaient à Vienne en dix jours en moyenne .

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Message par Mme de Sabran Ven 18 Jan - 14:41


Suite ... ( de laquelle nous nous doutions bien ... Wink )

Le nec plus ultra des échanges épistolaires de Mercy résidait dans sa correspondance particulière et donc secrète avec Marie-Thérèse, Joseph II, Kaunitz. Les avis et commentaires personnels y affleuraient, de même que les indiscrétions les plus rares. L'ambassadeur était suffisamment habile pour s'adapter aux préoccupations de ses lecteurs. Alors que l'impératrice était avide de détails quant à la conduite de sa fille, il était à même de relativiser ces défauts. Lorsqu'il les évoquait à Kaunitz, en revanche, il osait avec le chancelier recourir à des jugements formulés en termes extrêmement sévères à l'égard de la reine lorsqu'il s'agissait de stigmatiser son manque de culture politique. Ses lettres à Joseph II faisaient en général l'économie des faits et gestes de la vie intime de sa soeur pour se concentrer sur les questions purement politiques. Le rusé Mercy savait toutefois jusqu'où ne pas aller trop loin lorsqu'il appréhendait les réactions trop abruptes de l'empereur quand l'attitude de Marie-Antoinette ne répondait pas à l'attente. Bien que blessé lui-même de ne pas avoir été écouté par la reine, Mercy estimait préférable qu'elle ne soit pas meurtrie dans son amour-propre par les sarcasmes de son frère. Point de gants par contre sur les mêmes sujets avec Kaunitz : le ton était résolument, voire étonnament libre, lorsqu'il s'agissait de décoder et de critiquer ce qu'il estimait être des manquements aux intérêts de l'Autriche .

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Message par Mme de Sabran Ven 18 Jan - 21:07


On le voit, Casanova avait raison de dire que les seuls espions avoués sont les ambassadeurs . Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 1123740815


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Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 Empty Le comte de Mercy-Argenteau, esclavagiste ?!

Message par Mme de Sabran Mer 13 Mar - 19:02


Alors non,  Mercy n'a pas pris part à la traite des Noirs, le commerce triangulaire .   Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 1123740815
Mais, et c'est un angle sous lequel je ne le connaissais pas Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 4099329125 , il a eu des possessions à Saint-Domingue. Il a fait exploiter le travail de nombreux esclaves ... Mad

C'est son ami, le banquier Laborde, qui arriva à le convaincre d'acheter des domaines et de se lancer dans la plantation de canne à sucre et la production de sucre blanc. Mercy était à la tête d'une fortune rondelette depuis qu'il avait vendu des propriétés qu'il avait en Hongrie.  Comment résister à l'appât du gain quand ce type de placement était considéré à l'époque comme l'un des plus prometteurs ?

Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 Jean_j10
https://www.google.com/search?q=Jean-Joseph+de+Laborde&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwi30-ao0v_gAhWw1eAKHYCeAeEQ_AUIECgD&biw=1186&bih=490#imgrc=PfY_IWUTodbHEM:

Jean-Joseph de Laborde (1724-1794) était issu d’une très ancienne famille béarnaise. Initié très jeune au négoce par un cousin qui dirigeait une compagnie d’import-export à Bayonne, il deviendra immensément riche et sera à la tête d’un véritable empire commercial, grâce, entre autres, au trafic des piastres espagnoles, à ses plantations sucrières de Saint-Domingue et à la traite des noirs.
Sa fortune colossale lui permettra de devenir le banquier de la Cour, sous Louis XV ; il financera notamment  ( paraît-il entièrement !  Shocked  ) la guerre de Sept ans.
En 1785, en remerciement des services éminents rendus à la Couronne et à la nation, Louis XVI le fera marquis.
http://www.neufhistoire.fr/articles.php?lng=fr&pg=68

Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 Captu346
https://www.persee.fr/doc/rbph_0035-0818_2015_num_93_2_8843_t9_0563_0000_3

 En 1776, Mercy se décide à suivre l'exemple de Laborde déjà propriétaire à Saint-Domingue.  Il se porte acquéreur d'une plantation.
Les propriétés de Mercy, contigües à celles de Laborde, étaient situées dans la plaines des Cayes, au sud de l'île, dans le canton dit de " la plaine à Jacob " ou encore le fond de l'ïle à Vaches, en face de l'ïle du même nom .

L'acquisition se fit le 5 avril 1776 .
Elle comprenait deux concessions :
- l'une de cent carreaux  ( ? ) accordée le 18 juillet 1720 par le marquis de Sorel à Bonnaventure Binard Laborde
- l'autre de soixante-six carreaux accordée au même le 9 mai 1721.

La plus grande partie des surfaces était occupée par la culture de la canne à sucre, mais il était indispensable de consacrer des terres aux cultures vivrières destinées à l'alimentation des esclaves .

Le " mobilier " ( il faut le lire pour le croire !!!  affraid  ) comprenait une centaine de têtes :
dont 50 nègres, 39 négresses, 2 négrillons et 9 négrittes plus 45 mulets et 36 bêtes à cornes.

L'année suivante, il était porté à 173 têtes :
dont 88 nègres, 65 négresses, 5 négrillons et 15 négrittes ...    Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 2815550750

Entre temps, le fond avait été augmenté de 33 carreaux portant la surface totale de l'habitation à 226 hectares.

Mercy, qui ne mit lui-même, jamais les pieds à Saint-Domingue, aurait fait savoir à Louis François Dantan, son régisseur  ( et homme de confiance de Laborde à Saint-Domingue ) :
 "  de composer son atelier de 350 têtes de nègres et même au-delà s'il est besoin et désirer que l'augmentation progressive s'en fasse dans le moins de temps possible parce qu'il pouvait y employer sans délai tous les fonds nécessaires "

Effectivement en l'espace d'un an, les dépenses relatives au " mobilier " et aux travaux de construction se succédèrent à un rythme rapide.
Rien de plus facile puisque les mises de fonds prévues par Mercy étaient généreusement alimentées,  essentiellement par les avances du banquier Laborde.

A la différence de Laborde, Mercy ne paraît pas avoir participé à la traite négrière, mais comme par une ironie du sort, le banquier a appelé l'un de ses navires transporteur d'esclaves " Le comte de Mercy ".   Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 4099329125

Les productions de sucre de Mercy trouvaient preneurs en France, notamment à la maison de commerce Bouteiller à Nantes ou encore le négociant allemand von Bethmann, à Bordeaux, consul impérial dans cette ville et à qui Joseph II rendit visite lors de son voyage chez nous.
Pourtant, dix ans après l'acquisition du bien et malgré les mises de fonds considérables qu'ils avaient consenties, l'ambassadeur et le banquier
tombaient d'accord pour regretter la lenteur avec la quelle leurs habitations respectives entraient en production et le peu de revenus qu'ils pouvaient en tirer contrairement à leurs espérances.
On peut d'ailleurs se demander pourquoi le procureur qui savait à quoi s'en tenir n'était pas intervenu plus tôt puisque la tenue de l'atelier et son attitude au travail n'étaient pas jugés satisfaisantes.


L'une des causes peut avoir été le  " marronnage " qui n'épargna pas les plantations de Mercy.
Quoiqu'il en soit, du milieu des années 1770 au milieu de la décennie suivante, les résultats furent médiocres et les bénéfices très faibles, voire inexistants.  L'embellie ne se dessina que vers l'extrême fin de l'Ancien Régime .

( Sources Hervé Hasquin  Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 Tzolzo24
ainsi que la thèse de M. Bernard Foubert,
soutenue le 21 décembre 1990, à Paris IV (Paris Sorbonne).
"Les habitations LABORDE à SAINT DOMINGUE dans la seconde moitié du XVIII° siècle.
Contribution à l'histoire d' HAITI (Plaine des Cayes)".
http://frph.pagesperso-orange.fr/habitationMercy.htm

En 1789 Laborde s’était montré favorable aux idées révolutionnaires, prônant une monarchie constitutionnelle. Quand la Terreur est mise à l’ordre du jour et que ses amis lui conseillent de partir, il refuse de quitter la France, car il ne voit pas ce que l’on peut lui reprocher, n’ayant « jamais fait de mal à personne ».
A l’automne 1793 il décide finalement de s’enfuir, mais, dénoncé, il est arrêté en novembre.
Il est exécuté le 18 avril 1794,   Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 4223966497
payant sans doute, dans une certaine mesure, le fait d’avoir été, pendant quelques années, fermier général.

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Message par Mme de Sabran Sam 16 Mar - 9:28

Les dossiers étaient gérés, depuis Paris, par l'un des quatre secrétaires de Mercy, Wolfgang Kruthoffer.  Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 1123740815
 Lui, comme Mercy, ne connaissaient ni d'Eve ni d'Adam ceux qu'ils avaient mandatés pour la gestion de la plantation.  Les risques de détournement d'argent et d'escroqueries en tous genres étaient si réels qu'effectivement, en 1778, se pointa un beau jour à la plaine des Cayes un homme accompagné d'une femme, suivis de deux valets .

" Le 31 janvier 1778 à huit heure du soir arriva sur l'habitation de M. l'ambassadeur une personne portant uniforme d'officier de troupe, avec un large cordon vert de droit à gauche sans croix au bout et à la boutonnière un ruban liseré également sans croix.  Cet officier était accompagné d'une dame habillée en homme pour la commodité du voyage  , tous deux dans une chaise, ayant pour suite un domestique indien et une femme de chambre mulâtresse ".

Il dit être Jean Ferdinand comte de Mercy-Argenteau, chevalier de l'ordre de Marie Thérèse, seigneur de Wasberg Constantin en Hainaut et autres lieux, colonel d'infanterie au service de l'empire  et neveu de l'ambassadeur .  Il était  "de petite taille d'environ cinq pieds mais bien faite, âgée d'environ vingt huit à trente ans, d'un maintien très honnête, blond, les yeux bleus, très marqué par la petit vérole, ce qui ne lui donne cependant pas une figure désagréable".

Se prétendant cadet de sa branche, il disait être passé en 1773 avec son épouse à Demerary, en Guyane hollandaise, y avoir formé une caféière où il avait éprouvé de lourdes pertes en nègres et, rebuté d'un pays malsain, l'avoir vendu 160.000 florins payés en lettres de change sur Amsterdam.  Venu en Martinique pour tenter sans succès de les réemployer, il y aurait appris l'existence à Saint-Domingue d'une habitation appartenant à son oncle, ce qui l'aurait incité à gagner le cap où sa femme était venue le rejoindre.
Ses séjours au cap et au port au prince s'étant révélés très coûteux et devant rejoindre son régiment en Juin, il avait un besoin pressant de 25.000 livres afin de retourner en Europe.  Tiens donc !   Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 4099329125

Il fut reçu comme un prince, pensez donc, le neveu de son Excellence !   cheers   En retour de quoi, il donna plusieurs fêtes, aux frais de son oncle bien entendu, entre autre un dîner de trente personnes à Mme la comtesse de Pardaillant .  Mais ce n'est pas tout !   Il fit même des cadeaux aux uns et aux autres : une boite en or à portrait d'une valeur de 4 à 500 livres à Marie Etienne et une traite de 2.000 livres à Louis Jérôme à titre de remerciements,   plus le cabriolet et les trois chevaux avec lesquels il était venu, du reste en piteux état.

Et pouf !  Le 10 mars 1778, parvenu à ses fins, l'escroc quittait Saint Domingue sans encombre, s'embarquait avec sa troupe sur le navire marseillais, l'Hirondelle  et disparaissait dans la nature.  

Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 Ciao ... et mercy !


http://frph.pagesperso-orange.fr/histoiredufauxneveu.htm

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Message par Mme de Sabran Mer 10 Avr - 7:08

Roi-cavalerie a écrit:Chers amis,

Un détail concernant la comtesse Jules de Polignac dans la lecture des dépêches du comte de Mercy Argenteau à l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche m'avait toujours intrigué. Voici le passage en question :
Florimond, comte de Mercy Argenteau (1727-1794) - Page 4 Mercy_10

Ainsi, l'ambassadeur se vante de disposer en la personne de la grand-mère de la comtesse d'une possibilité de se renseigner voire d'avoir une influence indirecte sur cette dernière. Or, à ma connaissance d'alors, les grand-mères paternelle et maternelle de la comtesse étaient décédées. Qui cela pouvait-il donc bien être? En lisant le contrat de mariage de la fille de la comtesse, Aglaé, avec le duc de Guiche ( conservé aux Archives nationales) je crois pouvoir répondre à la question qui me taraudait: il s'agit vraisemblablement  de la troisième épouse de Réné Héraut de Séchelles qui, bien que n'ayant aucun lien de sang avec la comtesse, n'en était pas moins considérée par la société comme une grand-mère. Elle apparaît ainsi en tête de la liste des témoins apparentés à la comtesse Jules. Je cite:
" du coté de Mme Jules de Polignac
Madame Marie Hélène Moreau épouse de M René Héraut de Sechelles, aïeule maternelle,..."

Ce tout petit détail de l'histoire résolu, je peux donc continuer à vaquer à mes occupations habituelles, l'esprit en repos !

Roi-cavalerie

Nota: Il resterait à découvrir par quel biais le comte de Mercy Argenteau avait fait la connaissance de Mme Moreau de Séchelles qui était donc la grand-mère paternel de  Marie-Jean Héraut de Séchelles, député de la Convention ( 1759-1795). On notera toutefois  que Marie-Jean H de Séchelles se chargera d'assurer la sécurité des employés de l'ambassade d'Autriche après le repli aux Pays-Bas autrichiens de l'ambassadeur Mercy-Argenteau. Il y a peut-être là  un indice d'une relation plus ancienne.

Cher Roi-cavalerie, j'ai propulsé votre message et la réponse dubitative que je vous fais dans le sujet de notre petite duchesse . Very Happy
Ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t285p375-la-duchesse-jules-de-polignac#141262

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