Les (bons) mots du XVIIIe siècle qui font mal...

Un post fort chatoyant ma foi......

Oh ! de quoi faire hurler les féministes :      

Sois belle si tu peux, sage si tu veux, mais sois considérée, il le faut.

(  Beaumarchais )

Est-ce vrai chère Eléonore ?

Excellent

Gouverneur Morris a écrit:
Est-ce vrai chère Eléonore ?

Ben non même pas vrai mais, tu comprends, je ne voulais pas être en reste ...

Excellente répartie !!

Mme de Sabran a écrit:M. Poinsinet est revenu de Genève, et, comme il se vantait que M. de Voltaire lui avait confié son secret pour faire d’excellents vers, on lui a répondu : " Parbleu, monsieur, vous le lui avez bien gardé ! .. "


Rappelons que c'est au détriment du malheureux M. de Poinsinet qu'a été inventé, au XVIIIème siècle, le dîner de c...
Notre sujet :
https://marie-antoinette.forumactif.org/t5069-les-mystifications-de-poinsinet?highlight=poinsinet

Mme de Sabran a écrit:
Ben non même pas vrai mais,  tu comprends, je ne voulais pas être en reste ...

Mme du Deffand sur Mme Necker :
" Son seul défaut est de vouloir être parfaite quoique trop appliquée à le faire savoir "

Un familier de Jacques et Suzanne Necker, au mariage de ces derniers :
" Ils s'ennuieront tellement ensemble que cela leur fera une occupation "

Louis xv demande au comte de Lauraguais, rentré d'Angleterre, ce qu'il avait été apprendre dans ce pays-là. - "A penser, Sire" répond Lauraguais. "Des chevaux sans doute" lui dit le Roi.
On ne peut dire que cela fasse mal, mais cela égratigne quand même un peu.

Cette répartie bien connue plaît toujours.

Le dramaturge Crébillon était accusé de ne pas écrire ses pièces. Un jour, on lui demande quel est le meilleur de ses ouvrages. Il désigne son fils qu'il appréciait peu et dit :

- En tout cas, voici le plus mauvais.

Réponse du fils :

- C’est parce que celui-ci, vous l'avez fait vous-même.

1720.

Le Régiment de la Calotte explicité par de Lescure, Adolphe pour ses amis, qui sait bien restituer bien que fonctionnaire à l'époque.

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prix d'éloquence de l'Académie Française en 1884. (a un peu querellé avec Beaudelaire.)
Les confessions de l'abbesse de Chelles, fille du régent, E. Dentu, 1863
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5625736k.r=Les%20confessions%20de%20l%27abbesse%20de%20Chelles%2C%20fille%20du%20r%C3%A9gent%2C%20E.%20Dentu%2C%201863?rk=21459;2
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Mémoires de M.Marais. tome 2. p.134.








Le Régent savait lancer des bordées d'injures aussi.Faut avouer.