Nouvelles salles consacrées au XVIIIe siècle au Louvre

En ce moment, dans la galerie des tabatières, les portraits de Louis XV et Marie Leczinska sont remplacés par ceux de leurs fils et belle-fille, Louis Ferdinand et Marie Josèphe. Superbes, eux aussi pastels de Quentin de La Tour.

Et allez Mme de Sabran, comme tu y vas ( encore ) avec les diams de joséphine......
non ce n'est pas moi. même si le diadème en nacre me plaisait follement......la broche aussi....c'était une petite expo, mais assez complète au fond.
Châle, robe, métier à broder, serre_bijoux, le guéridon de la rue chantereine, portraits, etc etc....

Ma doulce Pauline, ton apparition fugace ce soir me fait grand plaisir ! :n,,;::::!!!:

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Quelqu'un aurait la gentillesse de me dire à qui avait appartenu l'horloge "rhinocéros" que l'on retrouve en page couverture du catalogue? À ma grande surprise, j'ai pu en dénicher une à Montréal et j'en suis rempli de joie. Si ma mémoire est bonne, elle aurait appartenu au frère de Louis XVI. Est-ce exact?

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Ah zut, il n'est pas précisé à qui cette horloge a appartenu :

Les pendules animalières ont fait la réputation du fondeur Jean-Joseph de Saint-Germain dans les années 1750. La particularité de la pendule au rhinocéros est de mêler bronze doré et bronze patiné à une époque où l'on associait encore peu ces deux matériaux.
Les pendules à sujets d'animaux

Datant des années 1750, cette étonnante pendule au rhinocéros a été conçue comme une superposition de différents éléments : un socle contenant un carillon, une terrasse rocaille en bronze doré supportant un rhinocéros en bronze patiné, un boîtier circulaire et un jeune indien en bronze doré. Parmi les pendules à sujets d'animaux, les figures du rhinocéros et de l'éléphant paraissent avoir été des thèmes favoris. Mais, il existe aussi des pendules à figures de lion, de cheval, de sanglier, de dragon et de dromadaire.... Il s'agit ici d'un des modèles les plus célèbres et les plus répandus du fondeur Jean-Joseph de Saint-Germain (1719 - 1791).
Répétition du modèle

On conserve encore de nombreux exemplaires de ce modèle au rhinocéros, preuve du succès qu'il rencontra au XVIIIe siècle. Le socle est ici galbé, plaqué d'écaille et garni de bronze doré. Dans les autres pendules du même modèle, les socles sont revêtus de différentes sortes de placage (par exemple de corne verte). Parfois encore certaines pendules sont dépourvues de socles.
Collaboration d'artistes

L'horloger François Viger (1708 - 1784) est l'auteur du mouvement de la pendule au rhinocéros du musée du Louvre. Il travailla à plusieurs reprises avec le bronzier Jean-Joseph de Saint-Germain qui réalisa les "caisses" des pendules.

www.louvre.fr/oeuvre-notices/pendule-au-rhinoceros

Je comprends votre joie d'en avoir déniché une à Montréal, cher Canadien !!!  :n,,;::::!!!:
C'est un magnifique objet !
Le rhinocéros fait évidemment penser à Louis XV ... oups ! ...  ou du moins à celui de ce roi !   : .

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Les pendules de Saint-Germain, étant des modèles de bronze, étaient reproductibles, et donc il en existait plusieurs du même modèle, avec parfois des différences dans la boîte à musique.

Rien de surprenant à ce que vous en trouviez ailleurs.
Je ne pense pas que celle du Louvre vienne des collections royales. Je crois qu'il s'agit d'une donation d'un collectionneur du XXème siècle.

Je crois qu'il y en a une dans les appartements de la Comtesse du Barry avec un éléphant.
Je vais fouiller parce qu'il me semblait qu'il y en avait une avec un rhinocéros à Versailles.

Je repasse vous dire cela. et belle acquisition au demeurant.

J'avais rêvé devant ce sujet avec vos reportages alors lors de ma visite à Paris je n'ai pas manqué de découvrir par moi-même ces nouvelles salles du Louvre.

Déjà, sur le plan disponible à l'accueil, il faut les chercher au 1er étage de l'aile Sully sous l'intitulé "Louis XIV et la Régence" et "La période Néoclassique". J'avais quelques hésitations si je me dirigeais au bon endroit. C'est une fois arrivé sur place que le titre s'affiche : Objets d'art, de Louis XIV à Louis XVI.



Beaucoup de photos ont déjà été postées et c'est vrai que ce qui frappe c'est la profusion d'objets et de pièces de mobilier. On manquerait de ne pas voir des chefs d'oeuvres qui se cachent derrière d'autres. J'étais émerveillé, cherchant ce que j'avais retenu d'une part et me tenant face à mon ignorance d'autre part. Il me fallait prendre mon temps et heureusement le public n'a pas été trop envahissant.

Mes photos vont suivre mes déambulations en évitant les répétitions trop évidentes avec les reportages précédents :





Olivier, conquérant

La Marquise de Pompadour, par François Boucher dont la taille est modeste :

Tabatières et miniatures :





Une halte ? impossible :

Merci pour ce beau reportage.

Merci, merci, cher Olivier !!!
Nous te suivons avec plaisir ...

Eléonore, en chaise à porteurs

Coupole du salon de compagnie des "Petits Appartements" du Palais Bourbon : La Toilette de Vénus.
Par Antoine-François Callet et Pierre-Hyacinthe Deleuze (1774)
Huile sur toile marouflée.





Effet phantomatique :

Merci Reinette et Mme de Sabran !



Tout est admirable !

Belles photos !

Olivier a écrit:Merci Reinette et Mme de Sabran !

Tu plaisantes !!!
C'est nous qui te remercions, mille fois !!!

Le comte d’Artois et sa sœur Madame Clotilde (1763) par François-Hubert Drouais



Joseph II

Avec le mobilier extraordinaire de Mesdames...

Mme de Sabran a écrit:

Olivier a écrit:Merci Reinette et Mme de Sabran !

Tu plaisantes !!!
C'est nous qui te remercions, mille fois !!!

Je vous remercie contre l'indifférence !

J'ai toujours eu une passion pour les secrétaires

Que tes photos sont belles...On nage dans un beau camaïeu de bleus boudoi30 


Merci Olivier !

Ah oui, les photos d'Olivier sont particulièrement splendides ! boudoi30