Nouvelles salles consacrées au XVIIIe siècle au Louvre

MARIE ANTOINETTE a écrit:....Je surveille la presse pour trouver un hors série des revues d'art et s'il y aura un catalogue édité par LE LOUVRE.

MARIE ANTOINETTE àè-è\':

madame de théus a écrit:"On a jeté dans un réduit au fond d'un cul-de-sac quelques meubles et objets d'un grand raffinement. Le tout précédé de vitrines en hémicycle donnant à voir les objets montés de la reine sur trois des quatre plateaux en bois pétrifié (mais où est le quatrième ?)."

Voici le commentaire de Lebrun en ce qui concerne la salle consacrée aux objets de la Reine, qui vient de poster un reportage sur les nouvelles salles, sur le forum Connaissances de Versailles.

Lucius a écrit:Vous n'êtes pas une vieille, chère amie, vous êtes une connaisseuse !
La vieille de musée est un type à part. Elle doit être retraitée, généralement veuve, et se présente pomponnée, tailleur en tweed et collier de perle. Elle avancera de son petit pas hésitant de vitrine en vitrine, refusant de rater le moindre objet, la moindre explication, jusqu'à la fin du parcours où elle acquerra le catalogue malgré son pris mirobolant. Voici la gentille vieille, celle à laquelle on laisse sa place dans le métro.
Mais il en existe une seconde catégorie, revêche et acariâtre, qui fait toutes les expo de Paris par pur snobisme, et toujours accolée de sa faire valoir à qui elle assénera ses pontifiantes remarques sur la justesse des explications ou du choix des œuvres, et régalera toute la salle de commentaires les plus plats voire les plus faux. J'eus moi-même la chance d'en voir un spécimen qui découvrait tout le snobisme vide de sens et crasse de deux d'entre elles à l'exposition Dali. Vers la fin de celle-ci, après une heure déjà passée électrisées par ce monde que j'y découvrais, j'arrive à la hauteur de deux jeunes vieilles,   qui, face à ces chef d’œuvres, discutaient de la difficulté à trouver un bon boulanger à Paris, et l'une précisant son adresse favorite, et l'autre de renchérir sur un ancien boulanger parti à la retraite ... lorsqu'au détours du parcours, arrivant devant une nouvelle oeuvre, elles enchaînaient sur le même ton de banalité de salon de thé ; "oh c'est beau ... mais près de chez moi il y en a un nouveau qui vient de s'installer, mais ma chère, ça n'est plus ce que c'était ......". Elles ressortirent enfin, pour employer l'expression d'Amélie Nothomb, tout à fait sèche et propre de cette exposition, qu'elles avaient traversée en scaphandre, sans se mouiller, sans se laisser toucher par les œuvres, qu'elles avaient "admirées" depuis la chaleur confortable de leur certitude nombriliste.

Cosmo a écrit:
Le quatrième plateau en bois pétrifié de Marie-Antoinette est actuellement exposé à Versailles, dans le cadre de "La Chine à Versailles".

madame de théus a écrit:
Garcia a encore fait dans l'ensemble du bon travail.

Lucius a écrit:Vous n'êtes pas une vieille, chère amie, vous êtes une connaisseuse !
La vieille de musée est un type à part. Elle doit être retraitée, généralement veuve, et se présente pomponnée, tailleur en tweed et collier de perle. Elle avancera de son petit pas hésitant de vitrine en vitrine, refusant de rater le moindre objet, la moindre explication, jusqu'à la fin du parcours où elle acquerra le catalogue malgré son pris mirobolant. Voici la gentille vieille, celle à laquelle on laisse sa place dans le métro.
Mais il en existe une seconde catégorie, revêche et acariâtre, qui fait toutes les expo de Paris par pur snobisme, et toujours accolée de sa faire valoir à qui elle assénera ses pontifiantes remarques sur la justesse des explications ou du choix des œuvres, et régalera toute la salle de commentaires les plus plats voire les plus faux. J'eus moi-même la chance d'en voir un spécimen qui découvrait tout le snobisme vide de sens et crasse de deux d'entre elles à l'exposition Dali. Vers la fin de celle-ci, après une heure déjà passée électrisées par ce monde que j'y découvrais, j'arrive à la hauteur de deux jeunes vieilles,   qui, face à ces chef d’œuvres, discutaient de la difficulté à trouver un bon boulanger à Paris, et l'une précisant son adresse favorite, et l'autre de renchérir sur un ancien boulanger parti à la retraite ... lorsqu'au détours du parcours, arrivant devant une nouvelle oeuvre, elles enchaînaient sur le même ton de banalité de salon de thé ; "oh c'est beau ... mais près de chez moi il y en a un nouveau qui vient de s'installer, mais ma chère, ça n'est plus ce que c'était ......". Elles ressortirent enfin, pour employer l'expression d'Amélie Nothomb, tout à fait sèche et propre de cette exposition, qu'elles avaient traversée en scaphandre, sans se mouiller, sans se laisser toucher par les œuvres, qu'elles avaient "admirées" depuis la chaleur confortable de leur certitude nombriliste.

Mme de Sabran a écrit:


Je meurs d'envie de découvrir ces nouvelles salles !      

Cosmo a écrit:

Tes désirs sont des ordres, ma chère Eléonore.   
 

Cosmo a écrit:

Nous sommes allés visiter ces nouvelles salles cet après-midi avec le Gouverneur (un puits de science Gouverneur, ceci dit en passant ).

Cosmo a écrit:.

Pour le moment, continuons à avancer dans le temps.