La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
+12
La nuit, la neige
Teresa-Cabarrus
Marie-Jeanne
Vicq d Azir
Dominique Poulin
Duc d'Ostrogothie
Gouverneur Morris
Mr de Talaru
Trianon
Bohème96
CLIOXVIII
Comtesse Diane
16 participants
LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: La France et le Monde au XVIIIe siècle :: Les Lumières : Littérature, sciences et philosophie
Page 6 sur 8
Page 6 sur 8 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Ah ! Formidable !Dominique Poulin a écrit:J'ai commandé le livre signalé par LNLN.
J'espère que cette lecture vous plaira, ou au moins vous intéressera ?
Vous nous direz ça une fois qu'elle sera achevée (le livre est un pavé...).
La nuit, la neige- Messages : 18133
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Gouverneur Morris a écrit:Pour continuer ce sujet charmant, quelques instruments d’autopsie et d’embaumement au XVIIIeme, vus à l’expo “Le roi est mort” à Versailles en décembre 2016 :
Merci Gouv'.
Le dessin du cadavre de Louis XV et tous ces instruments étaient parfaits comme pousse-café de l'après-midi...
La nuit, la neige- Messages : 18133
Date d'inscription : 21/12/2013
Gouverneur Morris- Messages : 11795
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Il m'interessera à coup sûr LNLN. J'aime parfois sortir de mes sentiers battus.
Je suis plongé en ce moment sur la saga des princesses de Courlande. Après le livre de Micheline Dupuy sur la duchesse de Dino, je dévore celui de Françoise Kermina sur les dames de Courlande. Et en attente, j'ai le livre de Françoise de Bernardy, toujours sur la duchesse de Dino, le dernier grand amour de Talleyrand. Bref, tout un pan de l'aristocratie européenne du XIXe siècle défile sous mes yeux. Son cosmopolitisme atteint alors me semble t-il son apogée.
Je suis plongé en ce moment sur la saga des princesses de Courlande. Après le livre de Micheline Dupuy sur la duchesse de Dino, je dévore celui de Françoise Kermina sur les dames de Courlande. Et en attente, j'ai le livre de Françoise de Bernardy, toujours sur la duchesse de Dino, le dernier grand amour de Talleyrand. Bref, tout un pan de l'aristocratie européenne du XIXe siècle défile sous mes yeux. Son cosmopolitisme atteint alors me semble t-il son apogée.
Dominique Poulin- Messages : 7010
Date d'inscription : 02/01/2014
Gouverneur Morris- Messages : 11795
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Aïe, aïe, aïe !
Vive le XXIe siècle, et les progrès de la médecine !!
Merci Gouv'...
Vive le XXIe siècle, et les progrès de la médecine !!
Merci Gouv'...
La nuit, la neige- Messages : 18133
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
C'est à se retourner de tout son poids quand on songe que l'anesthésie n'existait pas !
Même avec des litres de niaule dans le corps, ces pauvres soldats poussaient des cris épouvantables !!! Ça me retourne les sens...
Même avec des litres de niaule dans le corps, ces pauvres soldats poussaient des cris épouvantables !!! Ça me retourne les sens...
Dominique Poulin- Messages : 7010
Date d'inscription : 02/01/2014
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Pas de doute, ce sujet me glace les sangs ...
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Le dernier article de notre amie Plume d'Histoire a trait à ... ... l'opération de la fistule de Louis XIV .
Je vous laisse à penser que cette lecture nécessite un coeur bien accroché.
Ames sensibles s'abstenir !
Après dix mois de souffrance, le roi se résout à subir « la grande opération », nous le savons, pratiquée évidemment sans anesthésie .
Frisson d'effroi garanti, c'est ici : http://plume-dhistoire.fr/la-fistule-de-louis-xiv-loperation-du-siecle/
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
... une blagounette pour Févicq, sur son confrère et néanmoins ami le Dr Lorry .
Lorry entre si bien dans les peines de ses clientes, il les décrit avec une telle exactitude, qu’il a l’air de les ressentir et arrache ce compliment à l’une d’elles : « Ce pauvre M. Lorry, il est si au fait de nos maux que l’on dirait qu’il a lui-même accouché. »
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Notre énigme de ce jour avait trait à la médecine des Lumières .
Je la propulse donc dans le sujet idoine .
Après moult divagations diverses et variées de la Comtesse Diane et moi ( ), voici la solution :
Le sucre, tout simplement !!!
Ou l'or roux du XVIIIe siècle, entre autres usages (le principal étant alimentaire) que les médecins de l'époque prescrivaient sous forme de pastilles, en sirop etc.
Ou encore, pour soigner la cécité, au début du XVIIIe siècle, le médecin londonien Frederick Slare recommandait ce remède ophtalmologique :
"Deux drachmes de sucre candi porphyrisé, une demi-drachme d'écailles d'huître, un grain de feuille d'or ; réduire en poudre très fine et impalpable, laisser sécher et souffler en quantité voulue dans l'oeil."
Une expression de l'époque disait d'un homme dépourvu des nécessités de sa profession qu'il se trouvait comme "un apothicaire sans sucre"...
Je la propulse donc dans le sujet idoine .
La nuit, la neige a écrit:Au XVIIIe siècle, les médecins du temps me prescrivaient pour soigner notamment : l'angine de poitrine, les migraines, les douleurs de l'enfantement, la phtisie, la folie, les effets du grand âge et la cécité.
Que suis-je ?
Après moult divagations diverses et variées de la Comtesse Diane et moi ( ), voici la solution :
Le sucre, tout simplement !!!
Ou l'or roux du XVIIIe siècle, entre autres usages (le principal étant alimentaire) que les médecins de l'époque prescrivaient sous forme de pastilles, en sirop etc.
Ou encore, pour soigner la cécité, au début du XVIIIe siècle, le médecin londonien Frederick Slare recommandait ce remède ophtalmologique :
"Deux drachmes de sucre candi porphyrisé, une demi-drachme d'écailles d'huître, un grain de feuille d'or ; réduire en poudre très fine et impalpable, laisser sécher et souffler en quantité voulue dans l'oeil."
Une expression de l'époque disait d'un homme dépourvu des nécessités de sa profession qu'il se trouvait comme "un apothicaire sans sucre"...
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Il semble que le premier médecin qui se soit avisé de ce que, non vraiment, les saignées ne sont pas conseillées ( et surtout aux malades !!! ) soit le bon docteur Philippe Pinel, aliéniste, père de la psychiatrie moderne ( 1745 - 1826) . Il était temps d'en finir avec cette pratique absurde. Il affirma aussi que les " fous " ne sont pas des bêtes furieuses que l'on doit entraver; qu'au contraire même, ils peuvent être compris et soignés .
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
J’ai bien connu Pinel (...)
On peut toujours voir sa statue, Boulevard de l’Hopital, devant la Salpêtrière, à Paris.
Il est celui qui « libéra les fous et les folles ». Il officiait aussi à Bicêtre, qui était l’ Hôpital Général pour les hommes.
A la Salpêtriere, on peut toujours voir les « loges des folles », ou les malheureuses étaient enchaînées. La statue représente justement une «folle » à genoux à ses pieds, dont il brise les chaînes.
Il est un peu le pionnier de la psychiatrie moderne, le premier « aliéniste ». Il parlait aux malades, leur prodiguait des soins, certes sommaires, comme l’hydrothérapie. Il les considérait surtout comme des êtres humains à part entière. Ce courant humaniste était né avant la révolution, et l’on peut dire qu’il fut encouragé par le roi lui-même.
On peut toujours voir sa statue, Boulevard de l’Hopital, devant la Salpêtrière, à Paris.
Il est celui qui « libéra les fous et les folles ». Il officiait aussi à Bicêtre, qui était l’ Hôpital Général pour les hommes.
A la Salpêtriere, on peut toujours voir les « loges des folles », ou les malheureuses étaient enchaînées. La statue représente justement une «folle » à genoux à ses pieds, dont il brise les chaînes.
Il est un peu le pionnier de la psychiatrie moderne, le premier « aliéniste ». Il parlait aux malades, leur prodiguait des soins, certes sommaires, comme l’hydrothérapie. Il les considérait surtout comme des êtres humains à part entière. Ce courant humaniste était né avant la révolution, et l’on peut dire qu’il fut encouragé par le roi lui-même.
Dernière édition par Vicq d Azir le Mar 27 Nov 2018, 15:10, édité 1 fois
Vicq d Azir- Messages : 3676
Date d'inscription : 07/11/2014
Age : 76
Localisation : Paris x
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Cette statue et la gravure au-dessus sont très ressemblants.
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Vicq d Azir a écrit:
J’ai bien connu Pinel (...)
Il est un peu le pionnier de la psychiatrie moderne, le premier « aliéniste ».
C'est dans cette fonction que le trouva la période la plus agitée de notre histoire. Il la traversa heureusement sans être inquiété. Mais il ne cessa de condamner les excès de la Révolution. Il ressentit un profond chagrin lorsque Condorcet, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences, qu'il avait recueilli pour le protéger, fut néanmoins contraint à s'empoisonner afin d'éviter l'échafaud.
Il avait assisté à l'exécution de Louis XVI , et l'écrit à son frère dans les heures qui suivent.
Sa lettre est ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t4305-lettre-a-son-frere-de-l-alieniste-pinel-sur-l-execution-de-louis-xvi#136353
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Sur le bateau qui l'emporte au Sénégal, tout est de la responsabilité du chevalier de Boufflers y compris la bonne santé des hommes à bord.
Justement voici un malade qui présente des symptômes des plus alarmants :
Nous avons pensé avoir hier une rude épreuve. Un de mes soldats de recrue, que je mène au Sénégal, a passé sur le pont à côté du capitaine et de moi, déchaussé des deux jambes, boitant tout bas, avec l’air d’un fol, les yeux égarés et la parole embarrassée, rangeant sur son passage matelots, soldats, pilotes, officiers, et pouvant à peine dire qu’il souffrait. Cependant, comme sa démarche m’avait frappé, je l’ai envoyé à son poste, et j’ai chargé le chirurgien de le visiter. Le chirurgien est revenu avec l’air abattu nous dire en particulier, au capitaine et à moi, que cet homme avait le charbon. « Comment, Monsieur, le charbon, ai-je dit, mais c’est un signe de peste ! — Oui, Monsieur, m’a-t-il répondu. » Mais il est encore indécis si celui-là est pestilentiel ou non ; nous ne le saurons que demain. J’ai fait secrètement de nouvelles informations et j’ai su que le camarade qui alterne avec cet homme pour dormir dans le même hamac se plaignait aussi d’un grand mal aux pieds. Je l’ai fait visiter, mais il n’était que blessé par un ongle rentré ; l’autre a été reconnu pour n’avoir qu’un abcès qui commence à mûrir par l’onguent de la mère ; et nous voilà sauvés du plus cruel embarras et du plus grand danger.
( Correspondance du chevalier de Boufflers et Mme de Sabran )
La maladie du charbon existait probablement dès l'Antiquité, confondue avec les nombreuses maladies qui pouvaient décimer les troupeaux. Ainsi lorsque Aristote parle de morts rapides d'animaux au pâturage, en mettant en cause la « morsure venimeuse » des musaraignes, il se serait agi en fait d'une forme suraiguë de fièvre charbonneuse.
Les médecins historiens du XIXème siècle ont cru voir cette maladie dans le mythe de la tunique empoisonnée grâce à laquelle Nessos croit faire mourir Héraclès, qui aurait été une tunique de laine provenant d'un animal charbonneux .
Hippocrate utilise le terme grec anthrax pour désigner une lésion cutanée avec escarre noirâtre, ressemblant à du charbon. Selon les critères modernes, rien ne permet d'affirmer qu'il s'agisse vraiment de maladie du charbon, c'est plausible tout en demeurant incertain.
La maladie est reconnue au XVIème siècle, au moins par la République de Venise qui punit de mort les vendeurs de viande d'animaux charbonneux. À partir du XVIIème siècle, les descriptions se font plus précises avec une meilleure identification des formes animales et humaines. Au XVIIIème, la maladie fait des ravages, entre autres, chez les ouvriers de la laine et les artisans perruquiers qui travaillent des produits animaux importés .
En 1769, la maladie humaine est identifiée de façon plus moderne par Fournier, de l'Académie de Dijon, sous le nom de « charbon malin ». Il décrit différentes lésions cutanées, dont une lésion initiale la « pustule maligne », qu'il compare à une « piqûre de puce maligne » ; et surtout il reconnait la transmission à l'homme par manipulation de laine de mouton, transmettant des « atomes de ferment charbonneux ». C'est la première description de maladie du charbon d'origine professionnelle, chez des ouvriers des manufactures de couvertures, à Montpellier. .
En 1779, Philibert Chabert de l'école vétérinaire d'Alfort nouvellement créée, publie son Traité du Charbon ou Anthrax dans les Animaux .
Il y distingue les caractéristiques de la maladie selon les différentes espèces d'animaux domestiques, en insistant sur le plus grand risque pour l'homme de s'exposer à un animal charbonneux, plutôt qu'à un autre homme charbonneux. L'ouvrage fera référence jusqu'au milieu du XIXème siècle.
Merci WIKI !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_du_charbon
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
La maladie du charbon est bien nommée « anthrax » dans les pays anglo-saxons.
On en a entendu tristement reparler il y a quelques années à propos d’un projet terroriste de diffusion malveillante de la maladie .Je ne me rappelle plus, en revanche dans quel pays c’était ( USA ?)
On en a entendu tristement reparler il y a quelques années à propos d’un projet terroriste de diffusion malveillante de la maladie .Je ne me rappelle plus, en revanche dans quel pays c’était ( USA ?)
Vicq d Azir- Messages : 3676
Date d'inscription : 07/11/2014
Age : 76
Localisation : Paris x
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Oui, je m'en souviens, et je dirais aussi aux Etats-Unis . N'était-ce pas dans du courrier ?
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Oui, c’est bien cela, je crois...
Vicq d Azir- Messages : 3676
Date d'inscription : 07/11/2014
Age : 76
Localisation : Paris x
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Sur le champ de bataille ...
J'entendis un blessé à mort qui disait au chirurgien-major : " Je vous donne trente mille forins si vous me sauvez la vie. - Impossible, lui répondit-il . - Eh bien, monsieur, cent mille . " Il mourut en marchand . Il était fort riche.
( Le prince de Ligne, Fragments de l'histoire de ma vie )
J'entendis un blessé à mort qui disait au chirurgien-major : " Je vous donne trente mille forins si vous me sauvez la vie. - Impossible, lui répondit-il . - Eh bien, monsieur, cent mille . " Il mourut en marchand . Il était fort riche.
( Le prince de Ligne, Fragments de l'histoire de ma vie )
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Help ! besoin d'aide s'il vous plait :
Louis XVI a été inoculé en 1774 : après la mort de Louis XV ou avant ? je ne trouve pas de date.
Ses frères ont-ils aussi subi la variolisation ?
Qui sait à quelle date Marie-Antoinette avait été inoculée en Autriche ?
Louis XVI a été inoculé en 1774 : après la mort de Louis XV ou avant ? je ne trouve pas de date.
Ses frères ont-ils aussi subi la variolisation ?
Qui sait à quelle date Marie-Antoinette avait été inoculée en Autriche ?
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Voici le rapport même de Lassone, ma chère Clio .
https://marie-antoinette.forumactif.org/t384-inoculation-de-la-famille-royale
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: La médecine, les soins et la santé au XVIIIe siècle
Merci, chère Eléo ! Je copie/colle.
Ne manquerait-il pas quelques pages ?
Ne manquerait-il pas quelques pages ?
Page 6 sur 8 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Sujets similaires
» Soins de beauté, maquillage, et mouches au XVIIIe siècle
» Spectacle sur la Médecine au XVIIIème siècle
» À Versailles, désormais, on supprime du XVIIIe siècle pour retrouver du XVIIIe
» Accessoires de mode au XVIIIe siècle
» Les éventails au XVIIIe siècle
» Spectacle sur la Médecine au XVIIIème siècle
» À Versailles, désormais, on supprime du XVIIIe siècle pour retrouver du XVIIIe
» Accessoires de mode au XVIIIe siècle
» Les éventails au XVIIIe siècle
LE FORUM DE MARIE-ANTOINETTE :: La France et le Monde au XVIIIe siècle :: Les Lumières : Littérature, sciences et philosophie
Page 6 sur 8
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum