Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
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Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
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Je me souviendrai toujours qu'un soir de carnaval, à souper chez Mme de Guémenée, celle-ci proposa des petits pois à son voisin le cardinal de Montmorency, Grand-Aumônier de France et grand ami de la bonne chère. — Avec plaisir, dit-il en chaffriolant. On va chercher des petits pois, mais le maître d'hôtel vient dire à la Princesse qu'on les avait placés devant M. le comte de Cossé, qui n'en a pas laissé du tout. Mme de Guémenée soulève son assiette, et voit sur le menu du souper qu'il devait s'y trouver deux casseroles de petits pois ; le maître d'hôtel recommence sa tournée, ensuite il revient dire à sa maîtresse que Mme de Cossé a mangé les autres à elle toute seule ; de sorte qu'ils avaient englouti pour six cents francs de petits pois, entre eux deux, sans compter les truffes blanches de Turin, dont ils avaient fait, comme on dit, corbillon-vide.
: : :
Souvenirs de la marquise de Créquy
Hou ! l'aurtograffe !!!
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Mme de Sabran- Messages : 55310
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
:c^ùù!!: en chafriolant !!! avec un ou 2 F , j'adore.
CHAFRIOLER, verbe.
"Fam., emploi intrans. Manifester sa gourmandise, son plaisir. Je les [petits pâtés aux huîtres] connais déjà, madame la princesse, dit le cardinal en chafriolant d'un air gourmet; − ils sont exquis et je ne résiste pas (Sue, Le Juif errant,1844-45, p. 249).
− Se chafrioler.Satisfaire sa gourmandise, se délecter. Le cochon [l'homme qui ne se lance pas dans la spéculation] est chambré sous son toit avec des pommes de terre, et les autres se chafriolent dans les billets de banque (Balzac, César Birotteau,1837, p. 317).
Rem. On rencontre ds la docum. les dér. a) Chafriolant, chaffriolant, ante, adj. verbal. Alléchant. Anton. répugnant, dégoûtant (E. et J. de Goncourt, Journal, 1885, p. 419). b) Chafriolement, subst. masc. Agrément qui suscite la gourmandise. Le chaffriolement [sic] de ses traits (E. et J. de Goncourt, Journal, 1876, p. 1110).
Étymol. et Hist. 1837 se chafrioler (Balzac, loc. cit.). Composé de affrioler* et d'une syll. initiale représentant chat*, prob. p. allus. à la gourmandise de cet animal (FEW t. 3, p. 790b et 797b). Fréq. abs. littér. : 2."
Couteux petits pois.....
En effet, impossible dans un repas servi à la française de ne trouver qu'un seul plat de petits pois sur le table .Pas de bol : qu'ils se fussent trouvés être placés devant des morfales de ce légume.
Par contre, que la maitresse de maison ait le menu complet sous son assiette , une découverte ! merci.
CHAFRIOLER, verbe.
"Fam., emploi intrans. Manifester sa gourmandise, son plaisir. Je les [petits pâtés aux huîtres] connais déjà, madame la princesse, dit le cardinal en chafriolant d'un air gourmet; − ils sont exquis et je ne résiste pas (Sue, Le Juif errant,1844-45, p. 249).
− Se chafrioler.Satisfaire sa gourmandise, se délecter. Le cochon [l'homme qui ne se lance pas dans la spéculation] est chambré sous son toit avec des pommes de terre, et les autres se chafriolent dans les billets de banque (Balzac, César Birotteau,1837, p. 317).
Rem. On rencontre ds la docum. les dér. a) Chafriolant, chaffriolant, ante, adj. verbal. Alléchant. Anton. répugnant, dégoûtant (E. et J. de Goncourt, Journal, 1885, p. 419). b) Chafriolement, subst. masc. Agrément qui suscite la gourmandise. Le chaffriolement [sic] de ses traits (E. et J. de Goncourt, Journal, 1876, p. 1110).
Étymol. et Hist. 1837 se chafrioler (Balzac, loc. cit.). Composé de affrioler* et d'une syll. initiale représentant chat*, prob. p. allus. à la gourmandise de cet animal (FEW t. 3, p. 790b et 797b). Fréq. abs. littér. : 2."
Couteux petits pois.....
En effet, impossible dans un repas servi à la française de ne trouver qu'un seul plat de petits pois sur le table .Pas de bol : qu'ils se fussent trouvés être placés devant des morfales de ce légume.
Par contre, que la maitresse de maison ait le menu complet sous son assiette , une découverte ! merci.
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
Je préfère avec deux ! :n,,;::::!!!:
Mme de Sabran- Messages : 55310
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Mme de Sabran- Messages : 55310
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
.
Toujours dans la rubrique des délirantes exagérations de la marquise de Créquy :
Une autre imagination folle, où Jean-Jacques Rousseau n'était pour rien, c'était celle d'empêcher les enfants de manger à leur appétit, laquelle sottise avait succédé à celles de Mesdames de Blot, de Monaco, de Valbelle et tutte quante, lesquelles avaient entrepris de ne pas manger pour leur propre compte. On empêchait donc les pauvres enfants de manger de la bonne soupe et de la viande, à dessein de ne leur introduire dans le sang et les humeurs aucun élément de putridité. On les privait de manger du fruit à cause des vers ; point de confitures, à cause de la poitrine et de la terreur des acides ; jamais d'autre boisson que de l'eau panée ; c'est excellent pour les entrailles ; et jamais de pâtisseries, ce qui va sans dire, à cause de l'estomac.
On les nourrissait à la panade et la bouillie de gruau pour les bons repas, ensuite on leur donnait pour le goûter ainsi qu'au déjeuner, du colifichet émietté dans du lait écrémé, comme on aurait faire pour élever des serins jaunes à la brochette. ( ) Le marquis de Villeneuve de Trans disait que sa femme avait une perruche à qui l'on donnait bien autrement à manger qu'à ces quatre enfants ! Comme tous les enfants mouraient de faim, ils pleuraient toute la journée. Ils en devenaient voleurs et menteurs : et même il y avait des garçons qui finissaient par se révolter. Les trois Béthune et les Choiseul s'étaient confédérés pour escalader je ne sais combien de murailles afin d'aller dévaster pendant la nuit, l'office et le garde-manger de la duchesse de Sully, leur grand'mère ; mais la situation des petites filles était la plus lamentable, et comme elles n'avaient pas la ressource et l'occasion de pouvoir voler commodément des croûtes de pain, des fruits verts et des carottes crues, les plus alertes et les plus déterminées s'en prenaient à la pâtée du chat.
( Mme de Créquy : Souvenirs )
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Toujours dans la rubrique des délirantes exagérations de la marquise de Créquy :
Une autre imagination folle, où Jean-Jacques Rousseau n'était pour rien, c'était celle d'empêcher les enfants de manger à leur appétit, laquelle sottise avait succédé à celles de Mesdames de Blot, de Monaco, de Valbelle et tutte quante, lesquelles avaient entrepris de ne pas manger pour leur propre compte. On empêchait donc les pauvres enfants de manger de la bonne soupe et de la viande, à dessein de ne leur introduire dans le sang et les humeurs aucun élément de putridité. On les privait de manger du fruit à cause des vers ; point de confitures, à cause de la poitrine et de la terreur des acides ; jamais d'autre boisson que de l'eau panée ; c'est excellent pour les entrailles ; et jamais de pâtisseries, ce qui va sans dire, à cause de l'estomac.
On les nourrissait à la panade et la bouillie de gruau pour les bons repas, ensuite on leur donnait pour le goûter ainsi qu'au déjeuner, du colifichet émietté dans du lait écrémé, comme on aurait faire pour élever des serins jaunes à la brochette. ( ) Le marquis de Villeneuve de Trans disait que sa femme avait une perruche à qui l'on donnait bien autrement à manger qu'à ces quatre enfants ! Comme tous les enfants mouraient de faim, ils pleuraient toute la journée. Ils en devenaient voleurs et menteurs : et même il y avait des garçons qui finissaient par se révolter. Les trois Béthune et les Choiseul s'étaient confédérés pour escalader je ne sais combien de murailles afin d'aller dévaster pendant la nuit, l'office et le garde-manger de la duchesse de Sully, leur grand'mère ; mais la situation des petites filles était la plus lamentable, et comme elles n'avaient pas la ressource et l'occasion de pouvoir voler commodément des croûtes de pain, des fruits verts et des carottes crues, les plus alertes et les plus déterminées s'en prenaient à la pâtée du chat.
( Mme de Créquy : Souvenirs )
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Mme de Sabran- Messages : 55310
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
Ça rappelle nos intégristes bio et écolo (infiniment minoritaires, certes, mais enfin (="en faim"...)
Vicq d Azir- Messages : 3676
Date d'inscription : 07/11/2014
Age : 76
Localisation : Paris x
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
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L'on a l'habitude des tablées immenses. Ainsi, le prince Ligne se souvient de ce dîner de plus de cent couverts chez M. de Vitinghoff qui cria d'une voix de tonnerre, d'un bout à l'autre de la table, ayant reconnu une poularde à cette énorme distance :
" Madame de Vitinghoff, si personne ne veut de votre croupion, envoyez-le moi ! "
L'on a l'habitude des tablées immenses. Ainsi, le prince Ligne se souvient de ce dîner de plus de cent couverts chez M. de Vitinghoff qui cria d'une voix de tonnerre, d'un bout à l'autre de la table, ayant reconnu une poularde à cette énorme distance :
" Madame de Vitinghoff, si personne ne veut de votre croupion, envoyez-le moi ! "
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55310
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
Génial ! : ... Ça ne prête à aucune confusion !
_________________
Comtesse Diane- Messages : 7398
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : TOURAINE
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
CLIOXVIII a écrit:Les couverts à "l'envers" : nous les mettions pareillement jusqu'à ce qu'une spécialiste (elle était l' une des commissaires de la merveilleuses exposition " Versailles et les tables royales " ) nous explique que c'était encore là une invention du XIXème siècle. Les couverts se plaçaient comme nous le faisons de nos jours .
Que de fausses certitudes le XIXème siècle aura instaurées pour se rendre innovateur ...
Quelle suffisance ...mensongère ! :::!!!ùùù^^^^:
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
Oui, Laid XIX ! Rose Bertin, engageantes and.... : :
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
;
Le Comte Axel nous avait fait un magnifique reportage sur l'art de la table au palais de l'Elysée, vous en souvient-il ?
La salle des fêtes datant de 1889.
[/quote]
Pour ce type de tables, le protocole exige entre 216 et 240 personnes. Pas plus, pas moins. :n,,;::::!!!:
Les fourchettes sont posées sur le ventre .
C'est à la française, pour que soit en évidence le blason de la famille ( où le chiffre de l'hôte ) gravé sur le dos du couvert !
[/quote]
Cristal de Baccarat, porcelaine de Sèvre pour les biscuits et les assiettes (3000 à 4000 € pièce ) et Christofle pour l'argenterie. Mais pas de commande depuis les années 60.
Cristal de Baccarat, porcelaine de Sèvre pour les biscuits et les assiettes (3000 à 4000 € pièce ) et Christofle pour l'argenterie. Mais pas de commande depuis les années 60.
Le Comte Axel nous avait fait un magnifique reportage sur l'art de la table au palais de l'Elysée, vous en souvient-il ?
La salle des fêtes datant de 1889.
[/quote]
Pour ce type de tables, le protocole exige entre 216 et 240 personnes. Pas plus, pas moins. :n,,;::::!!!:
Les fourchettes sont posées sur le ventre .
C'est à la française, pour que soit en évidence le blason de la famille ( où le chiffre de l'hôte ) gravé sur le dos du couvert !
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Cristal de Baccarat, porcelaine de Sèvre pour les biscuits et les assiettes (3000 à 4000 € pièce ) et Christofle pour l'argenterie. Mais pas de commande depuis les années 60.
Cristal de Baccarat, porcelaine de Sèvre pour les biscuits et les assiettes (3000 à 4000 € pièce ) et Christofle pour l'argenterie. Mais pas de commande depuis les années 60.
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Mme de Sabran- Messages : 55310
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
La table est presque aussi bien dressée que celles de François... :
Le service de Sèvres est une reprise d'après les fameux "services Buffon" du XVIIIè siècle.
Voir notamment notre sujet ici, consacré au Musée Nissim de Camondo, dans lequel est exposé de nombreuses pièces de ces services : https://marie-antoinette.forumactif.org/t1859p15-le-musee-nissim-de-camondo?highlight=nissim
Le service de Sèvres est une reprise d'après les fameux "services Buffon" du XVIIIè siècle.
Voir notamment notre sujet ici, consacré au Musée Nissim de Camondo, dans lequel est exposé de nombreuses pièces de ces services : https://marie-antoinette.forumactif.org/t1859p15-le-musee-nissim-de-camondo?highlight=nissim
La nuit, la neige- Messages : 18062
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
... mais " presque " seulement ! :
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55310
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
3000-4000 euros pièce ! Les reproductions modernes par Sèvres de pièces anciennes coûtent presque plus cher que celles-ci sur le marché :
Gouverneur Morris- Messages : 11708
Date d'inscription : 21/12/2013
Gouverneur Morris- Messages : 11708
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
Quelle horreur pour les pauvres chiens. !!
Heureusement, comme il est dit, les hommes se servaient de leurs mains pour la broche à rôtir.
Merci Gouverneur Morris, très intéressant ce sujet que je reprendrai dans sa totalité.
Heureusement, comme il est dit, les hommes se servaient de leurs mains pour la broche à rôtir.
Merci Gouverneur Morris, très intéressant ce sujet que je reprendrai dans sa totalité.
Trianon- Messages : 3306
Date d'inscription : 22/12/2013
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
Merci, Gouverneur; il y en a une aussi à Bath , au N° one royal crescent (où aurait séjourné madame de Lamballe) , avec un faux chien dans la roue.
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
La nuit, la neige a écrit:
La table est presque aussi bien dressée que celles de François... :
C'est vrai , François reçoit somptueusement !
Je retrouve à l'instant, entre les pages d'un livre, le menu ( thématique et humoristique : ), d'un savoureux déjeuner, auquel il nous avait conviés, dans sa campagne normande ...
Et je précise que notre hôte était en costume !
_________________
... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55310
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
Ça me fait penser aux menus composés et écrits à la plume par mon grand-père que je n'ai pas connu ...
Une telle réception par un tel François ... quel spectacle !
Bien à vous.
Une telle réception par un tel François ... quel spectacle !
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
Epoustouflant ce menu ...
_________________
Comtesse Diane- Messages : 7398
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : TOURAINE
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
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Un verre d'eau pour la Reine.
Mr de Talaru- Messages : 3186
Date d'inscription : 02/01/2014
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Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
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Un verre d'eau pour la Reine.
Mr de Talaru- Messages : 3186
Date d'inscription : 02/01/2014
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Localisation : près des Cordeliers...
Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
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Un verre d'eau pour la Reine.
Mr de Talaru- Messages : 3186
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Re: Alimentation, gastronomie, arts de la table au XVIIIe siècle
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Mr de Talaru- Messages : 3186
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