Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
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Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
C'est un tableau que nous avions présenté en photo noir et blanc, en début de sujet.
Le voici qui sera présenté à l'occasion de la vente aux enchères Boniface de Castellane et Anna Gould, organisée par la maison Christie's, le 7 mars 2017
DANS LE GOÛT DE LOUISE ELISABETH VIGÉE LE BRUN
Portrait d’Élisabeth de France (1764-1794)
avec inscription, signature et date ‘Madame Elizabeth de France / Sœur de Louis XVI. / V Lebrun / 1787.’ (vers le centre à droite)
huile sur toile, ovale ; 80,2 x 64,9 cm.
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
Très joli, ce portrait !
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... demain est un autre jour .
Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
Les traits de la Princesse y sont plus doux que la physionomie que lui donne Adélaïde Labille-Guiard ...
Bien à vous.
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
Majesté a écrit:Les traits de la Princesse y sont plus doux que la physionomie que lui donne Adélaïde Labille-Guiard ...
Absolument, elle est charmante et bien douce dans le sourire. Il me semble qu'elle le fût (douce) dans la vie. J'aime ses beaux yeux bleus.....
Trianon- Messages : 3305
Date d'inscription : 22/12/2013
Comtesse Diane- Messages : 7397
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : TOURAINE
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
Ne nous y trompons pas, Madame Élisabeth avait du caractère.
C'était un tempérament combatif !
Des Tuileries, Marie-Antoinette écrit à Fersen :
C'est un enfer que notre intérieur . Il n'y a pas moyen d'y rien dire avec les meilleures intentions du monde. Ma sœur est tellement indiscrète, entourée d'intrigants et surtout dominée par ses frères au dehors, qu'il n'y a pas moyen de parler ou il faudrait quereller tout le jour .
C'était un tempérament combatif !
Des Tuileries, Marie-Antoinette écrit à Fersen :
C'est un enfer que notre intérieur . Il n'y a pas moyen d'y rien dire avec les meilleures intentions du monde. Ma sœur est tellement indiscrète, entourée d'intrigants et surtout dominée par ses frères au dehors, qu'il n'y a pas moyen de parler ou il faudrait quereller tout le jour .
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Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
Mme de Sabran a écrit:Ne nous y trompons pas, Madame Élisabeth avait du caractère.
C'était un tempérament combatif !
Des Tuileries, Marie-Antoinette écrit à Fersen :
C'est un enfer que notre intérieur . Il n'y a pas moyen d'y rien dire avec les meilleures intentions du monde. Ma sœur est tellement indiscrète, entourée d'intrigants et surtout dominée par ses frères au dehors, qu'il n'y a pas moyen de parler ou il faudrait quereller tout le jour .
En effet, j'avais lu ce portrait de Madame Élisabeth. Mais, ne peut-on pas être doux et avoir du caractère en même temps ?
J'aime tant la douceur..... qualité en voie d’extinction.
Trianon- Messages : 3305
Date d'inscription : 22/12/2013
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
Si, si, bien entendu !
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Mme de Sabran- Messages : 55497
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : l'Ouest sauvage
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
Mon impression est aussi qu'elle n'était pas si "facile", avec un tempérament bien trempé, et une certaine force de caractère qui s'affirmeront encore davantage avec la Révolution : elle va s'endurcir.
Ce que l'on peut comprendre, mais tout le monde n'a pas ce ressort en son for intérieur.
En tous les cas je ne la sens pas "fragile". Avec ce à quoi elle sera confrontée, et le sort de son frère et sa belle-sœur qu'elle partagera, je ne suis pas sûr que son tempérament "doux", s'il a jamais existé, lui ait été bien utile durant cette période.
A mon avis, ce n'est pas grâce à ce trait de caractère-là qu'elle choisit de faire face à cet orage.
Ce n'est plus le moment de faire preuve de "douceur", mais plutôt de détermination, de courage, et de prise d'initiative.
Elle devient tête brûlée et vraiment "droite dans ses bottes", tout de même...
Ce que l'on peut comprendre, mais tout le monde n'a pas ce ressort en son for intérieur.
En tous les cas je ne la sens pas "fragile". Avec ce à quoi elle sera confrontée, et le sort de son frère et sa belle-sœur qu'elle partagera, je ne suis pas sûr que son tempérament "doux", s'il a jamais existé, lui ait été bien utile durant cette période.
A mon avis, ce n'est pas grâce à ce trait de caractère-là qu'elle choisit de faire face à cet orage.
Ce n'est plus le moment de faire preuve de "douceur", mais plutôt de détermination, de courage, et de prise d'initiative.
Elle devient tête brûlée et vraiment "droite dans ses bottes", tout de même...
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
Cher LNLN, je vois bien en vous le mâle distinct de la femme. Pardonnez-moi si je vous choque. La douceur est inhérente à l'esprit. La fermeté est liée au caractère, à la vie, donc aux difficultés que l'on fait face durant notre existence. Et pour ces dernières, "nous en avons besoin" pour grandir. Mais, la douceur est aussi nécessaire pour le bien être psychique.
Trianon- Messages : 3305
Date d'inscription : 22/12/2013
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
:Trianon a écrit:Cher LNLN, je vois bien en vous le mâle distinct de la femme.
Chère Trianon, je suis doux comme un agneau !!
Vous ne me choquez pas. Je crois être d'accord avec vous, même si je ne saisis pas très bien la différence entre "esprit" et caractère (j'suis un garçon, hein, il ne faut pas trop m'en demander... ).Trianon a écrit:Pardonnez-moi si je vous choque. La douceur est inhérente à l'esprit. La fermeté est liée au caractère, à la vie, donc aux difficultés que l'on fait face durant notre existence. Et pour ces dernières, "nous en avons besoin" pour grandir. Mais, la douceur est aussi nécessaire pour le bien être psychique.
Bon, je disais simplement que la "douceur" n'est pas le premier trait de caractère qui me vient à l'esprit (le mien !) lorsque je pense à Mme Élisabeth dès avant la Révolution, et encore moins pendant.
A mon avis, elle s'est davantage appuyée sur sa résistance, sa combativité et ses convictions religieuses pour faire face aux événements.
Mais je ne dis pas qu'elle était dénuée de douceur pour autant.
Et, en tous les cas, c'est bien ce qui émane de ce portrait.
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
Mon doux ami, solide comme Hercule, vous me faites fondre.
Trianon- Messages : 3305
Date d'inscription : 22/12/2013
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
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Comtesse Diane- Messages : 7397
Date d'inscription : 21/12/2013
Localisation : TOURAINE
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
Nous évoquons notamment ce portrait ici chère comtesse : https://marie-antoinette.forumactif.org/t198-1er-portrait-officiel-par-mme-vigee-lebrun-1778
Portrait très surprenant. Je ne retrouve pas non plus les traits de Marie-Antoinette ; et pas davantage la physionomie assez typique des portraits de la reine par Elisabeth Vigée Le Brun.
Reste la tenue, à l'identique du portrait au livre par cette artiste.
Certains pensent qu'il s'agirait d'un portrait de Kucharsky, d'après celui de Vigée Le Brun.
Mais bon, dès qu'il y a un doute, il semblerait que ce soit commodément Kucharsky que l'on évoque... àè-è\':
Portrait très surprenant. Je ne retrouve pas non plus les traits de Marie-Antoinette ; et pas davantage la physionomie assez typique des portraits de la reine par Elisabeth Vigée Le Brun.
Reste la tenue, à l'identique du portrait au livre par cette artiste.
Certains pensent qu'il s'agirait d'un portrait de Kucharsky, d'après celui de Vigée Le Brun.
Mais bon, dès qu'il y a un doute, il semblerait que ce soit commodément Kucharsky que l'on évoque... àè-è\':
La nuit, la neige- Messages : 18132
Date d'inscription : 21/12/2013
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
La nuit, la neige a écrit:Mais bon, dès qu'il y a un doute, il semblerait que ce soit commodément Kucharsky que l'on évoque... àè-è\':
Ça c'est bien vrai !
Il doit en avoir plein le dos ( tant d’œuvres lui sont attribuées.... et même beaucoup de bien laides ! ) , le pauvre Kucharsky !
Bien à vous.
Invité- Invité
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
Madame Élisabeth de France
par Dominique Sabourdin-Perrin
mardi 25 avril 2017
" Madame Élisabeth de France, sœur célibataire du roi Louis XVI, a été guillotinée, à l’âge de 30 ans, le 10 mai 1794. Sa cause de béatification a été introduite en 1953.
La princesse Élisabeth, Philippine, Marie, Hélène, fille du Dauphin Louis-Ferdinand et de Marie-Josèphe de Saxe, voit le jour à Versailles, le 3 mai 1764. Baptisée le jour même par Monseigneur de la Roche-Aymon, Grand Aumônier de France, la petite-fille de Louis XV rejoint ses frères et sœurs, les duc de Berry, comtes de Provence, d’Artois et Madame Clotilde, dans l’aile des Princes. Tous deviennent orphelins de père, le 20 décembre 1765, et de mère, le 13 mars 1767. Élisabeth n’a pas encore trois ans !
Élevée par la gouvernante des Enfants de France, Mme de Marsan, et les sous-gouvernantes, Mme de Mackau, la vicomtesse d’Aumale, Élisabeth fait preuve d’un caractère rebelle. L’influence de sa sœur, de Mme de Mackau et de sa fille Angélique, transforme la petite fille, qui reçoit une instruction très sérieuse prodiguée par des savants, tel l’abbé Nollet. Devenue une excellente mathématicienne à l’âge adulte, ses tables de logarithmes ont été publiées et utilisées. Préparée par l’abbé de Montégut qui développe chez elle le sentiment religieux, Élisabeth est confirmée le 11 août 1775, et communie deux jours après. Sa foi l’aide à surmonter le départ de sa sœur qui a épousé le Prince de Piémont.
Le mercredi 16 mai 1770, la famille a accueilli la jeune archiduchesse Marie-Antoinette d’Autriche, épouse du Dauphin, puis en 1771 et 1773, Joséphine et Marie-Thérèse de Savoie mariées aux comtes de Provence et d’Artois. La Dauphine parlant d’Élisabeth écrit à sa mère : « C’est une charmante enfant qui a de l’esprit, du caractère et beaucoup de grâce. » Il est vrai que le caractère enjoué de « Babet » et son excellent cœur l’ont rendue chère à toute la famille, d’autant plus qu’elle ne participe à aucune intrigue de cour.
De taille moyenne, sans être belle, son visage au nez bourbonien, aux yeux bleus, au sourire qui laisse voir des dents d’ivoire, reflète la bonté. « Sa personne forme un ensemble charmant et sympathique » écrit l’historien Beauchesne. Des mariages sont envisagés pour elle, avec l’Infant de Portugal, l’Empereur d’Autriche, Joseph II, mais ne se concrétisent pas. La vie religieuse ne semble pas l’attirer davantage, malgré son goût pour les visites à Saint-Cyr ou au Carmel de Saint-Denis chez sa tante Louise. Elle a besoin de vivre au grand air, excellente cavalière, elle ne tient aucun compte des dangers, au point que Louis XVI a fait élaguer tous les bois du domaine de Versailles.
Lorsque le roi lui constitue une Maison, Madame Élisabeth garde fidèlement ses amies jusqu’à son dernier jour. Son attachement pour Madame de Guéménée, mise au ban de la société à la suite de la faillite de son mari, est public. Elle obtient du roi la dot de Mlle de Causans, soit 50 000 livres, se privant, en échange, de cinq années d’étrennes.
La vie de cour lui permet de soulager les détresses cachées, placer des orphelins selon leur rang, doter des jeunes filles nobles, intervenir indirectement pour les besoins de malades proches, sans compter les aides pécuniaires ou les obtentions d’offices ou promotions de carrière. Dans son domaine de Montreuil, elle visite pauvres et malades, écoute les gens du peuple.La renommée de la « Bonne Madame Élisabeth » se répand, comme en témoigne la romance du Pauvre Jacques, son vacher.
Le malaise, qui s’étend dans la société, gagne la famille royale, où des tensions se manifestent. Madame Élisabeth atteint sa majorité, alors que les 4 et 5 mai 1789 a lieu l’ouverture des États-Généraux. Dès le 14 juillet, elle comprend les dangers qui menacent sa famille et prend la ferme décision de rester près de son frère et des siens. Les 5 et 6 octobre 1789, elle partage les dangers, s’installe aux Tuileries, où elle soutient le moral du roi et de la reine. Lorsque le 10 février 1790, Louis XVI renouvelle le vœu de Louis XIII à Notre-Dame de Paris, Madame Élisabeth conçoit l’idée de fonder une association de prières et de sacrifices pour obtenir la protection de la France et la réalise.
Puis c’est le départ pour Montmédy, l’arrestation à Varennes, la monarchie constitutionnelle, l’insurrection du 20 juin 1792 au cours de laquelle Élisabeth offre sa vie, se faisant passer pour Marie-Antoinette, la protégeant de la violence populaire. Deux mois après, le 10 août 1792, a lieu le sac du château et la famille royale réfugiée dans le bâtiment de l’Assemblée législative devient prisonnière de la Commune de Paris. Madame Élisabeth, malgré le souhait répété du roi de la voir partir, décide, pour la troisième fois, de rester auprès de son frère et devient prisonnière dans la tour du Temple, le 13 août 1792.
Elle s’abîme dans la prière, récite quotidiennement : « Que m’arrivera-t-il aujourd’hui… rien que vous n’ayez prévu de toute éternité. Je m’y soumets… » Tous comprennent qu’elle est devenue le soutien de la famille, permettant à Louis XVI de recevoir l’abbé Edgeworth, de se confesser, de communier avant de mourir, s’occupant de sa belle-sœur affaiblie, de sa nièce qu’elle prépare à rester seule, mais au détriment de sa santé. Madame de Bombelles écrit, le 22 avril 1793 : « sa maigreur est, dit-on, effrayante, mais la religion la soutient ; elle est l’ange consolateur de la Reine et des enfants ».
Le 2 août 1793, la reine part pour la Conciergerie. Puis le 9 mai 1794 c’est le tour de Madame Élisabeth, d’un procès préfabriqué sans contact avec son avocat, Chauveau-Lagarde. Condamnée à mort avec vingt-quatre victimes, elle les aide à se préparer à mourir, et sauve la vie de la comtesse de Sérilly l’obligeant à déclarer sa grossesse.
Sur le passage de la charrette, « le peuple l’admire et ne l’insulte point », relate le municipal Moelle. Tous les condamnés se sont regroupés autour d’elle, et à l’arrêt fatidique de la charrette, la princesse se lève la première, disant à ses compagnons : « Nous allons tous nous retrouver au Ciel ». Chacun à son tour, les femmes l’embrassent, les hommes ploient le genou, tandis que la princesse récite le De Profundis. À son tour, la dernière, tête nue, elle gravit avec fermeté, les marches de l’échafaud, manifeste un dernier geste de pudeur en demandant qu’on la couvre de son fichu, avant de basculer sur la guillotine.
Les relations et Mémoires de ce temps s’accordent à dire qu’à l’instant où elle reçut le coup fatal, une odeur de rose se répandit sur la place de la Révolution. Son corps fut inhumé, dénudé, dans une fosse commune au cimetière des Errancis, aujourd’hui disparu. Son corps n’a pu être ni retrouvé ni identifié. "
( source France Catholique)
Elisabeth de France, dite Madame Elisabeth
Par Elisabeth-Louise Vigée Le Brun, vers 1782
Musée national des châteaux de Versailles et de Trianon
Photo : Réunion des Musées Nationaux
Invité- Invité
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
Année 1790
Les plus graves événements semblent se préparer y compris la guerre civile que craint tant Mme de Bombelles.
Madame Elisabeth juge ainsi la question :
« Je t'avoue que je la regarde comme nécessaire; premièrement je crois qu'elle existe, parce que toutes les fois qu'un royaume est divisé en deux parties et que la partie la plus faible n'obtient la vie sauve qu'en se laissant dépouiller, il m'est impossible de ne pas appeler cela une guerre civile. De plus, jamais l'anarchie ne pourra finir sans cela ; et je crois que plus on retardera plus il y aura de sang répandu. Voilà mon principe, il peut être faux ; cependant, si j'étais Roi, il serait mon guide, et peut-être éviterait-il de grands malheurs ... »
Les plus graves événements semblent se préparer y compris la guerre civile que craint tant Mme de Bombelles.
Madame Elisabeth juge ainsi la question :
« Je t'avoue que je la regarde comme nécessaire; premièrement je crois qu'elle existe, parce que toutes les fois qu'un royaume est divisé en deux parties et que la partie la plus faible n'obtient la vie sauve qu'en se laissant dépouiller, il m'est impossible de ne pas appeler cela une guerre civile. De plus, jamais l'anarchie ne pourra finir sans cela ; et je crois que plus on retardera plus il y aura de sang répandu. Voilà mon principe, il peut être faux ; cependant, si j'étais Roi, il serait mon guide, et peut-être éviterait-il de grands malheurs ... »
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Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
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Comtesse Diane- Messages : 7397
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Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
Madame Elisabeth a une pose simple et l'ambiance autour d'Elle est champêtre, pas à Versailles en tout cas. Je la trouve très accessible. Oui, moi aussi j'adore.
Trianon- Messages : 3305
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Comtesse Diane- Messages : 7397
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Localisation : TOURAINE
Re: Madame Élisabeth, sœur de Louis XVI
45,(
Vente à PARIS la semaine prochaine d'un morceau de cretonne provenant d'un fauteuil utilisé par MADAME ELISABETH au TEMPLE et provenant de BERTHELEMY donc mobilier de la Petite tour du Temple.
cette pièce provient de la succession GOSSELIN LENOTRE le célèbre historien qui en possédait 3 autres morceaux vendus à.... deux à FEU MONSIEUR BANCELrevendus à l'époque moderne..... vente PIASA le 21 mai 2008 , le troisième collection ROUSSEAU le 24 Mars 2012 à TOULON
Ce morceau 32,5 X 45,5 cms, encadré par des baguettes dorées, avait été présenté à la grande exposition MARIE ANTOINETTE à VERSAILLES en 1955
MARIE ANTOINETTE
Vente à PARIS la semaine prochaine d'un morceau de cretonne provenant d'un fauteuil utilisé par MADAME ELISABETH au TEMPLE et provenant de BERTHELEMY donc mobilier de la Petite tour du Temple.
cette pièce provient de la succession GOSSELIN LENOTRE le célèbre historien qui en possédait 3 autres morceaux vendus à.... deux à FEU MONSIEUR BANCELrevendus à l'époque moderne..... vente PIASA le 21 mai 2008 , le troisième collection ROUSSEAU le 24 Mars 2012 à TOULON
Ce morceau 32,5 X 45,5 cms, encadré par des baguettes dorées, avait été présenté à la grande exposition MARIE ANTOINETTE à VERSAILLES en 1955
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