Ventes aux enchères 2018

Merci pour votre compréhension, je dois avouer que vos conseils sont toujours très utiles!
Rassurez-vous, je ne vous demande pas de me fournir un certificat d’au ou de vous engager sur l’honneur sur une estimation

Autographes XVIII a écrit:
La demande de notre ami me semble pourtant fondée, il cherche une estimation par rapport au marché d'un objet qui n'est pas standard et qui a été invendu. Donc difficile pour un non -initié d'avoir une idée. Quant aux estimations des maisons de vente, elles sont de plus en plus étranges, beaucoup jouent de plus en plus la carte d'un prix ridiculement bas pour appâter, niant par là le rôle de l'expert. Bref, dans un environnement très incertain, je ne vois pas où est le mal d'essayer d'y voir plus clair, au contraire. Par ailleurs, inutile d'être affilié à une chambre d'experts pour avoir une idée sur les prix. Ce qui n'enlève rien à l'utilité et à la qualité de ces corporations.

Reste l'origine de l'objet, souvent sujette à caution en ce qui concerne les reliques.
La valeur que l'on y attache n'est autre que sentimentale, non ?

Oui, qu’il soit vrai ou pas ne m’intéresse strictement pas tant que ni moi ni personne n’avons les moyens d’en savoir plus

Autographes XVIII a écrit:La demande de notre ami me semble pourtant fondée, il cherche une estimation par rapport au marché d'un objet qui n'est pas standard et qui a été invendu. Donc difficile pour un non -initié d'avoir une idée. Quant aux estimations des maisons de vente, elles sont de plus en plus étranges, beaucoup jouent de plus en plus la carte d'un prix ridiculement bas pour appâter, niant par là le rôle de l'expert.
Bref, dans un environnement très incertain, je ne vois pas où est le mal d'essayer d'y voir plus clair, au contraire. Par ailleurs, inutile d'être affilié à une chambre d'experts pour avoir une idée sur les prix. Ce qui n'enlève rien à l'utilité et à la qualité de ces corporations.

Quand bien même seriez-vous ici cet expert en gemmologie et en souvenirs historiques du Second Empire en mesure, sur simple photo, d'estimer le "bon prix" de cet objet, je vous prie de ne pas le faire en public alors qu'une transaction de grè à grè (dont généralement les montants ne sont pas communiqués) est peut-être en cours, ou le deviendrait-elle.
Vous pouvez toujours envoyer un message privé à DP2020.

Je ne suis ni expert en gemmologie ni en "souvenirs historiques du Second Empire" (je ne sais pas trop ce que cette appellation signifie). Cette affaire semble très importante pour vous, je pense que vous devez y avoir un intérêt quelconque. Mais ne vous inquiétez pas, je n'ai pas d'avis précis sur la question de la valeur, et je serais heureux si notre ami pouvait acquérir une pièce qui lui tienne à coeur.

Je vous informe que je viens d’acquérir le morceau de chemise pour 300€ + 82 de frais et que le médaillon sera représenté en vente en novembre car l’etude viendrait de mettre la main sur des lettres précisant sa provenance!

Félicitations, cher DP2020 !

je suis toujours très méfiante en ce qui concerne "les reliques" de toutes sortes, voir même les cheveux -
VICQ a acheté un reliquaire contenant une mèche de cheveux de la Reine et possédant déjà un tel objet, il a pu confirmer l'authenticité de celle-ci .............généreusement il m'a fait cadeau de quelques cheveux qui viennent en complément de ceux qu'il m'avait déjà offert il y a plusieurs années - comme cela j'ai la chance d'avoir ce souvenir.

en ce qui concerne les estimations faites sur les catalogues de vente, seule votre propre estimation, c'est à dire le prix que vous entendez payer pour l'objet, est valable, c'est ce que je fait pour mon compte personnel en me fixant un budget à ne pas dépasser... il faut être sérieux et vous en avez la preuve avec l'achat modeste de l'ami DP 2020.

chacun est un expert dans son sujet favori, surtout avec l'ancienneté !!!!!

MARIE ANTOINETTE

Autographes XVIII a écrit: Cette affaire semble très importante pour vous, je pense que vous devez y avoir un intérêt quelconque.

Vous pensez faussement.

Une réplique en chêne, acier et laiton de l'instrument de mort révolutionnaire sera proposée aux enchères le 11 juillet à Drouot. Le lot est estimé entre 5000 et 8000 euros.
Le couperet présente deux plaques gravées de l'inscription «Armées de la République». Selon le site de la maison de vente, on peut même remarquer des «traces de chocs sur le tranchant du couperet». Le mercredi 11 juillet à Drouot, une guillotine du XIXe siècle sera proposée aux enchères chez le commissaire-priseur Pestel-Debord. Le prix de départ oscille entre 5000 et 8000 euros.
Ce genre de vente, si elle est ici légale, reste toujours sensible. L'instrument de mort de plus de trois mètres, aussi surnommé un «monte-à-regret», est bien sûr associé à une période trouble de l'histoire: la Terreur. L'inscription sur la lame désigne d'ailleurs les quinze armées révolutionnaires françaises réorganisées dès 1793 par Lazare Carnot, membre du Comité de salut public.
Mais la guillotine n'est pas l'apanage de la Révolution. En France, l'échafaud meurtrier a été utilisé jusqu'en 1977, date de l'exécution d'Hamida Djandoubi, condamné à mort pour la torture et le meurtre d'une femme de 22 ans. Le 10 septembre, le Tunisien était guillotiné dans la cour de la prison des Baumettes.
En 2011, à l'occasion d'une vente similaire, le ministère de la Culture s'était longuement interrogé, comme le racontait au Figaro Catherine Chadelat, présidente du Conseil des ventes volontaires publiques, le «gendarme» de la profession. S'agissait-il «d'un simple bien culturel» ou devait-il «appliquer le règlement du 27 juin 2005 interdisant d'exporter ou d'importer en Europe tout objet susceptible d'infliger la mort ou la torture»? «Si cette guillotine est authentique, elle ne peut appartenir qu'à l'État, car c'est l'instrument et le symbole que détient l'État pour infliger la peine capitale», avait notamment objecté Catherine Chadelat.
Pour la vente chez Pestel-Debord, cette année, le Conseil des ventes a exprimé sa désapprobation, comme le raconte Le Parisien. Mais il ne peut intervenir en sachant qu'il s'agit d'une vente judiciaire et non volontaire. Et, de toute façon, il s'agit d'une réplique datant du XIXe siècle. En juin 2011, Lady Gaga était dans la salle à Drouot pour tenter d'acquérir, à des fins de spectacle, une guillotine semblable. La star américaine l'avait manqué, l'objet partant de gré à gré pour plus de 220.000 euros.    Le Figaro.fr
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Cette guillotine passe à nouveau en vente aux enchères ?
Vente judiciaire, cette fois-ci.

Nous l'avions déjà signalée en 2014 ; et à votre attention toute spéciale, cher Monsieur de Coco...

C'était ici : https://marie-antoinette.forumactif.org/t221p75-ventes-aux-encheres-annee-2014#12925

La nuit, la neige a écrit:
Nous l'avions déjà signalée en 2014 ; et à votre attention toute spéciale, cher Monsieur de Coco...

C'est trop aimable!!!!

Démarrées à 4.000 euros, les enchères de la réplique de la guillotine se sont envolées en quelques secondes jusqu'à 7.000 euros, hors frais, dernier prix enregistré. L'acquéreur est un entrepreneur français, Christophe Février, "amateur d'objets insolites".

La nuit, la neige a écrit:
et à votre attention toute spéciale, cher Monsieur de Coco...

Monsieur de Coco a écrit:Démarrées à 4.000 euros, les enchères de la réplique de la guillotine se sont envolées en quelques secondes jusqu'à 7.000 euros, hors frais, dernier prix enregistré.

Eh bien, nous sommes bien loin des 220 000 € environ de la première adjudication (2011), mais l’acquéreur devait alors faire une demande d’autorisation de sortie du territoire.
Ce pourquoi, faute d'obtention (peut-être ?), cette machine infernale était finalement repassée aux enchères en 2014, avec une estimation comprise alors entre 50 et 60 000 €.

Et 7000 aujourd'hui ?
Les guillotines n'ont, décidément, plus la cote...  

Il s'agit d'une réplique ici , je ne sais pas si les véritables guillotines qui ont servi jusqu'en 1977 peuvent être vendues . La plupart gisent démontées dans des caisses , dans les archives ou sous-sols des prisons et tribunaux qui en avaient la charge..

hastur a écrit:Il s'agit d'une réplique ici

En 2014 (le lien que j'ai cité), nous avions noté que :

Selon le Musée de la Révolution française, la seule guillotine datant de la période révolutionnaire, actuellement connue et localisée, se trouve au musée national allemand de Nuremberg.

Une autre guillotine (Haut. 3,53 m), datant de la période révolutionnaire et portant l’inscription AN 2 DE LA REPUBLIQUE, est conservée dans une collection privée (Etude Poulain-Le Fur, 31 mars 1989, Drouot Richelieu, lot 137).

Une seconde guillotine (Haut. 4,22 m), non datée précisément, et souvent confondue avec celle-ci, fut vendue 270 000 F (300 000 F frais compris) il y a vingt-deux ans, Etude Ader-Picard-Tajan, 12 juin 1989, Drouot-Richelieu, lot 151.

hastur a écrit:je ne sais pas si les véritables guillotines qui ont servi jusqu'en 1977 peuvent être vendues . La plupart gisent démontées dans des caisses

Je cite un extrait d'un article publié en 2014 (à l'occasion donc de la deuxième présentation de cette machine en vente aux enchères) :

Si l'objet n'a pas quitté la France en 2011, c'est parce que le certificat d'autorisation de sortie du territoire (AST) lui a été refusé.
«Le ministère de la Culture s'est longuement demandé s'il s'agissait d'un simple bien culturel ou s'il devait appliquer le règlement du 27 juin 2005 interdisant d'exporter ou d'importer en Europe tout objet susceptible d'infliger la mort ou la torture.
Cette guillotine étant en état de marche, le ministère a tranché en faveur de cette dernière solution», affirme Catherine Chadelat, présidente du Conseil des ventes volontaires publiques.

Et la suite donc, qui répond à votre question :

En apprenant que le «rasoir national» repassait aux enchères, Catherine Chadelat a vu un nouveau problème : «Si cette guillotine est authentique, elle ne peut appartenir qu'à l'État, car c'est l'instrument et le symbole que détient l'État pour infliger la peine capitale», a-t-elle objecté au commissaire-priseur.
Cet argument aurait pu justifier l'interdiction de la vente.

Mais la guillotine est un faux ! «Il s'agit d'une copie de la deuxième moitié du XIXe siècle», selon Alain Chevalier, directeur du Musée de la Révolution française, à Vizille (Isère), qui a expertisé l'objet.


* Suite et article dans son intégralité, ici : http://www.lefigaro.fr/culture/encheres/2014/03/27/03016-20140327ARTFIG00012-une-guillotine-sous-le-couperet-de-la-vente-publique.php[/quote]

Quelle idée de vouloir acheter une guillotine...
Pour mettre dans le vestibule pour effrayer d'éventuels brigands ?

Je me suis procuré le très beau catalogue des ventes de la collection Bancel.

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Ah bravo, cher Monsieur de Coco , et tant mieux pour nous qui aurons des photos, n'est-ce pas ?

Mme de Sabran a écrit:
Ah bravo, cher Monsieur de Coco   , et tant mieux pour nous qui aurons des photos, n'est-ce pas ?  

Dans ce cas, peut être dois je créer un topic spécial?

C'est une très bonne idée !

C'était pas notre MARIE-ANTOINETTE qui connaissait ce M. Alain Bancel ?

Notre Marie-Antoinette connaît tout le monde !

A suivre sur:
https://marie-antoinette.forumactif.org/t4006-la-collection-alain-bancel#126918