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Jeanne Bécu, comtesse du Barry

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Message par Mme de Sabran Jeu 12 Oct - 16:43

Gouverneur Morris a écrit:Merci LNLN, je l'ai écoutée avec beaucoup d'intérêt !  Jeanne Bécu, comtesse du Barry - Page 13 2523452716
...moi itou-également. Very Happy
Très intéressant : Waresquiel s'explique longuement sur l'influence politique qu'il prête à Jeanne.

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Message par La nuit, la neige Jeu 12 Oct - 17:26

Gouverneur Morris a écrit:
J'ai trouvé amusant également qu'il conserve dans sa narration les éléments justement discutés par E. de Waresquiel, notamment la paternité du frère Gomard, cela rend l'interview qui suit assez surréaliste  
Oui, à plusieurs reprises je me suis demandé si l'auteur du "récit", raconté par l'ami Stéphane en début d'émission, avait eu le temps de lire cette nouvelle biographie ?! scratch  Eventaille

Enfin bon, ne nous plaignons pas. Les émissions de radio de qualité consacrées à l'Histoire sont si rares. Merci à Stéphane Bern et à ses équipes !  Jeanne Bécu, comtesse du Barry - Page 13 1410818755


Dernière édition par La nuit, la neige le Ven 13 Oct - 11:19, édité 1 fois
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Message par Mme de Sabran Jeu 12 Oct - 22:53

La nuit, la neige a écrit:
Oui, à plusieurs reprises je me suis demandé si l'auteur du "récit", raconté par l'ami Stéphane en début d'émission, avait eu le temps de lire cette nouvelle biographie ?! scratch  Eventaille
Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing  Laughing
...  notre Stéphane national !    Jeanne Bécu, comtesse du Barry - Page 13 2523452716  Jeanne Bécu, comtesse du Barry - Page 13 3599491914

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Message par Mme de Sabran Ven 10 Nov - 11:37

Nous nous en doutons , Hébert n'a pas manqué de cracher sur Mme du Barry .  Jeanne Bécu, comtesse du Barry - Page 13 01010526
 Jeanne Bécu, comtesse du Barry - Page 13 Histoi20
(  source : Charles Vatel, Histoire de Mme du Barry )

Julienne au lieu de Lucienne ! Eventaille
Renseigne-toi, Hébert, avant de dégoiser .

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Message par La nuit, la neige Ven 10 Nov - 13:32

Idea La comtesse n'est pas la seule visée par les critiques ce jour là. J'ai posté l'intégralité du pamphlet dans notre sujet :

Arrow Jean-Paul Marat et l'Ami du Peuple
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Message par Mme de Sabran Ven 10 Nov - 13:45

Tu n'es que parfait, comme d'habitude !  Jeanne Bécu, comtesse du Barry - Page 13 679898453

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Message par Mme de Sabran Jeu 8 Fév - 17:01


Anne Bécu, femme Rançon, se disant de Monrabé, écrit Charles Vatel,  mourut le 20 octobre 1788, à la Maison-Rouge, paroisse de Longpont, hameau de Villiers-sur-Orge .

...    dans cette belle demeure achetée pour elle par sa fille .

 Jeanne Bécu, comtesse du Barry - Page 13 _144

Grande demeure en brique (rouge) et pierre à toit de tuiles XIXe siècle de style Louis XIII. Au commencement du dernier XVIIIe siècle, Jean Joseph Nau était qualifié sieur de la Maison Rouge. Nous lisons dans « l’Opuscule » de M. Leroi, bibliothécaire de la ville de Versailles, ayant pour titre : Madame du Barry, 1768-1793 (Versailles, 1858) : « Madame du Barry (maîtresse de Louis XV) acheta fort peu de biens pendant sa grandeur. Elle fit l’acquisition d’une maison à Saint-Vrain, près Arpajon, et d’une petite ferme appelée la Maison rouge à Villiers-sur-Orge, près Longjumeau ». « On voit par le contrat de mariage de madame du Barry, que sa mère se nommait madame Rançon. Elle avait épousé en 1749 un nommé Rançon, commis aux aides, titre qu’on changea, dans le contrat en celui de comtesse intéressé dans les affaires du roi. On conçoit qu’avec un aussi mince emploi pour toute fortune, M. et Mme Rançon devaient mener une assez triste existence. Dans sa haute position, madame du Barry n’oublia pas sa mère. Elle allait souvent la voir, et elle la mit à même de vivre largement. Quoiqu’elle n’eût ni les manières ni le langage d’une femme de qualité, on ne pouvait cependant continuer de donner ce nom de Rançon à la mère d’une comtesse qui avait l’insigne honneur d’être la maîtresse du roi, et on l’appela Madame de Montrable. C’est pour madame de Montrable que madame du Barry acheta la maison rouge, et cette dame l’habita fort longtemps. »

C'était, comme on le sait, la mère de madame du Barry. Née en 1713, elle avait 75 ans. Son mari, Nicolas Rançon, vivait encore auprès d'elle et ne mourut que longtemps après. Il faut dire qu'il avait dix ans de moins que sa femme, étant né en 1723. Nous avons vu que madame du Barry avait toujours entouré sa mère de soins et d'affection. Cependant celle-ci paraît s'être montrée peu reconnaissante de tant de témoignages de tendresse filiale. Elle avait fait un testament notarié en date du 2 avril 1785, par devant Me Rouen .  Ce testament déshéritait sa fille au profit de madame de Boisseson, sa nièce.


Le frère d'Anne Bécu,  Jean Nicolas Bécu 1705-1766  avait épousé Marie de Launay.  Leur fille Marie-Joseph Bécu ( prétendument  "de Cantigny" ), cousine issue de germains de Mme du Barry,   était mariée avec Mathieu dit le marquis de Boiséson 1736-1798 .

Madame du Barry ne pouvait pas sans doute recevoir de dispositions universelles comme enfant illégitime, mais elle n'était pas incapable de recevoir des legs particuliers. Sa mère aurait pu lui laisser au moins un souvenir. — Elle n'eut rien.
Peut-être verra-t-on là, comme l'a fait plus tard le tribunal de la Seine, une preuve que madame du Barry était bien sa fille et une crainte que les dispositions, qu'elle aurait pu faire à son avantage, fussent attaquées comme faites en faveur d'un enfant né d'un commerce illégitime.    scratch  La faute était irréparable, puisque, selon toute apparence, le père était engagé dans les ordres religieux, ce qui équivalait alors au vice d'adultérinité. Il suffisait d'ailleurs que madame du Barry fût enfant naturelle — ainsi que cela résultait de l'acte de baptême — pour que les dispositions testamentaires, qui auraient exclu la famille légitime, fussent annulées. Dans l'ancienne législation, les bâtards n'héritaient pas de leurs parents naturels, à moins qu'ils n'eussent été légitimés par mariage subséquent ou par lettres du prince. Leurs biens étaient confisqués et tombaient dans le domaine du fisc. Par la même raison, ils ne pouvaient rien donner par testament ou donation entre-vifs sans quoi la prohibition de la loi eût été de nul effet
(Pothier).

Ranson, l'époux survivant, fut vivement et péniblement affecté de cette préférence accordée par sa femme à madame de Boisseson. Madame du Barry semble avoir pris à tâche de le consoler. Dès le 4 novembre 1788, un mois après la mort d'Anne Bécu, elle signe devant Rouen un acte qui assure à Rançon une rente annuelle et viagère de deux mille francs, garantie par une hypothèque sur ses biens et sous la caution de monsieur et madame de Boisseson.

La libéralité par elle-même n'était pas tout : madame du Barry y ajouta l'expression des sentiments les plus honorables pour Rançon, elle les fit consigner dans l'acte en ces termes : « Cette donation est faite dans le but de donner des preuves au sieur Nicolas Rançon de sa sensibilité pour les bons procédés dont il a entouré sa femme, qu'il n'a cessé d'avoir pour son épouse et lui témoigner sa reconnaissance pour l'attachement qu'il lui a toujours montré. Elle veut aussi rendre justice aux qualités du cœur du sieur Rançon ainsi qu'à sa parfaite probité. »

Enfin, elle se loue des bons procédés de Rançon avec elle-même. La phrase est un peu longue et nébuleuse, elle est toute une histoire du ménage Rançon. La meilleure part des éloges paraît revenir au mari. Jeanne Bécu lui exprime sa sensibilité pour les sentiments qu'il lui a témoignés en différentes circonstances. Sans doute, la chose va d'elle-même, avant son élévation à la cour ou même son entrée chez du Barry. Ces expressions : sensibilité, qualités de cœur, probité, se rencontrent rarement dans les actes des notaires ; on sent que c'est madame du Barry qui parle. Son langage perce encore sous la plume des hommes de loi. Elle a dû dicter cette partie de la donation ou manifester son désir que sa satisfaction fût consignée dans l'acte. Rançon se retira à Versailles.


Nous pouvons admirer la grandeur d'âme de Mme du Barry, n'est-il pas ? Very Happy

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Message par Mme de Sabran Lun 19 Fév - 18:00

Histoires de gros sous ...  Jeanne Bécu, comtesse du Barry - Page 13 1317



(1784)
REMBOURSEMENT DE PLUS D'UN MILLION FAIT PAR LE ROI
A MADAME DU BARRY.

Lorsque le fameux Livre Rouge fut produit à l'Assemblée constituante, le Rôdeur, un journal de l'époque, s'étonnait de ne point trouver sur la liste des pensions les noms de madame de Brienne, de madame du Barri (sic). Il en concluait que tous les pensionnaires n'avaient pas été inscrits sur ce registre. « Pourquoi? » ajoutait-il. Et il répondait : « Je n'en sais rien ; »  Shocked   — peut-être parce que c'était la liste des faveurs accordées incognito et assignées sur la cassette du roi .
(  Le Rôdeur, 10 décembre 1789, no 6. )

Cependant dans le deuxième mémoire du Livre Rouge, sous la date du 22 avril 1784, on lit : -

Ordonnance au porteur d'un million de livres pour remboursement à compte de un million douze cent cinquante mille livres de comptant à quatre pour cent, dont la comtesse fait l'abandon au roi 1,000,000 liv.

 Jeanne Bécu, comtesse du Barry - Page 13 Capt1617


Le nom de Mme du Barry n'est pas prononcé mais il n'y a pas à s'y tromper. En effet, les minutes de Griveau, le successeur de Lepot d'Auteuil, contiennent, à la date du 23 avril 1784, un acte intitulé : TRANSPORT DE RENTES PAR MADAME LA COMTESSE DU BARRY AU ROY.

Voici le libellé de cet acte fort important :

Par devant les. notaires comparaît dame Jeanne Gomard de Vaubernier, comtesse du Barry, demeurant ordinairement à Luciènnes, étant de ce jour à Paris, etc., laquelle a transporté, etc. au roi, ce accepté par messire Joseph Micault d'Harvelay, etc., garde du trésor royal, - cinquante mille livres à prendre, en celles créées à 4 p. 100 sur les Aydes et Gabelles par édit du mois de février 1770, constituées en dix parties de cinq mille livres chacune au principal de 120,000 livres, au profit de Me Denis-André Rouen Desmottes, etc., notaire au Châtelet de Paris, suivant contrat passé devant M0 Lepot d'Auteuil, etc.

Desquelles dix parties de rente madame la comtesse du Barry est propriétaire au moyen des déclarations que lui en a passées Me Rouen par dix actes reçus en minutes par ledit Me Lepot d'Auteuil et ses confrères, le même jour que les contrats sus-dits.

Ce transport a été fait moyennant la somme de douze cent cinquante mille livres que madame la comtesse du Barry reconnaît avoir reçue de M. d'Harvelay des deniers à ce destinés, etc.


Tout est précieux dans les révélations de cet acte.

Elles confirment d'abord celles de l'acte du 31 décembre 1769. A cette date une libéralité énorme a été faite à madame du Barry, et précisément parce qu'elle était considérable, on l'a déguisée. Le prête-nom a été le notaire Rouen. Par dix actes il a reconnu, lui, notaire, la substitution de personnes, et c'est ainsi que les deniers du Trésor public sont venus enrichir la maîtresse du roi.

A une pension usufructuaire de 50,000 livres, devant faire retour à l'Etat dans un temps plus ou moins éloigné, succède une aliénation, opération toute différente. Capitaliser une rente viagère à 5 p. 100, c'était, en réalité, faire à la crédi-rentière une donation que l'on peut évaluer ici à un demi-million au minimum.
Comment s'expliquer cette largesse insensée de la part de Louis XVI, si peu prodigue par lui-même, si peu favorable à madame du Barry et sévère envers elle jusqu'à l'injustice? Comment comprendre que Marie-Antoinette ait fait trève à sa constante animosité contre la favorite pour autoriser une pareille dilapidation à cause d'elle ?
Maurepas n'était plus (14 novembre 1781). D'Aiguillon, toujours en disgrâce? Necker, il est vrai, n'était plus au ministère des finances; mais Calonne y était entré, et avec lui avait commencé l'orgie financière (II. Martin) qui devait coûter à la France 487 millions en deux ans !

Le nom de Calonne peut seul faire comprendre le remboursement scandaleux fait à madame du Barry sans motif appréciable, sans prétexte possible. Calonne est un de ceux qui avaient lutté avec le plus d'ardeur contre le parlement de Bretagne. Il avait dû y avoir nécessairement des rapports entre d'Aiguillon et lui, et par suite entre Mme du Barry, l'alliée du gouverneur de Bretagne, ensuite ministre. Là est peut-être le ressort secret que Jeanne Vaubernier aura fait jouer pour obtenir de la complaisance du trop facile Calonne une concession qui était un véritable gaspillage. Nous ne voyons pas qu'il en soit parlé dans les histoires générales . Les documents que nous produisons sur ce point ne sont pas seulement nouveaux, ils sont de la plus incontestable authenticité, et toute leur signification est dans les dates.

Au contrat intervient M. J. Marc-Antoine de Tournon, marquis de Claveyson, avec lequel s'était remariée Rose-Marie-Hélène de Tournon, veuve du vicomte du Barry. Il déclare être donataire universel en usufruit de tous les biens de sa femme, qui, comme légataire elle-même de son mari, avait droit à la rente de dix mille francs, constituée par la comtesse du Barry.

En cette qualité, il avait formé une opposition entre les mains du conservateur des hypothèques sur le capital des rentes payées à la comtesse. Pour obtenir
la main-levée de cette opposition, celle-ci s'oblige à remettre incessamment entre les mains du trésorier des Etats de Languedoc une somme de deux cent mille livres, pour acquérir, dans l'emprunt actuellement ouvert par les Etats, une somme de dix mille livres de rente. (  Suspect  )

Mme du Barry versa-t-elle les deux cent mille francs, comme elle s'y était engagée? Un grand procès s'ouvrit sur cette question, longtemps après sa mort, dans la contribution ouverte sur sa succession.

Trois mois après cette fructueuse opération, Mme du Barry règle ses comptes avec divers et notamment avec le duc d'Aiguillon. Le duc donne à son amie quittance d'une somme de deux cent vingt-sept mille livres, prêtée sous le nom d'un sieur Binet de Beaupré, et probablement en réalité par le duc d'Aiguillon.

On remarque dans cet acte les oppositions formées par M. d'Aiguillon sur toutes les valeurs appartenant à Mme du Barry et poussées jusqu'au luxe. En aurait-il été ainsi, dans le cas où des rapports intimes auraient existé entre eux ? Il faudrait que cette liaison n'eût pas exclu la défiance qui n'existe ordinairement à ce point qu'entre étrangers. Au reste, Mme du Barry n'était pas mieux traitée par ceux qui lui étaient redevables de véritables bienfaits : nous l'avons vu par la conduite indigne des membres de la famille de Tournon.

( Histoire de Madame Du Barry d'après ses papiers personnels et les documents des archives publiques  par Charles Vatel. )

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Message par Monsieur de la Pérouse Mer 21 Fév - 14:53

Faut-il comprendre que Calonne disposait à sa guise des deniers de l'Etat?
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Message par Gouverneur Morris Mer 21 Fév - 15:29

Sans doute cher Calonne, du moins du produit des emprunts qu'il lançait, car ne l'appelait-on pas L'Enchanteur ?
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